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Les femmes et l'extrême droite politique en République fédérale d'Allemagne. Le Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) à l’épreuve du genre (1964-2017) / Women and the Far Right in the Federal Republic of Germany. The Case of the National Democratic Party of Germany (1964-2017)

Dubslaff, Valérie 15 November 2017 (has links)
Cette thèse interroge les continuités de l’extrême droite allemande après 1945 en s’intéressant aux femmes du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD) créé en 1964 en République fédérale. Focalisée sur les actrices, elle éclaire les spécificités des générations de femmes qui s’y sont succédé, des militantes « postfascistes », légalistes et républicaines des années 1960 aux militantes « néofascistes », nationales-révolutionnaires et antisystème des années 2000. Partant du constat de leur marginalité politique, ce travail étudie les rapports de genre et questionne l’agency féminine dans une extrême droite masculiniste. Afin de surmonter leur isolement, les femmes nationales-démocrates ont ponctuellement élaboré des stratégies d’auto-affirmation, passant notamment par des rassemblements féminins : après la fondation d’un Conseil des Femmes en 1968 et de groupes de femmes en 1976/1977, le Cercle des Femmes nationalistes, fondé en 2006, marque l’aboutissement de leurs revendications antisexistes, revendications qui posent également la question du rapport ambivalent qu’elles entretiennent avec le féminisme politique. Cette thèse propose, enfin, une analyse de l’idéologie des femmes nationales-démocrates : en politisant le « domaine féminin » (famille, culture, société), elles ont contribué à définir la ligne du NPD qui, au gré des transformations historiques, est passé de son souverainisme nationaliste initial à un nationalisme identitaire dans les années 1970/1980, avant d’aboutir, après 1990, à un nationalisme völkisch. Cette thèse pose ainsi un regard inédit sur les processus de féminisation dans l’extrême droite allemande et propose une lecture différente de l’histoire de la République fédérale. / This PhD thesis deals with the continuities of the far right in Germany after 1945 by examining the special case of extremist women in the National Democratic Party of Germany, founded in the Federal Republic of Germany in 1964. It analyses the characteristics of the generations of national-democratic women who succeeded each other, from the “postfascist” legalist and democratic activists of the 1960s to the national-revolutionary and anti-system “neofascists” of the 2000s. It examines their political marginality within the party and therefore questions the female agency in the masculinist far right. In order to break out of their isolation, national-democratic women have occasionally developed some self-affirmation strategies : after the foundation of a Federal Women’s Council in 1968, they founded Women’s Groups in 1976/1977 and a Circle of nationalist Women in 2006. This women’s organisation can be considered as the culmination of their antisexist claims, it therefore puts into question their relationship with political feminism. This thesis finally analyses the women’s ideology : through their “female domain” (family, culture, society), they have contributed to the definition of the NPD’s general party line which changed from a sovereigntist nationalism in the 1960s to an identitarian nationalism in the 1970s/1980s, and finally to a völkisch nationalism from 2000 onwards. Thus, this thesis sheds a light on feminisation processes on the far right and offers a different understanding of German history.
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Du Front national au Rassemblement national : l'évolution du parti à l'aune des théories du marketing politique et du rebranding.

Grondin, Louise-Jeanne 02 1900 (has links)
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Männerparteien? Le gender gap dans le vote d’extrême droite

Marlier, Jeanne 04 1900 (has links)
Dans la plupart des pays, les hommes sont plus enclins que les femmes à voter pour des partis d’extrême droite. Ce mémoire contribue à notre compréhension de ce gender gap en analysant le vote pour l’extrême droite lors des dernières élections européennes dans 22 pays, en utilisant les données l’European Election Voter Study (2019). Dans un premier temps, nous adoptons une approche exploratoire en analysant dans quelle mesure les indicateurs socio-économiques et les positions idéologiques contribuent à expliquer cet écart. Nous nous concentrons ensuite sur les facteurs contextuels en testant deux explications tirées de la littérature. En nous appuyant sur une collecte de données originale, nous cherchons d'abord à évaluer si une plus grande représentation des femmes parmi les élus d’extrême droite entraine davantage de femmes à voter pour ces partis. Nous cherchons ensuite à vérifier si les femmes sont plus portées à voter pour des partis d’extrême droite moins extrême, en utilisant les données du Chapel Hill Expert Survey (2019). Les résultats montrent que 38% du gender gap dans le vote d'extrême droite est expliqué par les différences entre les positions des hommes et des femmes dans l’opinion publique, tandis que les indicateurs socio-économiques ont une contribution négligeable. Nous montrons également que l'effet positif du positionnement idéologique sur l'échelle gauche-droite sur le vote d’extrême droite est plus faible pour les femmes. De plus, le fait d'être en faveur de l'intervention de l'État dans l'économie motive le vote d’extrême droite uniquement chez les femmes. Sur le plan contextuel, nous montrons que plus la position des partis d’extrême droite est extrême en ce qui concerne l'intervention de l'État dans l'économie, plus le gender gap augmente. / In most countries, men are more likely to vote for radical right parties than women. This thesis contributes to our understanding of this – yet to be explained – gender gap. For doing so, I look at the radical right votes in the last European elections in 22 countries, using data from the European Election Voter Study (2019). In a first step, I take an exploratory approach and systematically analyze whether and to what extent socio-economic indicators and issue positions contribute to this gender gap. I then focus on contextual factors by testing two explanations drawn from the literature. Relying on original data, I first assess whether a greater representation of women among radical right elected officials motivates more women to vote for these parties. I then test whether women are more drawn to less extreme radical right parties, using data from the Chapel Hill Expert Survey (2019). The results suggest that 38% of the gender gap in voting for radical right parties is explained by differences in men’s and women’s issue positions while the contribution of socio-economic indicators is negligible. I also show that the positive effect of ideological placement on the left-right scale on radical right voting is weaker for women. Furthermore, being in favour of state intervention in the economy motivates radical right voting only for women. On the contextual level, I find that the more extreme the stance of radical right parties is regarding state intervention in the economy, the greater the gap becomes.

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