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Grounds for telling it : transnational feminism and Canadian women's writing

Beverley, Andrea 08 1900 (has links)
Cette thèse explore les connections entre la littérature canadienne contemporaine féminine et le féminisme transnational. Le « transnational » est une catégorie qui est de plus en plus importante dans la critique littéraire canadienne, mais elle n’est pas souvent evoquée en lien avec le féminisme. À travers cette thèse, je développe une méthodologie de lecture féministe basée sur le féminisme transnational. Cette méthodologie est appliquée à la littérature canadienne féminine; parallèlement, cette littérature participe à la définition et à l’élaboration des concepts féministes transnationaux tels que la complicité, la collaboration, le silence, et la différence. De plus, ma méthodologie participe à la recontextualisation de certains textes et moments dans l’histoire de la littérature canadienne, ce qui permet la conceptualisation d’une généalogie de l’expression féministe anti-essentialiste dans la littérature canadienne. J’étudie donc des textes de Daphne Marlatt, Dionne Brand, et Suzette Mayr, ainsi que le périodique Tessera et les actes du colloque intitulé Telling It, une conférence qui a eu lieu en 1988. Ces textes parlent de la critique du colonialisme et du nationalisme, des identités post-coloniales et diasporiques, et des possibilités de la collaboration féministe de traverser des frontières de toutes sortes. Dans le premier chapitre, j’explique ma méthodologie en démontrant que le périodique féministe bilingue Tessera peut être lu en lien avec le féminisme transnational. Le deuxième chapitre s’attarde à la publication editée par le collectif qui a été formé à la suite de la conférence Telling It. Je situe Telling It dans le contexte des discussions sur les différences qui ont eu lieu dans le féminisme nord-américan des dernières décennies. Notamment, mes recherches sur Telling It sont fondées sur des documents d’archives peu consultés qui permettent une réflexion sur les silences qui peuvent se cacher au centre du travail collaboratif. Le trosième chapitre est constitué d’une lecture proche du texte multi-genre « In the Month of Hungry Ghosts, » écrit par Daphne Marlatt en 1979. Ce texte explore les connexions complexes entre le colonialisme, le postcolonialisme, la complicité et la mondialisation. Le suject du quatrième chapitre est le film Listening for Something… (1994) qui découle d’une collaboration féministe transnationale entre Dionne Brand et Adrienne Rich. Pour terminer, le cinquième chapitre explore les liens entre le transnational et le national, la région – et le monstrueux, dans le contexte du roman Venous Hum (2004) de Suzette Mayr. Ces lectures textuelles critiques se penchent toutes sur la question de la représentation de la collaboration féministe à travers les différences – question essentielle à l’action féministe transnationale. Mes recherche se trouvent donc aux intersections de la littérature canadienne, la théorie féministe contemporaine, les études postcoloniales et la mondialisation. Les discussions fascinantes qui se passent au sein de la théorie transnationale féministe sont pertinentes à ces intersections et de plus, la littérature contemporaine féminine au Canada offre des interventions importantes permettant d’imaginer la collaboration féministe transnationale. / This dissertation explores connections between contemporary Canadian women’s writing and transnational feminism. The category of the transnational is increasingly important within Canadian literary criticism, but it is infrequently evoked in relation to feminism. Throughout this thesis, I develop a transnational feminist reading methodology that can be brought to bear on Canadian women’s writing, even as the literature itself participates in and nuances transnational feminist mobilizations of concepts such as complicity, collaboration, silence, and difference. Furthermore, my transnational feminist reading strategy provides a method for the rehistoricization of certain texts and moments in Canadian women’s writing that further allows scholars to trace a genealogy of anti-essentialist feminist expression in Canadian literature. To this end, I read texts by Daphne Marlatt, Dionne Brand, and Suzette Mayr, alongside Tessera, a collectively-edited journal, and conference proceedings from the 1988 Telling It conference; these texts speak to national and colonial critique, post-colonial and diasporic identities, and the potentials of feminist collaboration across various borders. In the first chapter, I situate my reading methodology by arguing for a transnational feminist understanding of Tessera, a bilingual feminist journal that began publishing in 1984. My second chapter examines the collectively-edited publication that emerged from Telling It in the context of North American feminist evocations of difference in recent decades. Notably, my research on Telling It benefits from rarely-accessed archival material that grounds my discussion of the gaps and silences of collective work. In my third chapter, I perform a close reading of Daphne Marlatt’s 1979 multi-genre text “In the Month of Hungry Ghosts” as it explores the complex connections between colonialism, post-colonialism, complicity and globalization. The subject of my fourth chapter is the 1994 film Listening for Something…, a transnational feminist collaboration between Dionne Brand and Adrienne Rich. Finally, my fifth chapter discusses the place of the transnational in relation to the regional, the national – and the monstrous in the context of Suzette Mayr’s Venous Hum. In all of these close textual readings, my dissertation asks how Canadian women writers represent, theorize, and critique the kinds of collaboration across differences that lie at the heart of transnational feminist action. My research is therefore located at the crossroads of Canadian literature, contemporary feminist theory, and postcolonial and globalization studies. The vibrant field of transnational feminist theory is relevant to this disciplinary intersection and, furthermore, contemporary Canadian women’s writing provides important interventions from which to imagine transnational feminist collaboration.
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Grounds for telling it : transnational feminism and Canadian women's writing

Beverley, Andrea 08 1900 (has links)
Cette thèse explore les connections entre la littérature canadienne contemporaine féminine et le féminisme transnational. Le « transnational » est une catégorie qui est de plus en plus importante dans la critique littéraire canadienne, mais elle n’est pas souvent evoquée en lien avec le féminisme. À travers cette thèse, je développe une méthodologie de lecture féministe basée sur le féminisme transnational. Cette méthodologie est appliquée à la littérature canadienne féminine; parallèlement, cette littérature participe à la définition et à l’élaboration des concepts féministes transnationaux tels que la complicité, la collaboration, le silence, et la différence. De plus, ma méthodologie participe à la recontextualisation de certains textes et moments dans l’histoire de la littérature canadienne, ce qui permet la conceptualisation d’une généalogie de l’expression féministe anti-essentialiste dans la littérature canadienne. J’étudie donc des textes de Daphne Marlatt, Dionne Brand, et Suzette Mayr, ainsi que le périodique Tessera et les actes du colloque intitulé Telling It, une conférence qui a eu lieu en 1988. Ces textes parlent de la critique du colonialisme et du nationalisme, des identités post-coloniales et diasporiques, et des possibilités de la collaboration féministe de traverser des frontières de toutes sortes. Dans le premier chapitre, j’explique ma méthodologie en démontrant que le périodique féministe bilingue Tessera peut être lu en lien avec le féminisme transnational. Le deuxième chapitre s’attarde à la publication editée par le collectif qui a été formé à la suite de la conférence Telling It. Je situe Telling It dans le contexte des discussions sur les différences qui ont eu lieu dans le féminisme nord-américan des dernières décennies. Notamment, mes recherches sur Telling It sont fondées sur des documents d’archives peu consultés qui permettent une réflexion sur les silences qui peuvent se cacher au centre du travail collaboratif. Le trosième chapitre est constitué d’une lecture proche du texte multi-genre « In the Month of Hungry Ghosts, » écrit par Daphne Marlatt en 1979. Ce texte explore les connexions complexes entre le colonialisme, le postcolonialisme, la complicité et la mondialisation. Le suject du quatrième chapitre est le film Listening for Something… (1994) qui découle d’une collaboration féministe transnationale entre Dionne Brand et Adrienne Rich. Pour terminer, le cinquième chapitre explore les liens entre le transnational et le national, la région – et le monstrueux, dans le contexte du roman Venous Hum (2004) de Suzette Mayr. Ces lectures textuelles critiques se penchent toutes sur la question de la représentation de la collaboration féministe à travers les différences – question essentielle à l’action féministe transnationale. Mes recherche se trouvent donc aux intersections de la littérature canadienne, la théorie féministe contemporaine, les études postcoloniales et la mondialisation. Les discussions fascinantes qui se passent au sein de la théorie transnationale féministe sont pertinentes à ces intersections et de plus, la littérature contemporaine féminine au Canada offre des interventions importantes permettant d’imaginer la collaboration féministe transnationale. / This dissertation explores connections between contemporary Canadian women’s writing and transnational feminism. The category of the transnational is increasingly important within Canadian literary criticism, but it is infrequently evoked in relation to feminism. Throughout this thesis, I develop a transnational feminist reading methodology that can be brought to bear on Canadian women’s writing, even as the literature itself participates in and nuances transnational feminist mobilizations of concepts such as complicity, collaboration, silence, and difference. Furthermore, my transnational feminist reading strategy provides a method for the rehistoricization of certain texts and moments in Canadian women’s writing that further allows scholars to trace a genealogy of anti-essentialist feminist expression in Canadian literature. To this end, I read texts by Daphne Marlatt, Dionne Brand, and Suzette Mayr, alongside Tessera, a collectively-edited journal, and conference proceedings from the 1988 Telling It conference; these texts speak to national and colonial critique, post-colonial and diasporic identities, and the potentials of feminist collaboration across various borders. In the first chapter, I situate my reading methodology by arguing for a transnational feminist understanding of Tessera, a bilingual feminist journal that began publishing in 1984. My second chapter examines the collectively-edited publication that emerged from Telling It in the context of North American feminist evocations of difference in recent decades. Notably, my research on Telling It benefits from rarely-accessed archival material that grounds my discussion of the gaps and silences of collective work. In my third chapter, I perform a close reading of Daphne Marlatt’s 1979 multi-genre text “In the Month of Hungry Ghosts” as it explores the complex connections between colonialism, post-colonialism, complicity and globalization. The subject of my fourth chapter is the 1994 film Listening for Something…, a transnational feminist collaboration between Dionne Brand and Adrienne Rich. Finally, my fifth chapter discusses the place of the transnational in relation to the regional, the national – and the monstrous in the context of Suzette Mayr’s Venous Hum. In all of these close textual readings, my dissertation asks how Canadian women writers represent, theorize, and critique the kinds of collaboration across differences that lie at the heart of transnational feminist action. My research is therefore located at the crossroads of Canadian literature, contemporary feminist theory, and postcolonial and globalization studies. The vibrant field of transnational feminist theory is relevant to this disciplinary intersection and, furthermore, contemporary Canadian women’s writing provides important interventions from which to imagine transnational feminist collaboration.
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Une approche transnationale des écritures des femmes ottomanes et françaises (européennes) au 19ème et au début du 20ème siècle / A Transnational Approach to Literatures of Ottoman and French (European) Women Writers of 19th and Early 20th Centuries

Timuroglu, Senem 15 December 2017 (has links)
Dans la présente étude intitulée « Une approche transnationale des écritures des femmes ottomanes et françaises (européennes) au 19ème et au début du 20ème siècle » nous avons étudié les ouvrages et œuvres de femmes ottomanes et européennes autour de l’image du « harem » avec une approche transnationale féministe. La revendication de la thèse est que l’on ne peut ni parler d’une seule image du harem ni d’un type de récit de harem de femme ottomane, anglaise ou française. En replaçant ces ouvrages, classés dans la catégorie de « littérature de harem » au rang de la littérature mondiale, nous avons observé les différentes manières d’appréhender la lutte pour la libération de la condition féminine des femmes ottomanes comme autant de témoignages différents. D’autre part, nous avons mis en évidence, les interactions et la solidarité que les femmes féministes ottomanes et européennes ont mis en place, malgré les différences, de race, langue et religion pour leur lutte pour la condition féminine, dans un commun état d’esprit lié aux revendications de leur genre, du 19ème siècle au début du 20ème siècle. / In this manuscript titled « A Transnational Approach to Literatures of Ottoman and French (European) Women Writers of 19th and Early 20th Centuries » works of Ottoman and European women writers gathered around the image of « harem » are explored with a comparative and transnational feminist method. Their work is analyzed in a non-Eurocentric, transnational, multi-cultural and multi- lingual, global and systematic perspective divorced from discourses of male hegemony. The central argument of this manuscript is that there are multiple images for the East and hardly any type of European women’s narrative can serve as a prototype. In this study, narratives piled under the category « harem literature » are evaluated as part of the greater World Literature and arenas for contrasting testmonies of Ottoman Women’s Liberation Movement. Moreover, solidarity and interaction developed among Ottoman and European women are noted who had common gender-related problems next to differences due ethnicity, language and religion, in the 19th and early 20th centuries.
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Au-delà du sens commun : reconsidérer la vulnérabilité de femmes réfugiées en provenance de Syrie détenant la responsabilité principale du soutien de leur famille au Québec et au Liban

Richard, Myriam 12 1900 (has links)
Ce mémoire de maitrise en travail social porte sur les expériences de femmes réfugiées en provenance de Syrie détenant la responsabilité principale du soutien financier et des soins au quotidien de leur famille au Québec/Canada et au Liban. Le questionnement au cœur de cette recherche est issu du constat que les femmes qui assument cette responsabilité en contexte d’exil sont le plus souvent ciblées comme étant d’emblée vulnérables par les instances de gouvernance de la migration forcée, sans que l’on sache toutefois très bien comment elles vivent réellement ces réalités (Freedman, 2017). Bien qu’elle s’avère une des pierres angulaires du système de protection des personnes réfugiées, la vulnérabilité des femmes réfugiées fait rarement l’objet d’une définition en dehors du sens commun l’associant au risque d’être blessée. L’approche féministe transnationale (Mohanty, 2003; Zeweri, 2017; McLaren, 2017) a été mobilisée dans le cadre d’une démarche qualitative de type exploratoire se basant sur 12 entrevues de type récits de vie effectuées avec des femmes réfugiées détenant la responsabilité principale du soutien financier et des soins au quotidien de leur famille (5 au Québec et 7 au Liban). Elle visait d’une part à documenter leurs expériences et d’autre part à reconsidérer la notion de vulnérabilité au-delà du sens commun, en analysant leurs récits à travers le prisme du concept de vulnérabilité ambivalente (Oliviero, 2016). Les résultats de la recherche ont clairement démontré que les femmes rencontrées doivent faire face à de nombreuses formes de violences et de marginalisations, mais qu’elles sont également exposées à des opportunités transformatrices et à des expériences qui s’inscrivent dans la continuité de leurs trajectoires de vie (Oliviero, 2016; Grace, 2018; Zeweri, 2017). L’impact de la migration sur les dynamiques familiales est ressorti comme élément central de leurs préoccupations et fait l’objet d’un article scientifique présentant les résultats de recherche (à soumettre). Les femmes ont mentionné se sentir responsables d’agir pour soutenir et protéger les membres de leur famille et elles-mêmes, induisant ainsi qu’elles doivent, mais aussi qu’elles peuvent faire quelque chose pour faire face aux conditions de la migration forcée. En cela, leurs témoignages s’éloignaient des conceptions victimisantes et de celles qui réduisent leurs expériences à la précarité socioéconomique induites par la notion de vulnérabilité de sens commun. La reconnaissance de la polysémie de leurs expériences gagnerait à être mise au cœur des représentations académiques, médiatiques et politiques des femmes réfugiées, mais aussi du développement de pratiques de protection et d’accompagnement solidaires qui placent au centre le respect de leur humanité et de leur dignité pleines et entières. / This Master’s thesis in Social Work focuses on the experiences of refugee women coming from Syria, who are holding the main financial and caring responsibility of supporting their family in Quebec/Canada and in Lebanon. Women who hold this responsibility in exile are often seen as being de facto vulnerable by organizations that are in charge of the global management of forced migration, although what women experience concretely in these situations remains unclear (Freedman, 2017). Despite being a corner stone of the refugee protection system, vulnerability doesn’t appear to be defined beyond common sense conceptions - to be susceptible to harm. A transnational feminist approach (Mohanty, 2003; Zeweri, 2017; McLaren, 2017) is at the core of the analysis of the “life story” interviews that were conducted with 12 women holding the main responsibility of supporting their family (5 in Quebec, 7 in Lebanon). More specifically, their testimonies were analyzed through the conceptual lens of ambivalent vulnerability (Oliviero, 2016) in order to document their experiences, as well as to reconsider the notion of vulnerability beyond its common sense assumptions. The women who participated in this research were undoubtedly facing various forms of violence and marginalization, but they also turned out to be exposed to a series of transformative opportunities and experiences inscribed in the continuity of their life trajectories (Oliviero, 2016; Grace, 2018; Zeweri, 2017). The impact of forced migration on family dynamics was at the core of their testimonies and was chosen as the main theme used to illustrate the wide spectrum of their experiences through a scientific article (to be submitted). They said they felt responsible to take action to support and to protect their family members and themselves, implying that they don’t only have to do so, but that they also feel like they can also do something to face the conditions of their life in exile. Their testimonies diverged from representations of their vulnerability, focusing mainly on victimization and socio-economic precarity. This research shows that the acknowledgment of the polysemic character of their realities should be put at the core of academic, humanitarian and political representations of refugee women’s experiences. It could thus inform the development of protection and support practices anchored in solidarity, as well as full respect of refugee women’s humanity and dignity.

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