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Histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France (janvier 1905 - avril 1911) / History of the first official grammatical nomenclature in France (January 1905 - April 1911)

Elalouf, Aurélia 08 December 2017 (has links)
L’étude retrace l’histoire de la première nomenclature grammaticale officielle en France, depuis les premiers débats publics sur la nécessité d’une simplification et d’une unification terminologiques (à partir de janvier 1905) jusqu’à la promulgation des trois textes officiels que sont l’arrêté du 25 juillet 1910 (qui fixe la liste des termes grammaticaux dont la connaissance est exigible dans les examens et concours de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire) ainsi que la circulaire du 28 septembre 1910 et la note du 21 mars 1911 (qui précisent la manière dont doit être mis en œuvre l’arrêté). L’étude soulève des enjeux politiques, théoriques et épistémologiques : la simplification et l’unification des nomenclatures grammaticales répond à la volonté de l’État d’améliorer la maitrise de la langue nationale et d’unifier son enseignement sur tout le territoire ; l’élaboration de la nomenclature révèle les problèmes posés par l’analyse des constructions verbales et de la phrase complexe au début du XXe siècle ; la réforme des nomenclatures met en lumière la tension entre un idéal terminologique et la réalité des pratiques. Ces enjeux croisent à tous moments des questionnements d’ordre didactique : sur la place d’un enseignement explicite de la grammaire dans l’enseignement de la langue, sur les relations que les savoirs scolaires entretiennent avec les savoirs savants ou encore sur les limitations imposées par ce qui peut être enseigné. / This study recounts the history of the first official grammatical nomenclature in France, since the first public debates on the necessity of a terminological simplification and unification (from January 1905) to the promulgation of the three official texts that are the decree of the 25th of July 1910 (that fixes the list of the grammatical terms that have to be known in the exams and examinations of both primary and secondary educations) as well as the circular of the 28th of September 1910 and the note of the 21st of March 1911 (that both explain how the decree has to be implemented). The study raises political, theoretical and epistemological issues: the simplification and unification of grammatical nomenclatures encounter the State’s will to improve the command of the national language and to unify education on the entire territory; the elaboration of the nomenclature reveals the problems caused by the analysis of verbal constructions and the complex sentence at the beginning of the 20th century; the reform of the nomenclatures highlights the tension between a terminological ideal and the reality of practices. These issues consistently intersect with didactic questions: on the place of an explicit teaching of grammar in the teaching of language, on the relations that school knowledge has with academic knowledge or furthermore on the limitations imposed by what can be taught.
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Philologie, grammaire historique, histoire de la langue ˸ constructions disciplinaires et savoirs enseignés (1867-1923) / Philology, historical grammar, language history ˸ disciplines in the making and taught content (1867-1923)

Jorge, Muriel 06 December 2018 (has links)
Entre la fin des années 1860 et le milieu des années 1920, la philologie, la grammaire historique et l’histoire de la langue sont introduites dans l’enseignement supérieur français grâce à la création de postes et de chaires dans des établissements nouvellement fondés, comme l’École Pratique des Hautes Études et l’École normale supérieure de jeunes filles de Sèvres, ou profondément rénovés, comme la Faculté des lettres de Paris. La disciplinarisation de ces savoirs linguistiques de type historique participe du rapprochement entre enseignement et recherche et, ainsi, du renouvellement du système universitaire. En atteste la carrière dans les trois institutions citées de Gaston Paris, Arsène Darmesteter et Ferdinand Brunot, retracée à l’aide de correspondances privées et de documents d’archives d’ordre institutionnel. L’analyse de documents publiés par les établissements eux-mêmes (affiches, livrets, comptes rendus d’enseignements, ouvrages commémoratifs) met en évidence les difficultés que rencontrent ces trois enseignants pour s’adapter aux divers publics étudiants et aux préconisations officielles. Leurs notes de cours reflètent un travail de didactisation, qui passe par des pratiques d’écriture diverses dont on identifie les spécificités à l’aide des outils de la génétique textuelle. L’étude approfondie de deux objets de savoir met en lumière l’intérêt de ces notes en tant que sources pour l’histoire des idées linguistiques et de leur enseignement. D’abord, l’histoire de l’orthographe française, bien qu’absente des intitulés des cours, est présente dans les notes de cours. Ensuite, le « latin vulgaire » est un thème porteur d’enjeux idéologiques et épistémologiques majeurs invisibles dans les affichages institutionnels. / Between the late 1860s and the mid-1920s, philology, historical grammar and language history are introduced into the French higher education system with the creation of positions and tenures in newly founded schools, such as the École Pratique des Hautes Études and the girls’ École normale supérieure in Sèvres, and in deeply transformed institutions, like the Paris Faculty of Letters. Making history-oriented linguistic knowledge into disciplines contributed to bring teaching and research closer together and led to the rebirth of the university system. This is illustrated by the careers of Gaston Paris, Arsène Darmesteter and Ferdinand Brunot in these institutions as evidenced by private correspondence and institutional archive material. The analysis of documents published by the establishments (posters, booklets, teaching records, anniversary publications) casts light on the problems these teachers faced when attempting to adapt to various student populations and official guidelines. Their teaching notes reveal content adaptation through diverse writing practices, which we identify and characterize by using text genetics. The in-depth study of two knowledge contents demonstrates the use that can be made of these notes as sources for the history of linguistic thought and its teaching. Firstly with the history of French orthography which is present in teaching notes, although it does not appear in course titles. Secondly with vulgar Latin as a theme that pertains to major ideological and epistemological issues which are invisible in institutional display material.

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