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"Est-ce pas ainsi que je parle ?" : la langue à l'œuvre chez Pey de Garros et Montaigne / “Est-ce pas ainsi que je parle?” : about Pey de Garros and Montaigne’s linguistic imaginary

Couffignal, Gilles Guilhem 29 November 2014 (has links)
En publiant ses Psaumes viratz (1565) et ses Poesias gasconas (1567), Pey de Garros (ca.1525-ca.1583) se fait l’inventeur d’une littérature « gasconne ». Quelques années plus tard, dans ses Essais (1580-1595), Montaigne (1553-1592) intègre la question du « gascon » à sa réflexion générale sur les langues et le langage. Ces deux auteurs, jusqu’à présent, ont été perçus dans deux cadres distincts, l’histoire de la littérature occitane et celle de la littérature française. La notion de « gascon » permet de décloisonner ces deux domaines. Par-delà la différence linguistique, qui oppose une écriture en occitan à une écriture en français, se dessine un imaginaire linguistique « gascon », qui émerge des textes et participe pleinement au sens que prend le discours littéraire. Pour pouvoir décrire cet imaginaire linguistique, une enquête est nécessaire, relevant de la sémantique historique, afin de comprendre ce que peut signifier, dans la seconde moitié du xvie siècle, une « langue » et son emploi littéraire. En découvrant les différents sens que prend le « gascon » pour ces deux auteurs, c’est tout un réseau de représentations, de figures et d’échos obsédants qui se dévoile. Alors que tout semblait les séparer, un imaginaire linguistique similaire relie les œuvres de Garros et de Montaigne, fait de prises de parole assumées et d’interrogations profondes sur les moyens de s’exprimer. Parallèlement, cette analyse en termes d’imaginaire linguistique éclaire la relation que crée l’œuvre avec son lecteur. Le pouvoir d’évocation de l’imaginaire linguistique de l’œuvre dépend de sa rencontre avec l’imaginaire linguistique propre au lecteur. C’est ainsi qu’un point de vue périphérique, par son attention à la question du « gascon », permet, dans un même geste, de lire les Psaumes viratz, les Poesias gasconas et les Essais. / When he published Psaumes viratz (1565) then Poesias gasconas (1567), Pey de Garros (ca.1525-ca.1583) invented the notion of a specifically “Gascon” literature. A few years later, in his Essays (1580-1595), Montaigne (1553-1592) took up the issue of the “Gascon language” in his general reflexion on language and languages. These two authors have hitherto been viewed as part of two different fields: the history of Occitan literature and the history of French literature. The notion of a “Gascon language” helps bridge the gap between these two fields. In spite of the linguistic difference between writing in Occitan and writing in French, a specifically “Gascon” linguistic imaginary emerges out of the texts, and gives literary discourse its full meaning. In order to give flesh to this linguistic imaginary, a study in historical semantics is necessary, so as to understand what a “language” and its literary uses might have meant in the second half of the 16th century. As the various meanings which the “Gascon language” has got for these two authors are examined, the whole network of representations, figures and echos which haunt the texts is uncovered. Although they seemed to have very little in common, the works of Garros and Montaigne are actually linked by a shared linguistic imaginary, consisting in both outspoken claims and deep reflections on means of expression. At the same time, the analysis of the linguistic imaginaries illuminates the relation established by the text with the readers. The power of the linguistic imaginary to elicit a response depends on how it fits in with the readers’ own linguistic imaginaries. This is why a peripheral viewpoint, drawing attention to the issue of the “Gascon language”, makes it possible to read Psaumes viratz, Poesias gasconas and the Essays together.
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Julio Ribeiro na historia das ideias linguisticas no Brasil / Julio Ribeiro dans l'histoire des idées linguistiques au Brésil

De Aquino, José Edicarlos 30 November 2016 (has links)
Cette thèse analyse la place de Júlio Ribeiro dans l'histoire des idées linguistiques au Brésil. Dans le domaine de l'Histoire des idées linguistiques, nous essayons de comprendre comment se construit l'image de Júlio Ribeiro comme auteur fondateur dans l'histoire de l'étude du portugais au Brésil dans trois cas de figure: 1) dans les recherches menées sur l’axe du projet Histoire des idées linguistique au Brésil et dans les mémoires et les thèses qui, à partir de ces recherches, dans ces dernières années ont eu l'auteur comme objet d'étude; 2) dans son propre travail; 3) dans l’œuvre des auteurs postérieurs jusqu'à l'introduction de la Norme grammaticale brésilienne en 1959. Dans ce cadre, nous montrons comment Júlio Ribeiro lui-même se représente dans une histoire brésilienne de réflexion sur le langage et la façon dont il est incorporé ou effacé dans l'horizon de rétrospection de la grammatisation brésilienne. L’analyse d’ensemble de l’œuvre de Júlio Ribeiro nous a permis de cartographier ses premières positions sur l'étude des langues et du langage et de faire connaître et d'analyser en détail les œuvres d'un auteur unique en son genre en son temps et jusqu’alors complètement oublié : Traços Geraes de Linguistica, le premier livre de linguistique produit au Brésil ; et Holmes Brazileiro ou Grammatica da Puericia, l'un des rares exemples de grammaire destinée aux enfants dans le Brésil du XIXe siècle. En outre, nous avons pu observer comment Júlio Ribeiro compose ses textes par l'utilisation d'œuvres de tiers dans les procédures de traduction et d’adaptation, et la réutilisation de ses propres écrits, ainsi que la façon dont l'auteur a rejeté les accusations de plagiat suscitées par ces méthodes de composition de ses textes et en réaction à ses positions théoriques, mais aussi politiques. En approfondissant la connaissance des idées linguistiques en circulation au Brésil depuis la fin du XIXe siècle jusqu’au milieu du XXe siècle, notre étude vise à porter un nouveau regard sur le travail de Júlio Ribeiro comme grammairien adoptant la grammaire historique et comparative, montrant des interprétations peu orthodoxes de l’objet central du comparatisme - le changement linguistique, et à attirer l'attention sur l'existence de tout un mouvement grammatical important au Maranhão, à considérer au-delà de l'axe Rio de Janeiro-São Paulo, montrant par l'analyse de la controverse entre Júlio Ribeiro et le maranhense Augusto Freire da Silva que la grammaire générale a également été un modèle scientifique dans le grammatisation brésilienne du portugais. Par ailleurs, nous défendons que, plus qu’un grammairien, Júlio Ribeiro peut être aussi considéré comme un auteur de linguistique, qui reprend et réinvente les questions de la grammaire historique, et aussi comme un historien des sciences du langage, qui présente des interprétations particulières de l'histoire de la linguistique, en insérant la langue portugaise et les langues indigènes brésiliennes dans les questions générales de la connaissance scientifique sur le langage au XIXe siècle. En fin de compte, nous concluons qu'il existe une contradiction entre un double effacement de Júlio Ribeiro comme référence de l'analyse grammaticale et linguistique et aussi de la plupart de ses œuvres dans l'horizon de rétrospection de la grammatisation brésilienne et un discours historique, soutenu par un petit nombre d’auteurs de la fin du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle, qui le mettent à chaque moment en première place dans l'histoire des études grammaticales et linguistiques au Brésil. / This paper analyzes the place of Júlio Ribeiro in the history of linguistic ideas in Brazil. Situated in the field of History of Linguistic Ideas, we try to understand how the image of Júlio Ribeiro is constructed as a founding author in the history of Portuguese studies in Brazil in three instances: 1) in the research carried out in the axis of the project History of Linguistic Ideas in Brazil and in the dissertations and theses that in recent years have taken the author as object of study; 2) in his own work; 3) in the work of subsequent authors until the establishment of the Brazilian Grammatical Norm in 1959. With this, we show how Júlio Ribeiro himself is represented in a Brazilian history of reflection on language and how he is incorporated or erased in the horizon of retrospection of Brazilian grammatization. The analysis of the whole Júlio Ribeiro's work allowed us not only to map his first positions on the study of languages and language; but also to publicize and analyze in detail works of the author unique in their genre in their time and until now completely forgotten – two of them are: Traços Geraes de Linguistica, the first book of linguistics produced in Brazil, and Holmes Brazileiro ou Grammatica da Puericia, one of the rare examples of grammar directed to childhood in nineteenth-century Brazil. Besides, we have been able to verify how Júlio Ribeiro composes his texts with the use of third-party works in translation and adaptation procedures, and with the reuse of his own writings; as well as how the author countered the accusations of plagiarism aroused by these methods of composition of their texts and in reaction to their theoretical but also political positions. Deepening the knowledge about the linguistic ideas circulating in Brazil at the turn of the 19th century to the 20th century, our work seeks not only to throw a new look at Júlio Ribeiro's work as a grammarian who adopts historical and comparative grammar, pointing to unorthodox interpretations; but also to draw attention to the existence of an important grammatical movement in Maranhão to be considered beyond the Rio de Janeiro-São Paulo axis, for the analysis of the controversy between Júlio Ribeiro and Augusto Freire da Silva (from Maranhão), showing that the general grammar was also a model of scientificity in the Brazilian grammatization process of Portuguese. Furthermore, we argue that, besides being a grammarian, Júlio Ribeiro can also be taken as an author of linguistics, who takes up and innovates the questions of historical grammar, and also as a historian of the language sciences, who presents particular interpretations of the history of Linguistics, inserting the Portuguese language and the Brazilian indigenous languages in the general questions of the scientific knowledge on language in the 19th century. In the end, we could conclude that there is a contradiction between a double erasure of Júlio Ribeiro as a reference for performing grammatical and linguistic analyses and also most of his works in the horizon of retrospection of Brazilian grammatization and a historical discourse, supported by a reduced number of authors of the late 19th and first half of the 20th century, which puts Júlio Ribeiro at all times in the first place in the history of grammatical and linguistic studies in Brazil. / O presente trabalho analisa o lugar de Júlio Ribeiro na história das ideias linguísticas no Brasil. Situados no campo da História das Ideias Linguísticas, procuramos compreender como se constrói a imagem de Júlio Ribeiro como um autor fundador na história dos estudos sobre o português no Brasil em três instâncias: 1) nas pesquisas realizadas no eixo do projeto História das Ideias Linguísticas no Brasil e nas dissertações e teses que nos últimos anos, a partir dessas pesquisas, têm tomado o autor como objeto de estudo; 2) na sua própria obra; 3) na obra de autores posteriores a ele até a instauração da Norma Gramatical Brasileira em 1959. Com isso, mostramos como o próprio Júlio Ribeiro se representa numa história brasileira de reflexão sobre a linguagem e como ele é incorporado ou apagado no horizonte de retrospecção da gramatização brasileira. A análise do conjunto da obra de Júlio Ribeiro nos permitiu mapear as suas primeiras posições sobre o estudo das línguas e da linguagem e dar publicidade e analisar em detalhes obras do autor únicas no seu gênero em sua época e até agora completamente esquecidas, caso dos Traços Geraes de Linguistica, o primeiro livro de linguística produzido no Brasil, e a Holmes Brazileiro ou Grammatica da Puericia, um dos raros exemplares de gramática voltada para a infância no Brasil do século XIX. Além disso, pudemos verificar o modo como Júlio Ribeiro compõe os seus textos com a utilização de obras de terceiros em procedimentos de tradução e adaptação e com a reutilização dos seus próprios escritos, bem como o modo como o autor rebateu as acusações de plágio despertadas por esses métodos de composição de seus textos e em reação a seus posicionamentos teóricos mas também políticos. Aprofundando o conhecimento sobre as ideias linguísticas em circulação no Brasil na virada do século XIX para o século XX, nosso trabalho busca lançar um novo olhar sobre o próprio trabalho de Júlio Ribeiro como um gramático que adota a gramática histórica e comparada, apontando interpretações não ortodoxas quanto ao objeto central do comparatismo, a mudança linguística, e chamar a atenção para a existência de todo um movimento gramatical importante no Maranhão a ser considerado além do eixo Rio de Janeiro-São Paulo, pela análise da polêmica entre Júlio Ribeiro e o maranhense Augusto Freire da Silva, mostrando que a gramática geral também foi modelo de cientificidade na gramatização brasileira do português. Além disso, defendemos que, para além de gramático, Júlio Ribeiro pode ser tomado também como um autor de linguística, que retoma e inova as questões da gramática histórica, e também como um historiador das ciências da linguagem, que apresenta interpretações particulares da história da linguística, inserindo a língua portuguesa e as línguas indígenas brasileiras nas questões gerais do conhecimento científico sobre a linguagem no século XIX. No fim das contas, pudemos concluir haver uma contradição entre um duplo apagamento de Júlio Ribeiro como referência para a realização de análises gramaticais e linguísticas e também da maior parte de suas obras no horizonte de retrospecção da gramatização brasileira e um discurso histórico, sustentado por um número reduzido de autores de finais do século XIX e primeira metade do século XX, que o coloca a cada instante em primeiro lugar na história dos estudos gramaticais e linguísticos no Brasil.
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Philologie, grammaire historique, histoire de la langue ˸ constructions disciplinaires et savoirs enseignés (1867-1923) / Philology, historical grammar, language history ˸ disciplines in the making and taught content (1867-1923)

Jorge, Muriel 06 December 2018 (has links)
Entre la fin des années 1860 et le milieu des années 1920, la philologie, la grammaire historique et l’histoire de la langue sont introduites dans l’enseignement supérieur français grâce à la création de postes et de chaires dans des établissements nouvellement fondés, comme l’École Pratique des Hautes Études et l’École normale supérieure de jeunes filles de Sèvres, ou profondément rénovés, comme la Faculté des lettres de Paris. La disciplinarisation de ces savoirs linguistiques de type historique participe du rapprochement entre enseignement et recherche et, ainsi, du renouvellement du système universitaire. En atteste la carrière dans les trois institutions citées de Gaston Paris, Arsène Darmesteter et Ferdinand Brunot, retracée à l’aide de correspondances privées et de documents d’archives d’ordre institutionnel. L’analyse de documents publiés par les établissements eux-mêmes (affiches, livrets, comptes rendus d’enseignements, ouvrages commémoratifs) met en évidence les difficultés que rencontrent ces trois enseignants pour s’adapter aux divers publics étudiants et aux préconisations officielles. Leurs notes de cours reflètent un travail de didactisation, qui passe par des pratiques d’écriture diverses dont on identifie les spécificités à l’aide des outils de la génétique textuelle. L’étude approfondie de deux objets de savoir met en lumière l’intérêt de ces notes en tant que sources pour l’histoire des idées linguistiques et de leur enseignement. D’abord, l’histoire de l’orthographe française, bien qu’absente des intitulés des cours, est présente dans les notes de cours. Ensuite, le « latin vulgaire » est un thème porteur d’enjeux idéologiques et épistémologiques majeurs invisibles dans les affichages institutionnels. / Between the late 1860s and the mid-1920s, philology, historical grammar and language history are introduced into the French higher education system with the creation of positions and tenures in newly founded schools, such as the École Pratique des Hautes Études and the girls’ École normale supérieure in Sèvres, and in deeply transformed institutions, like the Paris Faculty of Letters. Making history-oriented linguistic knowledge into disciplines contributed to bring teaching and research closer together and led to the rebirth of the university system. This is illustrated by the careers of Gaston Paris, Arsène Darmesteter and Ferdinand Brunot in these institutions as evidenced by private correspondence and institutional archive material. The analysis of documents published by the establishments (posters, booklets, teaching records, anniversary publications) casts light on the problems these teachers faced when attempting to adapt to various student populations and official guidelines. Their teaching notes reveal content adaptation through diverse writing practices, which we identify and characterize by using text genetics. The in-depth study of two knowledge contents demonstrates the use that can be made of these notes as sources for the history of linguistic thought and its teaching. Firstly with the history of French orthography which is present in teaching notes, although it does not appear in course titles. Secondly with vulgar Latin as a theme that pertains to major ideological and epistemological issues which are invisible in institutional display material.
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Le participe dans les grammaires des langues romanes (XVe-XVIIIe siècles). Histoire comparée d'une classe grammaticale / The participle in the Romance Languages' grammars (15th-18th centuries). A compared history of a grammar category / El participio en las gramáticas de las lenguas románicas (siglos XV-XVIII). Historia comparada de una clase gramatical

Diaz Villalba, Alejandro 13 September 2017 (has links)
L’étude présente l’histoire de la classe du participe à travers un corpus de grammaires del’espagnol, du français, de l’italien et du portugais parues entre le XVe et le XVIIIe siècle.La démarche comparative s’appuie sur le principe méthodologique de la mise en série d’une centaine d’ouvrages regroupés et confrontés selon des paramètres variables : la chronologie, le thème ou la tradition grammaticale de la langue-objet.La première partie aborde la question de la catégorisation en linguistique et s’interroge sur la nature des formes non finies du verbe, tout particulièrement du participe et de son emploi dans les formes verbales analytiques. La deuxième partie traite de l’histoire du participe sous un angle général. Ainsi, après avoir donné un aperçu des aspects problématiques qui intéressent les grammairiens grecs et latins, l’analyse se centre sur le traitement de la classe dans les grammaires des langues romanes. La troisième partie s’attache à étudier les approches et les concepts dont se servent les grammairiens de la Renaissance pour traiter les temps composés ainsi que la façon dont ils décrivent et (re)catégorisent les formes participiales de ces temps verbaux. / The study investigates the history of the word-class of participle through a close study of a corpus of French, Spanish, Portuguese and Italian grammars which were published between the 15th and 18th centuries. The comparative approach is based on the methodological principle of “series of texts”, by grouping and collating a hundred works according to several variable parameters: the chronology, the theme or the grammatical tradition of the language in question.The first part of the study deals with the linguistic categorization and questions the nature of the non-finite verbal forms, especially the participle and its use in an analytical verbal form. The second part deals with the history of the participle from a more general point of view. Thus, after an overview of the problematic aspects of Greek and Latin grammarians, the analysis focuses on the treatment of the word-class in the grammars of the Romance languages. The third part focuses on the approaches and concepts used by the Renaissance grammarians to deal with compound tenses and on how they described and (re)-categorized the participle forms of these verbal tenses. / El estudio presenta la historia de la clase del participio a través de un corpus de gramáticas de español, francés, italiano y portugués publicadas entre los siglos XV y XVIII. El enfoque comparativo se basa en el principio metodológico de la constitución de series textuales, que nos permite agrupar y cotejar un centenar de textos en función de parámetros variables: la cronología, el tema o la tradición gramatical de la lengua objeto.La primera parte aborda el asunto de la categorización en lingüística e indaga la naturaleza de las formas no finitas del verbo, especialmente la del participio y su utilización en las formas analíticas del verbo. La segunda parte propone una aproximacióna la historia del participio desde una perspectiva más general. Así pues, tras una cala en los aspectos problemáticos relacionados con el participio tratados por los gramáticos griegos y latinos, el análisis se centra en el tratamiento de la clase en las gramáticas de las lenguas romances. La tercera parte investiga sobre los enfoques y los conceptos que emplean los gramáticos del Renacimiento para tratar los tiempos compuestos, y sobre el modo en que describen y (re)categorizan las formas participiales de esos tiempos verbales.

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