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Du magasin au poste-frontière dans l’Égypte ancienne : étude lexicographique du vocable khetem / From storehouse to border post in Ancient Egypt : lexicographical study of the word khetem

Somaglino, Claire 26 June 2010 (has links)
Le vocable khetem étudié dans cette thèse est attesté en Égypte ancienne de la Première Période Intermédiaire à l’époque romaine. C’est cependant au Nouvel Empire que son utilisation est la plus fréquente. Dérivé de la racine khetem, « sceller », ce terme peut désigner à la fois « ce qui est scellé » et « ce qui scelle ». Il est appliqué à diverses réalités. Au Moyen Empire, khetem désigne ainsi un type de magasin. À partir du Nouvel Empire, plusieurs sens lui correspondent : il peut occasionnellement, dans des documents littéraires, désigner des portes de ville ou des enclos – un sens que l’on retrouve d’ailleurs aux périodes suivantes – ; mais le terme est surtout choisi pour désigner les postes-frontières du pays, ainsi que le centre administratif et poste de contrôle du village de Deir el-Médineh. Les postes-frontières khetemou, dont les plus connus sont ceux de Tjarou, Ouadjour, Tjékou et Senmout, marquent les frontières restreintes de l’Égypte, et contrôlent les entrées et sorties du territoire. Ils constituent également des villes-magasins, par lesquelles transitaient le tribut et assumaient peut-être même le rôle de postes de douane. L’analyse, fondée essentiellement sur les sources textuelles, prend également en considération les données archéologiques et géomorphologiques. Centrée autour des structures khetemou, cette étude nous a cependant amenée à aborder la thématique plus large de l’organisation de l’espace par le pouvoir égyptien. Les domaines de la politique étrangère, de l’économie, de l’administration sont donc largement mis à contribution. / The word khetem which is the main object of this dissertation is attested in ancient Egypt from theFirst Intermediary Period to Roman times. It was nevertheless most used during the New Kingdom.Derived from the khetem-root, which means « to seal », this word could be used to depict both whatwas sealed and the device which assured the actual sealing. It testifies to various realities. In theMiddle Kingdom, khetem was a certain type of storerooms. From the New Kingdom on, severalmeanings can be found: occasionally, in literary documents, it was used for the gates of a city or forenclosures – the latter meaning is still found in more recent periods. Nevertheless, the word wasmostly used for the border-posts of the Egyptian State as well as the administrative hall and checkpoint of the village of Deir el-Medineh. As for the border-posts khetemou, the best known ones areTjaru, Wadj-wr, Tjeku and Senmut as they stand for the inner borders of Egypt, where in- and outcomerswere checked. These settlements are also warehouse-cities, through which went the tributefrom foreign countries and operated as customs. The methods of analysis used here are grounded inthe textual sources, along with the archeological and geomorphological data. Focused on thestructures called khetemou, this thesis also consider the wider problem of the organisation of space bythe Egyptian state. Thus foreign policy, economics and administration have been widely taken intoconsideration.
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Tell Heboua I et II. Enquête archéologique sur deux sites de la frontière orientale de l’Égypte à l’époque saïte / Tell Heboua I and II. Archaeological study of two sites on the eastern border of Egypt during Saite period

Abd el-Alim, Elsayed 19 February 2019 (has links)
Les sites de Tell Heboua I et II se trouvent à l’extrémité orientale du Delta égyptien, au nord-ouest de la péninsule du Sinaï. Cette étude est l’aboutissement de fouilles menées sur les deux sites. À Tell Heboua I, les vestiges d'un complexe religieux construit principalement en briques crues date de la période saïte (XXVIe dynastie : 672-525 av. J.-C.) ; le site de Tell Heboua II comprend une vaste forteresse et une zone d'habitation ce la même période. Les deux sites comportaient également plusieurs aires funéraires. Le présent travail inclut une étude analytique et comparative des différents matériaux employés, ainsi que du mobilier archéologique et céramique. La plupart de ces constructions trouvent des parallèles en Égypte à la même période, notamment dans le Delta, en raison du développement du pays sous les règnes des pharaons saïtes, qui se sont engagés dans un important programme architectural à travers presque toute la région deltaïque. Ces travaux constituent un apport majeur pour l’histoire de l’entrée orientale de l’Égypte à une période où celle-ci prend une importance particulière en raison des relations que le pays entretient avec ses voisins. / The sites of Tell Hebua I and II are located at the eastern end of the Egyptian Delta, north-west of the Sinai Peninsula. This study is the achievement of excavations conducted on the two sites. On Tell Hebua I, the remains of a religious complex, built mainly in mud-brick date from the Saite period (26th Dynasty : 672-525 B.C.) ; the site of Tell Hebua II includes a wide fortress and a residential area. The two sites have also revealed some scattered cemeteries. This thesis includes an analytical and comparative study of different building materials found during the excavations, as well as ceramics and various objects. Most of these structures have contemporaneous parallels especially in the Delta, because of the country development under the reigns of the Saite pharaohs, who made a commitment in a program of important construction through almost the entire deltaic region. The highlighting of new architectural elements on Tell Hebua I and II, dating from the Saite period, is a major contribution to the history of the eastern border of Egypt at a time when it had a particular importance due to the country's relations with its neighbours.
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Luxembourg, de l'historicisme au modernisme, de la ville forteresse à la capitale nationale

Philippart, Robert Léon 29 June 2006 (has links)
L'historiographie a étudié l'ancienne forteresse de Luxembourg, son démantèlement, l'urbanisation des anciens domaines militaires et la construction de la ville suivant les points de vue de l'ingénieur, de l'amateur d'histoire militaire, ou encore de l'historien d'art. La particularité de cette thèse consiste à étudier, à partir des comportements types des promoteurs (Gouvernement, commune, communautés religieuses, société civile) le pourquoi et le comment des choix opérés sur le plan de l'urbanisation, de la construction et de l'architecture historiciste de la ville au cours de la période 1859 (arrivée du chemin de fer) à 1920 (fusion avec les communes périphériques). Sources écrites, sources monumentales et photographiques se sont complétées pour délivrer les valeurs sociologiques, économiques et philosophiques qui ont guidé les « bâtisseurs » de cette ville, appelée à s'inventer une nouvelle identité suite au départ de la garnison prussienne au lendemain du Traité de Londres de 1867. Depuis 963, la ville de Luxembourg occupe un site accidenté, au centre de deux cultures différentes, latine et germanique. Sa situation stratégique et militaire, est constamment convoitée par la politique de ces trois voisins. Tout en étant la capitale d'un Etat indépendant depuis 1839, elle fait partie de l'espace économique allemand avec lequel le Grand-Duché a signé les accords douaniers. Alors qu'en 1867/68 les projets de création d'une université catholique échouent, que la topographie du site ne permet pas de raccordement direct au réseau ferroviaire, les autorités nationales devenues propriétaires des anciens domaines militaires, décident de convertir la ville en marché national et international, en la reliant par de larges percées aux marchés que présentent ses pays voisins. L'urbanisation épouse les cycles économiques, lâchant tour à tour les terrains au moment où le marché est prêt. En s'adjoignant Edouard André comme expert, l'Etat, s'inspire des expériences des capitales étrangères, notamment de Paris. Le Gouvernement est l'agent immobilier exclusif, maîtrisant, à ses propres fins, les pouvoirs législatif et exécutif. Les travaux d'urbanisme, faisant usage des nouvelles technologies, créent un paysage tout à fait artificiel répondant aux exigences d'hygiène. Les embellissements et services culturels et de loisirs implantés dans les nouveaux lotissements sont destinés à attirer une clientèle qui devait sa prospérité aux sociétés anonymes nouvellement créées. La taxe d'octroi servira jusqu'au terme de l'urbanisation des anciens domaines militaires, à bannir l'industrie du centre destiné à accueillir les services nobles et à rendement économique élevé. Celle-ci tout comme les communautés religieuses fuyant le « Kulturkampf » ou profitant de la proximité de la gare s'établissent en périphérie, qui de plus en plus attire à son tour les milieux populaires. Cette ségrégation sociale se reflète également au niveau de l'architecture. L'Etat arrête les valeurs qui définissent le citoyen: être instruit, appliqué et mobile. Celui qui les affiche sur ses façades ou sa tombe, fait partie des couches sociales bourgeoises qui détiennent le pouvoir. La monarchie protège l'Etat qui garantit le cadre légal à la prospérité. Il détient sa légitimité d'une présumée indépendance vécue au Moyen Age et retrouvée après le départ de la garnison prussienne. Le programme architectural de la révolution industrielle consomme des superficies élevées à organiser de façon rationnelle. Les études d'architecture exclusivement faits à l'étranger, les voyages d'études et la presse spécialisée permettent aux architectes de répondre aux nouveaux besoins. Vu l'ouverture sur les deux mondes culturels, l'architecture à Luxembourg revêtait un caractère résolument international. La recherche d'une fonctionnalité optimale et d'un prix minimal de construction ouvre la porte aux nouveaux matériaux. Le clivage entre l'architecture traditionnelle, axée sur l'esthétisme et l'artisanat, et une architecture moderne, fixée sur le rendement, la fonction et la technique est parfait.En conciliant ces vues, l'historicisme s'est voulu le fondement de l'architecture moderne. Le décor historisant, ni ne visualisant de façon satisfaisante, ni ne servant la fonction, devient progressivement superflu. L'égalité des citoyens prônée par la société post-révolutionnaire entraîne une rivalité entre les couches sociales et les mondes philosophiques. Le siège d'une société commerciale ou l'hôtel particulier rivalise avec le palais grand-ducal ou l'hôtel des Postes, le pensionnat religieux ou le projet d'une cathédrale. La nécropole du XIXe siècle, par ses monuments, devient le reflet de cette société.
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Threads across the Atlantic : tracing the European origins of eighteenth-century imported cloth in New France using lead seal evidence from three French colonial sites

Davis, Cathrine 20 December 2018 (has links)
Les sceaux de plomb sont des artefacts relativement inconnus mais très importants comme sources d’information sur les textiles et leur consommation aux XVIIe et XVIIIe siècles. Ces étiquettes en plomb souvent attachées aux textiles ont servi comme indicateurs de qualité, de possession et de paiement des impôts sur ces textiles et autres biens commerciaux. Trouvés sur plusieurs sites archéologiques en Amérique du Nord, ces sceaux sont des indicateurs des origines éuropéennes des textiles ainsi que des réseaux marchands nécessaires pour les transporter vers la Nouvelle-France, un espace colonial fort dépendant de la métropole. Cette étude vise à découvrir de nouveaux détails sur les formes de consommation textile uniques de trois sites différents par leur localisation, leurs fonctions et leur population en utilisant les sceaux de plomb qui s’y trouvent. Les sceaux de trois sites français de l’époque coloniale seront examinés; le fort Saint-Joseph (Niles, MI), fort Ticonderoga (à Ticonderoga, NY, aussi connu sur le nom de fort Carillon) et la forteresse de Louisbourg (Louisbourg, NÉ). / Lead seals are relatively unknown artifacts, but are important as sources of information concerning textiles and their consumption in the seventeeth and eighteenth centuries. These lead tags were often attached to textiles and were proof of quality, ownership, and payment of taxes on textiles and other commercial goods. Found at many archaeological sites in North America, these seals are indicators of the European origins of imported textiles as well as merchant networks needed in order to transport them to New France, a colonial territory that was very dependent on the metropole. This study aims to discover new details concerning the unique consumption patterns present as three sites with different functions, locations, and populations, using the lead seals found at these sites. Seals from three French sites from the colonial period will be examined; Fort St. Joseph (Niles, MI), Fort Ticonderoga (Ticonderoga, NY, also known as Fort Carillon), and Fortress Louisbourg (Louisbourg, NS).

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