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Ermeneutica e semiotica in archeologia : per una nuova interpretazione culturale della ceramica vascolare nell’Egitto greco-romano. / Herméneutique et sémiotique dans l’archéologie : pour une nouvelle interprétation culturelle de la céramique des vases dans l’Égypte gréco-romain / Hermeneutics and Semiotics in Archaeology : a new cultural interpretation of ceramics in Greco-Roman Egypt

Caputo, Clementina 30 July 2014 (has links)
Cette recherche de doctorat concerne l’étude des fragments céramiques utilisés comme supports pour l’écriture dans l'Égypte gréco-romaine, c'est-à-dire les ostraca. Les deux groupes d'ostraca, objet de cette analyse, proviennent des fouilles archéologiques modernes effectuées dans deux sites qui se trouvent dans le désert occidental égyptien : Dime es-Seba/Soknopaiou Nesos (Fayoum) et Amheida/Trimithis (Dakhla). Le deux sites sont respectivement fouillés par la Mission archéologique du Centro di Studi Papirologici dell'Universita del Salento-Lecce (2003-2012) et de l’Université de New York -ISAW (2004-2013). Les aspects liés à la matérialité des ostraca (des fragments de récipients en céramique utilisés généralement pour écrire des textes en grec et démotique) ont été complètement ignorés par le passé en faveur de l’étude du texte. La raison principale de cette négligence est liée à la qualité médiocre du matériel céramique, considéré sans valeur. Par ailleurs, les études de céramologie en Égypte ainsi que l’étude des circuits économiques dans lesquels la poterie était utilisée sont très récents. En outre, il est communément admis que les scribes ramassait les fragments de céramique au hasard dans des dépotoirs et que n’y avait pas de sélection dans le choix des supports. Notre recherche démontre que ce concept est une fausse supposition, au moins pour ce qui concerne les deux groupes d'ostraca examinés. En revanche, il est clair que les scribes faisaient un choix sélectif des tessons selon leurs besoins et que, dans certains cas, il y avait une fragmentation ultérieure des morceaux. Rien a été laissé au hasard: le contenu des textes était strictement adapté à la nature de tessons utilisés comme support. De plus, la classification de la céramique des deux sites a été un point essentiel pour mettre en rapport la culture matérielle et l’organisation de la société égyptienne qui l’a produite entre le IIIe siècle av. J.-C. et le IVe siècle apr. J.-C. / This doctoral dissertation focuses on the study of the pottery sherds that were used as writing surfaces for painted texts in Greco-Roman Egypt, called ostraka. Two groups of ostraka found in two modern excavations, Dime es-Seba/Soknopaiou Nesos (Fayyum), and Amheida/Trimithis (Dakhla Oasis) are the main subjects of the investigation. The two archaeological sites are under excavation by, respectively, the Centro di Studi Papirologici dell’Università del Salento-Lecce (2003-2012), and New York University-ISAW (2004-2013).Both settlements are located in the Western Desert of Egypt, in areas far from the Nile Valley and the main centers of power. The ostraka, which are re-used broken fragments of ceramic vessels with texts in Greek and Demotic, have been in the past seldom considered as archaeological objects because of the predominant importance of their texts. The material part of the ostraka being made from pottery vessels generally unrefined and of poor quality, have deterred most scholars from studying them accurately. Moreover, ceramological studies in Egypt and the interest towards the economy of the pottery manufacture and re-use are very recent. Finally, it is commonly believed that scribes collected the ceramic fragments to be used as ostraka randomly from open-air dumps. This research proved that this concept has to be considered as a wrong assumption, at least for the two groups of ostraka examined. On the contrary, it is very clear that the ancient scribes made a proper selection of the sherds they needed for specific purposes and that in some cases they reworked the sherds. It seems clear that nothing was left to the chance: the content of the texts and their use is strictly related to the kind of potsherds used to hold it. Additionally, the study of the ceramic types used in both settlements, analyzed as signifiers of the cultural environments for which they were produced, has shed light to the complex society of Egypt between the third century BCE and the fourth century CE.
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Les installations périurbaines de la Berytus romaine : le cas du site MDWR 2 (Mdawar/Beyrouth) / Peri-urban structures of the Roman Berytus : the case of site MDWR 2 (Mdawar/Beirut)

El-Haibé, Georges 19 April 2018 (has links)
Cette thèse présente les résultats d’une fouille archéologique préventive menée sur un site de la région périurbaine est de la ville antique de Beyrouth. Leur étude approfondie montre des changements dans la fonction d’utilisation de cet espace, toujours lié directement à la ville. Son urbanisme s’est développé sur les bords des prolongations des axes urbains. Il n’a été bien planifié qu’à partir du Ier s. apr. J.-C. durant sa transformation en un espace funéraire. Sa division par des limites de terrains servait probablement aux colons nouvellement installés pour leurs activités agricoles, économiques, artisanales, etc. L’installation de constructions monumentales dans ce secteur périurbain n’a commencé qu’à la fin du IIe s. apr. J.-C. C’est ainsi qu’un sanctuaire du culte héliopolitain a été construit dans la plaine côtière, entre les deux voies menant à la ville, au point le plus proche de la mer et sur une falaise. Sa destruction est confirmée durant le IVe s. apr. J.-C.,soit à cause du tremblement de terre du 348/349 apr. J.-C. soit à la suite de la christianisation de la région. Ensuite, ce secteur a abrité plusieurs grandes résidences qui ont été détruites, soit par le tremblement de terre du 551, soit ultérieurement. Vers le début de la période médiévale, l’espace périurbain est a été abandonné pour la récupération des pierres des anciens monuments. Son occupation par des bâtiments ne reprend qu’à la période ottomane. / This thesis presents the results of the archaeological rescue excavation of a site situated in the periurban area of the ancient city of Beirut. The study findings reveal chronological changes in the use of the space, that are consistently linked to developments associated with the growth of the city. The site developed along the extensions of the urban axes, but was fully elaborated in the 1st century A.D. with its transformation into a burial ground. Divided by territory limits, the new colonists then most likely used this location for their economical, agricultural, and artisanal activities. The installation of monumental constructions in this peri-urban area began at the end of the 2nd century A.D. A sanctuary pertaining to the Heliopolitan cult was thus built on the plain between the two roads leading to the city, on the “Ras Mdawar” cliff at the nearest point to thesea. Its destruction is dated to the 4th century A.D., either as a consequence of the earthquake of 348/349 AD or as a result of the Christianization of the region. Several large villas were later built in this area and destroyed either by the earthquake of 551 AD or at a later period. With the start of the medieval era, the peri-urban space was abandoned and exploited for the recuperation of stones from the ancient monuments. It remained unoccupied until the Ottoman period.

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