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Aux abords de la sépulture méroïtique: les approches du monument funéraire à l'époque méroïtique

Quertinmont, Arnaud 10 January 2012 (has links)
Bien que la littérature scientifique relative aux nécropoles méroïtiques, royales ou privées, soit assez abondante, force est d’admettre qu’aucune étude globale concernant le mobilier associé au monument funéraire méroïtique bâti n’a jamais été effectuée. Ce matériel considérable n’a, en effet, été traité que sommairement dans les diverses publications, que ce soit dans le cadre général de monographies relatives à un site en particulier ou d’une façon éclectique dans des ouvrages de synthèse, des articles transversaux ou autres catalogues d’expositions temporaires.<p><p>Le but du présent travail n’est pas d’opérer un recensement de tous les objets liés aux superstructures connus à ce jour, ni même de dresser une carte des traditions funéraires méroïtiques au Soudan, de nombreux travaux inédits étant toujours en cours sur plusieurs sites archéologiques, mais bien de réunir les informations disponibles sur le mobilier archéologique relatif à ces structures spécifiques. Par le biais d’une approche méthodologique multiple (archéologique, architecturale, chronologique, stylistique, typologique et religieuse) et au moyen de la restitution des objets dans leur contexte physique, nous tenterons de reconstituer une gestuelle particulière, de même que de déterminer une évolution de ces pratiques et préciser ainsi la symbolique liée aux objets concernés. Nous chercherons à comprendre quels furent les actes et les démarches pratiqués par les acteurs de la cérémonie funéraire, membres de la famille et prêtres, visant à célébrer le souvenir du défunt dans la mémoire collective. En effet, il ne faudrait pas offrir une vision réductrice du complexe funéraire et des différents rites pratiqués, comme s'il ne s'adressait qu’au défunt. Ces différents actes et gestes sont également destinés aux vivants, en modifiant les relations qu’ils entretiennent avec le disparu, changeant ainsi son statut dans le maillage social de la société. Les différentes actions réalisées dès le scellement de la chambre funéraire sont autant d’indices sur la façon dont les Méroïtes accomplissaient leur deuil. <p><p>Il conviendra tout d’abord de s’intéresser aux traditions royales et de déterminer ensuite quand et de quelle façon ces traditions ont été adoptées par les élites de l’empire de Méroé, tant au niveau de la capitale que dans le reste de l’empire.<p><p>Un dépouillement des archives de fouilles, notamment celles de G.A. REISNER, nous a permis de découvrir des photographies inédites de certaines étapes de la fouille révélant ainsi des informations de première importance quant à l’emplacement originel de certains objets, ou illustrant d’autres objets qui ne figuraient dans aucune publication parce que jugés sans réelle importance à l’époque. La présente étude, dont de nombreuses approches sont inédites, permet d’établir un état de la question, de conforter certaines idées précédemment avancées dans la littérature scientifique et pose à nouveau la question de « l’égyptianisation » des élites de Méroé et de la perception de la civilisation égyptienne qu’en ont les cultures limitrophes et ce, dans les différentes couches sociales.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier / Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret I

Lorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais.<p>Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain.<p><p>La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon.<p>La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres.<p>La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi.<p><p>Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Dis au potier qu'il me fasse un kôtôn: archéologie et céramique de l'Antiquité tardive à nos jours dans la TT29 à Cheikh Abd el-Gourna, Egypte

Bavay, Laurent 12 February 2008 (has links)
Depuis 1999, le Centre de recherches archéologiques de l'Université libre de Bruxelles a entrepris l'étude de la tombe thébaine numéro 29 à Cheikh Abd el-Gourna, construite pour le vizir et maire de la ville Aménémopé sous le règne d'Amenhotep II (vers 1425-1401 av. J.-C.). La fouille du monument, sous la direction du Professeur Roland Tefnin, a été menée suivant deux axes de recherches. Le premier, dans une perspective synchronique, visait à étudier les aménagements et le fonctionnement d'origine de la tombe, sous la 18e dynastie. Le second, dans une perspective diachronique, visait à reconstituer l'histoire du monument et de ses occupations successives jusqu'à l'intervention de la mission. La thèse porte sur les résultats de cette seconde approche, et plus particulièrement sur l'analyse des occupations de l'antiquité tardive et post-antiques. Celles-ci se distinguent par une affectation de l'espace différente de sa fonction d'origine :la tombe n'est plus utilisée comme lieu de sépulture et de culte funéraire mais comme habitation. La fouille a ainsi livré les vestiges d'une installation érémitique datée des VIIe et VIIIe siècles de notre ère, associés à un matériel archéologique et épigraphique particulièrement abondant, ainsi que les ruines d'une maison villageoise construite durant la seconde moitié du XIXe siècle. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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