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1

Les guerres d'Amosis, fondateur de la XVIIIe dynastie

Vandersleyen, Claude January 1969 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The sea peoples and annales: a contextual study of the Late Bronze Age

Krüger, Daniel Jacobus 30 November 2004 (has links)
No abstract available / Biblical and Ancient Studies / M. A. (Biblical Archaeology)
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The sea peoples and annales: a contextual study of the Late Bronze Age

Krüger, Daniel Jacobus 30 November 2004 (has links)
No abstract available / Biblical and Ancient Studies / M. A. (Biblical Archaeology)
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Decoding ancient Egyptian diadems: symbolism and iconography as a means of interpreting feminine identity

Harris, Stephanie Joan 02 1900 (has links)
Text in English / Ancient Egyptian distinctive headdresses made from precious or semi-precious materials date to prehistoric times, indicating a growing sense of individuality and hierarchy. Women’s headdresses were indicators of rulership, divinity, social status, cultic affiliation and wealth. Visual evidence indicates that female identity was emphasised by external and outward appearance and headdresses in the form of diadems followed recognised stylistic dictates throughout the Dynastic Period. The floral and faunal motifs used in the embellishment were believed to have protective amuletic and magical powers. Although a considerable amount of investigation has been undertaken into the use of materials and techniques used in the manufacture of diadems, the incorporation of symbolism and iconography of these gendered artefacts as a means of interpreting visual messages and self-expression has largely been unexplored. The study has been limited to well-provenanced, extant Old, Middle and New Kingdom diadems housed in various museums worldwide. / Old Testament and Ancient Near Eastern Studies / M.A. (Ancient Near Eastern Studies)
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Images du pouvoir en Egypte à la fin du Moyen Empire et à la Deuxième Période Intermédiaire / Images of Power in Egypt during the Late Middle Kingdom and the Second Intermediate Period

Connor, Simon 11 April 2014 (has links)
L’objet de cette thèse est la représentation en ronde-bosse des souverains et particuliers du Moyen Empire tardif et de la Deuxième Période Intermédiaire (mi-XIIe à fin-XVIIe dynastie, 1850-1550 av. J.-C). Ces trois siècles forment un ensemble cohérent du point de vue du système politique, très bureaucratique, du point de vue de la culture matérielle (pratiques funéraires, production de stèles et de statues) et de celui des sources textuelles. L’intérêt du choix de cette période réside dans l’abondance du répertoire conservé, qui permet de mener des analyses approfondies et de procéder à des comparaisons précises entre l’image du roi et celle des particuliers de différents niveaux sociaux. Cette période est également suffisamment longue pour permettre d’établir une évolution des tendances observées. La particularité de cette thèse est de considérer la statuaire royale et privée comme un ensemble. L’objectif consiste à renouveler la grille d’analyse d’une des productions majeures de la société égyptienne. <p>1480 pièces figurent au catalogue, dont beaucoup sont inédites :330 statues royales et 1150 statues privées. Ce répertoire a été constitué sur base des publications (catalogues de musées, d’expositions, de vente, rapports de fouilles) et à partir de l’examen personnel des pièces conservées dans 65 musées à travers l’Europe, les États-Unis, l’Égypte et le Soudan, dans des collections privées, ainsi que sur les sites archéologiques. Ce vaste catalogue permet de dresser un panorama aussi complet que possible de la statuaire de l’époque envisagée. <p>La statuaire est un moyen pour l’Égyptien de l’Antiquité, grâce à la nature performative de l’art, de matérialiser sa présence dans les sanctuaires, de se trouver face aux divinités, de leur faire don d’offrandes en échange de leurs bienfaits, de rendre hommage à des prédécesseurs. C’est aussi une façon d’exprimer un message par le choix du matériau, du type statuaire, d’une physionomie et d’un emplacement dans un temple, une chapelle ou une tombe. C’est ce discours que pouvaient lire les contemporains du titulaire de la statue et qu’il appartient au chercheur de démêler. Je me suis employé à définir qui étaient les destinataires des statues, quelle était la clientèle concernée, à quel endroit on plaçait ces statues (régions, contextes architecturaux, programmes iconographiques), quel était le sens et la fonction que pouvaient avoir la forme d’une statue, ses dimensions, la position et la gestuelle du personnage représenté. J’ai examiné les différents matériaux utilisés, les raisons de leur choix, leurs significations particulières, les ateliers auxquels ils étaient associés. J’ai établi le rapport entre la physionomie du souverain et celle des particuliers, ainsi que le développement stylistique de la statuaire au cours des trois siècles envisagés, et tenté d’interpréter les différents critères de cette évolution. En bref, j’ai cherché à définir le rôle et l’usage d’une statue, le but de son acquisition et de son installation, le message qu’elle véhiculait.<p>Les statues du souverain traduisent une volonté d’être présent partout, dans les divers temples et sanctuaires, de regarder et d’être vu, de rester présent au-delà de la mort, à la fois dans le monde des dieux, et sur terre, parmi les hommes. Elles servent aussi de réceptacle au culte du souverain dès son vivant et remplissent le rôle d’intercesseurs entre les hommes et les dieux. Enfin, elles commémorent le passage d’expéditions sur les sites éloignés et sacrés. <p>Le message inhérent à la statuaire privée est différent. Les particuliers ne sont pas quant à eux d’essence divine et n’incarnent pas la maîtrise du monde dans la personne d’un être surhumain. Les dignitaires sont des individus et représentés comme tels, à la différence le roi, qui est roi avant d’être un homme. La statuaire privée exprime, par le pouvoir de l’image, du costume, de la nature de la pierre, le rang privilégié d’un humain parmi ses semblables, le désir d’afficher un haut statut et une proximité avec le souverain. Le personnage représenté par une statue acquiert le moyen d’être intégré dans le temple, de jouir du culte et des offrandes. Par le moyen des titres étalés dans les inscriptions de la statue, par le choix de matériaux prestigieux et par le recours aux ateliers royaux, qui leur fournissent des statues dont la physionomie est en tout point similaire à celle du souverain, les hauts dignitaires manifestent leur allégeance au pouvoir et leur proximité avec le souverain. <p>Quant aux membres des niveaux plus modestes de l’élite, ils cherchent à exprimer un rang élevé par mimétisme vis-à-vis de ces hauts dignitaires, en adoptant les mêmes types statuaires, costumes et perruques, et, quand ils n’ont pas les moyens d’acquérir une statue dans un matériau prestigieux, en employant des roches qui peuvent en gagner l’aspect. Ces images ne reflètent pas la fonction précise des individus qu’elles représentent ;elles ont en revanche le pouvoir d’exprimer un statut, réel ou non, et accordent dans l’au-delà un rang privilégié à leurs titulaires, en servant d’intermédiaires entre les mondes humain et divin. <p>Ce travail permet d’apporter plusieurs voies de réflexion, à la fois sur l’époque envisagée et sur le domaine de la production sculpturale égyptienne en général. Cette étude ne cherche pas seulement à exploiter un large corpus de statues, mais à formuler un ensemble de questions pour obtenir une meilleure et plus vaste compréhension de tous les facteurs impliqués dans la production et l’usage de la statuaire, ainsi que des implications sociales qui y sont attachées. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Etude des contextes historiques et architecturaux de la statuaire royale de Sésostris Ier / Study of the historical and architectural contexts of the royal statuary of Senwosret I

Lorand, David 24 March 2010 (has links)
Kheperkarê Sésostris Ier est le deuxième souverain de la 12ème dynastie (vers 1958 – 1913 avant notre ère). Son règne, globalement bien documenté, a vu la (re)construction de plusieurs des principaux sanctuaires divins d’Égypte, dont ceux d’Amon-Rê à Karnak et d’Atoum à Héliopolis, et est à l’origine d’œuvres littéraires de première importance – certaines étant par ailleurs analysées en tant que pièces de propagande en faveur du roi après l’assassinat de son père, le pharaon Amenemhat Ier. Enfin, cette période est marquée par de nombreuses expéditions, militaires ou non, à destination de la Nubie ou des gisements de pierre et de minerais.<p>Si la bibliographie relative à Sésostris Ier est loin d’être négligeable, tant en qualité qu’en quantité, force est de constater que certains aspects de son règne ont été négligés dans les études précédentes, non sans influencer notre perception de celui-ci et tout particulièrement notre connaissance de la chronologie et des différentes réalisations statuaires du souverain.<p><p>La première partie de la présente thèse de doctorat ambitionne donc de préciser l’historique du règne de Sésostris Ier dans une perspective diachronique, et met en œuvre des ressources documentaires appartenant tant à la sphère royale qu’à celle des particuliers. Elle vise à établir le continuum temporel des diverses entreprises royales, et leur synchronisme éventuel, qu’il s’agisse du parachèvement de la conquête de la Nubie dans la deuxième décennie de son règne, de la construction de son complexe funéraire à Licht Sud dans la première moitié de celui-ci ou des multiples (re)fondations de sanctuaire, voir des expéditions vers les carrières du désert oriental durant les 45 années passées par Sésostris Ier sur le trône du Double Pays. C’est enfin l’occasion de définir une trame chronologique – malheureusement partielle – pour les œuvres statuaires du pharaon.<p>La deuxième partie de cette étude est en effet consacrée à la statuaire royale de Sésostris Ier, et constitue un catalogue raisonné et critique inédit de quelques 87 pièces, complètes ou fragmentaires. Le catalogue tâche de sérier les statues suivant que leur appartenance au règne de Sésostris Ier me semble certifiée (C), que je les attribue personnellement à celui-ci (A), que leur datation de ce règne soit problématique (P), ou que les pièces se réduisent à des fragments iconographiquement peu signifiants (Fr). une étude typologique des regalia et des attitudes du souverain prolonge le catalogue, de même qu’une évocation de la polychromie des œuvres.<p>La troisième et dernière partie est consacrée à l’étude critique des réalisations architecturales de Sésostris Ier et à l’insertion des œuvres statuaires dans ces espaces construits. Elle distingue les contextes proprement égyptiens, répartis entre Éléphantine et Bubastis, et les sites extérieurs à l’Égypte stricto sensu, à savoir la Basse Nubie et le Sinaï. Bien que reposant le plus souvent sur les seules sources publiées, qu’elles soient le résultat de fouilles archéologiques ou de documents contemporains du règne, l’interprétation de ces vestiges permet néanmoins d’apporter un éclairage nouveau sur plusieurs sanctuaires ou parties d’édifices, voire de proposer des solutions alternatives quant aux restitutions des bâtiments, en ce compris la localisation des statues du roi.<p><p>Cette étude de la statuaire de Sésostris Ier et de ses contextes historiques et architecturaux offre un regard neuf sur une documentation régulièrement utilisée mais peu étudiée et peu analysée. Les principaux apports inédits concernent le canevas événementiel diachronique du règne et la réalisation d’un corpus statuaire critique du deuxième souverain de la 12ème dynastie. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Das Volk des Exodus als Gegenkonzept zur imperialen Macht Ägyptens : ein alternativer Gesellschaftsentwurf / The Exodus people as a counter-concept to Egyptian power : an alternative model of society

Rudolph, Benjamin 02 1900 (has links)
Text in German, summaries in German and English / Das Ziel der vorliegenden Arbeit ist, einen Beitrag aus der alttestamentlichen Wissenschaft zur gegenwärtigen Situation der westlichen Kirche zu leisten. Dabei soll der Text von Exodus 1-15 als Grundlage dienen, um das alternatives Bewusstsein herauszustellen, das dem Volk Gottes zu allen Zeiten helfen kann, sich in herrschenden Machtstrukturen zu verstehen und sich seiner Identität und Aufgabe bewusst zu bleiben. Die Untersuchung folgt einem literaturwissenschaftlichen Interesse, das die „Endgestalt“ zum Ausgangspunkt hat. Die Erzählung weist bewusst verwendete Strukturen und Stilmittel auf, die für die Interpretation von Bedeutung sind. Die Untersuchung soll jene Stilmittel herausstellen, welche für das Thema der Arbeit signifikant sind. Die Arbeit zeigt, dass die Exoduserzählung zum Aufbau eines alternativen Bewusstseins dient, auf dessen Basis Lebenspraxis und Zukunft von Gottes Volk geformt wird. So verstanden helfen die Texte auch der westlichen Kirche, sich in unterschiedlichen dominanten Kontexten als »Kontrastgesellschaft« zu verstehen. / The goal of this dissertation is to make a particular contribution from Old Testament research to the present situation of the Church in the Western world. Exodus 1-15 serves as a foundational text for establishing an alternative consciousness which helps the People of God, throughout all times, to maintain an understanding of themselves in the midst of other prevailing power structures and to remain aware of their identity and mission. The research uses the methodology of literary criticism, where the “final stage” of the text serves as the starting point. The exodus narrative reveals intentional structuring and stylistic devices which are important for interpretation. Each of the literary devices significant to this dissertation topic will be identified. The dissertation shows that the exodus narrative creates an alternative consciousness which in turn influences the life praxis and future of the People of God. Likewise these texts can also help the Church in the Western world to understand itself as a “counterculture” amongst its own dominant environments. / Old Testament and Ancient Near Eastern Studies / M. Th. (Old Testament)
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Les productions céramiques égyptiennes en région thébaine du 8e au 6e siècle avant notre ère: traditions, influences et innovations / Egyptian ceramic production in the Theban Area from the 8th to the 6th century BC: traditions, influences and innovations

Boulet, Stéphanie 03 April 2015 (has links)
L’étude des productions céramiques thébaines des 25e et 26e dynasties (c. 750-525 avant notre ère) a longtemps été négligée en raison d’un manque incontestable de contextes archéologiques stratifiés. Cette thèse a pour objectif l’étude de cette industrie par un examen rigoureux du matériel céramique de la chapelle d’Osiris Ounnefer Neb-Djefaou à Karnak (IFAO – sous la direction de L. Coulon) et du secteur du temple de Ptah à Karnak (CFEETK – sous la direction de Chr. Thiers). A cela s’ajoutent les données extraites des fouilles récentes des tombes TT 29 et TT C3 à Cheikh Abd el-Gourna (ULB / MANT – sous la direction de L. Bavay et D. Laboury). <p><p>En plus d’une définition précise de cette industrie par de l’établissement d’une analyse typologique fine, ce travail vise à associer les changements politiques de la ville de Thèbes avec les développements des productions céramiques locales. <p>Vers le milieu du 8e siècle avant notre ère, des évolutions techniques et morphologiques majeures se produisent dans l’industrie céramique thébaine, donnant naissance à un nouveau répertoire spécifique de cette région, se distinguant clairement des productions de la Basse-Egypte. Cette différenciation semble être le reflet des tensions politiques entre le nord et le sud du pays. Cette industrie va se développer au cours de la Basse Epoque avec des formes devenant plus sinueuses, complexes et carénées. Un nouveau traitement de surface se développe grâce au tour rapide :les stries plates, éléments caractéristiques des productions thébaines de la Basse Epoque. <p>Sous la dynastie nubienne, les produits vraisemblablement originaires de la région thébaine sont diffusés en Egypte et en Nubie. Cette diffusion a pour conséquence quelques phénomènes d’interactions en Egypte, mais surtout en Nubie où se développe un nouveau répertoire formel inspiré des productions céramiques thébaines, en parallèle aux productions locales.<p><p>Ce travail s’articule en trois parties. La première reprend une présentation des différents sites et contextes archéologiques exploités dans cette analyse. La deuxième correspond à une étude typologique des productions céramiques thébaines alors que la troisième partie se penche sur une synthèse reprenant une définition complète de la production thébaine. <p>Cette thèse a pour objectif d’utiliser l’objet céramique comme un élément datant et le témoin d’un savoir-faire, mais également comme un marqueur de changements politiques et économiques./<p><p><p>The study of the Theban ceramic production from the 25th to the 26th Dynasty (c. 750-525 BC) has been neglected for a long time because of a lack of stratified archaeological context. The aim of the thesis is to analyse the ceramic material coming from the chapel of Osiris Wennefer Ned-Djefau at Karnak (IFAO – Dir. L. Coulon) and from the temple of Ptah at Karnak (CFEETK – Dir. Chr. Thiers). The study of the pottery from the tombs TT 29 and TT C3 at Cheikh abd el-Gourna broadens our knowlegde on this production (ULB-ULg – MANT – Dir. L. Bavay et D. Laboury). <p><p>In addition to the formulation of a precise definition of this industry by the establishment of a new ceramic typology, this work aims to associate the political changes occurring in Thebes at that period with the evolution of the local ceramic production. <p>In the mid-8th century BC, technical and morphological changes are observed in the Theban ceramic industry, defining a specific industry in the region, a pottery repertoire which is easily distinctive from the ceramic production from the North of Egypt. This distinction is the reflection of political tensions between the North and the South at this time. The above-mentioned industry developed during the Late Period with more complex, marked and carinated shapes; a new surface treatment appeared thanks to the use of the kick-wheel: ribbed surface, which is a specific element of the Theban production in the Late Period. <p>Under the Nubian Dynasty, pottery from the Theban area is spread through Egypt and Nubia. This distribution caused some interaction phenomenas in Egypt, but also in Nubia where a new ceramic repertoire developed alongside the local ceramic industry. <p><p>This work has been divided in 3 parts. The first part corresponds to a presentation of archaeological sites and contexts used for the study. The second part presents a typological analysis of the Theban production. The last part is a synthetic analysis of the Theban pottery production. <p>The thesis tends to prove that the ceramic object is certainly a dating data and the testimony of a savoir-faire, but also the testimony of political and economical changes.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Dis au potier qu'il me fasse un kôtôn: archéologie et céramique de l'Antiquité tardive à nos jours dans la TT29 à Cheikh Abd el-Gourna, Egypte

Bavay, Laurent 12 February 2008 (has links)
Depuis 1999, le Centre de recherches archéologiques de l'Université libre de Bruxelles a entrepris l'étude de la tombe thébaine numéro 29 à Cheikh Abd el-Gourna, construite pour le vizir et maire de la ville Aménémopé sous le règne d'Amenhotep II (vers 1425-1401 av. J.-C.). La fouille du monument, sous la direction du Professeur Roland Tefnin, a été menée suivant deux axes de recherches. Le premier, dans une perspective synchronique, visait à étudier les aménagements et le fonctionnement d'origine de la tombe, sous la 18e dynastie. Le second, dans une perspective diachronique, visait à reconstituer l'histoire du monument et de ses occupations successives jusqu'à l'intervention de la mission. La thèse porte sur les résultats de cette seconde approche, et plus particulièrement sur l'analyse des occupations de l'antiquité tardive et post-antiques. Celles-ci se distinguent par une affectation de l'espace différente de sa fonction d'origine :la tombe n'est plus utilisée comme lieu de sépulture et de culte funéraire mais comme habitation. La fouille a ainsi livré les vestiges d'une installation érémitique datée des VIIe et VIIIe siècles de notre ère, associés à un matériel archéologique et épigraphique particulièrement abondant, ainsi que les ruines d'une maison villageoise construite durant la seconde moitié du XIXe siècle. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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