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Quelques aspects de la vie sociale, culturelle et religieuse à Antioche et dans ses environs à travers l'étude des stèles funéraires dans l'Antiquité / Some aspects of social, cultural and religious life in Antioch and its environs through the study of funerary steles in antiquity

Güven, Evrim 23 May 2014 (has links)
Les stèles funéraires d’Antioche et de ses environs datant de l’Antiquité sont en si grand nombre qu’elles méritent une étude approfondie. Aucune des recherches menées tout au long du XXe siècle n’offre en effet un corpus complet ni illustré. De plus, le matériel découvert non seulement à l’époque ottomane impériale, mais aussi lors du mandat français notamment lors des fouilles de l’Université de Princeton a été dispersé entre la Turquie, la France, les États-Unis, la Syrie et le Liban. Consciente des enjeux multiples qu’une telle étude d’ensemble serait susceptible de nous livrer sur les éléments manquant dans notre connaissance des divers aspects de la vie sociale, culturelle et religieuse à Antioche et dans ses environs dans l’Antiquité, nous nous sommes efforcée de rassembler le plus grand nombre possible de stèles et de les illustrer, de les analyser minutieusement avant d’élaborer une synthèse sur le sujet. Dans cet objectif, nous avons mené des recherches au Musée archéologique d’Antakya et aux Archives du département d’Art et archéologie de l’Université de Princeton, deux principaux endroits où sont conservés les fruits des fouilles, pour pouvoir comparer les enregistrements d’inventaire, en établir une concordance et obtenir des données complémentaires. Quoique leurs collections soient relativement restreintes, nous avons également étudié les stèles du Musée archéologique d’Istanbul, et celles du Musée du Louvre et du Musée d’art de Worcester. Pour maîtriser nos résultats, nous avons utilisé le programme de File Maker Pro Advanced 11.0v2, qui permet de construire une base de données sans laquelle les documents recueillis seraient impossibles à gérer.Même si la langue grecque est régulièrement choisie pour graver les épitaphes des stèles, on peut constater de nombreuses variations qui peuvent être dialectales mais semblent surtout résulter d’une maîtrise médiocre de la langue. En dépit de la convention de l’épigraphie latine saisissable à travers l’onomastique romaine quoique transcrite en grec, les règles sont appliquées avec peu de rigueur dans les textes de notre corpus. Des noms théophores sont formés à partir des divinités aussi bien grecques, romaines qu’orientales. À partir de ces constatations, nous avons pu reconstituer des pans d’une société qui a réussi à concilier tant bien que mal les Hellènes, les Romains, les Orientaux hellénisés et romanisés sinon d’origine du moins de nom. / The funerary steles of Antioch and its surrounding areas dating from Antiquity are so numerous that they deserve a thorough study. None of the researches performed throughout 20th century offered either a comprehensive or an illustrated corpus. Furthermore, the materials discovered in the Ottoman imperial period as well as throughout the French mandatory rule —particularly during the excavations conducted by Princeton University— were dispersed among Turkey, France, United States of America, Syria and Lebanon.Observing such deficiencies in the preliminary studies we became conscious of the necessity to cover the missing elements and gaps regarding the various aspects of social, cultural and religious life in Antioch and its surrounding areas in Antiquity through a comprehensive study. We endeavoured to collect largest possible number of steles, to illustrate them, and consequently to elaborate our synthesis based on minute analyses.For this purpose, we conducted researches in Antakya Archaeological Museum and in the Archives of the Department of Art and Archaeology at Princeton University (two main places where the outcome of the aforesaid excavations are preserved) in order to compare the inventory records, to establish a correspondence and to obtain complementary data. Although their collections are relatively small, we also studied the steles of the Archaeological Museum of Istanbul, the Louvre Museum and the Worcester Art Museum. We used the software program File Maker Pro Advanced 11.0v2 for designing an extensive database which rendered the collected material manageable. Although Greek is regularly chosen in engraving epitaphs, we may observe many variations that are dialectal, most likely due to poor command of the language. Notwithstanding that the Latin epigraphic conventions are perceptible through Roman onomastics even though transcribed in Greek, these rules are applied with little rigor in the texts of our corpus. Theophoric names are formed after the names of Greek, Roman as well as the Oriental gods. Based on these observations, we were able to reconstruct parts of a society that somehow managed to reconcile the Hellens, the Romans, the Hellenized and the Romanized Orientals on the level of name, if not on the level of ethnic origins.
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Victor Segalen et la culture chinoise : une conception de la vie et de la mort.

Shao, Nan 03 February 2017 (has links)
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Le décret d'Horemheb: traduction, commentaire épigraphique, philologique et institutionnel

Kruchten, Jean Marie January 1979 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Aux abords de la sépulture méroïtique: les approches du monument funéraire à l'époque méroïtique

Quertinmont, Arnaud 10 January 2012 (has links)
Bien que la littérature scientifique relative aux nécropoles méroïtiques, royales ou privées, soit assez abondante, force est d’admettre qu’aucune étude globale concernant le mobilier associé au monument funéraire méroïtique bâti n’a jamais été effectuée. Ce matériel considérable n’a, en effet, été traité que sommairement dans les diverses publications, que ce soit dans le cadre général de monographies relatives à un site en particulier ou d’une façon éclectique dans des ouvrages de synthèse, des articles transversaux ou autres catalogues d’expositions temporaires.<p><p>Le but du présent travail n’est pas d’opérer un recensement de tous les objets liés aux superstructures connus à ce jour, ni même de dresser une carte des traditions funéraires méroïtiques au Soudan, de nombreux travaux inédits étant toujours en cours sur plusieurs sites archéologiques, mais bien de réunir les informations disponibles sur le mobilier archéologique relatif à ces structures spécifiques. Par le biais d’une approche méthodologique multiple (archéologique, architecturale, chronologique, stylistique, typologique et religieuse) et au moyen de la restitution des objets dans leur contexte physique, nous tenterons de reconstituer une gestuelle particulière, de même que de déterminer une évolution de ces pratiques et préciser ainsi la symbolique liée aux objets concernés. Nous chercherons à comprendre quels furent les actes et les démarches pratiqués par les acteurs de la cérémonie funéraire, membres de la famille et prêtres, visant à célébrer le souvenir du défunt dans la mémoire collective. En effet, il ne faudrait pas offrir une vision réductrice du complexe funéraire et des différents rites pratiqués, comme s'il ne s'adressait qu’au défunt. Ces différents actes et gestes sont également destinés aux vivants, en modifiant les relations qu’ils entretiennent avec le disparu, changeant ainsi son statut dans le maillage social de la société. Les différentes actions réalisées dès le scellement de la chambre funéraire sont autant d’indices sur la façon dont les Méroïtes accomplissaient leur deuil. <p><p>Il conviendra tout d’abord de s’intéresser aux traditions royales et de déterminer ensuite quand et de quelle façon ces traditions ont été adoptées par les élites de l’empire de Méroé, tant au niveau de la capitale que dans le reste de l’empire.<p><p>Un dépouillement des archives de fouilles, notamment celles de G.A. REISNER, nous a permis de découvrir des photographies inédites de certaines étapes de la fouille révélant ainsi des informations de première importance quant à l’emplacement originel de certains objets, ou illustrant d’autres objets qui ne figuraient dans aucune publication parce que jugés sans réelle importance à l’époque. La présente étude, dont de nombreuses approches sont inédites, permet d’établir un état de la question, de conforter certaines idées précédemment avancées dans la littérature scientifique et pose à nouveau la question de « l’égyptianisation » des élites de Méroé et de la perception de la civilisation égyptienne qu’en ont les cultures limitrophes et ce, dans les différentes couches sociales.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les cultes d'Héraklès et de Kakasbos en Lycie-Pisidie à l'époque impériale romaine : étude des stèles dédiées aux dieux cavaliers à la massue

Drouin, Mathieu. 20 April 2018 (has links)
Le présent mémoire répertorie, analyse et commente les stèles dédiées aux dieux cavaliers à la massue inscrites en grec ancien. Héraklès et Kakasbos, dieux aux origines divergentes, recevaient des cultes aux traces équivalentes en Lycie-Pisidie d’époque impériale romaine. Articulée de manière thématique, l’étude porte sur les différents aspects reliés aux cultes d’Héraklès et de Kakasbos – dédicateurs, dédicataires, origines, datation et production des stèles, méthode, histoire de la diffusion du culte. L’auteur revient également sur plusieurs hypothèses formulées par les études précédentes. Les différentes annexes présentent un inventaire complet des stèles analysées, de même que des outils d’analyse paléographique, prosopographique et géographique. / The following thesis collects, analyzes and comments the steles dedicated to club-bearing rider-gods inscribed in ancient Greek. Herakles and Kakasbos, gods of diverging origins, received cults which produced equivalent traces in Lycia and Pisidia between the 1st and the 5th century CE. Thematically articulated, this study is about different aspects related to Herakles’ and Kakasbos’ cults – dedicators, gods honoured, provenance, dating and production of the steles, methodology, cult’s diffusion history. The autor also examines several hypothesis formulated by former studies on the subject. Annexes give a complete inventory of the steles and different tools for paleographic, prosopographic and geographic analysis.
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Réinterprétation de l’iconographie votive géométrique carthaginoise à travers une approche transdisciplinaire: le « duo céleste », le losange, l’« idole-bouteille », le « signe de Tinnit » et l’étendard (VIIe/VIe – IIe s. av. J.-C.) / Reinterpretation of the geometric iconography on the votive stelae of Carthage through a transdisciplinary approach: the disk and the crescent, the lozenge, the “bottle idol”, the “Tinnit sign” and the standard (VIIth/VIth – IInd bc)

Ammar, Mohammed Ali 16 December 2009 (has links)
Durant le premier millénaire, entre le VIIe/VIe et le IIe siècle avant Jésus-Christ, les Carthaginois ont élevé des stèles votives dans un sanctuaire à ciel ouvert. Dédiées à la dyade Baal Hamon et Tinnit Pane Baal, ces sculptures montrent sur leur surface décorée une iconographie qui se compose, en grande partie, de signes et symboles géométriques: un losange, une image céleste composée d’un disque et d’un croissant, une « idole-bouteille », le signe dit « de Tinnit » et un étendard nommé « caducée » dans la littérature. À ce jour, les informations liées à l’interprétation de ces images sont restées largement disparates et fragmentaires et aucune synthèse approfondie n’a encore été publiée à leur sujet. Afin d’aboutir à des résultats tangibles, il s’avère indispensable de mettre à plat l’ensemble des connaissances acquises sur le sujet. À cette fin, une nouvelle approche méthodologique basée sur une typologie raisonnée, c’est-à-dire diachronique et limitée à la seule métropole carthaginoise, sera mise en place. En outre, cette démarche doit être définie en adéquation avec le contexte régional tyrien, berceau de l’idéologie religieuse carthaginoise. Au-delà du rapport de ces images avec les divinités invoquées, la typologie à promouvoir doit, en même temps, nous permettre de clarifier le contexte chronologique propre à chacun de ces éléments figurés. / During the first millennium, between the VIIth/VIth and IInd century bc, the Carthaginians have erected votive stelae in an open air precinct. Dedicated to the dyad Baal Hamon and Tinnit Pane Baal, those sculptures show on their decorated surface an iconography mostly composed of geometric signs and symbols: a lozenge, a celestial pattern made up of a disk and a crescent, a “bottle idol”, the “Tinnit sign” and a standard named “caduceus” in the literature. To date, the information tied up with the interpretation of those images are largely disparate and fragmentary and no thorough synthesis has been published on their subject. In order to reach tangible results, it is necessary to gather all known data’s on the subject. To that end, a new methodological approach, based on a diachronic typology limited to the sole Carthaginian metropolis, will be put in place. Moreover, this approach must be defined in adequacy with the Tyrian regional context, cradle of the Carthaginian religious ideology. Beyond the links of those images with of the invoked divinities, the typology to promote must allow us, in the same time, to clarify the chronological context peculiar to each of the studied items.
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Réinterprétation de l'iconographie votive géométrique carthaginoise à travers une approche transdisciplinaire: le "duo céleste", le losange, l'idole-bouteille, le "signe de Tinnit" et l'étendard, VIIe/VIe - IIe s. av. J.-C. / Reinterpretation of the geometric iconography on the votive stelae of Carthage through a transdisciplinary approach: the disk and the crescent, the lozenge, the "bottle idol", the "Tinnit sign" and the standard, VIIth/VIth - IInd bc

Ammar, Mohammed 16 December 2009 (has links)
Durant le premier millénaire, entre le VIIe/VIe et le IIe siècle avant Jésus-Christ, les Carthaginois ont élevé des stèles votives dans un sanctuaire à ciel ouvert. Dédiées à la dyade Baal Hamon et Tinnit Pane Baal, ces sculptures montrent sur leur surface décorée une iconographie qui se compose, en grande partie, de signes et symboles géométriques: un losange, une image céleste composée d’un disque et d’un croissant, une « idole-bouteille », le signe dit « de Tinnit » et un étendard nommé « caducée » dans la littérature. À ce jour, les informations liées à l’interprétation de ces images sont restées largement disparates et fragmentaires et aucune synthèse approfondie n’a encore été publiée à leur sujet. Afin d’aboutir à des résultats tangibles, il s’avère indispensable de mettre à plat l’ensemble des connaissances acquises sur le sujet. À cette fin, une nouvelle approche méthodologique basée sur une typologie raisonnée, c’est-à-dire diachronique et limitée à la seule métropole carthaginoise, sera mise en place. En outre, cette démarche doit être définie en adéquation avec le contexte régional tyrien, berceau de l’idéologie religieuse carthaginoise. Au-delà du rapport de ces images avec les divinités invoquées, la typologie à promouvoir doit, en même temps, nous permettre de clarifier le contexte chronologique propre à chacun de ces éléments figurés. / During the first millennium, between the VIIth/VIth and IInd century bc, the Carthaginians have erected votive stelae in an open air precinct. Dedicated to the dyad Baal Hamon and Tinnit Pane Baal, those sculptures show on their decorated surface an iconography mostly composed of geometric signs and symbols: a lozenge, a celestial pattern made up of a disk and a crescent, a “bottle idol”, the “Tinnit sign” and a standard named “caduceus” in the literature. To date, the information tied up with the interpretation of those images are largely disparate and fragmentary and no thorough synthesis has been published on their subject. In order to reach tangible results, it is necessary to gather all known data’s on the subject. To that end, a new methodological approach, based on a diachronic typology limited to the sole Carthaginian metropolis, will be put in place. Moreover, this approach must be defined in adequacy with the Tyrian regional context, cradle of the Carthaginian religious ideology. Beyond the links of those images with of the invoked divinities, the typology to promote must allow us, in the same time, to clarify the chronological context peculiar to each of the studied items. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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