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La technoscience dans la théorie sociologique de Michel Freitag : de l'adoption d'une norme opérationaliste à l'autonomie de la technique

Joly, Caroline 01 1900 (has links) (PDF)
Le néologisme « technoscience » est généralement évoqué pour décrire une mutation du rapport que la science contemporaine entretient avec la technique. La transformation à laquelle réfère ce terme consiste alors en ceci : la science contemporaine a abandonné son entreprise de se constituer en explication générale du monde phénoménal, et se caractérise désormais par le souci d'efficacité et par l'omniprésence des techniques. Si la colonisation de l'activité scientifique par des impératifs technicistes est généralement acceptée comme étant ce qui constitue la nouveauté du phénomène de la technoscience, la réalité technicienne de la science contemporaine a cependant été appréhendée de différentes façons. Parmi celles-ci figure le thème de l'autonomie de la technique. Selon cette interprétation, la technoscience serait un processus par lequel la technique s'émanciperait de toute forme d'emprise humaine et deviendrait complètement autonome. Suivant cette perspective, la technique ne serait plus au service de l'homme, mais imposerait plutôt ses lois à ceux qui l'ont créée. Dans le cadre du présent mémoire, nous nous intéresserons à la position défendue par le sociologue Michel Freitag. En nous appuyant sur les principaux ouvrages et textes de son œuvre, nous observerons que sa théorie générale empêche à plusieurs égards d'appréhender la technoscience à la lumière de la thèse de l'autonomie de la technique. D'une part, nous verrons que la technicité est selon lui une activité essentielle de toute existence subjective dans le monde en ce qu'elle permet au sujet de s'adapter efficacement aux conditions hostiles de son milieu. D'autre part, tout rapport humain au monde étant selon lui médiatisé par le symbolique, nous constaterons que ce n'est qu'en étant elle-même médiatisée symboliquement que l'efficacité visée par l'activité technique peut être accomplie. Comme la théorie défendue par Freitag ne lui permet pas d'associer la technoscience à l'émancipation de la technique par rapport à toute forme d'emprise humaine, nous verrons que ce sera plutôt l'adoption d'une norme techniciste et pragmatique suite à la dissolution des idéaux qui orientaient a priori la science qui constituera pour lui la nouveauté de la technoscience. Nous constaterons cependant qu'en dépit de sa théorie du symbolique qui intègre la technicité en tant que modalité ontologique de la pratique humaine, Freitag en viendra lui-même à admettre que la technoscience conduit à l'autonomie de la technique. C'est cette contradiction des idées défendues par Freitag à propos de la technoscience que notre mémoire tentera d'exposer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : science, technique, technoscience, modernité, capitalisme, société contemporaine, sociologie de Michel Freitag, brevet
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Essai d'interprétation de la théorie de Michel Freitag sur le capitalisme et la postmodernité : du capitalisme industriel à la révolution managériale et organisationnelle

Gauthier, Marc-André 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Ce mémoire est un essai d'interprétation de la sociologie de Michel Freitag. Il vise à reconstituer l'unité de la théorie du capitalisme à partir de la révolution industrielle jusqu'à sa révolution managériale et organisationnelle et à éclaircir le lien qui s'y noue avec la théorie de la postmodernité. Communément associée aux aspects de la productivité et des rapports sociaux de production, la véritable dimension révolutionnaire du capitalisme résiderait plutôt selon Freitag dans la nature de ses innovations relatives au contrôle de la pratique humaine. Il y envisage en ce sens l'inauguration historique d'une nouvelle dynamique sociétale globale formellement fondée sur un mode de reproduction décisionnel et opérationnel des pratiques sociales. Le déploiement autonomisé de cette réalité "économique" contradictoire au procès historique de constitution des sociétés modernes entraînera l'Occident dans une crise d'ampleur civilisationnelle, une crise marquant pour Freitag l'origine de la transition postmoderne de la société. La tentative politique sociale-démocratique de résolution de la crise débouchera ainsi sur nouveau mode de gestion technocratique de la société. Mais c'est à la révolution managériale et organisationnelle que nous devons plus directement attribuer les racines de la dynamique sociétale contemporaine, une dynamique où c'est le système des organisations qui prend en charge l'intégration des pratiques sociales en lieu et place des institutions universalistes modernes.
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L'organisation : un essai de définition

Bres, Luc 12 April 2018 (has links)
Bien que l'organisation donne lieu à un champ de connaissance spécifique, la définition de cet objet théorique sous forme d'énoncé synthétique constitue un problème récurrent. Après avoir mis en évidence un savoir normalisé, dans ce que nous aurons défini comme la théorie des organisations, nous pourrons identifier une liste de définitions représentatives du champ. L'analyse de cette liste éclairera les difficultés qui ont pu être rencontrées par les théoriciens pour définir l'organisation et les stratégies mises en place pour y faire face. Ceci nous conduira à proposer une stratégie alternative : dans la théorie générale des sociétés de Michel Freitag, nous irons chercher un surplomb sociohistorique pour mieux comprendre les organisations. Ancrés dans cette perspective globale, nous serons à même d'échafauder concrètement une définition et sa formulation qui permettent de saisir l'organisation dans ses aspects les plus postmodernes, c'est-à-dire, à bien des égards, les plus actuels.
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La crise des sciences chez Edmund Husserl et Michel Freitag

Gendreau-Beauchamp, Geneviève January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la crise des sciences, telle que l'ont analysée Edmund Husserl et Michel Freitag, selon leurs points de vue respectifs. Dans la foulée d'un renouveau d'intérêt pour la phénoménologie en sciences sociales, nous souhaitons éclairer les liens que ces deux auteurs font entre la science, la société et l'histoire. Ce mémoire s'inscrit donc dans le sillage des réflexions et des préoccupations sur l'avenir de la science, remontant pour ce faire aux sources de celle-ci, selon la démarche en ce sens commune aux deux auteurs. Dans un premier temps, une réflexion sur les implications herméneutiques du mémoire permettra de montrer qu'en posant la question spécifique de la crise des sciences, nous évitons une comparaison en termes historiques ou disciplinaires, voire psychologiques. Cet aspect d'interdisciplinarité transparaîtra donc dans la nécessité d'une épistémologie sociologique herméneutique. Dans un deuxième temps, nous verrons que des éléments de réflexion sur les rapports entre la science et la société, ainsi que la science et l'histoire, se retrouvent chez les deux auteurs. En s'interrogeant sur les sources de l'objectivité, ils démontrent que celle-ci n'appartient pas exclusivement à la science ou, plutôt, que l'objectivité scientifique ne saurait se fonder elle-même, mais qu'elle renvoie en tous les cas au monde préscientifique. Ils s'intéressent par le fait même aux présupposés de la science, affirmant que l'objectivité n'est jamais donnée d'emblée, mais qu'elle est toujours dérivée du monde vécu, qu'elle se présente comme une idéalisation, une abstraction. Dans un troisième temps, le concept d'idéalisation sera plus substantiellement défini, d'abord par un survol de la pensée de Husserl concernant l'histoire des sciences, des origines « intuitives » de la géométrie, puis de la mathématisation de la nature par la physique galiléenne. La notion de « substruction » sera mise de l'avant comme étant la principale cause de la crise du sens des sciences modernes. En exposant les principales critiques que Freitag formule à l'égard des diverses épistémologies existantes, nous mettrons en lumière les lacunes et les inconsistances ontologiques du discours objectiviste en général et sociologique en particulier. Husserl et Freitag proposent des solutions certes différentes à la crise des sciences, qui consistent à remettre à sa juste place l'objectivité, notamment en reconnaissant le caractère fondateur du monde vécu et donc de la subjectivité humaine. Ils soulignent ainsi l'importance de la normativité et conservent également un idéal de connaissance objective. Enfin, nous nous attarderons sur les notions d'historicité de la connaissance, soulignant que Husserl et Freitag convergent à ce sujet en affirmant un soubassement intuitif de la science et de tout type de connaissance dans le monde vécu, mais en échappant à un constat relativiste où vérité et rationalité deviendraient inconcevables. Par la notion husserlienne d'a priori de l'histoire, et celle de modes de reproduction sociétale freitagiennes, tous deux ont véritablement tenté de penser l'historicité de la connaissance et du monde en évitant de tomber dans l'historicisme. Par des moyens différents, ils en sont aussi venus à poser le caractère historique au sens fort, voire même téléologique, de la pensée elle-même, soulignant ainsi l'inéluctable enchevêtrement de l'ontologique, de l'historique et du philosophique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Conceptualisation, Épistémologie, Historicité, Idéalisation, Mathématisation, Monde de la vie, Normativité, Objectivation, Objectivité, Ontologie, Rationalité, Relativisme, Sciences modernes, Sciences sociales, Subjectivité, Transcendantal.
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La spécificité de l'humain dans le vivant : entre continuité et discontinuité, pour une compréhension de l'articulation nature/culture chez Michel Freitag et Cornelius Castoriadis

Gagnon, Louis-Gilles 05 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est de comprendre la spécificité de l'humain en tant qu'il fait intégralement partie du vivant. Pour dépasser le réductionnisme positiviste, nous proposerons une conception dialectique de la nature humaine. Pour ce faire, deux auteurs seront étudiés : le sociologue Michel Freitag et le philosophe Cornelius Castoriadis. Il sera d'abord question d'élaborer la position réaliste-dialectique à travers laquelle nous pourrons interpréter ces deux auteurs dans l'optique de notre problématique. Nous appréhenderons ainsi le rapport d'objectivation comme modalité de compréhension de la subjectivité et de l'évolution. À partir de ce concept central, nous pourrons comparer les modes d'être de l'animal et de l'humain pour les différencier, et ce, chez chaque auteur étudié. Avec Michel Freitag, nous verrons l'objectivation symbolique comme spécificité de l'humain qui est, chez lui, opposée à l'objectivation sensori-motrice de l'animal. Nous verrons ensuite, avec Cornelius Castoriadis, l'imaginaire radical comme spécificité de l'humain. Il sera question des différences entre la psyché animale et la psyché humaine. Nous clôturerons le tout en effectuant une rencontre entre les concepts d'imaginaire et de symbolique propre à chaque auteur. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rapport individu/société, Réalisme-dialectique, Rapport d'objectivation, Médiation symbolique, Médiation sensori-motrice, Évolution, Dualité nature/culture, Monde pour-soi, Imaginaire, Imagination, Psyché.

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