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Emancipating the many : a practice led investigation into emergent paradigms of immediate political action

Fiel, Wolfgang January 2012 (has links)
The immediate catalyst for having taken up this study was the violent outbreak of weeks of public unrest in the Paris banlieus in the wake of the shooting of young man on the run from the police on October 27 2005. The obvious inability of local municipalities and police forces to explain, let alone to anticipate the swelling discontent with a system which is generally assumed to work effectively and to benefit all has led me to the assumption that we have entered a stage where the concept of representational democracy is seriously compromised. The sheer scale or projected growth rates of urban agglomerations worldwide is certainly a strong, if not the only indicator for the radical change of ‘lived experience’ in the wake of globalized economies, politics and communication networks. If once the lack of a ‘unitary theory’ was attributed to the field of urbanism (Lefebvre, 1991 [1974]), from a contemporary point of view the range of issues and problems at stake far exceed the boundaries of any discipline in particular. Furthermore, to start the inquiry by reasserting the importance of the human condition will allow us to delve into the process of individuation, the diverse realities of individuals, their gathering in groups, their dialogue amongst each other and with their environment in its totality in order to account for the complex interrelations within a highly dynamic network of associations, since the emergence of a fully emancipated Many – as opposed to the One of the state – requires more than the flawed promise of representational democracy to act for the ‘common good,’ or ‘general will’ (Rousseau, 2009 [1762]) of all. Clearly this task is ambitious, for we have to bridge the gap between the needs, aspirations, emotions, anxieties and dreams of individuals on the one hand, and the temporal emergence of collective co-operation on the other. ‘Official’ knowledge, incorporated by endless columns of statistical data, gathered and administered meticulously thanks to the firm grip of institutionalised observation, is of little help though, for we have become increasingly conscious that the representations thereof are a poor match for the complexity of networked realities ‘on the ground’. My artistic practice conducted together with Alexandra Berlinger under the name of Tat ort is precisely aimed at looking into “matters of concern” as opposed to “matters of fact” (Latour, 2005) in order to gain a genuine insight into the workings of existing settings, where we introduce ourselves as intermediaries for the initiation of a process of active participation by means of interventional apparatuses, conceived specifically for the context in question. Our respective experience has led me to the conclusion that instead of providing alternative representations based on presumed universal identity, the full-blown heterogeneity of the multitude thrives on the general intellect and the activity of the speaker. To speak is to act, and to act is the predominant trait of political praxis. It is through our acts and deeds that we disclose ourselves in public in the presence of others (Arendt, 1998 [1958]). And it is through acting that we start anew and leave our mark in a situation the moment we intervene in the circulation of empty signifiers upon which we assign a name, the name of an event. It is through our interventional participation that we allow for novelty to emerge in time, as a process without representation and based on sustained fidelity. My research is centred around two questions: First of all, is it possible to devise an interventional apparatus (physical infrastructure) which would work independent of contextual factors, and secondly, is it possible to retain the site-specificity through a process of dynamically mapping the amalgamation of existing information and the data obtained by participants based on face to face communication in order to draw up the ‘portraits’ of existing communities beyond the scope of institutionalised representation. Emancipating the Many therefore is a statement about difference marked as intervention. This intervention requires the presence of others and the intention to act. It is the emergence of a ‘constitution of time’.
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Le communisme, ou comment la production de la misère devient prolifération ontologique. Le devenir du travail dans les sociétés contemporaines

Bernier, Emilie 28 April 2014 (has links)
La thèse interroge le sens du travail, des origines de son institution dans la pensée politique moderne aux plus récentes transformations qui marquent le passage aux économies post-fordistes. La principale caractéristique que présentent ces dernières tient à leur intégration, au sein de la sphère productive, de toutes les activités de nature informationnelle, communicationnelle et affective, qui, traditionnellement, lui étaient demeurées extérieure. Cette opération est analysée grâce aux concepts de travail immatériel et de production biopolitique développés par les penseurs associés au mouvement opéraïste. Afin de sonder les conséquences de cette fusion de la production matérielle, éthique et juridique, la thèse sollicite l’éclairage de l’analyse marxienne de la valeur, qu’elle fait ensuite résonner avec la pensée de la technique que propose Heidegger, dans l’optique d’un dépassement de la métaphysique moderne du sujet, où, selon un diagnostic commun aux auteurs, se situe l’origine d’un asservissement du tout de la vie à un régime de production dévastateur – le nihilisme, ou la ruine de toutes les valeurs. S’appuyant sur une lecture contemporaine de Spinoza, notamment par Negri, cette critique de la métaphysique se révèle le geste initiateur d’un procès constitutif proprement politique. Enracinant plutôt le fondement de l’activité dans une ontologie de la finitude essentielle élaborée à la faveur d’une phénoménologie de la praxis collective, la thèse parcourt le chemin qui mène de l’explicitation du sens du travail comme usure du monde dans son ensemble, à l’anamnèse d’un usage intégral de la puissance productive, qui permet, dans les conditions actuelles de la production biopolitique, de déployer une imagination constitutive pour laquelle la notion d’utilité, au sens métaphysique, fournit un principe d’évaluation. Il s’agit d’apprécier, parmi les dynamiques tendancielles inhérentes aux formes de vie et de subjectivité engendrées dans la mobilisation incessante et irréversible qui nous affecte, l’imminence d’une réalisation du communisme dans la transvaluation de l’industrie en désœuvrement.
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Le communisme, ou comment la production de la misère devient prolifération ontologique. Le devenir du travail dans les sociétés contemporaines

Bernier, Emilie January 2014 (has links)
La thèse interroge le sens du travail, des origines de son institution dans la pensée politique moderne aux plus récentes transformations qui marquent le passage aux économies post-fordistes. La principale caractéristique que présentent ces dernières tient à leur intégration, au sein de la sphère productive, de toutes les activités de nature informationnelle, communicationnelle et affective, qui, traditionnellement, lui étaient demeurées extérieure. Cette opération est analysée grâce aux concepts de travail immatériel et de production biopolitique développés par les penseurs associés au mouvement opéraïste. Afin de sonder les conséquences de cette fusion de la production matérielle, éthique et juridique, la thèse sollicite l’éclairage de l’analyse marxienne de la valeur, qu’elle fait ensuite résonner avec la pensée de la technique que propose Heidegger, dans l’optique d’un dépassement de la métaphysique moderne du sujet, où, selon un diagnostic commun aux auteurs, se situe l’origine d’un asservissement du tout de la vie à un régime de production dévastateur – le nihilisme, ou la ruine de toutes les valeurs. S’appuyant sur une lecture contemporaine de Spinoza, notamment par Negri, cette critique de la métaphysique se révèle le geste initiateur d’un procès constitutif proprement politique. Enracinant plutôt le fondement de l’activité dans une ontologie de la finitude essentielle élaborée à la faveur d’une phénoménologie de la praxis collective, la thèse parcourt le chemin qui mène de l’explicitation du sens du travail comme usure du monde dans son ensemble, à l’anamnèse d’un usage intégral de la puissance productive, qui permet, dans les conditions actuelles de la production biopolitique, de déployer une imagination constitutive pour laquelle la notion d’utilité, au sens métaphysique, fournit un principe d’évaluation. Il s’agit d’apprécier, parmi les dynamiques tendancielles inhérentes aux formes de vie et de subjectivité engendrées dans la mobilisation incessante et irréversible qui nous affecte, l’imminence d’une réalisation du communisme dans la transvaluation de l’industrie en désœuvrement.
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L'utopie du logiciel libre. La construction de projets de transformation sociale en lien avec le mouvement du free software.

Broca, Sebastien 12 January 2012 (has links) (PDF)
Dans le mouvement d'extension de la portée sociale du logiciel libre s'est constituée une utopie, qui constitue un pan de l'imaginaire politique contemporain. Cette utopie s'étend désormais bien au-delà de son milieu socio-culturel d'origine (le milieu hacker), du fait des liens tissés entre " libristes " et défenseurs des " biens communs ", du poids croissant de l'approche open source, et à proportion de l'intérêt suscité par le logiciel libre chez certains intellectuels critiques à partir de la fin des années 1990. Reprenant l'idéal cybernétique de libre circulation de l'information, l'utopie du logiciel libre se présente comme une contestation de la vision néolibérale de la propriété intellectuelle, et comme une critique des formes d'organisation du travail caractéristiques du capitalisme industriel. Elle se déploie en tant qu'" utopie concrète " (E. Bloch), mettant en jeu des pratiques de collaboration en ligne, des créations juridiques originales, et des formes de militantisme. Elle embrasse un idéal d'auto-organisation de la société civile, fondé sur la valorisation d'un domaine d'activités sociales distinct tant de l'État que du marché. Elle est toutefois condamnée à demeurer en deçà de cet idéal, et reste par ailleurs toujours menacée par les séductions du mythe et les renoncements de l'idéologie.
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Capital et inventivité : de l'intellect général à General Electric / Capital and invention : from general intellect to General Electric

Duhaime, Eric 01 April 2016 (has links)
Cette thèse vise à éclairer le rôle économique de la science et de la technologie dans le cadre du capitalisme. À cette fin, elle s’enracine d’abord dans une discussion des thèses développées à ce sujet par Karl Marx à l’égard du capitalisme industriel qu’il avait sous les yeux. En tenant compte de la transition du capitalisme industriel au capitalisme avancé, elle s’intéresse ensuite au rôle que joue la production scientifique et technologique dans le contexte spécifique du capitalisme avancé. Prenant le contrepied de la théorie de l’« économie immatérielle » développée par Michael Hardt et Antonio Negri, l’objectif de cette thèse est double. Elle vise, d’une part, à mettre au jour et reconstruire la façon dont Marx problématise le rapport de la science et de la technologie à la dynamique économique de son époque et, de l’autre, à éclairer les modalités et les enjeux liés à l’intégration de la production scientifique et technologique au sein de la dynamique économique contemporaine. / This dissertation aims to clarify the economic role of science and technology within capitalism. To this end, it is first rooted in a discussion of the ideas elaborated by Karl Marx on this topic in respect with the industrial capitalism that was unfolding before him. Taking into account the transition from industrial to advanced capitalism, this dissertation then seeks to question the economic role of scientific and technological production into the specific context of advanced capitalism. Supporting an opposing view to the theory of “immaterial economy”, as developed by Michael Hardt and Antonio Negri, this dissertation has a twofold objective. On the one hand, it aims to uncover and reconstruct the way Marx problematizes the relationship of science and technology to the economical dynamics of his time and, on the other hand, to clarify the issues relating to the integration of scientific and technological production into contemporary economical dynamics.

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