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Zur direkten Beurteilung der Alkaliempfindlichkeit präkambrischer Grauwacken aus der Lausitz anhand deren Kieselsäure- und Aluminiumlöseverhalten

Hill, Steffen. Unknown Date (has links) (PDF)
Brandenburgische Techn. Universiẗat, Diss., 2004--Cottbus.
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Les scarabées inscrits et autres amulettes de cœur de l’Égypte ancienne (présentation, corpus, critères de datation, caractéristiques, collections) / Inscribed Scarabs and other Heart Amulets in Ancient Egypt (Presentation, Corpus, Dating criteria, Characteristics, Collections)

Laroche, Claude 06 December 2014 (has links)
Le seul ouvrage dédié exclusivement à ce qu’il est convenu d’appeler « les scarabées de cœur » est signé du Professeur Michel Malaise et date de 1978. Ce livre est depuis cette date la référence en la matière mais, en l’absence d’un corpus, les critères de datation proposés n’y peuvent être ni exhaustifs ni très précis. L’objectif de cette étude était de remédier à ces lacunes.Les scarabées de cœur étaient des amulettes disposées dans la région du cœur de la momie d’un individu, juste après son décès, afin de le protéger contre la trahison possible de son propre cœur. En effet, le défunt devait subir l’épreuve de la pesée du cœur devant un tribunal de dieux présidé par Osiris, mais c’est son cœur qui était interrogé pour savoir quelle avait été la conduite de son propriétaire lors de son passage sur la terre. Les réponses à ces questions conditionnaient l’avenir du défunt dans l’au-delà : la vie éternelle ou l’anéantissement. Pour se concilier les bonnes grâces du cœur, d’autant plus que celui-ci pouvait mentir, les amulettes étaient inscrites d’une prière choisie dans un des chapitres 26 à 30 B du Livre des Morts, suppliant le cœur d’avoir des réponses favorables devant le tribunal.La présente étude a pris huit années pour rassembler un corpus de 1400 scarabées de cœur et autres amulettes ayant la même fonction rituelle, soit probablement plus de 85% de ceux qui sont conservés dans les musées, qui sont désignés ici sous le nom générique d’« amulettes de cœur ». Ce corpus a donné lieu à l’établissement d’une typologie permettant de déterminer des séries d’amulettes présentant des caractèristiques plastiques et épigraphiques semblables qui, croisées avec celles des amulettes de date connue, qui sont soit celles dont les propriétaires sont des personnages historiques soit celles provenant de fouilles bien datées, ont conduit à la détermination de critères de datation objectifs. L’étude présente aussi les clichés de plus de 1200 amulettes avec description, une traduction des textes inscrits et une proposition de datation. / The only book dealing specifically with the so-called “ Heart Scarabs” was written by Professor Michel Malaise and published in 1978. It has remained since the reference on the subject but, due to the unavailibility of a corpus, the datation criteria could not be exhaustive nor accurate. The target of this dissertation was to fill these gaps. The heart scarabs were amulets to be laid on (or in) the mummy of a person just after his death in the heart area, in order to protect him from the possible treachery of his own heart. In effect, the Dead was to be put to the test of the weighing of his heart, in front of a court of gods presided by Osiris, but it was his hesart which was interrrogated in order to know whether its owner had behaved well during his life. The answers to these questions would determine whether he would be granted an eternal life or the nothingness. In order fo gain the heart’s goodwill, especially when it might lie, the amulets were inscribed with a prayer chosen in one of the chapters 26 to 30B of The Book of the Dead. This prayer was begging his heart to make favorable answers to the court.It took eight years to gather a corpus of 1400 heart amulets and others amulets with the same ritual function, called “heart amulets” in this dissertation, a number representing likely more than 85% of the total in existence. The gathering of these amulets made possible an adapted typology to be built, which lead to the determination of series of amulets with similar shape or epigraphic characteristics to be compared with the characteristics of amulets with a known date, which are the ones the owners of which are historical persons or those originating from well dated excavations. This comparison allowed for the determination of objective datation criteria. This memoire finally presents photos of more than 1200 amulets with a description, a translation of the texts and an estimated datation.
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Images du pouvoir en Egypte à la fin du Moyen Empire et à la Deuxième Période Intermédiaire / Images of Power in Egypt during the Late Middle Kingdom and the Second Intermediate Period

Connor, Simon 11 April 2014 (has links)
L’objet de cette thèse est la représentation en ronde-bosse des souverains et particuliers du Moyen Empire tardif et de la Deuxième Période Intermédiaire (mi-XIIe à fin-XVIIe dynastie, 1850-1550 av. J.-C). Ces trois siècles forment un ensemble cohérent du point de vue du système politique, très bureaucratique, du point de vue de la culture matérielle (pratiques funéraires, production de stèles et de statues) et de celui des sources textuelles. L’intérêt du choix de cette période réside dans l’abondance du répertoire conservé, qui permet de mener des analyses approfondies et de procéder à des comparaisons précises entre l’image du roi et celle des particuliers de différents niveaux sociaux. Cette période est également suffisamment longue pour permettre d’établir une évolution des tendances observées. La particularité de cette thèse est de considérer la statuaire royale et privée comme un ensemble. L’objectif consiste à renouveler la grille d’analyse d’une des productions majeures de la société égyptienne. <p>1480 pièces figurent au catalogue, dont beaucoup sont inédites :330 statues royales et 1150 statues privées. Ce répertoire a été constitué sur base des publications (catalogues de musées, d’expositions, de vente, rapports de fouilles) et à partir de l’examen personnel des pièces conservées dans 65 musées à travers l’Europe, les États-Unis, l’Égypte et le Soudan, dans des collections privées, ainsi que sur les sites archéologiques. Ce vaste catalogue permet de dresser un panorama aussi complet que possible de la statuaire de l’époque envisagée. <p>La statuaire est un moyen pour l’Égyptien de l’Antiquité, grâce à la nature performative de l’art, de matérialiser sa présence dans les sanctuaires, de se trouver face aux divinités, de leur faire don d’offrandes en échange de leurs bienfaits, de rendre hommage à des prédécesseurs. C’est aussi une façon d’exprimer un message par le choix du matériau, du type statuaire, d’une physionomie et d’un emplacement dans un temple, une chapelle ou une tombe. C’est ce discours que pouvaient lire les contemporains du titulaire de la statue et qu’il appartient au chercheur de démêler. Je me suis employé à définir qui étaient les destinataires des statues, quelle était la clientèle concernée, à quel endroit on plaçait ces statues (régions, contextes architecturaux, programmes iconographiques), quel était le sens et la fonction que pouvaient avoir la forme d’une statue, ses dimensions, la position et la gestuelle du personnage représenté. J’ai examiné les différents matériaux utilisés, les raisons de leur choix, leurs significations particulières, les ateliers auxquels ils étaient associés. J’ai établi le rapport entre la physionomie du souverain et celle des particuliers, ainsi que le développement stylistique de la statuaire au cours des trois siècles envisagés, et tenté d’interpréter les différents critères de cette évolution. En bref, j’ai cherché à définir le rôle et l’usage d’une statue, le but de son acquisition et de son installation, le message qu’elle véhiculait.<p>Les statues du souverain traduisent une volonté d’être présent partout, dans les divers temples et sanctuaires, de regarder et d’être vu, de rester présent au-delà de la mort, à la fois dans le monde des dieux, et sur terre, parmi les hommes. Elles servent aussi de réceptacle au culte du souverain dès son vivant et remplissent le rôle d’intercesseurs entre les hommes et les dieux. Enfin, elles commémorent le passage d’expéditions sur les sites éloignés et sacrés. <p>Le message inhérent à la statuaire privée est différent. Les particuliers ne sont pas quant à eux d’essence divine et n’incarnent pas la maîtrise du monde dans la personne d’un être surhumain. Les dignitaires sont des individus et représentés comme tels, à la différence le roi, qui est roi avant d’être un homme. La statuaire privée exprime, par le pouvoir de l’image, du costume, de la nature de la pierre, le rang privilégié d’un humain parmi ses semblables, le désir d’afficher un haut statut et une proximité avec le souverain. Le personnage représenté par une statue acquiert le moyen d’être intégré dans le temple, de jouir du culte et des offrandes. Par le moyen des titres étalés dans les inscriptions de la statue, par le choix de matériaux prestigieux et par le recours aux ateliers royaux, qui leur fournissent des statues dont la physionomie est en tout point similaire à celle du souverain, les hauts dignitaires manifestent leur allégeance au pouvoir et leur proximité avec le souverain. <p>Quant aux membres des niveaux plus modestes de l’élite, ils cherchent à exprimer un rang élevé par mimétisme vis-à-vis de ces hauts dignitaires, en adoptant les mêmes types statuaires, costumes et perruques, et, quand ils n’ont pas les moyens d’acquérir une statue dans un matériau prestigieux, en employant des roches qui peuvent en gagner l’aspect. Ces images ne reflètent pas la fonction précise des individus qu’elles représentent ;elles ont en revanche le pouvoir d’exprimer un statut, réel ou non, et accordent dans l’au-delà un rang privilégié à leurs titulaires, en servant d’intermédiaires entre les mondes humain et divin. <p>Ce travail permet d’apporter plusieurs voies de réflexion, à la fois sur l’époque envisagée et sur le domaine de la production sculpturale égyptienne en général. Cette étude ne cherche pas seulement à exploiter un large corpus de statues, mais à formuler un ensemble de questions pour obtenir une meilleure et plus vaste compréhension de tous les facteurs impliqués dans la production et l’usage de la statuaire, ainsi que des implications sociales qui y sont attachées. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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