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Medien, Internet, Krieg : das Beispiel Kosovo : ein Beitrag zur kritischen Medienanalyse /

Krempl, Stefan, January 2004 (has links)
Dissertation--Frankfurt (Oder)--Europa-Universität Viadrina.
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Die Staatengemeinschaft und das Kosovo : humanitäre Intervention und internationale Übergangsverwaltung unter Berücksichtigung einer Verpflichtung des Intervenienten zur Nachsorge /

Zygojannis, Philipp A. January 2003 (has links)
Dissertation--Rechtswissenschaftliche Fakultät--Christian-Albrechts-Universität zu Kiel, 2002. / Bibliogr. p. 269-275.
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Au-delà de l'intérêt national : une étude sociologique des politiques étrangères française et canadienne dans la crise du Kosovo

Morin, David January 2008 (has links) (PDF)
L'intervention militaire au Kosovo conduite dans le cadre de l'opération « Force alliée » est souvent présentée comme une rupture vis-à-vis de la pratique traditionnelle des États en matière de politique étrangère: une guerre humanitaire et morale dont les intérêts nationaux seraient, sinon absents, à tout le moins secondaires dans les motivations des décideurs. Cette recherche revient sur cet épisode marquant des relations internationales en s'efforçant de comprendre une décision de politique étrangère, celle prise par la France et le Canada de participer à cette intervention. Quel est le sens, la signification de cet évènement au regard de la politique étrangère de ces deux pays? Quels indices nous donne-t-elle sur son évolution? En quoi la guerre du Kosovo a-t-elle contribué à améliorer notre compréhension du processus de décision au Canada et en France? Y a-t-elle seulement contribué? En guise de réponse, cette recherche tente de vérifier l'hypothèse selon laquelle le concept d'intérêt national reste pertinent dans le champ de la politique étrangère, à la fois pour comprendre le comportement d'une partie des élites dirigeantes mais également celui d'une partie des gouvernés. Non pas qu'il soit possible de déterminer un intérêt national objectif et rationnel à partir duquel on juge les décisions prises par les États. En revanche, existe l'idée d'intérêt national en tant que concept structurant au niveau du discours et de la pratique en politique étrangère. Encore trop peu exploré dans les travaux de langue française, cette recherche s'interroge sur les outils conceptuels à disposition du chercheur pour appréhender l'objet politique étrangère aujourd'hui. En prenant pour point de départ un triple questionnement -par qui, pourquoi et comment la politique étrangère est-elle construite -cette thèse tente de mettre en dialogue les approches classiques de la décision (réalisme, analyses décisionnelles) et celles s'inscrivant dans ce qu'il est coutume d'appeler le tournant sociologique des Relations internationales (transnationalisme, constructivisme) et propose l'élaboration d'un cadre d'analyse original. De ce point de vue, le cas étudié confirme que les premières offrent des outils tout à fait pertinents, mais qu'elles auraient avantage à mettre ceux-ci plus en lien avec les pistes interprétatives ouvertes par les secondes. Au « qui », cette étude montre que la décision dans ce champ est indissociable du cadre mondial dans lequel elle s'insère et qu'il n'est plus possible pour les acteurs traditionnels de faire fi de l'émergence d'autres acteurs, non étatiques le plus souvent. Il n'en reste pas moins qu'au vu des efforts déployés par les « professionnels de l'État » pour conserver le contrôle de la gestion de la crise, le sentiment qui prédomine est que l'hypothèse du monopole traditionnel de l'exécutif en politique étrangère n'a pas complètement disparu. Au « pourquoi », cette démarche consent à une complexification des logiques qui, loin de répondre à la seule poursuite égoïste d'intérêts collectifs et/ou individuels, mettent en jeu des valeurs, des normes, des cultures et des identités propres et distinctes, qui agissent non pas comme des variables individuelles mais aussi comme des « standards holistes ». A cet égard, la dichotomie classique entre politiques et bureaucrates reste, malgré des différences importantes en France et au Canada, un point de départ valable pour comprendre le fonctionnement du noyau décisionnel dans les deux États. Enfin, au « comment », cette recherche montre que la décision est avant tout une construction et un processus complexe, au sein duquel intérêts et identités se mêlent, et où le langage tout comme les rapports de pouvoir symbolique jouent un rôle essentiel. Dans cette perspective, malgré de nombreux points communs entre la France et au Canada, cette recherche s'arrête surtout sur ce qui les distingue, ce qui dans la perspective d'une réflexion plus globale sur l'évolution des politiques étrangères dans le système mondial, est riche d'enseignements.
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Le Canada et les États-Unis au sein de l'OTAN depuis la fin de la guerre froide

Guay, Fanny January 2006 (has links) (PDF)
Le but de la présente recherche est de déterminer les facteurs qui ont favorisé l'implication du Canada et des États-Unis au sein de l'OTAN depuis la fin de la guerre froide. Plus précisément, il sera question de la politique canadienne et américaine envers l'Organisation entre 1989 et 1999. Le premier chapitre débute avec un court résumé des événements qui ont amené à la création de l'OTAN. Ensuite, il situe le lecteur dans le contexte de la fin de la guerre froide en relatant la situation de l'Organisation et les politiques canadiennes et américaines à cette époque. Le second chapitre définit ce que sont les relations transatlantiques et l'importance de ces relations pour le Canada et les États-Unis. Finalement, le dernier chapitre renseigne le lecteur sur la mission de la gestion des crises et du « hors-zone », ainsi que sur les interventions des deux pays en Bosnie Herzégovine et au Kosovo. Ce travail tente de démontrer que le Canada est membre de l'OTAN depuis la fin de la guerre froide car il tente d'augmenter son influence au sein de la communauté internationale et de faire contrepoids à la présence américaine, tandis que les États-Unis sont motivés par leur désir de conserver leur influence sur l'Europe. Ces hypothèses sont examinées à l'aide de la théorie du réalisme offensif, à travers une étude historique. Les résultats de cette recherche concluent que le Canada tente effectivement d'augmenter son influence sur la scène internationale et de faire contrepoids aux Américains, tandis que ces derniers tentent de conserver leur influence sur l'Europe. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : OTAN, Canada, États-Unis, Relations transatlantiques, Gestion des crises.
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Les réformes des systèmes médiatiques de la Bosnie-Herzégovine et du Kosovo, et les approches des responsables internationaux chargés de les mettre en oeuvre

Thibault, Simon 24 April 2018 (has links)
Thèse en cotutelle Université Laval, Québec, Canada et Université Sorbonne Nouvelle Paris – 3, Paris, France. / Durant les opérations de reconstruction qui ont eu lieu à la suite des conflits en Bosnie-Herzégovine (1992-1995) et au Kosovo (1998-1999), d’importants moyens ont été déployés par des organisations internationales pour réformer les espaces médiatiques bosnien et kosovar en vue de les dépolitiser. Ces réformes visaient notamment la création d’instances de réglementation des médias et la transformation du secteur de la radiodiffusion, qui s’avérait problématique en raison de la présence de médias relayant des discours incitant leur auditoire à la haine ethnique ou religieuse. Ces initiatives en matière de réglementation des médias et de réforme du secteur de la radiodiffusion ont nécessité des investissements considérables. Elles ont aussi généré des débats animés, qui ont révélé des divergences importantes entre les différents acteurs impliqués dans ces processus de réforme. En Bosnie, par exemple, l’élaboration de la loi relative au système de radiodiffusion publique a provoqué des échanges acrimonieux entre les responsables du Bureau du Haut Représentant et l’ambassade américaine. Au Kosovo, les initiatives de réglementation de la presse kosovare menées par l’OSCE et l’ONU ont été vivement critiquées par des ONG de défense de la presse qui les associaient à de la censure. Comment expliquer ces débats qui dévoilent différentes philosophies d’intervention en matière de réforme des médias? En procédant à une étude des théories normatives de la presse et de la littérature spécialisée, nous avons élaboré deux idéaux-types : l’« approche américaine » et l’« approche ouest-européenne ». Les caractéristiques de ces deux concepts idéal-typiques nous ont permis d’analyser les données recueillies durant notre recherche, incluant 50 entrevues, dont plusieurs avec des acteurs diplomatiques qui ont été au cœur de ces processus de réforme. Ce faisant, nous avons construit quatre propositions qui dévoilent les principales conclusions avancées dans cette thèse. Nous suggérons notamment que les approches des acteurs impliqués dans les processus de réforme des médias en Bosnie et au Kosovo peuvent être éclairées par certaines normes dominantes des environnements médiatiques aux États-Unis et en Europe de l’Ouest, ce qui permet une meilleure compréhension de leurs débats et leurs divergences. / During the interventions that followed the conflicts in Bosnia and Herzegovina (1992-1995) and in Kosovo (1998-1999), important resources were engaged by international organizations to reform the Bosnian and Kosovan media space. These reforms were aimed at the depoliticization of the media environment through the establishment of media regulatory bodies and the transformation of the broadcasting sector, which had caused concern due to the presence of propagandist media that were inciting ethnic and religious hatred. Media regulatory and broadcasting reforms implemented in Bosnia and Kosovo required significant investments. Most interestingly, these reforms caused heated debates that revealed significant differences of view among the actors involved. In Bosnia, for instance, the development of a law targeting the public broadcasting system generated a sometimes acrimonious debate between the Office of the High Representative in Bosnia and the American embassy. In Kosovo, initiatives to regulate the media by the OSCE mission and the United Nations were vigorously criticized by NGOs defending freedom of the press, arguing that such measures amounted to censoring of the media. How can we explain these debates, which reveal different intervention philosophies with regards to media reforms? In light of an analysis of the normative theories of the press and of the relevant scientific literature, we have developed two ideal-types: the “American approach” and the “West-European approach”. These two concepts facilitated the analysis of the data collected during this doctoral research. The data included the information gathered from fifty interviews, many of which were conducted with policy makers and diplomats that played a key role in these reforms. The data collection and analysis, achieved through an iterative process, allowed us to develop four propositions, which reveal the main findings of this research. We suggest, among other things, that the approaches of the actors involved in the media reform processes in Bosnia and Kosovo can be explained in light of some of the media environments’ dominant norms in the United States and in Western Europe, which clarifies in turn the different perspectives of these actors and the debates that resulted.
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The violent politics of nationalism : identity and legitimacy in Palestine, Kosovo and Québec

Kuntzsch, Felix 20 April 2018 (has links)
Dans cette thèse, je montre que la violence est un moyen utilisé par certains militants nationalistes pour persuader le public, à l’intérieur et à l’extérieur de la nation, de l’inévitabilité de leur projet politique. Ce que je nomme la politique violente du nationalisme est essentiellement une lutte pour la légitimité. En défiant les autorités, les militants recourent à une stratégie de provocation. En effet, la violence politique est susceptible de provoquer une répression qui justifie leurs affirmations et contribue à priver l’État de sa légitimité. Cependant, une telle légitimation est fondée sur une transformation de l’identité collective, c’est-à-dire de la perception que la population concernée a d’elle-même. La nation, pour justifier les militants, doit paraître combative et intransigeante. L’escalade de violence a donc une dimension productive en ce qu’elle façonne la nation. Ce que je conceptualise comme le mécanisme de l’escalade provoquée constitue la pierre angulaire d’un double processus, celui de légitimation politique et de transformation identitaire. Les militants ressortent d’un tel processus en représentants légitimes de la nation, ce qui les aide ensuite à s’assurer du soutien de tierces parties. Afin d’étayer cette idée, je propose un cadre théorique résumant mon approche à la fois stratégique et constructiviste. Ce cadre est ensuite appliqué dans trois études de cas : les conflits nationalistes en Palestine, au Kosovo et au Québec. Je retrace l’évolution de chacun de ces mouvements nationalistes et le rôle qu’y ont joué les principaux groupes armés impliqués, soit le Fatah/OLP, l’UÇK et le FLQ. J’identifie dans chacun la présence du processus que mon cadre théorique met en évidence et j’analyse, à partir des récits historiques, l’impact que le recours à la violence a eu sur ces projets nationalistes, particulièrement en ce qui concerne la transformation identitaire et la légitimité des militants. Je constate la valeur heuristique de mon approche pour ces cas disparates et, à travers eux, je perçois une co-variation entre l’intensité de la violence et ses effets transformateurs sur l’identité, ainsi que la légitimité acquise par les militants. En outre, dans ces trois cas, l’action militante a contribué à rapprocher l’identité politique des frontières politiques. / In this thesis, I argue that violence is a means used by militant nationalists to persuade their audiences both within and without the nation of the inexorable nature of their nationalist project. What I call the violent politics of nationalism is essentially a struggle for legitimacy. The militants’ armed strategy, I assert, is one of provocation. Political violence is likely to provoke state repression. Where it does so, it vindicates nationalist claims and helps to wrest political legitimacy from the state. Yet, such legitimation is based on a transformation of collective identity, that is, people’s self-perception. The nation, in order to legitimize the militants, has to take a combative and uncompromising look. The intentional escalation of violence thus has a productive effect in that it determines what the people, as a nation, are. The mechanism of provoked escalation constitutes the building block of what I conceptualize as the combined process of political legitimation and identity transformation. When this dynamic is set in motion, militants emerge as the legitimate representatives of their nation which, in turn, helps them to secure the support of third parties. In order to substantiate my argument, I present a theoretical framework summarizing my approach, which I call strategic constructivist. The framework is then applied to a set of three case studies, namely, the nationalist conflicts in Palestine, Kosovo and Québec. I focus on the evolution of the respective nationalist movements and the role played in them by the relevant armed groups, that is, Fatah/PLO, the KLA, and the FLQ. Across these widely disparate cases, I trace the process that my framework highlights. The three historical narratives analyze the impact the use of violence had on the different nationalist projects in terms of identity transformation and the legitimation of militants at home and abroad. I find that my framework offers heuristic purchase in all three cases and that across them the intensity of violence co-varies with its identity-shaping effect and the level of legitimacy the militants achieved. Also, in all three cases militant action contributed to making political identities and political boundaries converge.

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