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Joyful economists : étude des relations historiques entre analyse économique et analyse psychologique du point de vue de "l'économie du bonheur"

Edwards, José Miguel 14 December 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de l'histoire des relations entre l'analyse économique et l'analyse psychologique du point de vue de l'histoire de "l'économie du bonheur" (the economics of happiness). Elle comporte trois parties. La première (The Economics of Happiness) traite du développement historique de l'économie du bonheur et la divise en deux périodes : depuis la première analyse économique des données de bonheur (1974) jusqu'à la fin du XXème siècle, et ensuite. La deuxième partie de la thèse (Bypassing Behavior Control) utilise cette histoire comme point de départ et étudie l'histoire des relations entre l'analyse économique et la psychologie expérimentale. Elle compare deux visions alternatives du comportement du consommateur : en tant qu'agent rationnel qui répond à ses préférences, et en tant qu'influencé par son entourage socio-économique ainsi que par les pratiques publicitaires des producteurs. La troisième et dernière partie de la thèse (Subjective Quantification in Economics), étudie l'histoire de l'usage économique de données subjectives. Elle est centrée sur le développement croissant d'analyses économiques de données de bonheur (subjective well-being), de données d'anticipations (economic expectations) et d'évaluations contingentes (contingent valuations). Elle montre que ces analyses ont été adoptées par des économistes en tant qu'outils de gouvernement et contrôle économique (plutôt qu'outils scientifiques) et explique ainsi l'émergence des dernières analyses des économistes du bonheur, qui utilisent des données de satisfaction comme instruments d'évaluation des politiques environnementales (the life satisfaction approach for valuing environmental goods).
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Rawls et l'utilitarisme : une analyse de l'utilisation de la théorie du choix rationnel dans les théories de John Rawls et de John Harsanyi

Roy-Thouin, Mikael January 2008 (has links) (PDF)
Depuis la parution de A Theory of Justice en 1971, la théorie de la justice comme équité de l'auteur américain John Rawls occupe une place importante dans le domaine de la justice économique et sociale. Les deux principes de justice qu'elle énonce, celui de la plus grande liberté égale pour tous ainsi que le principe de différence associé à une juste égalité des chances, ont été et continuent d'être largement discutés, analysés et critiqués aujourd'hui. Ces principes, applicables dans le cadre d'une démocratie constitutionnelle contemporaine caractérisé par le fait du pluralisme raisonnable, sont présentés par Rawls comme étant ceux que choisirait rationnellement une personne placée derrière un voile d'ignorance l'empêchant de savoir quelle position elle occupe dans la société. Cette situation initiale hypothétique dans laquelle s'effectue le choix des principes de justice par un individu représentatif constitue ce que Rawls décrit comment étant la position originelle. Dans des circonstances similaires à celles de cette position originelle, John Harsanyi estime quant à lui que le choix d'un individu rationnel n'aboutirait pas aux deux principes proposés par Rawls mais plutôt au principe de la maximisation de l'utilité. Pour en arriver à cette conclusion, Harsanyi utilise la théorie bayésienne de la décision rationnelle. Or, alors que la théorie bayésienne implique un recours abondant à des raisonnements probabilistes, Rawls rejette ce type de raisonnement probabiliste au sein de la position originelle. Il appert ainsi que Rawls et Harsanyi utilisent différemment la théorie du choix rationnel en situation d'incertitude, ce qui les amène à défendre des théories de la justice différentes: d'un côté, Rawls élabore une théorie déontologique; de l'autre, Harsanyi développe une version particulièrement sophistiquée de la théorie conséquentialiste qu'est l'utilitarisme. À mes yeux, l'utilisation faite par Harsanyi est en meilleure symbiose avec une application conventionnelle de la théorie de la décision rationnelle. Par ailleurs, bien que Rawls présente ses deux principes comme le résultat du choix rationnel d'un seul individu représentatif, l'idée principale derrière sa théorie de la justice est celle d'un accord volontaire portant sur les termes d'une coopération sociale mutuellement avantageuse entre personnes libres, égales et rationnelles. Je soutiens que cette idée contractualiste est mal servie par l'argumentation à partir de la position originelle et que les véritables arguments de Rawls en faveur de ses deux principes de justice et contre le principe utilitariste sont plus efficaces lorsqu'ils sont présentés indépendamment de la construction de la position originelle. En outre, alors que Rawls présentait initialement sa théorie comme un concurrent direct de l'utilitarisme, la relation entre les deux théories mérite d'être nuancée et précisée à la lumière des écrits subséquents de l'auteur de Théorie de la Justice. Ainsi, lorsque l'on examine leurs applications dans un contexte réaliste, l'utilitarisme et la théorie de la justice comme équité apparaissent en bout de ligne davantage comme des alliés que comme des adversaires sur l'échiquier politique des démocraties libérales contemporaines. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rawls, Harsanyi, Principes de justice, Utilitarisme, Théorie du choix rationnel.
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La théorie des choix rationnels et le comportement animal (1970-1995)

Charest, Yan-Olivier January 2007 (has links) (PDF)
Le mémoire présente une chronique établissant la progression des travaux d'un groupe de chercheurs composé de deux économistes, J. H. Kagel et R. C. Battalio, et de deux psychologues du comportement, H. C. Rachlin et L. Green, qui ont entrepris dans les années soixante-dix de confronter les prédictions de la théorie économique de la décision au comportement de rats et de pigeons évoluant à l'intérieur d'environnements contrôlés. Au début des années quatre-vingt, ces travaux ont suscité un vif intérêt en psychologie et en biologie du comportement, si bien que certains ont alors cru à une éventuelle convergence des différentes disciplines étudiant le comportement animal et humain. En définitive, le dialogue multidisciplinaire qui s'était alors amorcé s'est progressivement effacé vers la fin des années quatre-vingt, ce qui amena finalement Kagel, Battalio, Rachlin et Green a réorienter leur carrière au début des années quatre-vingt-dix. La reconstruction du fil de ces événements se base principalement sur l'étude de la littérature pertinente et sur une série d'entrevues menées au mois de juillet 2006 avec Kagel et Green. Le traitement de ce matériel historique s'appuie par ailleurs sur une approche sociologique qui met l'accent sur les interactions entre les différents acteurs ayant joué un rôle clé dans ces événements et sur les rhétoriques que ces derniers ont développées afin de promouvoir leur intérêt professionnel à l'intérieur des différentes communautés scientifiques concernées. Depuis cette perspective, deux problématiques importantes sont soulevées par ces travaux. La première a trait au processus menant initialement à l'établissement d'un réseau d'acteurs bénéficiant d'appuis institutionnels suffisamment solides pour assurer temporairement la pérennité de leurs recherches. La deuxième a trait aux causes de la dissolution progressive de ce même réseau au début des années quatre-vingt-dix et au rôle qu'ont pu jouer les différents facteurs de résistance institutionnels dans ce processus. Ces deux problématiques sont étudiées par les différents chapitres du mémoire en parallèle des arguments historiques qui y sont développés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire de la pensée économique, Économie expérimentale, Analyse quantitative du comportement, Biologie du comportement.
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Au-delà de l'intérêt national : une étude sociologique des politiques étrangères française et canadienne dans la crise du Kosovo

Morin, David January 2008 (has links) (PDF)
L'intervention militaire au Kosovo conduite dans le cadre de l'opération « Force alliée » est souvent présentée comme une rupture vis-à-vis de la pratique traditionnelle des États en matière de politique étrangère: une guerre humanitaire et morale dont les intérêts nationaux seraient, sinon absents, à tout le moins secondaires dans les motivations des décideurs. Cette recherche revient sur cet épisode marquant des relations internationales en s'efforçant de comprendre une décision de politique étrangère, celle prise par la France et le Canada de participer à cette intervention. Quel est le sens, la signification de cet évènement au regard de la politique étrangère de ces deux pays? Quels indices nous donne-t-elle sur son évolution? En quoi la guerre du Kosovo a-t-elle contribué à améliorer notre compréhension du processus de décision au Canada et en France? Y a-t-elle seulement contribué? En guise de réponse, cette recherche tente de vérifier l'hypothèse selon laquelle le concept d'intérêt national reste pertinent dans le champ de la politique étrangère, à la fois pour comprendre le comportement d'une partie des élites dirigeantes mais également celui d'une partie des gouvernés. Non pas qu'il soit possible de déterminer un intérêt national objectif et rationnel à partir duquel on juge les décisions prises par les États. En revanche, existe l'idée d'intérêt national en tant que concept structurant au niveau du discours et de la pratique en politique étrangère. Encore trop peu exploré dans les travaux de langue française, cette recherche s'interroge sur les outils conceptuels à disposition du chercheur pour appréhender l'objet politique étrangère aujourd'hui. En prenant pour point de départ un triple questionnement -par qui, pourquoi et comment la politique étrangère est-elle construite -cette thèse tente de mettre en dialogue les approches classiques de la décision (réalisme, analyses décisionnelles) et celles s'inscrivant dans ce qu'il est coutume d'appeler le tournant sociologique des Relations internationales (transnationalisme, constructivisme) et propose l'élaboration d'un cadre d'analyse original. De ce point de vue, le cas étudié confirme que les premières offrent des outils tout à fait pertinents, mais qu'elles auraient avantage à mettre ceux-ci plus en lien avec les pistes interprétatives ouvertes par les secondes. Au « qui », cette étude montre que la décision dans ce champ est indissociable du cadre mondial dans lequel elle s'insère et qu'il n'est plus possible pour les acteurs traditionnels de faire fi de l'émergence d'autres acteurs, non étatiques le plus souvent. Il n'en reste pas moins qu'au vu des efforts déployés par les « professionnels de l'État » pour conserver le contrôle de la gestion de la crise, le sentiment qui prédomine est que l'hypothèse du monopole traditionnel de l'exécutif en politique étrangère n'a pas complètement disparu. Au « pourquoi », cette démarche consent à une complexification des logiques qui, loin de répondre à la seule poursuite égoïste d'intérêts collectifs et/ou individuels, mettent en jeu des valeurs, des normes, des cultures et des identités propres et distinctes, qui agissent non pas comme des variables individuelles mais aussi comme des « standards holistes ». A cet égard, la dichotomie classique entre politiques et bureaucrates reste, malgré des différences importantes en France et au Canada, un point de départ valable pour comprendre le fonctionnement du noyau décisionnel dans les deux États. Enfin, au « comment », cette recherche montre que la décision est avant tout une construction et un processus complexe, au sein duquel intérêts et identités se mêlent, et où le langage tout comme les rapports de pouvoir symbolique jouent un rôle essentiel. Dans cette perspective, malgré de nombreux points communs entre la France et au Canada, cette recherche s'arrête surtout sur ce qui les distingue, ce qui dans la perspective d'une réflexion plus globale sur l'évolution des politiques étrangères dans le système mondial, est riche d'enseignements.
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Economie et sociologie : quelles filiations théoriques ? Essais sur le cas de la théorie de l’action des années 1960 à nos jours / Economics and sociology : Which theoretical filiations? Essays on the case of theory of action from the 1960s to our days

Fougy, Florian 04 December 2015 (has links)
Motivée par la conviction que la science économique et la sociologie doivent se rencontrer, notre recherche a deux objectifs. Elle questionne les filiations théoriques (ou migrations conceptuelles) entre la science économique et la sociologie d’une part ; et à analyser les caractéristiques de ces filiations théoriques d’autre part. Alors que s’accroit le dialogue entre la science économique et la sociologie depuis les années 1960, des filiations théoriques entre les deux disciplines sont-elles possibles ? Et quelles en sont les caractéristiques ? Notre recherche repose sur l’étude d’un cas, celui de la théorie de l’action. Nous abordons plus précisément différents objets de cette vaste théorie : la théorie du choix rationnel, le champ de l’économie des conventions et le concept d’encastrement. L’étude révèle que les filiations théoriques entre la science économique et la sociologie sont possibles, ne sont pas systématiques et peuvent être « imparfaites ». / Motivated by the conviction that economics and sociology must combine, our research has two goals. It questions theoretical filiations (or conceptual migrations) between economics and sociology on the one hand ; and analyzes the characteristics of these theoretical filiations on the other hand. Even though the dialogue between economics and sociology has been improving since the1960s, we question whether theoretical filiations between both disciplines are possible ; as well as the nature of the characteristics ? Our research is based on a case study, the theory of action. More specifically, we discuss different objects of this vast theory: the rational choice theory, the field of économie des conventions and the concept of embeddedness. The study reveals that theoretical filiations between economics and sociology are possible, unsystematic and can be considered as « imperfect ».
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La diversité des structures de rationalité en microéconomie / The diversity of rational patterns in microeconomics

Lambert, Aude 16 November 2016 (has links)
La microéconomie conventionnelle présente le concept de rationalité de manière univoque et étroite comme maximisation de l'utilité espérée. On sait les critiques qui ont été adressées à ce concept tant du point de vue de l'économie comportementale que de celui de la sociologie. Notre objectif est de proposer une lecture de certaines de ces critiques afin de montrer que, pour l'essentiel, elles mettent en évidence la diversité des modes de rationalité. Le problème est, dès lors, de savoir si le constat de cette diversité conduit nécessairement à la récusation du modèle standard. Cette thèse s'inscrit dans la double perspective de la théorie du choix rationnel et de la théorie des jeux. À partir des critiques de l'économie comportementale, nous soutenons que le principe de maximisation constitue un mode de raisonnement local et évaluable au regard du contexte d'action. Mais une telle régionalisation implique une profonde révision de la théorie des jeux standard. La récusation de l'équilibre général, fondé sur le présupposé de la maximisation de l'utilité espérée, comme modèle univoque appelle un nouveau type de formalisation. En ce sens, nous montrons que la modélisation multi-agents permet de penser, de manière contrefactuelle, des interactions entre agents économiques rationnels et situés. Cette méthode nous autorise ainsi à élaborer des scénarios rationalisants qui dessinent des mondes possibles sans trancher entre ces mondes. / Standard microeconomics displays the concept of rationality as the maximisation of expected utility i.e. in a narrow and unequivocal sense. The criticisms against this concept made by behavioural economics or sociology are well known. I aim at providing an analysis of some of them in order to emphasise the fact that they mainly highlight the diversity of reasoning modes. But the issue is to know whether the diversity of reasoning modes necessarily leads to reject the standard model. My intention falls into two fields : the theory of Rational Choice and the Game Theory. From the point of view of behavioural economics, I assume that the maximisation is nothing more than a local reasoning mode that can be assessed in relation to the context of action. But this assumption implies correcting the standard Game Theory as well. The fact that the general equilibrium, based on the maximisation of expected utility, cannot be used anymore as an unique model calls a new kind of formalisation. So, I point out that agent-based modelling allows us to conceive, in a counterfactual way, interactions between rational economic agents in their context. Therefore, in this respect, rational patterns of actions and interactions design possible worlds without having to choose between them.

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