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Discours des grands leaders politiques et catholiques du Bénin : critiques et propositions en vue d'une stratégie de communication pour le développement

Boco, Jean Clotaire 01 1900 (has links) (PDF)
La République du Bénin, selon certains observateurs économiques, a de grands atouts pour figurer parmi les nations développées. Depuis plusieurs décennies, elle jouit d'une démocratie enviable et le taux de scolarisation des jeunes est très élevé. Depuis sa constitution comme peuple, elle n'a jamais connu de conflits armés ni de famine. Mais elle figure parmi les pays les plus endettés; car ayant bénéficié d'importants financements alors que les leaders catholiques et politiques, dont les discours sont presque tous similaires, font du développement le premier objectif de leurs discours. Or selon la théorie critique, les mass média influencent les récepteurs en les obligeant à agir tandis que pour la théorie fonctionnaliste les médias influencent ces mêmes récepteurs à cause de la présence en leur sein de certaines personnes dont la popularité, la notoriété ou la technicité permet de convaincre leur audience. Or au Bénin, l'ensemble aussi bien de la classe politique et que de la hiérarchie catholique sont souvent présent sur les médias. Ces deux classes bénéficient à elles seules de 40% du taux d'audience sur les grands medias du pays. Comment se fait-il que ces leaders catholiques et politiques, malgré le crédit -presque divin- dont ils bénéficient n'arrivent pas encore à faire adopter une attitude qui corresponde à leur vision surtout qu'ils bénéficient des audiences les plus grandes dans le pays? Ces audiences sur les medias et des grands rassemblements sont pourtant importantes. Comment se fait-il que le développement, objectif principal de leur mission commune, ne soit pas encore amorcé? Il se pose alors une question d'efficacité des communications des leaders politique et catholique du Bénin sur le développement. Nous nous sommes alors fixé trois objectifs à atteindre. D'abord analyser la place et l'importance réelle de ces leaders d'opinion dans les communications sociales et publiques. Ensuite faire « l'analyse diagnostic» des schémas de communication adoptés par ces leaders à Cotonou et enfin évaluer la place de «l'autre» dans les communications politiques et catholiques du Bénin. Pour y arriver, nous avons sélectionné un ensemble de discours politiques de trois grands partis politiques, de même qu'une série de lettres pastorales de la conférence épiscopale des évêques du Bénin que nous avons analysé à l'aide du logiciel Semato. Ceci nous a permis de dégager les grandes lignes communes et ensuite nous avons établi trois questionnaires d'enquête et fait un focus groupe afin de vérifier si ces discours sont méconnus ou simplement rejetés par les récepteurs. Le résultat auquel nous sommes parvenus dépassait nos attentes. Les personnes interrogées attendent des actes concrets pour amorcer le développement. Le contenu des discours politiques et catholiques sur le développement est inconnu. Les propositions de développement avancées par les personnes interrogées s'accordent avec celles avancées par les leaders catholiques et politiques. Certes, ces discours, sur la question du développement, attirent de grandes audiences qui aiment écouter ces leaders catholiques et politiques. Mais leurs propositions sur le développement ne sont pas mises pour autant en pratique. C'est la même observation qu'ont faite certains grands communicateurs sur le Pape Jean II : Pape populaire et aimé sur les médias mais dont les prises de position sont des plus contestées surtout sur les questions de morale et donc de comportement. ... Enfin, le schéma de communication adopté par les leaders gagne à partir des interrogations et des réalités que vivent les récepteurs à chaque moment; car il s'agit de l'autre. Cet autre doit être au cœur des préoccupations, des théories et méthodes de communication. Nous parlerons de mass media et de focus group. Ne pas les considérer comme des anglicismes. Ce sont des mots clefs précis qui désignent des réalités concrètent. On peut les comparer respectivement aux médias de masse et à des groupes de discutions, mais les réalités ne sont pas profondément identiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Leader, développement, communication pour le développement, récepteur, l'autre, analyse diagnostic, schéma de communication, discours, minimum social commun.
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La construction de la victoire et de la défaite dans un conflit : étude de cas : les guerres israélo-arabes de juin 1967 et d'octobre 1973

Maasarani, Alaa January 2009 (has links) (PDF)
Soixante ans après le déclenchement du conflit Israélo-arabe, le peuple arabe, en particulier, la nouvelle génération continue de se poser les questions suivantes: pourquoi les arabes n'ont pas remporté une victoire écrasante? Et pourquoi ils ont échoué dans la plupart de leurs guerres contre Israël? Plusieurs auteurs et spécialistes ont essayé de répondre à ces questions. La plupart d'entre eux a fourni des arguments et exposé des causes déjà connus sous une forme historique et narrative. Aucun d'entre eux n'a travaillé sur la construction de la défaite ou de la victoire et le rôle joué par cette construction. Aucun analyste ne s'est intéressé non plus aux réalités et à leur ancrage dans la mentalité et l'intellectualité arabes en utilisant les pratiques discursives. Grâce à leurs discours, les dirigeants arabes ont été capables non seulement de représenter la défaite et la victoire, mais aussi de les transfigurer en réalités sociales permanentes. Le présent mémoire traite de la construction sociale de la victoire et de la défaite. Cette demière se fonde sur les pratiques discursives, la représentation et les mécanismes de légitimation et d'imposition (crédibilité). Pour des raisons diverses, nous avons choisi comme cas d'étude les deux guerres israélo-arabes de 1967 et 1973. Nous voudrions démontrer, tout au long de cette étude, l'importance du langage utilisé pour représenter, puis construire une réalité sociale. Les mécanismes de l'imposition et de la légitimation jouent un rôle primordial dans la représentation. Nous allons analyser, en fonction de ces mécanismes, de leurs significations et de leurs justifications, la représentation de la défaite et de la victoire. Nous adopterons alors trois points de vue: militaire, politique et symbolique. Par la représentation militaire, les orateurs tentent de légitimer la défaite ou la victoire par des événements divers, tandis que la représentation politique est considérée comme la première étape dans l'imposition et la crédibilisation de la victoire et de la défaite. L'étape la plus importante dans la construction c'est l'étape symbolique, par laquelle les représentants recourent à la rhétorique pour crédibiliser et justifier la victoire et la défaite. À ce stade, les représentants créent des symboles par lesquels ils peuvent transformer la défaite en une victoire et font de leur triomphe une victoire historique. Pour ce faire, ils se basent sur des significations et des arguments qui glorifient et magnifient la nation arabe, ses peuples et ses forces armées. Enfin, ce travail compte démontrer que la défaite et la victoire durant la guerre de juin 1967 et d'octobre 1973 doivent beaucoup à leurs représentations par les leaders arabes. En utilisant les mécanismes de la légitimité et de la crédibilité dans leurs pratiques discursives, ces demiers construisent la victoire et la défaite et les transmuent en réalités définitives et acceptables chez leurs peuples voire même chez la communauté internationale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Constructivisme, Réalité sociale, Représentation, Défaite, Victoire, Dirigeant arabe.
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Au-delà de l'intérêt national : une étude sociologique des politiques étrangères française et canadienne dans la crise du Kosovo

Morin, David January 2008 (has links) (PDF)
L'intervention militaire au Kosovo conduite dans le cadre de l'opération « Force alliée » est souvent présentée comme une rupture vis-à-vis de la pratique traditionnelle des États en matière de politique étrangère: une guerre humanitaire et morale dont les intérêts nationaux seraient, sinon absents, à tout le moins secondaires dans les motivations des décideurs. Cette recherche revient sur cet épisode marquant des relations internationales en s'efforçant de comprendre une décision de politique étrangère, celle prise par la France et le Canada de participer à cette intervention. Quel est le sens, la signification de cet évènement au regard de la politique étrangère de ces deux pays? Quels indices nous donne-t-elle sur son évolution? En quoi la guerre du Kosovo a-t-elle contribué à améliorer notre compréhension du processus de décision au Canada et en France? Y a-t-elle seulement contribué? En guise de réponse, cette recherche tente de vérifier l'hypothèse selon laquelle le concept d'intérêt national reste pertinent dans le champ de la politique étrangère, à la fois pour comprendre le comportement d'une partie des élites dirigeantes mais également celui d'une partie des gouvernés. Non pas qu'il soit possible de déterminer un intérêt national objectif et rationnel à partir duquel on juge les décisions prises par les États. En revanche, existe l'idée d'intérêt national en tant que concept structurant au niveau du discours et de la pratique en politique étrangère. Encore trop peu exploré dans les travaux de langue française, cette recherche s'interroge sur les outils conceptuels à disposition du chercheur pour appréhender l'objet politique étrangère aujourd'hui. En prenant pour point de départ un triple questionnement -par qui, pourquoi et comment la politique étrangère est-elle construite -cette thèse tente de mettre en dialogue les approches classiques de la décision (réalisme, analyses décisionnelles) et celles s'inscrivant dans ce qu'il est coutume d'appeler le tournant sociologique des Relations internationales (transnationalisme, constructivisme) et propose l'élaboration d'un cadre d'analyse original. De ce point de vue, le cas étudié confirme que les premières offrent des outils tout à fait pertinents, mais qu'elles auraient avantage à mettre ceux-ci plus en lien avec les pistes interprétatives ouvertes par les secondes. Au « qui », cette étude montre que la décision dans ce champ est indissociable du cadre mondial dans lequel elle s'insère et qu'il n'est plus possible pour les acteurs traditionnels de faire fi de l'émergence d'autres acteurs, non étatiques le plus souvent. Il n'en reste pas moins qu'au vu des efforts déployés par les « professionnels de l'État » pour conserver le contrôle de la gestion de la crise, le sentiment qui prédomine est que l'hypothèse du monopole traditionnel de l'exécutif en politique étrangère n'a pas complètement disparu. Au « pourquoi », cette démarche consent à une complexification des logiques qui, loin de répondre à la seule poursuite égoïste d'intérêts collectifs et/ou individuels, mettent en jeu des valeurs, des normes, des cultures et des identités propres et distinctes, qui agissent non pas comme des variables individuelles mais aussi comme des « standards holistes ». A cet égard, la dichotomie classique entre politiques et bureaucrates reste, malgré des différences importantes en France et au Canada, un point de départ valable pour comprendre le fonctionnement du noyau décisionnel dans les deux États. Enfin, au « comment », cette recherche montre que la décision est avant tout une construction et un processus complexe, au sein duquel intérêts et identités se mêlent, et où le langage tout comme les rapports de pouvoir symbolique jouent un rôle essentiel. Dans cette perspective, malgré de nombreux points communs entre la France et au Canada, cette recherche s'arrête surtout sur ce qui les distingue, ce qui dans la perspective d'une réflexion plus globale sur l'évolution des politiques étrangères dans le système mondial, est riche d'enseignements.
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L'ordre et la sécurité publics dans la construction de l'Etat au Cameroun

Belomo Essono, Pélagie Chantal 06 February 2007 (has links) (PDF)
L'ordre et la sécurité constituent le fondement de l'ordre politique au Cameroun. La création, l'« instauration » et la « restauration » de l'ordre représentent la mission essentielle de cet Etat. Dès lors, cette thèse vise à comprendre comment ces deux concepts construisent l'Etat du Cameroun et comment leur décomposition le déconstruit tout en le construisant. Ainsi, ce processus de fabrication de l'ordre sécuritaire et partant de l'Etat s'opère à trois niveaux. Primo, il se bâtit à partir de la collision et de la collusion entre l'endogène et l'exogène. D'une part, l'histoire coloniale (et du pacte colonial qui s'ensuit) structure sa constitution. Dans cette perspective, la coopération militaire France-Cameroun (grâce aux schèmes, aux cadres cognitifs en termes de doctrine et de formation militaires, aux dispositifs sécuritaires français) constitue le socle de la défense et de la sécurité de ce pays. D'autre part, la sécurité du Cameroun se construit au gré de l'ordre international; « la guerre contre le terrorisme », des jeux, des enjeux stratégiques et géostratégiques des puissances à l'œuvre dans le golfe de Guinée, le bassin du Congo, ainsi que de la sécurité nationale et intérieure de ces puissances. Enfin, sur le plan régional, les guerres qui travaillent l'Afrique médiane influencent et agissent sur les modes d'actions sécuritaires du Cameroun. En effet, la formulation, la formalisation de la politique étrangère et la pensée militaire de cet Etat sont fortement imprégnées par la « conflictogénie » qui modèle l'Afrique centrale. Secundo, les mécanismes de fabrication du « dedans » tentent de traduire les modalités de fabrication « endogéinisées » (c'est-à-dire récupérées et intégrées dans le corpus, la pratique sécuritaires internes) et endogènes de la sécurité. La production de l'ordre sécuritaire est un processus dont les forces de sécurité et politiques, dans leurs interactions ou leur déploiement, et les politiques publiques qui en découlent présentent une constance historique qui est le rapport de force, la domination et l'antagonisme dont la finalité est la perpétuation du système autoritaire, la préservation, la reproduction et la pérennisation du pouvoir des gouvernants. Tertio, l'action publique sécuritaire donne à voir une multitude d'acteurs en l'occurrence privés nationaux, étrangers, sociaux et étatiques impliqués dans le marché de la sécurité, dont les actions aboutissent à des mécanismes de sharing, de straddling et de privatisation sécuritaires. Dans ce cadre, loin de présenter une incapacité de l'Etat du Cameroun à gérer sa fonction ontologique et régalienne qu'est la sécurité, il s'agit plutôt d'un nouveau management, d'une reconfiguration de celui-ci et d'une nouvelle « gouvernementalité ».

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