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Wandering lost : searching for the end in Auden and Isherwood's journey to a warBrown, Douglas January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Passivity, resistance and collaboration : intellectual choices in occupied Shangai 1937-1945 /Fu, Poshek, January 1993 (has links)
Texte remanié de: D. Diss.--Stanford University, 199? / Idéogrammes calligraphiés par Ke Ling au verso de la p. d' avant-titre. Bibliogr. p. [221]-240.
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La criminalité à Shanghai pendant la guerre sino-japonaise (1937-1942) / Criminality in Shanghai during the Sino-Japanese war (1937-1942)Jiang, Jie 30 October 2014 (has links)
En se concentrant sur les relations entre guerre et criminalité, cette étude se penche sur les transformations des activités criminelles en temps de guerre et sur l’influence du conflit sino-japonais sur les crimes et délits à Shanghai entre 1937 et 1942. Autour trois types de crimes principaux: l’atteinte aux biens, l’homicide et les infractions sur les stupéfiants, cette recherche examine les changements de la criminalité suscitée par l’évolution de l’environnement de Shanghai. La ville de Shanghai a en effet été marquée par des transformations radicales, autant sur le plan politique, qu’économique, social et spatial suite à l’éclatement de la guerre sino-japonaise à l’été 1937. Pour atteindre cet objectif, nous déploierons trois grandes méthodes de travail : comparaison quantitative, exploitation des statistiques et analyse spatiale. Pour éclairer les mutations de la criminalité et de l’ordre public entraînées par la guerre, nous comparerons l’importance quantitative relative des crimes et délits entre deux périodes : la décennie de Nanjing (1927-1936) d’une part et la période de guerre d’autre part. Nous réaliserons également une analyse statistique de l’évolution des activités criminelles en temps de guerre pour révéler la diversité des situations criminelles au cours de cette période spécifique qu’est la guerre. Enfin, en s’appuyant sur le logiciel de Système d’Information Géographique (SIG), nous proposerons une analyse spatiale de la criminalité pour évaluer l’importance de la dimension spatiale de la criminalité mettre au jour la forte corrélation entre criminalité et espace. / By focusing on the relationship between war and criminality, this study concentrates on the transformation of crime and the influence of this conflict on crimes in Shanghai during the years of the hostilities. Around three main types of crimes: offence against property, homicide and drug crime, this research examines the change of crime caused by the evolution of the environment of Shanghai, which has actually undergone a radical modification in politics, economy, society and urban space after the outbreak of the war in the summer of 1937. In order to realize this objective, three main methods are used in this study: a quantitative comparison, statistical and spatial analysis. So as to highlight the change in the situation of criminality and in the public order after the eruption of the war, a quantitative comparison between the crimes during the Nanjing decade (1927-1936) and the period of war is carried out. Meanwhile, a statistical analysis of the evolution of criminal activities in the different years of the wartime is implemented to reveal the various state of crime in different periods of the war. Finally, based on GIS software, a spatial analysis is performed to confirm the correlation between crimes and the spatial factor.
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Le gouvernement collaborateur de Wang Jingwei : aspects de l’État d’occupation durant la guerre sino-japonaise, 1940-1945. / The collaborating government of Wang Jingwei : aspects of the state of occupation during the Sino-Japanese War, 1940-1945.Serfass, David 20 November 2017 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier le gouvernement collaborateur dirigé par Wang Jingwei (1940-1945) à la croisée de deux trajectoires : celle de l’État chinois moderne et celle de l’Empire japonais. Au-delà d’un approfondissement des connaissances sur l’occupation japonaise en Chine, mon travail ambitionne d’enrichir le champ des études sur l’État lui-même. Une telle approche ne va pas de soi, tant le caractère « fantoche » attribué à ce régime par l’historiographie chinoise l’a longtemps isolé du reste de la période et cantonné à une histoire des tenants idéologiques de la collaboration. Sans évacuer cet aspect, mon approche consiste à l’inscrire dans une étude politique et sociale du gouvernement et de l'administration, afin de saisir le fonctionnement réel de la machine étatique en zone occupée. Pour ce faire, je développe le concept d’État d’occupation, qui désigne l’ensemble formé par les organisations japonaises (institutions militaires et civiles) et chinoises (gouvernements collaborateurs locaux), établies afin d’administrer la Chine occupée. La construction de cet État, qui visa, à partir de 1940, à intégrer ces organisations derrière la façade du gouvernement de Wang Jingwei, fut détournée par des logiques de formation, nées des contradictions entre ses différents acteurs. Ce processus est examiné en adoptant des focales différentes. La première partie étudie la mise en place de l’État d’occupation du point de vue japonais, en montrant l’impact qu’eurent, l’un sur l’autre, centre et périphérie au sein de l’Empire nippon. Je reviens ensuite sur la genèse de cet État d’occupation, jusqu’à la formation du gouvernement de Wang Jingwei. La deuxième partie réduit la focale pour s’intéresser à l’organisation particulière de ce dernier, dont la spécificité, par rapport aux autres régimes collaborateurs, provenait de l’ambition qu’avait le groupe de Wang de restaurer le Gouvernement nationaliste légitime dans le cadre d’un « retour à la capitale ». La troisième partie, enfin, se penche sur le cas de la fonction publique en zone occupée, dont le cadre institutionnel et idéologique est mis en regard avec les conditions de vie des agents. / This dissertation studies the collaboration government headed by Wang Jingwei (1940-1945) at the crossroads of two trajectories: those of China’s modern state and Japan’s Empire. More broadly, my work aims at enriching the field of state-building research. Such an approach may seem counter-intuitive, as this regime is still labelled a "puppet" by Chinese historiography, which has cast it aside from the rest of the period and confined it to an ideological history of collaboration. I consider it within the context of a political and social study of government and administration, which tries to grasp the real functioning of the state machine in the occupied zone. For this purpose, I develop the concept of occupation state, i.e. a larger apparatus than the sole collaboration regimes, which included Japanese military and civilian agencies as well as Chinese local governments. From 1940 on, the state-building process aimed at integrating these organizations behind the façade of the Wang Jingwei government. However, it was diverted by a formation process, which resulted from the contradictions between its different actors. I explore this process from three different angles. The first part studies the establishment of the occupation state from the Japanese point of view, showing the mutual impact of centre and periphery within the Japanese Empire. Then, it follows the genesis of the occupation state up to the establishment of the Wang Jingwei government. The second part focuses on the experience of the latter, whose specificity, compared to other pro-Japanese regimes, was the ambition of the Wang group to restore the legitimate nationalist government as part of a "return to the capital". Thirdly, I look at the administrative personnel’s institutional and ideological framework as well as their living conditions.
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Étude comparée des missions médicales de Norman Bethune en Espagne et en Chine (1936-1939)Dufour-Bergeron, Pierre-Luc 23 April 2018 (has links)
Dans la seconde moitié des années 1930, de nombreux conflits éclatent dans le monde. La Guerre civile espagnole, qui oppose le gouvernement républicain et les troupes nationalistes du général Francisco Franco, débute en 1936. En 1937, c’est la Seconde Guerre sino-japonaise qui débute en Asie. Les besoins médicaux sont alors énormes dans les deux cas. Le médecin canadien Norman Bethune se rend successivement en Espagne et en Chine afin d’y apporter sa contribution professionnelle. Il se retrouve alors confronté à des conditions médicales aux antipodes de ce qu’il avait connues dans sa pratique antérieure. À Madrid, il développe son unité mobile de transfusion sanguine, une solution permettant d’acheminer d’importantes quantités de sang d’un hôpital à l’autre et de soigner plusieurs soldats blessés au front. Dans le nord de la Chine, région contrôlée par les communistes, il doit cependant en faire beaucoup plus. Il invente notamment des instruments, prend en charge la formation du personnel médical, met sur pied un hôpital-école et pratique un très grand nombre d’opérations. Bien qu’il se dévoue à sa cause dans les deux cas, il devient, après sa mort, un héros national en Chine mais pas en Espagne. Plusieurs points expliquent pourquoi et comment ses missions se sont déroulées de façon totalement différente et pourquoi les résultats n’ont pas été les mêmes dans les deux pays.
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