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On the Relevance of Folk Intuitions: A Commentary on TalbotSytsma, Justin, Machery, Edouard 01 June 2012 (has links)
In previous work, we presented evidence suggesting that ordinary people do not conceive of subjective experiences as having phenomenal qualities. We then argued that these findings undermine a common justification given for the reality of the hard problem of consciousness. In a thought-provoking article, Talbot has challenged our argument. In this article, we respond to his criticism.
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Le monisme neutre et le « problème difficile de la conscience »Miranda Quiroga, Luis Alberto 11 1900 (has links)
Le « problème difficile » de la conscience (Chalmers 1996) ou la question de pourquoi nos
états mentaux sont dotés d’une certaine qualité subjective met en évidence l’existence d’un
« écart explicatif » (Levine 1983) entre l'expérience vécue du sujet et les structures physiques
et fonctionnelles du cerveau (ou de l’organisme dans son ensemble). Parmi les plusieurs
solutions envisagées pour le trancher, le monisme neutre s’érige comme une option attirante
entre les extrêmes du physicalisme et le dualisme. Dérivé initialement de la pensée de
Bertrand Russell (1927), le monisme neutre part d’une simple constatation : dans notre
conception scientifique de la matière, il y a un écart conceptuel important entre le rôle causal
qu’on lui reconnait, et ses propriétés intrinsèques, fondamentales, qu’on ignore
complètement. En d’autres mots, on sait que la matière se comporte de telle ou telle façon,
mais on ne comprend pas pourquoi il en est ainsi. En ce sens, la nature fondamentale de la
matière ne serait ni de l’ordre physique ni de l’ordre mental, mais quelque chose de neutre
duquel émergeraient les propriétés physiques et mentales. L‘objectif de notre mémoire est
d’expliquer en détail les antécédents, l’origine, le développement, l’évolution et les
perspectives de cette solution en la comparant, notamment, avec d’autres postures monistes
et neutralistes. Au passage, nous allons aussi évaluer certaines des objections qui ont été
formulées à son égard. On s’attardera enfin sur quelques formulations contemporaines
inspirées de la thèse russellienne dans le but de réfléchir sur leur plausibilité. / The “hard problem” of consciousness (Chalmers 1996) or the question on why our mental
states are endowed with a certain subjective quality renders evident the existence
of an “explanatory gap” (Levine 1983) between the experience lived by the subject and the
brain’s physical and functional structures (or the organism’s altogether). Among the many
solutions devised to solve it, Neutral Monism stands as an appealing alternative between the
extremes of physicalism and dualism. Initially derived from Bertrand Russell’s thought
(1927), Neutral Monism departs from this starting fact: within our scientific conception of
matter, there is an important conceptual gap between the causal role thereof and its hitherto
unknown intrinsic, fundamental properties. In other words, we know that matter behaves in
such and such a way, but we do not know why it is so. In the light of these facts, the
fundamental nature of matter is neither physical nor mental, but it identifies to a neutral stuff
from which would emerge both the physical and mental properties. In that sense, this research
focuses on spelling out the antecedents, origin, development, evolution and prospects of this
solution, comparing it with other monist and neutralist positions. As research develops, we
shall assess some of the objections raised against it. Finally, we shall consider some
contemporary formulations inspired by the Russellian thesis in order to reflect upon their
plausibility.
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Au-delà du physicalisme : le ressenti de conscience / Beyond the physicalism : the feelings of consciousnessBoschi, Jean-Charles 10 December 2016 (has links)
Le physicalisme explique scientifiquement le problème de la conscience et peut se définir comme étant le problème résiduel de toutes les tentatives de réduction. Le physicalisme, dès lors, doit-il être toujours considéré comme la position métaphysique dominante et comme la méthodologie incontournable de toute théorie de la conscience ? Les tenants d’un physicalisme matérialiste radical réfutent le caractère irréductible du ressenti de conscience sur les processus neurobiolologiques. Cependant, éliminer la réalité idéelle du ressenti subjectif de l’expérience consciente semble n’aboutir qu’à l’échec du physicalisme dans sa vision matérialiste radicale car la seule analyse structurelle et perceptuelle des caractères phénoménaux d’un organisme ne peut traiter de manière explicite le caractère subjectif de l’expérience consciente. Les philosophes non réductionnistes et les dualistes postulent, donc, le dépassement du physicalisme à travers un néo-dualisme moderne. Dès lors, le ressenti de conscience doit-il être considéré comme un simple dépassement du physicalisme ou devons-nous le considérer comme étant au-delà du physicalisme ? La question essentielle qui se posera tout au long de notre thèse sur le ressenti de conscience est de savoir pourquoi le ressenti de conscience existe et pas seulement comment il existe ? Le pourquoi du ressenti de conscience nous entraine à travers le rôle imparti dans l’émergence de la conscience que représente le fossé explicatif physico-psychique sur ce que l’on nomme le « hard problem of consciousness ». / Physicalism scientifically explains the problem of consciousness and can be defined as the residual problem of all attempts of reduction. So, can physicalism always be considered as the supreme metaphysical stance and the unavoidable methodology of all theory of consciousness ? The supporters of a radical materialistic methodology deny the ireductible character of the perception of consciousness. So, they rule out any mental causality and any dualist vision of consciousness through the elimination of the perception of consciousness as a conscious experience and they argue that any physical effect is only terminated by the physical aspect.However, ruling out the ideal reality from the subjective perception seems only to result in the failure of physicalim in its radical materialistic vision, because the structural and perceptual of the phenomenal characters of an organism only cannot explicitly deal with the subjective character of a conscious experience.The non reductionist philosophers and the dualists assume the concept exceeding of physicalism through a modern neo-dualism. The basic issue of our dissertation is to know why the perception of consciousness exists and not only why it exists. The reasons of the perception of consciousness carries us, through the part played in the emergence of consciousness by the physico-psychic explanatory gap, to what is called "the hard problem of consciousness".So, in our dissertation, we shall try to rebut the conclusions of eliminativist physicalism and assume the emergence of the dualism of properties and a modern neo-dualism through the two key questions.
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Invariance organisationnelle et conscience artificielleBrodeur, Julien 08 1900 (has links)
Ce mémoire se penche sur la possibilité de la conscience artificielle. Plus spécifiquement, je me demande s’il est possible qu’un robot, un ordinateur ou toute autre machine ait une conscience phénoménale, i.e. qu’il y ait un effet que cela fait que d’être ces systèmes. Après avoir brièvement caractérisé la conscience phénoménale, j’investiguerai quelques problèmes qui sont propres à la conscience, soit le problème difficile de la conscience ainsi que le problème des autres esprits, dans le but d’établir le cadre conceptuel qui nous permettra de réfléchir quant à la possibilité de la conscience artificielle. Dans le deuxième chapitre, je défendrai la thèse selon laquelle la conscience artificielle est possible en m’appuyant notamment sur le principe d’invariance organisationnelle défendu, entre autres, par David Chalmers, ainsi que sur la théorie computationnelle de l’esprit. Finalement, dans le troisième et dernier chapitre, j’évaluerai diverses objections contre la possibilité de la conscience artificielle que je tenterai tour à tour de réfuter dans le but maintenir ma thèse initiale aussi intacte que possible. / This thesis examines the possibility of artificial consciousness. More specifically, I consider the possibility for a robot, computer or any other machine to have phenomenal consciousness, i.e. that there is something it is like to be those systems. After having briefly characterized phenomenal consciousness, I will investigate some problems that are specific to consciousness, namely the hard problem of consciousness as well as the problem of other minds, in order to establish the conceptual framework that will allow us to reflect upon the possibility of artificial consciousness. In the second chapter, I will defend the thesis that artificial consciousness is possible by relying on the principle of organizational invariance which is defended by David Chalmers, among others, as well as on the computational theory of the mind. Finally, in the third and last chapter, I will assess various objections against the possibility of artificial consciousness which I will try to refute in turn in order to keep my initial thesis as intact as possible.
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