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La religion comme expérience : épistémologie et métaphysique de l'expérience religieuse dans l'oeuvre de William James / Religion as experience

Mollard, Romain 16 November 2016 (has links)
Ce travail vise à explorer la notion d’expérience religieuse dans l’oeuvre de William James (1842-1910). Si cette notion est tout à fait centrale dans les Variétés de l’expérience religieuse (1902), elle joue aussi un rôle très important dans bon nombres d’autres oeuvres, si bien qu’il est possible de dire qu’une grande partie du projet empiriste de James se joue au travers de cette question. En réalité, l’un des principaux problèmes que cet empirisme religieux doit affronter consiste à savoir si ces expériences humaines du divin permettent de faire des affirmations vraies, publiques et objectives au sujet de l’existence d’une forme de conscience supra humaine. Si dans, un premier temps, James développera son pragmatisme de manière à poser un lien entre Dieu et ces expériences religieuses en faisant l’économie d’une explication de type causale, il sera contraint, par la suite, d’élaborer une explication métaphysique de la possibilité de ces expériences, ce qui l’amènera à accepter la thèse panthéiste et panpsychiste d’une compénétration des champs de conscience. L’expérience religieuse apparaît alors, par réaction à une forme explicite d’« inquiétante étrangeté », comme une expérience métaphysique de l’intimité avec l’univers. / This work aims at exploring the concept of religious experience in the work of William James (1842-1910).This notion is not only central in The Varieties of Religious Experience, but it also plays a significant role inmany of his other works so much that it is possible to say that a large part of James’s empiricism is at stakein this issue. One of the main problems that this religious empiricism faces consists in knowing if the human experiences of the divine allow some true, public, objective assertions about the existence of aform of supra human consciousness. If, at first, James developed his pragmatism so as to make a link between God and the human experiences of the divine while avoiding metaphysical explanations of acausal type, later on, he felt the necessity to work out a metaphysical explanation, which lead him to accept the pantheist and panpsychist thesis of a possible interpenetration of the fields of individual consciousness. As a reaction to an explicit form of experience of the “uncaniness or the ordinary”, religious experience thus appears, as a metaphysical experience of intimacy with the universe.
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Le monisme neutre et le « problème difficile de la conscience »

Miranda Quiroga, Luis Alberto 11 1900 (has links)
Le « problème difficile » de la conscience (Chalmers 1996) ou la question de pourquoi nos états mentaux sont dotés d’une certaine qualité subjective met en évidence l’existence d’un « écart explicatif » (Levine 1983) entre l'expérience vécue du sujet et les structures physiques et fonctionnelles du cerveau (ou de l’organisme dans son ensemble). Parmi les plusieurs solutions envisagées pour le trancher, le monisme neutre s’érige comme une option attirante entre les extrêmes du physicalisme et le dualisme. Dérivé initialement de la pensée de Bertrand Russell (1927), le monisme neutre part d’une simple constatation : dans notre conception scientifique de la matière, il y a un écart conceptuel important entre le rôle causal qu’on lui reconnait, et ses propriétés intrinsèques, fondamentales, qu’on ignore complètement. En d’autres mots, on sait que la matière se comporte de telle ou telle façon, mais on ne comprend pas pourquoi il en est ainsi. En ce sens, la nature fondamentale de la matière ne serait ni de l’ordre physique ni de l’ordre mental, mais quelque chose de neutre duquel émergeraient les propriétés physiques et mentales. L‘objectif de notre mémoire est d’expliquer en détail les antécédents, l’origine, le développement, l’évolution et les perspectives de cette solution en la comparant, notamment, avec d’autres postures monistes et neutralistes. Au passage, nous allons aussi évaluer certaines des objections qui ont été formulées à son égard. On s’attardera enfin sur quelques formulations contemporaines inspirées de la thèse russellienne dans le but de réfléchir sur leur plausibilité. / The “hard problem” of consciousness (Chalmers 1996) or the question on why our mental states are endowed with a certain subjective quality renders evident the existence of an “explanatory gap” (Levine 1983) between the experience lived by the subject and the brain’s physical and functional structures (or the organism’s altogether). Among the many solutions devised to solve it, Neutral Monism stands as an appealing alternative between the extremes of physicalism and dualism. Initially derived from Bertrand Russell’s thought (1927), Neutral Monism departs from this starting fact: within our scientific conception of matter, there is an important conceptual gap between the causal role thereof and its hitherto unknown intrinsic, fundamental properties. In other words, we know that matter behaves in such and such a way, but we do not know why it is so. In the light of these facts, the fundamental nature of matter is neither physical nor mental, but it identifies to a neutral stuff from which would emerge both the physical and mental properties. In that sense, this research focuses on spelling out the antecedents, origin, development, evolution and prospects of this solution, comparing it with other monist and neutralist positions. As research develops, we shall assess some of the objections raised against it. Finally, we shall consider some contemporary formulations inspired by the Russellian thesis in order to reflect upon their plausibility.
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Quatre réponses au problème de la combinaison pour le monisme russellien

Tremblay-Baillargeon, Victor 08 1900 (has links)
Le « problème difficile de la conscience » consiste à comprendre pourquoi certains processus physiques, comme ceux ayant lieu dans le cerveau humain, donnent lieu à de la conscience, c’est-à-dire à de l’expérience subjective. Ce mémoire se penche sur une théorie cherchant à répondre au problème difficile de la conscience : le monisme russellien. Cette théorie affirme en bref que la conscience est la nature intrinsèque de la matière. Le monisme russellien espère pouvoir expliquer l’existence de la conscience humaine en posant la conscience au niveau fondamental de la réalité. Toutefois, des critiques affirment que cette théorie est incapable d’expliquer comment la conscience présente dans la matière pourrait se combiner pour former la conscience humaine. Une telle objection se nomme le « problème de la combinaison ». Après une présentation du monisme russellien et du problème du la combinaison, la plausibilité de quatre différentes réponses au problème de la combinaison sera évaluée. Ces quatre réponses tâchent de rendre intelligible la manière dont la conscience présente dans la matière pourrait se combiner pour constituer la conscience humaine. / The "hard problem of consciousness" is the problem of understanding why certain physical processes, such as those taking place in the human brain, give rise to consciousness, or subjective experience. This thesis examines a theory that seeks to answer the hard problem of consciousness: Russellian monism. In short, this theory asserts that consciousness is the intrinsic nature of matter. Russellian monism hopes to explain the existence of human consciousness by positing consciousness at the fundamental level of reality. However, critics claim that this theory is unable to explain how consciousness present in matter could combine to form human consciousness. Such an objection is called the "problem of combination". After a presentation of Russellian monism and the combination problem, I critically evaluate the plausibility of four different answers to the combination problem. These four different answers try to make intelligible the way in which consciousness present in matter could combine to constitute human consciousness.

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