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Contribution à l'étude des déterminants de la qualité des informations comptables produites par les entreprises libyennes / Contribution to the study of the determinants of the quality of accounting information produced by Libyan companiesMahmoud, Salim 18 December 2012 (has links)
Cette thèse a pour objet de proposer une réponse à la question : « quels sont les déterminants de la qualité de l’information comptable diffusée par les entreprises libyennes dans leurs rapports annuels. ». La réponse apportée est à la fois théorique et empirique. Pour ce faire, au plan théorique, nous proposons une approche théorique et institutionnelle de la diffusion d’informations comptables. Ensuite, pour avoir une mesure numérique de la qualité de l’offre d’informations d’un rapport annuel, un système de pondération est attachée aux items de la liste. Cette pondération est établie sur la base des points attribués par différents utilisateurs, à savoir les analystes financiers et les experts comptables, présentés sous forme d’un questionnaire. Elle permet de calculer un indice numérique de qualité. L’indice de qualité de l’information comptable diffusée est une mesure de la satisfaction des besoins des analystes financiers et experts-Comptables. L’indice de qualité sert à évaluer les rapports annuels, pour ce faire, nous allons utiliser la méthode de l’équipondération qui semble qualifié comme objective. Les rapports annuels seront évaluer à l’aide de liste d’items pour la période 2007-2008-2009, par une méthode dichotomique en prenant 1 si l’item est présent et dans le cas contraire 0, afin de déterminer le score d’indice.L’indice de qualité obtenu pour chaque rapport annuel des entreprises étudiées nous aidera à explorer les déterminants potentiels de la qualité d’informations comptables diffusées dans le rapport annuel. L’étude statistique pour les dix hypothèses permet d’approfondir la connaissance des déterminants des pratiques de diffusion en Libye, et pour ce faire, nous allons utiliser principalement la méthode de régression linéaire multiple. En parallèle, nous évaluerons le niveau d’harmonisation comptable au sein des entreprises libyennes pour la période (2009) en utilisant l’indice C de comparabilité de Van der Tas (1988).Les résultats de cette recherche contribuent à la connaissance de la pratique de diffusion d’informations en Libye. / No abstract available
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Harmonisation comptable internationale dans les pays émergents : contigences environnementales ou pressions institutionnelles ? : cas de la Tunisie / International accounting harmonization in emerging countries : environmental contingencies or institutional pressures ? : the Tunisian caseTrabelsi, Raoudha 22 November 2011 (has links)
La recherche conduite se focalise sur le cas de la Tunisie, un pays émergent, initialement imprégné d'une culture comptable continentale, qui s'est engagé en 1997 dans une réforme avant-gardiste d'harmonisation comptable internationale, devançant plusieurs pays, dont ceux de l'Union Européenne, en abandonnant son Plan Comptable Général hérité de la période coloniale française, pour adopter son premier système comptable de type anglo-saxon, largement inspiré du référentiel international. Alors que la normalisation comptable internationale a considérablement évolué depuis 1997, notamment par le remplacement en 2001 de l'IASC par l'IASB, et l'introduction des IFRS, paradoxalement, très peu de révisions ont été apportées au système tunisien, laissant ainsi apparaître un écart, qui s'est progressivement creusé, entre normes tunisiennes et normes internationales. Cette situation interroge les motivations réelles ayant provoqué la réforme de 1997, qui peut être due aussi bien à un réel besoin local de se joindre à la sphère mondiale, qu'à une volonté d'afficher une étiquette ou un "Label ", au sens de Daske et al. (2007), afin de se conformer aux recommandations des organismes internationaux, et d'attirer différentes parties prenantes étrangères. Il convient de ce fait de s'interroger sur la nature des facteurs à l'origine du processus d'harmonisation comptable internationale en Tunisie : s'agit-il de contingences environnementales, ou de pressions institutionnelles? Ainsi, conformément à une structure de recherche classique, avec l'exposition d'une revue de la littérature, suivie d'une étude exploratoire du terrain exploitant qualitativement des entretiens réalisés auprès de professionnels tunisiens, pour mener enfin l'étude empirique proprement dite, dans une démarche quantitative, notre recherche se base sur la théorie de la contingence et l'approche néo-institutionnelle, pour répondre à la problématique suivante : Dans un pays émergent historiquement à tradition comptable continentale, comment se mesure l'avancement du processus d'harmonisation internationale et quels en sont les déterminants? Exploitant des réponses recueillies de juin à septembre en 2009 puis en 2010, via un questionnaire administré auprès de professionnels exerçant au sein de cabinets d'expertise comptable tunisiens et de cadres comptables exerçant au sein d'entreprises localisées en Tunisie, cette étude a pu montrer un faible niveau général d'harmonisation comptable internationale en Tunisie, de jure, mais surtout de facto. Aussi, l'analyse a montré que les facteurs étudiés susceptibles d'avoir un impact sur l'avancement du processus d'harmonisation sont à la fois contingents et néo-institutionnels, ces derniers étant les plus influents, pour les cabinets, alors qu'ils sont exclusivement néo-institutionnels, pour les entreprises. Le modèle comptable anglo-saxon ne serait donc pas pertinent pour toutes les entités économiques tunisiennes, la réforme de 1997 n'étant principalement que le résultat de pressions institutionnelles, notamment étrangères, exercées sur les choix économiques et politiques du pays, plutôt que d'un besoin émanant des différents acteurs interagissant dans le tissu économique tunisien local. En l'occurrence, parmi les parties exerçant une influence sur les entités tunisiennes pour les adapter à la culture anglo-saxonne des normes internationales, cette étude a identifié, les réseaux internationaux d'expertise comptable et d'audit, notamment les Big4, les groupes de sociétés multinationales, les parties prenantes étrangères des entreprises exportatrices, etc. Ainsi, seules les entités à dimension internationale présentent des niveaux élevés de familiarisation avec les IFRS. / The study focuses on the case of Tunisia, an emerging country, initially impregnated by a continental accounting culture, having started in 1997 a pioneering reform of international accounting harmonization. Thus, ahead of several countries including those of the European Union, Tunisia replaced its General Accounting Plan inherited from the French colonial period, to adopt its first Anglo-Saxon accounting system, largely inspired by the international accounting system. But while the international accounting standardization had changed considerably since 1997, with the replacement of the IASC in 2001 by the IASB, and the introduction of IFRS, adding a "financial" dimension to the accounting information, paradoxically, very few revisions were made to the Tunisian system, showing a gap between Tunisian and international standards, that kept progressively widening. This situation of Tunisian accounting standardization, between a need and a will to make up the process of harmonizing with the international accounting standards, and a maintain of the Tunisian standards inspired by revised and even repealed old international standards, questions about the real motivations behind the 1997's Tunisian accounting reform. It may as well have been legitimized by a local real need to join the global sphere, or as a desire to display a label as defined in Daske et al. (2007), in order to comply with the recommendations of international organizations, and to attract foreign stakeholders. We therefore question the nature of the factors behind the process of international accounting harmonization in Tunisia: is it due to environmental contingencies, or institutional pressures? Following a conventional research structure, with a literature review, an exploratory study exploiting qualitatively interviews conducted with Tunisian professionals, and an empirical study using a quantitative approach, our research is based on the contingency theory and the neo-institutional approach, to address the following research question:In an emerging country historically impregnated with continental accounting tradition, how to measure the progress of the international harmonization process and what are its determinants? Exploiting responses collected via a questionnaire conducted from June 2009 to September 2009, and from June 2010 to September 2010, and administered to professionals working in Tunisian accounting firms or affiliated to the accounting departments of different Tunisian firms, the study showed the stagnation of the international accounting harmonization process in Tunisia. Also, the analysis showed that there are both contingent and institutional factors behind the launch of harmonization process, for accounting professionals working in accounting firms, and only institutional factors for professionals affiliated to accounting departments of Tunisian firms. The Anglo-Saxon accounting model would not be relevant for all economic entities in Tunisia, since the 1997 reform is principally the result of institutional pressures, mostly international ones, impacting the economic and political choices of the country, rather than a choice made to fulfill a need expressed by the various actors interacting in the local Tunisian economy. Among the parties that push Tunisian entities to be familiarized with the Anglo-Saxon culture of the international standards, our study identified the international accounting and auditing networks, including the Big4, the multinational groups, the stakeholders of foreign exporting firms, etc. Thus, in Tunisia, only the entities dealing with such international environment have high levels of familiarization with IFRS standards.
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L'incidence des facteurs socioculturels dans le reporting financier et le reporting sociétal : Un essai de comparaison entre la France et l'AllemagneCretté, Olivier 10 July 2012 (has links) (PDF)
Nos travaux, dans le prolongement de recherches envisageant l'harmonisation comptable internationale (IAS/IFRS) et la mise en place des indicateurs de Responsabilité Sociale de l'Entreprise (RSE) sous un angle processuel et " historico évolutif ", tendent à s'en démarquer en recherchant les moyens d'analyser l'information issue du reporting financier (IAS/IFRS) et extra-financier (RSE) dispensée durant la période 2006-2010 par les sociétés cotées composant les indices boursiers français du CAC 40 et du SBF 120, d'une part, et allemands du DAX 30 et du DAX 100, d'autre part, et en substituant à une approche souvent inductive dans ce domaine une démarche hypothético-déductive. Ils mettent en regard, d'une part, les données recueillies et, d'autre part, les intérêts des actionnaires/investisseurs ainsi que de l'ensemble des parties prenantes de part et d'autre du Rhin, sur le fondement théorique de la théorie de l'agence et la théorie des parties prenantes. La méthode employée, à la fois quantitative et qualitative, vise d'abord à utiliser des outils de mesure se fondant sur des moyennes, médianes et analyses de régression combinant plusieurs variables exprimées pour l'essentiel sous la forme de ratios comptables et financiers (IAS/IFRS) ; cette mesure s'étend à un recensement de l'occurrence de mots dans les supports d'information extra-financière (rapports RSE et de développement durable). Puis à interroger les responsables administratifs et financiers en charge de l'application du référentiel IAS/IFRS ainsi que les responsables de la communication RSE et du développement durable des sociétés de notre panel, au moyen de questionnaires se fondant sur les outils de " logique floue ". Nous ne cherchons pas à mesurer l'incidence des normes IAS/IFRS et des indicateurs RSE ni sur la performance financière, ni en taux de retour sur la valeur boursière. Nous observons par nos résultats des nuances de perception des normes IAS/IFRS et des objectifs de RSE dans le reporting financier et extra-financier susceptibles d'être imputées à des facteurs socioculturels, et répondant à une gouvernance plus actionnariale en France qu'en Allemagne.
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L’incidence des facteurs socioculturels dans le reporting financier et le reporting sociétal : Un essai de comparaison entre la France et l’Allemagne / The incidence of socio-cultural factors on financial reporting and corporate social reporting : an attempt of comparison between France and GermanyCretté, Olivier 10 July 2012 (has links)
Nos travaux, dans le prolongement de recherches envisageant l’harmonisation comptable internationale (IAS/IFRS) et la mise en place des indicateurs de Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE) sous un angle processuel et « historico évolutif », tendent à s’en démarquer en recherchant les moyens d’analyser l’information issue du reporting financier (IAS/IFRS) et extra-financier (RSE) dispensée durant la période 2006-2010 par les sociétés cotées composant les indices boursiers français du CAC 40 et du SBF 120, d’une part, et allemands du DAX 30 et du DAX 100, d’autre part, et en substituant à une approche souvent inductive dans ce domaine une démarche hypothético-déductive. Ils mettent en regard, d’une part, les données recueillies et, d’autre part, les intérêts des actionnaires/investisseurs ainsi que de l’ensemble des parties prenantes de part et d’autre du Rhin, sur le fondement théorique de la théorie de l’agence et la théorie des parties prenantes. La méthode employée, à la fois quantitative et qualitative, vise d’abord à utiliser des outils de mesure se fondant sur des moyennes, médianes et analyses de régression combinant plusieurs variables exprimées pour l’essentiel sous la forme de ratios comptables et financiers (IAS/IFRS) ; cette mesure s’étend à un recensement de l’occurrence de mots dans les supports d’information extra-financière (rapports RSE et de développement durable). Puis à interroger les responsables administratifs et financiers en charge de l’application du référentiel IAS/IFRS ainsi que les responsables de la communication RSE et du développement durable des sociétés de notre panel, au moyen de questionnaires se fondant sur les outils de « logique floue ». Nous ne cherchons pas à mesurer l’incidence des normes IAS/IFRS et des indicateurs RSE ni sur la performance financière, ni en taux de retour sur la valeur boursière. Nous observons par nos résultats des nuances de perception des normes IAS/IFRS et des objectifs de RSE dans le reporting financier et extra-financier susceptibles d’être imputées à des facteurs socioculturels, et répondant à une gouvernance plus actionnariale en France qu’en Allemagne. / This study, in the extension of researches aimed at harmonising accounting internationally (IAS/IFRS) and implementing Corporate Social Responsibility (CSR) indicators from a processual and “historical evolutional” angle, tends to differ from them by focusing on the means to analyse the information issued from financial (IAS/IFRS) and extra-financial (CSR) reporting released during the 2006-2010 period by the listed companies which compose the French and German stock market indexes respectively CAC40/SBF120 and DAX30/DAX100, and replacing an oftentimes inductive approach in this field with a hypothetical and deductive process. It compares the collected data on the one hand, and the needs of shareholders/investors and third parties as a whole on the other hand, on either side of the Rhine, on the basis of the theoretical frame of the agency theory and the stakeholder theory.The method employed, which is both quantitative and qualitative, aims to do as follows. First use of tools for measuring based on averages, medians and regression studies combining many variables essentially expressed in the form of accounting and financial ratios (IAS/IFRS); this measure extends to the listing of words occurrence in the extra-financial information supports (CSR and sustainability reports). Then question the administrative and financial managers in charge of the application of the IAS/IFRS referential and the managers responsible for the CSR and sustainability communication within these companies we selected with reference to matrixes based on the “fuzzy logic” theory tools. We do not investigate the influence of IAS/IFRS standards/CSR indicators neither on financial performance nor in terms of expected return on the capital asset. We can observe that our results show nuances of perception of IAS/IFRS standards and CSR goals in the financial and extra-financial reporting that are likely to be attributed to socio-cultural factors, and reflecting a governance much more aimed at shareholders in France than in Germany.
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