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La fluoxétine, un antidépresseur de la famille des Inhibiteurs Sélectifs de la Recapture de la Sérotonine : effets apoptotiques et mécanismes d’action dans les lymphocytes humains / Fluoxetine, a Selective Serotonin Reuptake Inhibitor antidepressant : apoptotic effects and signalling in human lymphocytes

Charles, Emilie 13 December 2012 (has links)
Les antidépresseurs de type Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine (SSRI pour Selective Serotonin Reuptake Inhibitor), dont fait partie la fluoxétine (Prozac), ont été décrits comme capables de déclencher l'apoptose de cellules tumorales in vitro et in vivo, suggérant une potentielle utilisation de ces molécules pour le traitement des cancers. Cependant, leur mécanisme apoptotique n’a pas été élucidé à ce jour. Nous avons donc entrepris de déterminer les étapes de l'apoptose induite par la fluoxétine et les SSRI, en choisissant comme modèle d'étude des lignées cellulaires de lymphomes non-Hodgkiniens agressifs. Nous avons identifié plusieurs étapes de la signalisation apoptotique de la fluoxétine et des SSRI. Ainsi, via une inhibition de la chaîne respiratoire, la fluoxétine induit la production d'espèces réactives de l'oxygène conduisant à la surexpression des récepteurs de mort DR4 et DR5 ; la fluoxétine induit également l'activation de la caspase-8. DR4 et DR5 sont très probablement la cause de l'apoptose induite par la fluoxétine, de façon indépendante de leur ligand, TRAIL (TNF-Related Apoptosis-Inducing Ligand). Partant du constat que l'utilisation de TRAIL comme antitumoral pour le traitement des lymphomes présente des résultats prometteurs mais encore insuffisants, nous avons envisagé que la fluoxétine puisse augmenter l’apoptose induite par TRAIL dans ce type de tumeurs. Nous montrons en effet qu'une association de la fluoxétine avec TRAIL conduit à une augmentation de l'action apoptotique de TRAIL dans les lignées de lymphomes non-Hodgkiniens agressifs. De plus, nos résultats montrent que la fluoxétine induit la mort cellulaire d'une façon indépendante de la caspase-8. Cet effet semble trouver son origine dans une surcharge en calcium de la mitochondrie, alimentée par une stimulation maintenue de l'entrée de calcium par les canaux CRAC (Calcium Release Activated Calcium). En conclusion, les éléments de la signalisation calcique et apoptotique de la fluoxétine et des SSRI que nous avons identifiés encouragent leur utilisation en thérapie, et notamment dans le cadre d'associations avec TRAIL et d'autres molécules pour permettre une augmentation de l'apoptose des cellules tumorales, voire des cellules résistantes à l'apoptose induite par TRAIL. / Selective Serotonin Reuptake Inhibitor (SSRI) antidepressants, such as fluoxetine (Prozac), have been shown to induce apoptosis in cancer cells in vitro and in vivo, suggesting a potential use for cancer treatment. However, their apoptotic mechanism has remained undetermined until now. Therefore, we have undertaken the determination of fluoxetine- and SSRIs-induced apoptotic signalling, our study model being aggressive Non-Hodgkin's Lymphoma (NHL) cell lines. We have identified several steps of the apoptotic signalling of fluoxetine and the SSRIs. Thus, via an inhibition of the respiratory chain, fluoxetine induces a reactive oxygen species production leading to the overexpression of the death receptors DR4 and DR5; fluoxetine also induces caspase-8 activation. DR4 and DR5 are probably the cause of fluoxetine-induced apoptosis, independently of their ligand TRAIL (TNF-Related Apoptosis-Inducing Ligand). Knowing that TRAIL as an antitumoral agent for lymphoma treatment has shown promising but insufficient results, we have hypothesized that fluoxetine could increase TRAIL-induced apoptosis in these tumors. Indeed, we show that fluoxetine in association with TRAIL leads to an increase in TRAIL-induced apoptosis in aggressive NHL cell lines. Furthermore, our results show that fluoxetine induces cell death in a caspase-8–independent manner. This effect seems to originate from a mitochondrial calcium overload fueled by a sustained calcium entry from the CRAC (Calcium Release Activated Calcium) channels. In conclusion, the calcium pathway and the apoptotic steps of the fluoxetine's and the SSRIs' signalling that we have delineated encourage their use in therapy, especially in association with TRAIL and other molecules in order to enable an increase in cancer cells' apoptosis, or even in cancer cells which are resistant to TRAIL-induced apoptosis.
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Growth and Survival Pathways in Normal and Malignant B-Lymphocytes

Gumina, Maria January 2009 (has links)
Thesis advisor: Thomas C. Chiles / Normal B lymphocytes require extrinsic factors to grow and proliferate. Surface receptors (e.g., B-cell antigen receptor, BCR) function, in part, to link growth factors to signal transduction/metabolic pathways and the cell cycle machinery. Accumulating evidence indicates that signal transduction-dependent changes in both glucose energy metabolism and de novo transcription of the D-type cyclin-cdk4/6 pathway are necessary for quiescent B-lymphocytes to enter G1-phase of the cell cycle and grow. B cell growth represents a critical checkpoint for subsequent proliferation and clonal expansion of antigen-specific lymphocytes. On the former, we have shown earlier that acquisition of extracellular glucose and metabolism via the glycolytic pathway is required for conventional splenic B-2 lymphocytes to grow (i.e., increase cell size and mass) in response to antigen challenge; however, the metabolic fate and biological significance of glucose-derived carbons are unknown. Here, we show that in response to BCR ligation, glucose carbon flow is directed into a de novo lipogenic pathway that is regulated, in part, via phosphoinositide-3 kinase (PI-3K)-dependent activation of ATP citrate lyase (ACL), a key rate-limiting enzyme in de novo lipogenesis. Inhibition of ACL results in a loss of B-cell growth and cell viability. Regarding the latter point, the B-1a lymphocyte subset expresses cyclins D2 and D3 that are transiently expressed in a non-overlapping manner, notably cyclin D3 expression immediately precedes the G1/S phase transition, suggesting distinct functions for these D-type cyclins in B-1a lymphocyte G0-to-S phase progression. We show herein that murine B-1a cells deficient in cyclin D3 proliferate normally in response to extracellular stimuli, in part, due to a compensatory sustained up-regulation of cyclin D2. In keeping with this, human diffuse large B-cell lymphoma (DLBCL) represents a malignant clonal expansion of B cells characterized by several subsets, including germinal center (GC) and activated B-cell (ABC) types. Here, we show that the GC-type LY18 human DLBCL exhibits constitutive expression of cyclin D3, but not cyclins D1 and D2. Targeting of cyclin D3-holoenzyme complexes with cell permeable chemical- and peptide-based cdk4 inhibitors results in G1-phase arrest and apoptosis via a pathway that involves inhibition of pRb phosphorylation. By contrast, endogenous knock down of cyclin D3 with siRNA did not induce growth arrest or apoptosis, in part, due to redundancy with cyclin E. / Thesis (PhD) — Boston College, 2009. / Submitted to: Boston College. Graduate School of Arts and Sciences. / Discipline: Biology.
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Facteurs psycho-sociaux associés à la fatigue chez des patients âgés fragiles atteints d'un lymphome non hodgkinien : rôle de la dépression, du coping, du soutien social et de la routinisation / Determinants of fatigue in frail elderly patients with a non-hodgkin's lymphoma

Baguet, Fanny 08 June 2015 (has links)
Introduction : Grâce aux progrès des traitements et au diagnostic précoce, les cancers sont de mieux en mieux pris en charge et guéris. Toutefois durant la maladie et ses traitements, les patients ressentent souvent de la fatigue et celle-ci peut avoir un impact sur l'évolution de la maladie et la survie. La prévalence des cancers est d'autant plus élevée que la personne est âgée, personnes qui sont davantage touchées par la fatigue. Cette fatigue est accentuée par la fragilité des patients qui se caractérise par une faiblesse, une lenteur de marche ou encore une perte de poids involontaire. Des facteurs médicaux et psycho-sociaux sont associés à la fatigue et il est important de les évaluer pour mieux les prendre en compte lors de la prise en charge des patients. L'objectif de ce travail de thèse est d'étudier le rôle de certains facteurs psycho-sociaux (coping, soutien social, dépression et routinisation) associés à la fatigue chez des patients âgés et fragiles atteints d'un lymphome non-Hodgkinien.Méthode : Cette recherche, intitulée Psyfrail, est une étude ancillaire à un essai randomisé nommé Frail. Les patients inclus (n=50), âgés en moyenne de 82 ans, ont été évalués au niveau de la fatigue, de la dépression, du coping, du soutien social et de la routinisation lors d'un rendez-vous avec un psychologue avant le début des traitements (T1), au milieu (T2) et à la fin (T3). Des analyses transversales et longitudinales ont été effectuées pour mettre en évidence les facteurs associés à la fatigue aux différents temps de mesure et à son évolution.Résultats : L'utilisation de stratégies de coping centrées sur le problème à T1 est associée à une diminution des scores de fatigue générale et de réduction des activités à T1 et une diminution de la réduction de la motivation à T2. La routinisation augmente les scores de fatigue mentale et de réduction de la motivation à T2. La disponibilité du soutien social permet une moindre augmentation du score de réduction de la motivation au cours du temps. La diminution de la fatigue générale est moindre chez les patients ayant des niveaux élevés de coping centré sur l'émotion. La dépression est associée à une fatigue plus importante à T1 et T2.Conclusion : La promotion de stratégies adaptées pour aider les patients à faire face à la maladie et la prise en charge de la dépression pourrait avoir un impact positif sur la réduction de la fatigue. / Introduction: Thanks to the progress of treatments and early diagnosis, cancers are better cured. However, during the disease and its treatments, patients often experience fatigue which could have an impact on disease progression and survival. Medical and psycho-social factors are associated with fatigue, which makes them important to evaluate in order to consider them properly when taking care of patients. Cancer prevalence is higher in the elderly, who are more affected by fatigue. This fatigue increases with frailty, characterized by a state of weakness, slow walking speed or unintentional weight loss. This is why we chose to focus on this specific populationThe objective of this thesis is to study the role of several psychosocial factors (coping, social support, depression and routinization) associated with fatigue in frail elderly patients with non-Hodgkin lymphoma.Method: This research, entitled Psyfrail, is an ancillary study to a randomized trial named Frail. The 50 patients included, with a mean age of 82 years old, were evaluated in terms of fatigue, depression, coping, social support and routinization during a meeting with a psychologist before the start of treatment (T1), in the middle (T2) and at the end (T3). Cross-sectional and longitudinal analyzes were conducted to highlight the factors associated with fatigue at different measurement times and with its evolution.Results: The use of problem-focused coping at T1 is associated with a decrease in general fatigue and reduced activity scores at T1 and a decrease in the reduced motivation score at T2. Routinization increases mental fatigue and reduced motivation scores at T2. Social support availability is associated with a smaller increase in the reduced motivation score over time. The decrease in general fatigue is reduced in patients with high level of emotion focused coping. Depression is associated with a higher fatigue at T1 and T2.Conclusion: The promotion of appropriate strategies to help patients cope with the disease and the treatment of depression could have a positive impact on reducing fatigue.
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Rôle des variants de la protéine de latence LMP du virus d'Epstein-Barr dans le développement du lymphome de Hodgkin chez les personnes VIH+ / Role of Epstein-Barr Virus latency proteins in the development of Hodgkin's lymphoma among HIV+ patients

Sueur, Charlotte 10 October 2013 (has links)
L'objectif de notre travail est de mieux comprendre le rôle de LMP1 et de ses variants délétés de 30 ou 69pb en C-terminal dans le développement du lymphome de Hodgkin (LH) chez les patients VIH+. Le séquençage de LMP1 dans des échantillons de sang total et de cellules oropharyngées de patients de la cohorte Lymphovir (LH/VIH+) et de deux populations contrôles (VIH+ et LH) a permis d'étudier la fréquence des variants de LMP1 in vivo. Ce travail a révélé que le variant LMP1-del30 semble plus fréquent chez les patients avec une immunosuppression modérée, durant laquelle l'incidence des LH est élevée. Par ailleurs, nous avons établi un modèle cellulaire dérivé de LH, exprimant LMP1 de façon inductible, montrant des différences d'expression des cytokines et de progression du cycle cellulaire en fonction des variants de LMP1. Notre travail supporte l'hypothèse d'une plus grande oncogénicité du variant LMP1-del30 et suggère qu'il pourrait être un facteur de risque de développer un LH. / The aim of this work was to improve our understanding of the role of LMP1 and its 30bp and 69bp deletion variants in the development of Hodgkin's lymphoma (HL) among HIV+ people. Blood and saliva samples were collected from HL/HIV+ patients recruited in the Lymphovir cohort, as well as in two control populations (HIV+ and HL). Next-Generation Sequencing allowed us to determine the frequency of LMP1 variants in these samples. This work showed that the del30-LMP1 variant seems to be more frequent in patients with a moderate immunosuppression, associated with a higher HL incidence. Besides, we established three HL-derived cell lines expressing WT-LMP1 or its variants and showed differences of cytokine expression and progression of the cell cycle depending on the variant. Our work supports the hypothesis of a greater oncogenicity of del30-LMP1 variant and suggests that it could be a risk factor for the development of HL.
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Etude d'un nouvel anticorps anti-CD37 radiomarqué au Lutétium-177 dans le traitement du lymphome B non hodgkinien : efficacité thérapeutique et mécanismes d'action / Study of a new anti-CD37 monoclonal antibody radiolabelled with Luthetium-177 in a B-cell Non-Hodgkin Lymphoma : therapeutic efficacy and mechanisms of action

Pichard, Alexandre 23 November 2017 (has links)
Le traitement du lymphome B non hodgkinien (NHL) est généralement basé sur la combinaison d’un anticorps monoclonal anti-CD20, le rituximab, et de la chimiothérapie. Cependant, de nombreux patients deviennent réfractaires au ciblage du récepteur CD20. Dans cette thèse, l’effet d’un nouvel anticorps monoclonal anti-CD37 conjugué au Luthétium-177 (177Lu-lilotomab, Betalutin®) est étudié dans des modèles précliniques de lymphome non hodgkinien et comparé au rituximab radiomarqué au luthétium-177 (177Lu-rituximab). Nous avons développé une approche radiobiologique qui distingue les effets cytotoxiques dus à l’anticorps monoclonal et dus aux rayonnements ionisants dans des lignées cellulaires de lymphome humain. Cette méthode a permis de montrer qu’in vitro, le rituximab et le 177Lu-rituximab étaient plus cytotoxiques que le lilotomab et le 177Lu-lilotomab dans la lignée cellulaire radiorésistante Ramos (modèle du lymphome de Burkitt). Inversement, le 177Lu-lilotomab et le 177Lu-rituximab ont montré la même cytotoxicité dans la lignée cellulaire radiosensible DOHH2 (modèle de lymphome folliculaire transformé). Leur cytotoxicité était plus faible dans la lignée cellulaire Rec-1 (modèle du lymphome du manteau) que dans les cellules DOHH2. Ces résultats ont été confirmés in vivo sur des souris traitées par injection intraveineuse après xénogreffe sous-cutanée de cellules Ramos ou DOHH2. Le 177Lu-lilotomab et le 177Lu-rituximab ont montré la même efficacité thérapeutique chez les souris xénogreffées avec les cellules radiosensibles DOHH2, alors que le lilotomab non radiomarqué était moins efficace que le rituximab. Inversement, chez les souris xénogreffées avec les cellules radiorésistantes Ramos, la plus faible efficacité du 177Lu-lilotomab comparé au 177Lu-rituximab peut seulement être compensée par une augmentation de dose absorbée à la tumeur par le 177Lu-lilotomab. Mécanistiquement, la réponse cellulaire des tumeurs aux radiations dépend de la réponse apoptotique des cellules et de la réduction de l’arrêt en G2/M du cycle cellulaire via les phosphorylations médiées par WEE-1 et MYT-1 de la kinase dépendante des cyclines-1 (CDK1) sur la tyrosine 15 et thréonine 14. Ces résultats indiquent que l’interaction synergistique entre les effets cytotoxiciques du 177Lu et du lilotomab dans les tumeurs montrant une réduction des niveaux de phosphorylations de CDK1 peut compenser le manque d’efficacité thérapeutique du lilotomab comparé au rituximab. / Currently, B-cell Non-Hodgkin Lymphoma (NHL) treatment relies on the anti-CD20 antibody rituximab and chemotherapy. However, some patients become refractory to this therapy. Here, the effect of the novel anti-CD37 antibody-radionuclide conjugate 177Lu-lilotomab (Betalutin®) was investigated in NHL preclinical models and compared to 177Lu-labeled rituximab (anti-CD20 antibody). We developed a radiobiological approach that discriminates between the cytotoxic effects of unlabeled antibodies and of radiation in human lymphoma cell lines. This method allowed showing that in vitro, rituximab and 177Lu-rituximab were more cytotoxic than lilotomab and 177Lu-lilotomab in the radioresistant Ramos Burkitt’s lymphoma cell line. Conversely, 177Lu-rituximab and 177Lu-lilotomab had similar efficacy in the radiosensitive follicular lymphoma DOHH2 cell line. Their cytotoxicity was lower in mantle cell lymphoma Rec-1 cells that are less radiosensitive than DOHH2 cells. These results were confirmed in vivo in mice treated by intravenous injection of these antibodies after subcutaneous xenografts of Ramos or DOHH2 cells. 177Lu-lilotomab and 177Lu-rituximab showed the same therapeutic efficacy in mice xenografted with radiosensitive DOHH2 cells, although unlabeled lilotomab was less efficient than rituximab. Conversely, in mice xenografted with radioresistant Ramos cells, the lower efficacy of 177Lu-lilotomab compared with 177Lu-rituximab could only be compensated by increasing 177Lu-lilotomab tumor absorbed dose. Mechanistically, the tumor cell response to radiation depended on the cell apoptotic response and reduction of G2/M cell cycle arrest through WEE-1 and MYT1-mediated phosphorylation of cyclin-dependent kinase-1 (CDK1) at tyrosine 15 and threonine 14. These results indicate that the synergistic interaction between 177Lu irradiation and lilotomab cytotoxic effects in tumors with reduced CDK1 phosphorylation levels can correct the lower therapeutic efficacy of lilotomab compared with rituximab.
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Diffuse Large B-Cell Lymphoma: A Metabolic Disorder?

Tanios, Georges, Aranguren, Ines M., Goldstein, Jack S., Patel, Chirag B. 02 December 2013 (has links)
Objective: Challenging differential diagnosis Background: B cell lymphoma constitutes 80-85% of cases of Non Hodgkin's lymphoma in the Untied States. Metabolic complications may arise from the disease itself or through its end organ involvement. Case Report: We describe a case of a diffuse large B cell lymphoma diagnosed by abdominal computed tomography after it initially presented as hypoglycemia not correctable by dextrose infusion that instead resulted in increased anion gap metabolic acidosis with elevated lactate levels. Conclusions: The case illustrates how lymphomas can present unusually with hypoglycemia and lactic acidosis, the latter being an ominous sign that can occur without liver involvement. In this regard, the case demonstrates the metabolic sequelae of lymphoma that should raise suspicion for an underlying process. This has implications for diagnosis, treatment, and patient survival. Attention should be paid especially in the primary care setting in order to minimize delays in diagnosis.
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Diffuse Large B-Cell Lymphoma: A Metabolic Disorder?

Tanios, Georges, Aranguren, Ines M., Goldstein, Jack S., Patel, Chirag B. 02 December 2013 (has links)
Objective: Challenging differential diagnosis Background: B cell lymphoma constitutes 80-85% of cases of Non Hodgkin's lymphoma in the Untied States. Metabolic complications may arise from the disease itself or through its end organ involvement. Case Report: We describe a case of a diffuse large B cell lymphoma diagnosed by abdominal computed tomography after it initially presented as hypoglycemia not correctable by dextrose infusion that instead resulted in increased anion gap metabolic acidosis with elevated lactate levels. Conclusions: The case illustrates how lymphomas can present unusually with hypoglycemia and lactic acidosis, the latter being an ominous sign that can occur without liver involvement. In this regard, the case demonstrates the metabolic sequelae of lymphoma that should raise suspicion for an underlying process. This has implications for diagnosis, treatment, and patient survival. Attention should be paid especially in the primary care setting in order to minimize delays in diagnosis.
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Caractérisation moléculaire et sérologique de l'infection à Epstein-Barr virus chez les patients porteurs du VIH souffrant d'un lymphome / Molecular and serological characterization of the Epstein-Barr virus infection in patients living with HIV and suffering from lymphoma

Duc, Touyana 29 September 2016 (has links)
En 2016, les lymphoproliférations malignes [lymphome malin non hodgkinien (LNH) et lymphome de Hodgkin (LH)] restent un problème majeur chez les patients porteurs du VIH (PPVIH) car chaque année de 1 à 6 % de ces patients développent des lymphomes. Ces pathologies apparaissent actuellement comme une des principales causes de mortalité chez les PPVIH.Le virus d’Epstein-Barr (EBV), connu de longue date pour son pouvoir immortalisant des lymphocytes B et les propriétés oncogènes de certaines de ses protéines, apparait comme un cofacteur favorisant plus ou moins important de ces lymphomes chez les PPVIH. Quand le virus est présent dans la cellule tumorale ; on parle de cancer associé à l’EBV.Une des questions toujours en suspens est de savoir si la quantification de l’ADN viral EBV (charge virale) et le profil sérologique EBV dans le sang des PPVIH peuvent aider à mieux comprendre la physiopathologie de ces lymphomes et à mieux prendre en charge les PPVIH qui en souffrent.Ce travail de thèse effectuée en co-tutelle entre l’université de Grenoble-Alpes et l’université médicale d’Irkoutsk vise à contribuer à répondre à cette question.La partie bibliographique de cette thèse synthétise (i) les connaissances actuelles sur l’épidémiologie et la physiopathologie des LH (synthèse non publiée en français) et sur le rôle de l’EBV dans les LNH chez les PPVIH (article publié en russe dans « Siberian Medical Journal » en 2015); (ii) les études publiées sur la mesure de la charge virale et la sérologie EBV chez les PPVIH.La partie expérimentale de cette thèse est constituée de trois articles. Le premier article publié dans Journal of Clinical Microbiology en 2016 rapporte la démonstration que l’utilisation d’un standard international développé par l’OMS peut améliorer la précision de la mesure de la charge virale EBV dans le sang. Le deuxième article en cours d’écriture concerne les résultats préliminaires d’une étude de cohorte mise en place par l’ANRS qui suit des PVVIH atteints de LH. Dans cette étude, l’objectif principal était de savoir si la charge virale et la sérologie EBV lors de la découverte du LH pouvaient constituer des marqueurs pronostiques de cette maladie comme cela été décrit dans des LH survenant chez des patients non infectés par le VIH. Nos résultats préliminaires ne vont pas dans ce sens et ces marqueurs ne semblent donc pas utiles pour une amélioration de la prise en charge des LH chez les PPVIH. Le troisième article publié en russe en 2015 dans « HIV infection and Iimmunosuppressive Disorders » décrit l’épidémiologie des lymphomes chez PPVIH de l’Université Médicale d’Irkoutsk. Il montre une importante augmentation des LNH chez les PPVIH entre 2000 et 2014 liée à une épidémie VIH non contrôlée dans cette région de Russie. / In 2016, malignant lymphoproliférations [non Hodgkin's (NHL) and Hodgkin's lymphomas (HL)] remain a major concern in patients living with HIV (PLHIV), that each year 1-6% of these patients develop lymphomas. Lymphomas are the major cause of mortality in this population.Epstein-Bar Virus (EBV), long known for his immortalizing B cells power and oncogenic properties of some of its proteins, emerges as a cofactor favoring lymphoproliferations, more or less important, depending on the type of lymphoproliferation.One of the outstanding questions is whether the molecular and/or serological characterizations of EBV infection may help to better understand the pathophysiology of these diseases and better manage patients suffering from HIV-associated lymphomas.This dissertation under joint supervision between the University Grenoble Alpes and Irkutsk State Medical University aims to answer this question.The literature review of this thesis summarizes: (i) the role of EBV in LNH development in PLHIV (article published in Russian journal “Siberian Medical Journal” in 2015) and the current knowledge on the epidemiology and pathophysiology of Hodgkin's lymphoma (non published in French); (ii) published studies on the EBV viral load and serological evolutions in PLHIV.The experiments consist of three articles. The first article published in Journal of Clinical Microbiology in 2016, reports the demonstration that the application of international standard EBV developed by WHO can improve the quantification of EBV viral load in whole blood. The second study (in writing for publication) contains preliminary results of French National Agency for Research of HIV and hepatitis cohort study investigating PLHIV suffering from Hodgkin's lymphoma. The study focuses on whether the EBV viral load and serology of newly diagnosed lymphoma could provide prognostic information for this disease, as has been described in HIV-negative patients with HL. Our preliminary results don’t support this hypothesis; than EBV markers don’t can be used for best management of HL in PLHIV. The third study published in Russian Journal “HIV infection and Immunosuppressive disorders” (2015) describes the epidemiology of HIV-associated lymphoma in Irkutsk Oblast. The article shows that non-Hodgkin lymphoma incidence rates in PLHIV during 2007-2014 are probably due to HIV epidemic non-controlled in this Russian region.
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Studium struktury receptoru DCL-1 pomocí hmotnostní spektrometrie / Structural study of the DCL-1 receptor using mass spectrometry

Růžičková, Barbora January 2013 (has links)
DCL-1 (CD302) is a type I transmembrane C-type lectin receptor, which is expressed on monocytes, macrophages, granulocytes and dendritic cells. However, its extracellular domain lacks the amino acids motives essential for carbohydrate binding in the presence of calcium ions, suggesting that it does not have the classic binding capacity found in other C-type lectin receptors such as the mannose receptor. No exogenous or endogenous ligands have been identified yet, though. Due to internal colocalization with F-actin we can assume, that this unconventional lectin receptor plays a role not only in endocytosis and phagocytosis but also in the cell adhesion and migration. The receptor DCL-1 was first identified as a genetic fusion partner of human DEC-205 multilectin receptor in Hodgkin's lymphoma cell lines. The experimental part of this thesis deals with the characterization of disulfide bonds and data acquisition for validation of DCL-1 crystal structure. First the production and refolding conditions were optimized to obtain the highest amount of DCL-1 protein, precisely its extracellular domain. These optimal conditions were used to prepare the protein for in-gel digestion using specific endopeptidases in the presence of cystamine followed by LC-MS analysis. DCL-1 disulfide bonds were determined by comparing...
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Transcriptional regulation of the human CD30 gene through an intronic enhancer

Ho, Desiree Shulin January 2009 (has links)
Lymphomas are neoplasms of the human immune system and can be divided into two categories, Hodgkin’s lymphoma (HL) and non-Hodgkin lymphoma (NHL). Anaplastic large cell lymphoma (ALCL) is a form of NHL that shares a common distinctive feature with HL, the overexpression CD30. The expression of cytokine receptor CD30 is restricted to proliferating B and T lymphocytes in healthy individuals while its overexpression is associated with several lymphoproliferative diseases such as ALCL and HL. The activation of CD30 via ligand or antibodies triggers various cellular responses ranging from apoptosis to cell proliferation and it is thought that the variable cellular response to CD30 activation may be due to cell surface levels of CD30. The human CD30 gene is regulated at the transcriptional level and previous studies characterising its promoter have identified several factors that regulate the expression this gene. However none of these identified factors explain for the high levels of CD30 observed in HL and ALCL. Therefore this study focused on the identification and functional analysis of transcriptionally active regions located up or downstream of the CD30 promoter region. The first aim for this study was to identify and characterise regions within the human CD30 gene that are involved in its transcriptional regulation. Phylogenetic footprinting identified several regions downstream of the CD30 promoter that displayed high levels of sequence homology indicating potential functional significance. Validation of these regions through two in vivo approaches, DNase 1 hypersensitivity assay and chromatin accessibility studies localised potential transcriptionally active regions to intron 1 of the CD30 gene.

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