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L'hybridation, un processus décisif dans le champ des arts plastiques : de la figure à la culture hybride / Hybridization, a key process in the field of visual arts : from the figure to the hybrid cultureMolinet, Emmanuel 08 December 2012 (has links)
L'hybridation est appréhendée par une archéologie de la notion permettant d'interroger ses origines, sa formation, mais aussi de caractériser son évolution et déterminer sa fonction dans les différentes phases historiques qu'elle traverse. L'analyse se comprend en relation aux redéfinitions successives du paradigme de l'art, allant du médiéval à l'art actuel.Cette recherche révèle par son caractère inédit une stratification historique précieuse dans l'étude du champ des oeuvres et du champ terminologique. L'approche des différentes catégories de l'hybride, autant que l'évolution de sa fonction, montre qu'il doit être saisi dans toute sa complexité, du caractère -critère à la notion, jusqu'à l'émergence d'une culture hybride.Si la période actuelle intègre l'hybridation comme un enjeu central, il sera intéressant de caractériser les multiples facteurs qui concourent à cette situation, et de déterminer comment de nouvelles acceptions du terme participent en fait à une reconfiguration du champ terminologique, fondant ainsi de nouvelles approches de cette problématique. Si l'art actuel promeut de nouveaux principes tels que la reconversion et la conversion, il favorise indéniablement l'hybride en se conjuguant à trois autres plans : l'hypertechnologie et le numérique, une nouvelle géopolitique de l'art, ainsi qu'une interaction et interpénétration accrue des médias.La culture hybride face à la mondialisation impose l'émergence d'une nouvelle identité de l'art que portent les translations opérant avec les autres cultures du monde, mais également dans la continuité d'une esthétique de la diversité, d'un décentrement de la définition de l'art et d'une crise du post- modernisme / Hybridization is apprehended by an archeology of the concept for querying its origins, formation, but also to characterize its evolution and determine its function in different historical phases through which it passes. The analysis includes in relation to successive redefinitions the paradigm of art ranging from medieval to contemporary art.This research reveals its novelty valuable historical stratification in the study of field works and terminological field. The approach of the different categories of the hybrid, as well as the evolution of its function, shows that it must be entered in all its complexity, character-test the concept, until the emergence of a culture hybrid.If the current period includes hybridization as a central issue, it will be interesting to characterize the multiple factors that contribute to this situation, and how new meanings of the term actually participate in a reconfiguration of the field of terminology and establishing new approaches to this problem. If contemporary art promotes new principles such as restructuring and conversion, it promotes undeniably hybrid by combining three other plans: Hypertechnology and digital, a new geopolitics of art, as well as increased interaction and interpenetration of media.Hybrid culture in the face of globalization requires the emergence of a new identity in the art that the translations are operating with other cultures of the world, but also the continuity of aesthetic diversity, a shift of the definition of art and a crisis of post-modernism
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Dynamique d'hybridation dans le complexe d'espèces des chênes blancs européens Chênes pédonculés - Quercus robur L., sessiles - Q. petraea (Matt.) Liebl., pubescents - Q. pubescens Willd. et tauzins - Q. pyrenaica Willd /Lepais, Olivier Kremer, Antoine. Gerber, Sophie. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Sciences et environnements. Ecologie évolutive, fonctionnelle et des communautésepais : Bordeaux 1 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Oligonucléotides cationiques Synthèse et évaluation /Pons, Bénédicte Behr, Jean-Paul. Zuber, Guy. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse doctorat : Chimie : Strasbourg 1 : 2006. / Thèse soutenue sur un ensemble de travaux. Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. 11 p.
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Dynamique évolutive de l'hybridation face aux environnements extrêmesBautista, Carla 21 October 2024 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2024 / L'évolution est souvent perçue comme un processus lent, s'étalant sur de très longues périodes. Cependant, un phénomène qui peut jouer un rôle rapide dans l'évolution adaptative est l'hybridation, car elle entraîne une augmentation instantanée de nouveaux génotypes au sein des populations. Il n'est pas étonnant que l'hybridation ait captivé les scientifiques pendant des décennies. Tout d'abord, en raison de son attrait mystérieux, d'autant plus qu'autrefois, les organismes hybrides étaient perçus comme des « créatures monstrueuses » incapables de se reproduire. Cependant, le rôle de l'hybridation dans des processus évolutifs majeurs, tels que la spéciation ou la radiation adaptative, a remis en question cette vision passéiste et a ravivé l'intérêt pour comprendre leurs dynamiques évolutives. Certains hybrides peuvent coloniser des niches écologiques inaccessibles aux parents, probablement grâce à la plasticité accrue de leur génome favorisant une exploration rapide de nouveaux phénotypes. Cependant, la majorité des études comparant la valeur adaptative des hybrides à celle des espèces parentales ont examiné les effets immédiats après l'hybridation, négligeant leur évolution sur le long terme. Par conséquent, les répercussions négatives de l'hybridation ont principalement été axées sur l'isolement reproductif, avec moins d'attention portée à l'incidence sur leur potentiel adaptatif. Pour combler ces lacunes, cette thèse vise à explorer les dynamiques évolutives des hybrides depuis leur formation jusqu'à leur éventuelle adaptation à des environnements extrêmes. Pour atteindre cet objectif, nous avons exploité la prédisposition des espèces de levure à s'hybrider naturellement, en utilisant ce système pour croiser *Saccharomyces cerevisiae* et *Saccharomyces paradoxus*. Ces deux espèces, qui ont divergé il y a entre cinq et dix millions d'années, occupent des niches écologiques similaires et montrent des signes d'introgression, avec un potentiel adaptatif dans certains cas, révélant un historique naturel d'hybridation. En raison de la diversité génétique accrue offerte par l'hybridation, nous avançons l'hypothèse que les hybrides s'adapteront plus rapidement que les espèces parentales. Nous avons ainsi évalué leur potentiel adaptatif dans un environnement contenant une molécule toxique qui endommage directement l'ADN, simulant l'effet du rayonnement UV (dorénavant désigné comme conditions mimétiques UV), un défi en termes d'adaptation. Nous avons exposé 180 populations, incluant des hybrides ainsi que leurs souches parentales, aux conditions mimétiques UV et, en parallèle, aux conditions contrôle, pendant environ 100 générations, suivant une approche d'évolution expérimentale. Contrairement à notre hypothèse initiale, nous avons constaté que les taux d'adaptation étaient inférieurs chez les hybrides par rapport aux espèces parentales. Les conditions mimétiques UV accroissent l'instabilité génomique et pourraient davantage affecter les génomes hybrides intrinsèquement instables. Par conséquent, nous avons émis l'hypothèse que la moindre adaptation des hybrides pourrait résulter d'une accumulation plus rapide de changements génomiques, mais aucune telle association n'a été trouvée. Alternativement, les hybrides pourraient manquer d'accès aux mêmes mutations que les espèces parentales en raison de leur architecture génomique particulière. Cependant, nous avons remarqué que l'un des gènes les plus mutés (*PDR1*) était le même pour les trois génotypes, révélant ainsi un parallélisme évolutif remarquable et suggérant des mécanismes d'adaptation moléculaire similaires. Nous avons constaté que les mutations dans ce gène étaient principalement homozygotes chez les parents, mais hétérozygotes chez les hybrides, ce qui pourrait limiter le potentiel d'adaptation des hybrides. Nous avons donc avancé l'hypothèse qu'un taux de perte d'hétérozygotie (LOH) plus faible chez les hybrides pourrait entraver l'augmentation de leur valeur adaptative. Pour tester cette hypothèse: 1) nous avons utilisé l'édition du génome pour démontrer que les mutations présentent une dominance incomplète, nécessitant l'homozygotie pour être pleinement bénéfiques. C'est seulement ainsi que les mutations deviennent visibles pour la sélection et peuvent contourner le tamis de Haldane, qui favorise la fixation des mutations dominantes; et 2) nous avons remonté dans le temps à l'aide de « fossiles » congelés, afin de suivre la fréquence des mutations homozygotes et hétérozygotes dans nos trois génotypes. Nos résultats confirment que la LOH se produit à un rythme plus faible chez les hybrides que chez les parents. Globalement, nos découvertes révèlent que le tamis de Haldane entrave l'adaptation hybride, mettant en lumière une contrainte inhérente de leur architecture génomique qui peut restreindre l'impact de l'hybridation dans l'évolution adaptative. Dans l'ensemble, nos recherches soulignent l'impact de la LOH sur les taux d'adaptation, tout en illustrant comment les interactions alléliques limitent les dynamiques évolutives des hybrides. / Evolution is often perceived as a slow process, spanning very long periods. However, a phenomenon that can play a rapid role in adaptive evolution is hybridization, as it leads to an instantaneous increase in new genotypes within populations. It is not surprising that hybridization has captivated scientists for decades, initially due to its mysterious appeal, especially considering that hybrid organisms were once perceived as « monstrous creatures » incapable of reproduction. However, the role of hybridization in major evolutionary processes, such as speciation or adaptive radiation, has challenged this antiquated view and reignited interest in understanding their evolutionary dynamics. Some hybrids can colonize ecological niches inaccessible to parents, likely due to the increased plasticity of their genome favoring the rapid exploration of new phenotypes. However, most studies comparing the adaptive value of hybrids to that of parental species have focused on immediate post-hybridization effects, overlooking their long-term evolution. Consequently, the negative impacts of hybridization have primarily focused on reproductive isolation, with less attention paid to their adaptive potential. To address these gaps, this thesis aims to explore the evolutionary dynamics of hybrids from their formation to their eventual adaptation to extreme environments. To achieve this goal, we leveraged the predisposition of yeast species to naturally hybridize, using this system to cross *Saccharomyces cerevisiae* and *Saccharomyces paradoxus*. These two species, which diverged between five and ten million years ago, occupy similar ecological niches and show signs of introgression, with adaptive potential in some cases, revealing a natural history of hybridization. Due to the increased genetic diversity offered by hybridization, we hypothesize that hybrids will adapt more rapidly than parental species. We thus assessed their adaptive potential in an environment containing a toxic molecule that directly damages DNA, mimicking the effect of UV radiation (hereafter referred to as UV mimetic conditions), which poses a challenge in terms of adaptation. We exposed 180 populations, including hybrids and their parental strains, to UVmimicking conditions and, in parallel, to control conditions, for about 100 generations, following an experimental evolution approach. Contrary to our initial hypothesis, we found that adaptation rates were lower in hybrids compared to parental species. UV mimetic conditions increase genomic instability, potentially exerting a greater impact on inherently unstable hybrid genomes. Therefore, we next hypothesized that the lower adaptation of hybrids could result from a faster accumulation of genomic changes, although no such association was found. Alternatively, hybrids may lack access to the same mutations as parental species because of their unique genomic architecture. However, we observed that one of the most mutated genes (*PDR1*) was the same for all three genotypes, revealing a remarkable evolutionary parallelism and suggesting similar molecular adaptation mechanisms. We found that mutations in this gene were mainly homozygous in parents but heterozygous in the hybrids, which could limit the adaptive potential of the hybrids. We thus hypothesized that a lower rate of loss of heterozygosity (LOH) in hybrids could hinder the increase in their adaptive value. To test this hypothesis: 1) we used genome editing to demonstrate that mutations exhibit incomplete dominance, requiring homozygosity to be fully beneficial. Only then do mutations become visible to selection and can bypass Haldane's sieve, which favors the fixation of dominant mutations; and 2) we traced back in time using frozen « fossils » to track the frequency of homozygous and heterozygous mutations in our three genotypes. Our results confirm that LOH occurs at a slower pace in hybrids than in parents. Together, our results show that Haldane's sieve slows down adaptation in hybrids, revealing an intrinsic constraint of their genomic architecture that can limit the impact of hybridization in adaptive evolution. In summary, our studies emphasize the impact of the LOH on adaptation rates, while illustrating how allelic interactions limit the evolutionary dynamics of hybrids.
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Hybridation entre Calanus finmarchicus et C.glacialis (Copepoda)Parent, Geneviève 19 April 2018 (has links)
L’hybridation est un phénomène observé tant chez les plantes que chez les animaux, mais qui n’avait toutefois jamais été détecté chez le zooplancton marin. Cette thèse vise à caractériser l’hybridation entre Calanus glacialis et C. finmarchicus afin d’évaluer son impact sur la dynamique des populations dans l’ouest de l’Atlantique. De plus, les méthodes d’identification morphologique et génétique sont comparées et combinées afin de tester leur capacité à discriminer les espèces parentales et les hybrides. Dans le deuxième chapitre, une grande variabilité spatio-temporelle du chevauchement de la longueur de prosome entre les espèces C. glacialis et C. finmarchicus est montrée pour les copépodites de stade V. Ce chevauchement de taille entraine une identification erronée et donc, une sous-estimation considérable de l’abondance de C. glacialis dans l’estuaire du Saint-Laurent et sur la côte du Labrador. Au troisième chapitre, la présence d’hybrides est d’abord établie. Il existe une grande variabilité spatiale dans la fréquence des hybrides dans la zone hybride, soit de l’archipel canadien arctique au golfe du Maine, chez le stade copépodite V. De plus, la longueur de prosome des hybrides varie en fonction des génotypes dans l’aire d’étude. Dans le quatrième chapitre, il est mis en évidence que la phénologie reproductive des femelles adultes hybrides est intermédiaire à celles des espèces parentales dans l’estuaire du Saint-Laurent. En revanche, le succès reproducteur et le phénotype des femelles adultes hybrides sont similaires à ceux de leur ancêtre maternel. Les hybrides représentent une faible proportion de la production totale d’œufs de mars à juillet. Ainsi, malgré la présence de flux génique entre C. glacialis et C. finmarchicus, les espèces parentales conservent leur intégrité et sont isolées temporellement dans la zone hybride. Les effets sur la dynamique des populations des espèces parentales semblent minimes. Les recherches à vernir devraient tenter de révéler l’hybridation entre ces espèces dans d’autres zones et d’investiguer l’effet des variations de phénologie reproductive et d’advection sur l’abondance d’hybrides. L’hybridation entre d’autres espèces de zooplancton marin semble également plausible. / Hybridization is a phenomenon observed in plants and animals which to date has never been detected in marine zooplankton. This thesis aims to characterise hybridization between Calanus glacialis and C. finmarchicus in order to evaluate the impact on species population dynamics in the West Atlantic. In addition, morphological and genetic identification were compared and combined to test their potential for discrimination of parental species and hybrids. In the second chapter, a great spatio-temporal variability in overlap in prosome length between C. glacialis and C. finmarchicus is shown for stage V copepodites. This overlap in prosome length has the consequence of misidentifying and thus, considerably underestimating C. glacialis’ abundance in the St. Lawrence Estuary and on the Labrador Coast. In the third chapter, it is shown that hybrids exist, and that there is substantial spatial variability in their frequency in the hybrid zone, from the Canadian Arctic Archipelago to the Gulf of Maine, for the copepodite stage V. Moreover, hybrid size varied as a function of genotypic composition. In the fourth chapter is shown that hybrid adult females have an intermediate reproductive phenology to that of their parental species in the St. Lawrence Estuary. Contrastingly, fitness and phenotypes of hybrid adult females are similar to those of their maternal ancestor. Hybrids represent a small proportion of total egg production from March to July. Thus, although gene flow occurs between these species, parental species are maintained and mainly isolated temporally within the hybrid zone. The effects of hybridization on species population dynamics are probably minor. Future studies should aim to study hybridization between these species in other zones and the effects of variation in their reproductive phenology and advection on hybrid abundance. Hybridization between other marine zooplankton species is also likely.
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Optimisation de l'hybridation des puces à ADN grâce au mélange par advection chaotiqueBeuf, Aurélien Carrière, Philippe. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse doctorat : Mécanique des fluides : Ecully, Ecole centrale de Lyon : 2008. / 123 références.
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Optimisation de l'hybridation des puces à ADN grâce au mélange par advection chaotiqueBeuf, Aurélien Carrière, Philippe. January 2009 (has links) (PDF)
Thèse doctorat : Mécanique des fluides : Ecully, Ecole centrale de Lyon : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. 123 références.
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Fluorescence in situ hybridization in prenatal diagnosisQu, Jingyi January 1992 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Études morphologiques de la synthèse et de la sécrétion des enzymes pancréatiquesGingras, Diane January 1996 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Estimating genetic flow between exotic and native poplar species in QuébecGuigou Cairus, Gabriela 13 April 2018 (has links)
Notre étude a consisté à détecter et à quantifier, le cas échéant, la présence de flux génique entre des peupliers à composantes exotiques et leurs cousines indigènes. Nous avons récolté sur deux sites différents (Matane et Sorel) et sur deux à trois années consécutives, des graines provenant d’arbres-mères des espèces indigènes, Populus balsamifera et P. deltoides, situés autour de plantations de peupliers à composantes exotiques. Nous avons génotypé les graines à l’aide de marqueurs génétiques spécifiques de ces espèces. Ceci nous a permis de détecter la présence d’allèles provenant des arbres mâles à composantes exotiques de la plantation au sein des graines récoltées sur les arbres-mères indigènes présents autour de ces plantations. Nos résultats ont ainsi révélé la présence d’hybridation entre les arbres indigènes et les arbres à composantes exotiques des plantations. Cette hybridation spontanée pourrait affecter à plus long terme la constitution génétique des populations locales des espèces indigènes. / The goal of this study was to detect and quantify, when necessary, the presence of gene flow between poplars with exotic components and their native relatives. Seeds were collected from native mother trees, Populus balsamifera and P. deltoides, located in the surroundings of plantations of poplars with exotic components, in two different sites (Matane and Sorel) and during two to three consecutive years. We genotyped these seeds using genetic markers specific for these species. This method allowed us to detect, in the seeds collected from native mother trees present around these plantations, the presence of alleles brought about from male trees with exotic components located within the plantations. Our results revealed the presence of hybridization between native trees and trees with exotic components from the plantations. This spontaneous hybridization could affect in the long term the genetic constitution of local populations of native species.
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