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Traitement des expressions figées dans la traduction humaine. : Analyse de corpus bilingue français-arabe / Treatment of expressions in frozen human translation : corpus analysis bilingual french-arabic

Sadoudi, Hanane 30 November 2012 (has links)
Cette étude est une approche des divers problèmes que soulève la traduction du figement. Elle se fond sur le cas concret de la traduction français-arabe en analysant un corpus bilingue constitué d’expressions figées en français (langue source) et de leur traduction en arabe (langue cible). Notre travail s’organise en deux parties : dans la première, nous étudions la notion de figement, les différentes structures qu’elle recouvre et la notion de traduction avec les concepts qui lui sont liés à travers les théories linguistiques et traductologiques du 20e siècle. Dans la deuxième partie, nous analysons notre corpus, d’abord pour vérifier qu’il représente bien la catégorie du figement, ensuite pour connaître les stratégies adoptées par le traducteur pour traduire les expressions figées. Le corpus est extrait à partir des articles français du Monde diplomatique et leur traduction en langue arabe dans le même journal / This study is an approach to various problems raised bu the translations of frozen expressions. It is founded on the specific case of the french-arabic translation by analyzing a bilingual corpus composed of idioms in French (source language) and their Arabic translation (targuet language). Our work is organized in two parts ; in the first we study the notion of rigidification and the various structures that it covers, and olso the notion of translation with related concepts through 20th century linguistic and translational theories. In the second part we analyze our corpus : first to make sure it really represents frozen expressions, then to know the strategies adopted by the translator to translate idioms. The corpus is extracted from the articles appeared in the French edition of the le Monde diplomatique and their translations into Arabic in the same newspaper
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Construction socio-culturelle de la ménopause à Cuba : du corps politique à l'expérience subjective

Soulière, Margot January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'union avec Christ chez Calvin : être sauvé et vivre en Christ

Kim, Sun Kwon 07 June 2013 (has links) (PDF)
Pour défendre la " Réforme" face au catholicisme qui l'accuse de supprimer les" bonnes oeuvres", Calvin, réformateur de la deuxième génération, avait dû poser comme base deux principes fondamentaux : la " certitude du salut " et la " moralité du salut ", autrement dit, la " justification " et la " sanctification ". Pour ce faire, Calvin a reprit la notion de l'union avec Christ comme idée centrale. Concernant le sujet de l'union avec Christ, notre thèse a pour but de résoudre deux problèmes. 1. quelle est la nature de l''union avec Christ chez Calvin ? 2. A présent, le Christ est aux cieux ; il est à la droite de Dieu. Il y a une distance entre Christ et le fidèle. S'il en est ainsi, comment les deux êtres s'unissent ? Quel est le sens de cette union dans cette distance ? La nature de cette union est christologique. Donc, nous avons pu trouver une analogie entre l' " union des deux natures en Christ " et l'" union du chrétien et du Christ ". Nous avons appliqué les deux notions " communicatio idiomatum " " extra calvinisticum " à la notion de l'union entre Christ et nous. D'une part, la" communicatio idiomatum " constitue, à nos yeux, la continuité entre Christ et le fidèle, ouvre la possibilité de l'échange de la personne entre deux êtres, assure la certitude du salut. D'autre part, l' "extracalvinisticum " affirme qu'il y a encore la transcendance divine dans l'union entre le Christ et le croyant. Par l'Esprit Saint en tant que lien, ils s'unissent, mais cette union se rattache à la transcendance divine. Sur ce point, nous pouvons appeler la présence du Christ la " présence absente", ce qui nous rend l'espérance eschatologique. L'union parfaite est eschatologique.
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L'union avec Christ chez Calvin : être sauvé et vivre en Christ / Union with Christ by Calvin : be saved and live in Christ

Kim, Sun Kwon 07 June 2013 (has links)
Pour défendre la « Réforme» face au catholicisme qui l'accuse de supprimer les« bonnes oeuvres», Calvin, réformateur de la deuxième génération, avait dû poser comme base deux principes fondamentaux : la « certitude du salut » et la « moralité du salut », autrement dit, la « justification » et la « sanctification ». Pour ce faire, Calvin a reprit la notion de l'union avec Christ comme idée centrale. Concernant le sujet de l'union avec Christ, notre thèse a pour but de résoudre deux problèmes. 1. quelle est la nature de l''union avec Christ chez Calvin ? 2. A présent, le Christ est aux cieux ; il est à la droite de Dieu. Il y a une distance entre Christ et le fidèle. S'il en est ainsi, comment les deux êtres s'unissent ? Quel est le sens de cette union dans cette distance ? La nature de cette union est christologique. Donc, nous avons pu trouver une analogie entre l' « union des deux natures en Christ » et l'« union du chrétien et du Christ ». Nous avons appliqué les deux notions « communicatio idiomatum » « extra calvinisticum » à la notion de l'union entre Christ et nous. D'une part, la« communicatio idiomatum » constitue, à nos yeux, la continuité entre Christ et le fidèle, ouvre la possibilité de l'échange de la personne entre deux êtres, assure la certitude du salut. D'autre part, l' «extracalvinisticum » affirme qu'il y a encore la transcendance divine dans l'union entre le Christ et le croyant. Par l'Esprit Saint en tant que lien, ils s'unissent, mais cette union se rattache à la transcendance divine. Sur ce point, nous pouvons appeler la présence du Christ la « présence absente», ce qui nous rend l'espérance eschatologique. L'union parfaite est eschatologique. / To justify the Reformation against Catholicism, Calvin as a reformer of the second generation, had to establish two basic principles: the "certainty of salvation" and "morality of salvation," in other words, justification" and sanctification". To do this, Calvin took the notion of union or of communion with Christ as the central idea. Conceming the subject of union with Christ, my thesis aims to solve two problems: First, what is the nature of union with Christ in Calvin's theology ? Second, Christ is in heaven and is at the right hand of God. There is a distance between Christ and believer. If so, how can they unite together ? What is the meaning of the union in this distance ? The nature of this union is Christological. So we can find an analogy between the "union of two natures in Christ" and the "union of Christ and a believer". We applied the two concepts, "communicatio idiomatum" and "extra calvinisticum" to the notion of the union between Christ and a believer. The "communicatio idiomatum" makes it possible to unite Christ with the believer and opens the possibility of exchange of the person between them, and ensures the certainty of salvation. The "extra calvinisticum" claims that there is still the divine transcendence in the union between Christ and a believer. By the Holy Spirit, they are united, but this union is linked to the divine transcendence. The presence of the Christ through the Holy Spirit can be called "the absent presence", which helps us to stay in the eschatological hope.The perfect union is eschatological.
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Ô Canada: un hymne national, deux nations vingt-cinq traductions et lectures d’un chant identitaire canadien-français

Alberti, Louis 26 September 2018 (has links)
Cette thèse analyse dans une perspective historique quelques aspects d’une vingtaine de traductions de l’hymne national canadien « Ô Canada », publiées entre 1906 et 1931. Ce chant a été composé à l’occasion d’un important rassemblement à Québec des Sociétés Saint-Jean-Baptiste en 1880. Les paroles françaises originales du Chant national furent écrites par Adolphe Basile Routhier, sur une musique de Calixa Lavallée. Jusqu’à ce jour, le texte français est demeuré intact. Vers 1901, cette chanson patriotique canadienne-française fut introduite au Canada anglais et divers auteurs anglophones ont entrepris de la traduire ou l’adapter. Cette thèse examine particulièrement les conditions de cette appropriation à travers la traduction de 1900 à 1931. Cette période fut, particulièrement en effet, un point d’orgue dans l’évolution de la société canadienne : tensions entre certains sujets attachés à l’Empire britannique et ceux revendiquant une plus grande affirmation nationale; participation du Canada à la Guerre des Boers et à la Première Guerre mondiale; en 1919, signature comme Dominion britannique du Traité de Versailles, ce qui contribua à la montée du nationalisme canadien; reconnaissance en 1931 par le Traité de Westminster de la souveraineté des pays membres de l’Empire britannique — dont le Canada. Les traductions de ce Chant national réalisées au cours de cette période sont presque indissociables des lectures que les traducteurs canadiens-anglais ou britanniques font des changements sociaux, culturels et politiques de leur époque qui se produisent au Canada et ailleurs dans le monde. Plus qu’un texte original, ces traductions expriment les différents avatars de ces lectures identitaires. Cette approche lectorielle forme le socle de notre analyse théorique. Charles Le Blanc le résumait ainsi dans son ouvrage, Le complexe d’Hermès : « Le traducteur est tout à la fois lecteur du texte original et auteur du texte traduit. […] L’original naît de l’écriture — avec tout ce que la culture de l’écrit comporte de libertés — alors que la seconde vient de la lecture – avec tout ce que l’acte de lire présume de culture, de dispositions sentimentales, de mémoire, de réciprocité aussi ». Comme Le Blanc disait de sa traduction de Bruni : « Il s’agit bien plus de comprendre un texte pour le traduire : il faut aussi comprendre une époque et une conscience ». « La fin du travail du traducteur […] n’est pas simplement celle de livrer une version acceptable d’un grand texte. Il faut assurer également que le texte traduit puisse jouer un rôle dans le développement des idées et le progrès de la culture [de son époque] ». Bien que cette thèse ne porte pas sur l’ensemble des traductions réalisées entre les années 1900 et 1980, l’étude illustre, entre autres, que la version-traduction-adaptation-réécriture de l’hymne national canadien actuel promulgué le 1er juillet 1980 — quelques mois après l’échec référendaire du Québec — résulte elle-même d’une lecture idéologique, à tout le moins politique par nos parlementaires fédéraux soucieux de doter le Canada d’un symbole identitaire national comme fondement à cette unité nationale tant recherchée par les fédéralistes des années Trudeau- père. Cette appropriation graduelle d’un symbole patriotique canadien-français résulte du cheminement dans l’imaginaire du Canada anglais des lectures du pays rattachées aux premières traductions du Chant national. Celles apparues entre 1906 et 1931 ont déclenché et concouru à cette mainmise.

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