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Des vignes aux caféiers : étude socio-économique et statistique sur l’émigration de l’archipel de Madère vers São Paulo à la fin du XIXe siècle / From the vineyards to the coffee plantations : Socio-economic and statistical study on emigration from the Madeira archipelago to Sao Paulo at the end of the 19th century

Freitas, Nelly de 04 April 2013 (has links)
Au XIXe siècle, l’émigration vers l’Amérique de millions d’Européens, attirés par d’alléchantes offres de travail, fut sans précédent. Les Portugais, habitués à s’expatrier depuis le XVe siècle, en firent partie. Originaires de la métropole, des Açores et de Madère, ils traversèrent l’Atlantique pour se rendre notamment vers le Brésil, pays avec lequel ils partageaient une histoire, un langage, des coutumes. Suite à l’abolition de l’esclavage, les autorités brésiliennes firent en effet appel à de la main-d’œuvre étrangère, nécessaire à l’exploitation des plantations de café, alors en plein essor, comme à São Paulo. Nous étudierons donc les profils de ces émigrants madériens, souvent perçus comme des Portugais du continent ou des Açoréens, ainsi que leurs mouvements migratoires vers São Paulo à la fin du XIXe siècle. Dans la première partie, nous détaillerons le contexte géographique et socio-économique de l’archipel afin de comprendre le quotidien des habitants et la raison de leur départ, malgré une politique gouvernementale pour éviter l’exil des Madériens. Dans la deuxième partie, nous irons au Brésil pour développer le contexte d’abolition de l’esclavage et la difficile mise en place de la politique d’immigration nationale et locale. La troisième partie analyse le profil de ces émigrants madériens. Pour cela, nous avons construit une base de données à partir de cinq sources différentes - jusqu’à présent peu utilisées conjointement - afin d’obtenir le maximum de données sur ces insulaires embarqués entre 1886 et 1899 afin d’établir leur rôle dans la construction de la société brésilienne et l’histoire de l’émigration portugaise. / European emigration towards America, along with the opportunities it offered, reached an unprecedented scale during the 19th Century. Portugueses used to emigrate since the 15th century was part of this flow. In particular, European Portuguese emigrants from Continental Portugal, the Azores and Madeira crossed the Atlantic to Brazil, a country that shared their history, language and customs. The abolition of slavery in Brazil generated the need for foreign labor to work in coffee plantations, which were booming at the time, particularly in Sao Paulo. We will be studying Madeiran emigrants, often confused with continental Portuguese or Azoreans, and their emigration to Sao Paulo at the end of the 19th Century. In the first part, we will be presenting the archipelago to understand the daily life of the insulars and the reasons for their departure, despite governmental efforts to implement an effective legislation and its determination to prevent the scattering of its population. In the second part, we will cross the Atlantic in order to understand the context of the abolition of slavery in Brazil and the difficult implementation of the politics of immigration at the national and local level, which resulted in an influx of immigrants. Amongst these emigrants are Madeirans, whose profile will be analysed in the third part. We have compiled a database from five different sources, which are rarely used together and which will allow us not only to obtain the maximum data on these insulars who left between 1886 and 1899, but, as well, to examine their role in the establishment of Brazilian society and give them a status in the history of Portuguese emigration.
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Une Histoire de l'émigration, de l'immigration et de la colonisation japonaise au Brésil (1895-1942) : une autre histoire du Japon / A History of Japanese emigration, immigration and colonization in Brazil (1895-1942) : antoher history of Japan

Do nascimento, Anthony 22 September 2017 (has links)
L’émigration internationale de la main-d’œuvre japonaise signe ses débuts au commencement de l’ère Meiji (1868-1912), soit en l’an 1868. Quant à elle, l’histoire de l’émigration, de l’immigration et de la colonisation japonaise au Brésil débute en 1908, lorsque le Kasato Maru (« Vapeur Kasato ») quitte le port de Kôbe pour acheminer les premiers immigrés japonais destinés à travailler sur les plantations caféières de l’État du São Paulo. L’objectif de cette thèse est de montrer que du point de ses agents (personnel politique et compagnie de l’émigration notamment), l’émigration, l’immigration et la colonisation japonaise au Brésil étaient vouées à remplir une mission de premier plan dans la construction du Japon dans l’outremer, notamment en participant activement à l’expansion économique de l’Archipel à l’étranger. Elle a pour point de départ un constat établi par Môri Kôichi, selon lequel la migration des travailleurs Japonais au Brésil, et partant dans l’outremer en général, est trop souvent ignorée par l’historiographie japonaise, alors que selon lui elle compte parmi les processus politiques et économiques qui ont favorisé l’émergence de l’Etat-Nation du Japon, depuis les débuts de l’ère Meiji (1868-1912) et au moins jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elle repose sur l’idée mise en avant par Nancy L. Green et François Weil, selon laquelle l’histoire migratoire est majoritairement écrite par les pays d’immigration, alors qu’elle mériterait également d’être traitée par les pays d’émigration, dont les « politiques de départ » élaborées par leurs gouvernements révèlent bien que ceux-ci entendaient associer la double entreprise migratoire et coloniale (de type pacifique et agricole) à la construction nationale – et c’est également le cas, nous le croyons, au Japon. Notre travail emprunte sa méthodologie au cadre des études historiques, et repose essentiellement sur l’analyse des archives diplomatiques du Japon relatives à l’émigration, l’immigration et la colonisation japonaise à l’étranger. D’autres documents d’archives en langues japonaise et portugaise viennent compléter le corpus archivistique constitué à cet effet. La thèse est structurée chronologiquement autour de trois périodes. La première, située entre 1868 et 1908, est dédiée au traitement historique des prémices de l’émigration japonaise, et plus notamment aux processus de négociations qui aboutit à l’entame officielle des liens diplomatiques entre le Japon et le Brésil. La seconde, couvrant les années 1910, traite des débuts de l’immigration, mais aussi de la colonisation agricole japonaise au Brésil. Enfin, la troisième propose un traitement complet des années 1920 et 1930 ; deux décennies déterminantes marquées par la montée du nationalisme brésilien, et au cours de laquelle le gouvernement du Japon reprend le contrôle des processus migratoires grâce à la promulgation d’une politique d’aide et d’encouragement à l’émigration en 1925. / The Japanese labor emigration is a phenomenon that has occurred as soon as the Meiji Era has been proclaimed, in 1868, when the Archipelago decided to open its doors to the world. Japanese emigration to Brazil began in 1908 when 781 contracted farmers arrived at the port of Santos in the state of São Paulo. The present dissertation aims at showing that emigration, immigration and colonization in Brazil were designed by its main actors (such as politicians and emigration companies) as a mean for the expansion of Japanese economy abroad, and, in that regard, can be considered to have contributed to the nation-building of Japan. This works rests upon a conclusion drew up by Mori Kôichi, who argues that Japanese emigration to Brazil, but also in the whole world, is not much analyzed by Japanese historians, even though, according to him, it appears to have been one of the main process that supported the emergence of Japan’s State, from the very beginning of the Meiji Era (1868-1912) to the eve of World War II. Its premises rest upon the idea that the history of migrations is mainly written by the receiving countries, however it should also be the concern of sending countries, whose “departure policies” revealed that emigration and agrarian colonization were designed to contribute to the sender State-building process – and we believe this was also true for Japan. The present dissertation borrows the methodological framework of historical studies and, for its major part, rests upon the use of Japan’s diplomatic records dealing with the Japanese emigration, immigration and colonization in Brazil from 1895 to 1942. It is chronologically structured around three periods. The first part, from 1868 and 1908, the focuses on the beginning of the Japanese emigration to Brazil, that is the establishment of diplomatic relations between Japan and Brazil and the organization process of the first departure of Japanese emigrants to Brazil. The second part, from 1908 to 1920, describes the start of both Japanese emigration and Japan’s agricultural colonization in Brazil. The third part finally deals with the Japanese emigration, immigration and colonization during the 1920s and the 1930s; two important decades characterized by the rise of nationalism in Brazil on one hand, and on the other by the active promotion of emigration by Japan’s government, via the implementation of a national policy of emigration in 1925.

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