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Analyse comparative de l'impact généré par l'existence du programme NAOMI sur les niveaux de commission d'actes criminels et incivils à Montréal et VancouverLasnier, Benoit January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Analyse comparative de l'impact généré par l'existence du programme NAOMI sur les niveaux de commission d'actes criminels et incivils à Montréal et VancouverLasnier, Benoit January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'évolution de la notion de violence à l'aune du droit pénal / The evolution of concept of violence in terms of criminal lawGrécourt, Gilles 28 November 2012 (has links)
À rebours de l'enseignement des historiens, selon lequel les sociétés se pacifient à mesure que leurs mœurs s'affinent, notre société contemporaine semble en proie à une violence omniprésente. Pour autant, ni le scientifique ni le profane n'est véritablement dans l'erreur, car la notion de violence revêt une dimension subjective qui la rend susceptible de variations considérables selon les époques et les communautés. Cette subjectivité dont est empreinte la notion, le droit pénal, ne s'en accommode que difficilement. Fidèle aux principes qui le fondent, et le préservent de l'arbitraire, le droit pénal se doit de définir avec clarté et précision les comportements qu'il entend réprimer. Or, pas plus que la jurisprudence, le législateur n'a pris soin de définir la notion de violence. Pourtant, celle-ci irradie le Code pénal et connaît de surcroît un emploi inflationniste au sein de l'hémicycle, comme en témoigne la répression des violences routières, conjugales, urbaines, scolaires, sportives… S'il est de son office d'encadrer les évolutions de la société, le droit pénal ne doit cependant pas en accompagner les dérives avec bienveillance. Ne serait-ce parce qu'en matière de violence, il souffrirait immanquablement de se voir reprocher celle qui, originellement, est la sienne / Contrary to historian's learning, according to societies pacify themselves as their manners are refined, contemporary society seems plagued by widespread violence. However, neither the scientist nor layman is really wrong, because the concept of violence has a subjective dimension that makes it susceptible to considerable variations across periods and communities.This subjectivity imbuing the concept, criminal law can't admit it easily. Faithful to the underlying principles, and preserve itself of the arbitrary, criminal law should define clearly and precisely the behavior it intends to punish. However, no more than the jurisprudence, the legislature took care to define the concept of violence. Even so, it radiates the Penal Code and has furthermore inflationary employment within the Parliament, as evidenced by the punishment of violence roads, domestic, urban, school, sports... If it's his office to oversee the evolution of society, the criminal law should not, however, support the drifts with kindness. If only because in terms of violence, suffering inevitably be accused of that which, originally, was hers
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Une injustice programmée? : le point de vue des personnes itinérantes sur leur judiciarisation et leur incarcérationRaffestin, Isabelle 08 1900 (has links)
Cette recherche s'intéresse aux perceptions des personnes itinérantes sur leur judiciarisation et leurs incarcérations. La judiciarisation s'opère suite à la remise de constats d'infractions en lien avec les règlementations municipales de la ville, celles de la Société des Transports de Montréal ainsi que le Code de Sécurité Routière. Elle relève donc de la procédure pénale, par opposition au code criminel et concerne des infractions mineures, souvent en lien avec des incivilités. Ultimement, la judiciarisation conduit à l'emprisonnement faute de paiement de l'amende. L'objectif de cette recherche est de mieux comprendre les perceptions à partir d'une compréhension des effets au plan matériel, des relations entretenues avec les différents acteurs socio-judiciaires et du regard que les personnes portent sur la justice à partir de leur expérience. Ancrée dans un cadre théorique fondé sur la reconnaissance (Honneth, 2000), l'expérience de judiciarisation et de l'incarcération est conçue et révélatrice d'un rapport entre la personne itinérante et le système de justice. Pour réaliser cette étude, deux méthodologies complémentaires ont été utilisées. La première s'appuie sur 29 entrevues réalisées avec des personnes itinérantes, portant sur leurs expériences de judiciarisation et sur leur expérience de rue. La seconde a consisté en une analyse statistique descriptive des dossiers judiciaires des 29 personnes, dossiers comprenant l'ensemble des infractions reprochées (criminelles et pénales) ainsi que le processus judiciaire suivi par chacune. / This research explores homeless individuals' perception of their penalization and incarceration experience. Penalization of homeless individuals is an increasingly frequent phenomenon, due to a rise in the number of statements of offense served following infractions to municipal by-laws, to Société des Transports de Montréal by-laws or to the Code de Sécurité Routière. Penalization differs from criminalization : whereas criminalization results from the application of the Criminal Code, penalization follows for minor infractions or incivilities. Ultimately, penalization leads to incarceration : as they default on fines, individuals are increasingly sentenced to jail terms. The objective of this research is to better grasp how homeless individuals perceive penalization. It focuses on its effects on their material life, on their relationship with the system's actors and on their perception of the judicial system through their interaction with it. Ingrained in the conceptual framework of recognition (Honneth, 2000), the experience of penalization and incarceration sheds light on the relationship between homeless individuals and the justice system. This research makes use of complementary methodologies. The first one, draws on 29 interviews conducted with homeless individuals regarding their penalization and street life experience. The second one consisted of a descriptive statistical analysis of the 29 individuals' legal records, which included criminal and penal infractions and the procedural steps associated with each infraction.
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Une injustice programmée? : le point de vue des personnes itinérantes sur leur judiciarisation et leur incarcérationRaffestin, Isabelle 08 1900 (has links)
Cette recherche s'intéresse aux perceptions des personnes itinérantes sur leur judiciarisation et leurs incarcérations. La judiciarisation s'opère suite à la remise de constats d'infractions en lien avec les règlementations municipales de la ville, celles de la Société des Transports de Montréal ainsi que le Code de Sécurité Routière. Elle relève donc de la procédure pénale, par opposition au code criminel et concerne des infractions mineures, souvent en lien avec des incivilités. Ultimement, la judiciarisation conduit à l'emprisonnement faute de paiement de l'amende. L'objectif de cette recherche est de mieux comprendre les perceptions à partir d'une compréhension des effets au plan matériel, des relations entretenues avec les différents acteurs socio-judiciaires et du regard que les personnes portent sur la justice à partir de leur expérience. Ancrée dans un cadre théorique fondé sur la reconnaissance (Honneth, 2000), l'expérience de judiciarisation et de l'incarcération est conçue et révélatrice d'un rapport entre la personne itinérante et le système de justice. Pour réaliser cette étude, deux méthodologies complémentaires ont été utilisées. La première s'appuie sur 29 entrevues réalisées avec des personnes itinérantes, portant sur leurs expériences de judiciarisation et sur leur expérience de rue. La seconde a consisté en une analyse statistique descriptive des dossiers judiciaires des 29 personnes, dossiers comprenant l'ensemble des infractions reprochées (criminelles et pénales) ainsi que le processus judiciaire suivi par chacune. / This research explores homeless individuals' perception of their penalization and incarceration experience. Penalization of homeless individuals is an increasingly frequent phenomenon, due to a rise in the number of statements of offense served following infractions to municipal by-laws, to Société des Transports de Montréal by-laws or to the Code de Sécurité Routière. Penalization differs from criminalization : whereas criminalization results from the application of the Criminal Code, penalization follows for minor infractions or incivilities. Ultimately, penalization leads to incarceration : as they default on fines, individuals are increasingly sentenced to jail terms. The objective of this research is to better grasp how homeless individuals perceive penalization. It focuses on its effects on their material life, on their relationship with the system's actors and on their perception of the judicial system through their interaction with it. Ingrained in the conceptual framework of recognition (Honneth, 2000), the experience of penalization and incarceration sheds light on the relationship between homeless individuals and the justice system. This research makes use of complementary methodologies. The first one, draws on 29 interviews conducted with homeless individuals regarding their penalization and street life experience. The second one consisted of a descriptive statistical analysis of the 29 individuals' legal records, which included criminal and penal infractions and the procedural steps associated with each infraction.
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Les axes prioritaires face à l'émergence de phénomènes criminels en banlieue québécoise : l'exemple d'un quartier de lavalTissot, Céline 05 1900 (has links)
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Les usagers des campus universitaires marseillais face à la délinquance et aux incivilités / University campuses users in Marseille confronting delinquency and incivilityWeiss, Pierre Olivier 03 December 2018 (has links)
La question de la sécurité et du sentiment d’insécurité à Marseille se résume trop souvent à la problématique des « cités » et à l’image des trafics de drogue et des règlements de compte qu’ils évoquent. Ces sujets sont certes réels et importants, mais ils ne doivent pas occulter les problèmes de « délinquance » et d’« incivilités » plus classiques et autrement plus nombreux qui se posent dans toutes les grandes villes, de multiples manières. Les années 1980, sous l’influence des recherches anglo-saxonnes, marquent justement un tournant majeur puisque, conscient des limites de la statistique administrative, on commence à mesurer ces phénomènes sociaux du point de vue de la victime. Alors que des enquêtes en population sont réalisées en France depuis plusieurs années, aucune d’entre elles ne s’intéresse aux usagers des campus universitaires quand bien même les effectifs d’étudiants explosent dans le dernier quart du 20e siècle. En effet, aujourd’hui, l’université représente un passage obligé pour une part importante de la jeunesse.Comment, les campus universitaires, des espaces sociaux similaires au premier regard, laissent-ils apparaître des différences en termes de victimation et de sentiment d’insécurité ? Quelle est le volume des victimations recensées et qui sont les victimes ? Peut-on comprendre l’origine des peurs éventuelles des étudiants et des personnels de l’université ? En quoi l’organisation de la sécurité, les problèmes de délinquance locale ainsi que les représentations sociales forment-ils un ensemble de phénomènes qui s’articulent et s’alimentent ? / The question of security and fear of crime in Marseille is all too often limited to the problem of "cités", the image of drug trafficking and the settling of accounts they evoke. These topics are certainly real and important, but they should not overshadow the more classic and numerous "delinquency" and "incivility" problems that arise in many ways, in all major cities. The 1980s, under the influence of Anglo-Saxon research, mark a turning point. Aware of the limits of administrative statistics, we began to measure these types of social phenomena from the point of view of the victim. While population surveys have been carried out in France for several years, none of them are interested in members of university campuses even though the student population exploded in the last quarter of the 20th century. Indeed, today, the university represents a necessary passage for a substantial part of the youth.How do social spaces, which are similar at first glance, reveal differences in terms of victimization and fear of crime? What is the intensity of victimization and who are the victims? Can we understand the origin of the fears of students and university staff? In what way are the security organizations, the problems of local delinquency as well as the social representations a set of phenomena that articulate and feed each other?This thesis, which is a part of the sociology of delinquency and urban sociology fields, does not resolutely lean towards spectacular crime incidents absent from the campus landscape, but rather, towards everyday life problems of members of 3 main Marseilles’ campuses.
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