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Vers une meilleure compréhension des cas d'échec de traitement de la chlamydiose génitale

Dextras-Paquette, Patrick January 2013 (has links)
La chlamydiose génitale est une infection transmise sexuellement causée par la bactérie intracellulaire obligatoire Chlamydia trachomatis. Avec une incidence en constante augmentation depuis 1997, la chlamydiose génitale représente aujourd’hui la maladie à déclaration obligatoire la plus rapportée au Canada et correspond à 80% de l'ensemble des ITS diagnostiquées. Par contre, environ 15% des patients traités pour la chlamydiose génitale sont toujours infectés après la fin du traitement. Au-delà des réinfections possibles à la suite de contacts sexuels non-protégés avec un partenaire infecté, nous avons émis l’hypothèse que des causes bactériennes puissent être responsables des cas d'échec de traitement et d'infection persistante. Les travaux de recherches présentés dans ce mémoire ont donc eu pour objectifs de déterminer si la résistance à l’azithromycine, la charge bactérienne de l’infection ou un génotype particulier de la bactérie, pourraient être associés aux cas d'échec de traitement et d’infection persistante. Pour ce faire, une étude rétrospective de type cas-témoins composée de 204 patients ayant eu deux épisodes de chlamydiose génitale ou plus entre 2002 et 2012 (506 spécimens cliniques analysés au total) a été mise sur pied. En se servant de Campylobacter jejuni comme organisme modèle, il a été possible de développer une nouvelle méthode de détection moléculaire des mutations ponctuelles basée sur la PCR en temps réel, que nous avons nommée TaqTm Probing. Cette méthode a par la suite été exploitée pour chercher des mutations pouvant conférer une résistance à l’azithromycine chez C. trachomatis. Toujours par PCR en temps réel, une méthode d’évaluation semi-quantitative de la charge bactérienne des spécimens cliniques a aussi été mise au point et les spécimens ont été caractérisés par le typage de la protéine majeur de la membrane externe. Aucun cas de résistance n'a été observé, ni d’ailleurs de lien entre la charge bactérienne et l’évolution de l'infection vers un état de persistance ou d'échec de traitement. Par contre, il s'est avéré qu'une infection par le génotype E était significativement associée aux cas d'échec de traitement et d'infection persistante et augmentait le risque de survenue. Il sera important d'identifier subséquemment les mécanismes moléculaires impliqués.
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La santé génito-urinaire des jeunes victimes d'agression sexuelle

Vézina-Gagnon, Pascale 07 1900 (has links)
Les objectifs généraux de cette thèse visaient d'une part à déterminer si les enfants et adolescents abusés sexuellement consultaient et étaient davantage hospitalisés pour des problèmes de santé génito-urinaire que la population pédiatrique générale et d'autre part, à explorer ce qui pouvait expliquer cette différence le cas échéant. La thèse visait également à pallier les lacunes des études antérieures pour la plupart rétrospectives, transversales et conduites principalement auprès de filles, grâce à une méthodologie prospective et de cas-contrôle apparié en ayant recours aux diagnostics médicaux documentés dans les banques administratives publiques du Québec (RAMQ, MSSS) entre les années 1996 et 2013. Dans le premier article, à partir d'un échantillon de 882 enfants (1-18 ans) dont l'agression sexuelle a été corroborée et 882 enfants de la population générale appariés selon l'âge, le sexe et la région sociosanitaire, les résultats du modèle linéaire généralisé indiquent que les filles victimes d'agression sexuelle recevaient plus de diagnostics pour des problèmes de santé urinaire (RR: 2,1) et génitale (RR: 1,4), mais qu'aucune différence n'a été décelée pour les infections transmises sexuellement (ITS). Chez les garçons, ceux ayant été victimes d'agression sexuelle recevaient un nombre équivalent de diagnostics pour les problèmes de santé génitale et urinaire et les données étaient insuffisantes pour conduire des analyses et comparer les taux d'ITS. Selon le type de problèmes de santé analysé (santé génitale, urinaire ou ITS), les filles victimes d'agression sexuelle et celles de la population générale consultaient entre 2,5 et 11 fois en lien avec des diagnostics de troubles génito-urinaires comparativement aux garçons victimes ou ceux de la population générale. Les résultats de cette étude démontrent que l'agression sexuelle à l'enfance est associée à davantage de problèmes de santé urinaire et génitale chez les filles, mais pas chez les garçons. Des efforts de prévention et d'intervention précoce pour une bonne santé génito-urinaire chez les filles victimes d'agression sexuelle pourraient prévenir l'aggravation et la chronicisation de ces problèmes de santé à l'âge adulte. Le deuxième article quant à lui testait un modèle théorique biopsychologique selon lequel une plus grande détresse psychologique (mesurée par la comorbidité des troubles psychiatriques) expliquerait en partie l'effet de l'agression sexuelle sur le nombre accru de diagnostics génito-urinaires chez les filles. Les résultats issus des analyses de médiation conduites auprès de 661 filles victimes d'agression sexuelle et 661 filles de la population générale indiquent qu'après avoir contrôlé le statut socio-économique, le nombre d'années de données médicales et le nombre de diagnostics génito-urinaires/psychiatriques reçus avant la date de signalement de l'agression sexuelle, une plus grande comorbidité psychiatrique expliquait 23% de la relation entre l'agression sexuelle à l'enfance et le nombre de diagnostics urinaires et 62% de la relation entre l'agression sexuelle à l'enfance et le nombre de diagnostics génitaux. Ces résultats indiquent que plus les filles consultent après le signalement de l’agression sexuelle pour un grand nombre de troubles psychiatriques distincts (comorbidité) et plus leur risque de consulter ultérieurement pour des problèmes génito-urinaires est augmenté. Ainsi, cette conclusion suggère que l'émergence de problèmes de santé génito-urinaire des années après l'agression sexuelle pourrait être prévenue chez les filles en prenant soin directement de leur détresse psychologique. / The general objectives of this thesis were first, to determine whether children and adolescents who were sexually abused consulted or were hospitalized more often for genitourinary health problems than the general pediatric population and second, to explore what could explain this difference if any. This thesis also aimed to overcome limitations of previous studies who were retrospective, cross-sectionnal and conducted among girls for the majority, via a prospective matched-cohort design and medical diagnoses documented in Quebec's public administrative banks (RAMQ, MSSS) between 1996 and 2013. In the first article, using a sample of 882 children (1-18 years) with a substantiated report of sexual abuse and 882 children from the general population matched by age, sex and geographic area, the results of the generalized linear mixed model indicated that abused girls received more diagnoses for urinary (RR: 2.1) and genital (RR: 1.4) health problems, but no difference was found for sexually transmitted infections (STIs). Among the boys, those who have been sexually abused received an equivalent number of diagnoses for genital or urinary health problems and there were insufficient data to conduct analyses and compare STIs rates. Depending on the genitourinary health problem, sexually abused girls and those from the general population received between 2.5 and 11 times more diagnoses than abused boys or those from the general population. The results of this study indicate that childhood sexual abuse is associated with more urinary and genital health problems in girls, but not in boys. Prevention and early intervention efforts for a good genitourinary health among girls victim of sexual abuse could prevent the aggravation and chronicisation of these health problems in adulthood. The second article tested a theoretical psychobiological model according to which greater psychological distress (as measured by psychiatric comorbidity) would partly explain the effect of sexual abuse on the increased number of genitourinary diagnoses among girls. Results form mediation analyses conducted with 661 sexually abused girls and 661 girls from the general population indicated that after controlling for socio-economic level, number of years of medical data and genitourinary/psychiatric diagnostics prior sexual abuse report date, greater psychiatric comorbidity explained 23% of the relationship between child sexual abuse and the number of urinary diagnoses and 62% of the relationship between child sexual abuse and the number of genital diagnoses. These results indicate that the more girls consult after the report of sexual abuse for a large number of distinct psychiatric conditions (comorbidity), the greater their risk to consult later for genitourinary health problems. Thus, this conclusion suggests that the emergence of genitourinary health problems years after the sexual abuse could be prevented among girls by taking direct care of their psychological distress.
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Comportements sexuels à risque, VIH/ITS et violence dans les milieux prostitutionnels de St-Marc et Gonaïves, Haïti

Couture, Marie-Claude 01 1900 (has links)
Les clients de TS sont considérés comme un groupe à risque de VIH et aussi agiraient comme un « pont de transmission » entre les TS et les femmes de la population générale. En dépit de leurs comportements sexuels à risque, les clients de TS ont été rarement étudiés. En conséquence, les objectifs spécifiques de cette thèse étaient : 1) estimer la prévalence du VIH, de la syphilis, du VHS-2 (virus de l’herpès simplex et 2) des facteurs de risque associés chez les clients de TS en Haïti, 2) examiner les déterminants de l’intention d’utilisation du condom, et 3) estimer la prévalence des comportements de violence et ses conséquences. Pour ce faire, une enquête transversale a été effectuée en 2006 auprès de 378 clients fréquentant les milieux de prostitution de St-Marc et de Gonaïves, en Haïti. Un questionnaire structuré ainsi que des échantillons de sang séché sur papier filtre ont été utilisés pour la collecte de données comportementales et biologiques. Notre premier article a montré une prévalence élevée du VIH et des ITS chez les clients. Ces hommes avaient plusieurs partenaires sexuelles avec lesquelles l’utilisation du condom variait. Les clients qui avaient déjà consommé de la marijuana, pratiquaient le vaudou, avaient des antécédents d’ITS ou étaient infectés par le VHS-2, avaient plus de chances d’être positifs au VIH. Le fait d’habiter Gonaïves, de ne pas être protestant, d’être employé et d’avoir déjà essayé la marijuana était associé à l’infection à la syphilis. Tandis que les clients plus vieux, ceux résidants à Gonaïves ainsi que ceux pratiquant le vaudou étaient plus souvent infectés par le VHS-2. Dans notre second article, nous avons démontré que les normes subjectives, le contrôle comportemental perçu et les attitudes étaient des déterminants importants de l’intention d’utilisation du condom. Les clients qui avaient des antécédents d’ITS ou avaient utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle avec la TS étaient aussi plus susceptibles d’avoir l’intention d’en faire usage dans le futur. Les résultats du dernier article ont montré que la prévalence des comportements de violence envers les partenaires intimes était élevée. De plus, la violence émotionnelle et physique était associée à l’utilisation inconstante du condom avec les différentes partenaires sexuelles. En conclusion, cette étude suggère que les clients de TS agiraient comme un pont de transmission facilitant la propagation du VIH/ITS dans la population générale en Haïti et que la violence semblerait également jouer un rôle dans la transmission de ces infections. Nos résultats soulignent le besoin d’interventions en prévention du VIH et des ITS ciblant cette population vulnérable, incluant la problématique de la violence. / Male clients of FSWs are a high risk group for HIV and are considered a “bridge” of transmission between FSWs and women in the general population, through unprotected sex. In spite of their high risk behaviours, clients of FSWs have rarely been studied and they have been the target of few interventions. Therefore, the specific objectives of this thesis were to examine 1) estimate the prevalence of HIV, syphilis and HSV-2 (herpes simplex virus 2) infections and their associated risk factors among clients of FSWs in Haiti, to 2) examine the determinants of intention to condom use, and 3) estimate the prevalence of violence towards their intimate partners and its association with sexual risky behaviours. A cross-sectional survey was conducted among 378 clients visiting commercial sex sites in St-Marc and Gonaives, in Haiti. A structured questionnaire and dried blood spot samples were used to collect the behavioural and biological data. Our first research paper found that HIV/STI prevalence was remarkably high among clients of FSWs. These men had many sex partners and condom use differed, depending on the category of partner. Multivariate analysis indicated that clients who had tried marijuana, were practicing Voodoo, had a history of STI or were infected with HSV-2 were more often HIV-positive. Living in Gonaives, not being Protestant, being employed, and having tried marijuana were associated with syphilis infection. Older clients, residents of Gonaives and Voodoo practitioners were more likely to be infected with HSV-2. The second article revealed that subjective norms, perceived behavioural control and attitudes were predictors of intention to use condoms within this population. Clients having had a previous STI and who used condoms the last time they had sexual intercourse with a FSW were more likely to have the intention to use them in the future. The last article showed that prevalence of lifetime IPV was high among clients of FSWs. Moreover, history of emotional and physical IPV were strong predictors of inconsistent condom use with the different sexual partners. The fact that these abusive men are also more likely to be infected with an STI puts their sexual partners at high risk of infection. In summary, this study suggested that clients of FSWs likely act as a bridge population facilitating the spread of HIV/STI throughout the general population in Haiti and that violence seemed to play a role in the transmission. Our findings highlight the importance of STI/HIV prevention interventions addressing this vulnerable population, including gender-based violence.
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Comportements sexuels à risque, VIH/ITS et violence dans les milieux prostitutionnels de St-Marc et Gonaïves, Haïti

Couture, Marie-Claude 01 1900 (has links)
Les clients de TS sont considérés comme un groupe à risque de VIH et aussi agiraient comme un « pont de transmission » entre les TS et les femmes de la population générale. En dépit de leurs comportements sexuels à risque, les clients de TS ont été rarement étudiés. En conséquence, les objectifs spécifiques de cette thèse étaient : 1) estimer la prévalence du VIH, de la syphilis, du VHS-2 (virus de l’herpès simplex et 2) des facteurs de risque associés chez les clients de TS en Haïti, 2) examiner les déterminants de l’intention d’utilisation du condom, et 3) estimer la prévalence des comportements de violence et ses conséquences. Pour ce faire, une enquête transversale a été effectuée en 2006 auprès de 378 clients fréquentant les milieux de prostitution de St-Marc et de Gonaïves, en Haïti. Un questionnaire structuré ainsi que des échantillons de sang séché sur papier filtre ont été utilisés pour la collecte de données comportementales et biologiques. Notre premier article a montré une prévalence élevée du VIH et des ITS chez les clients. Ces hommes avaient plusieurs partenaires sexuelles avec lesquelles l’utilisation du condom variait. Les clients qui avaient déjà consommé de la marijuana, pratiquaient le vaudou, avaient des antécédents d’ITS ou étaient infectés par le VHS-2, avaient plus de chances d’être positifs au VIH. Le fait d’habiter Gonaïves, de ne pas être protestant, d’être employé et d’avoir déjà essayé la marijuana était associé à l’infection à la syphilis. Tandis que les clients plus vieux, ceux résidants à Gonaïves ainsi que ceux pratiquant le vaudou étaient plus souvent infectés par le VHS-2. Dans notre second article, nous avons démontré que les normes subjectives, le contrôle comportemental perçu et les attitudes étaient des déterminants importants de l’intention d’utilisation du condom. Les clients qui avaient des antécédents d’ITS ou avaient utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle avec la TS étaient aussi plus susceptibles d’avoir l’intention d’en faire usage dans le futur. Les résultats du dernier article ont montré que la prévalence des comportements de violence envers les partenaires intimes était élevée. De plus, la violence émotionnelle et physique était associée à l’utilisation inconstante du condom avec les différentes partenaires sexuelles. En conclusion, cette étude suggère que les clients de TS agiraient comme un pont de transmission facilitant la propagation du VIH/ITS dans la population générale en Haïti et que la violence semblerait également jouer un rôle dans la transmission de ces infections. Nos résultats soulignent le besoin d’interventions en prévention du VIH et des ITS ciblant cette population vulnérable, incluant la problématique de la violence. / Male clients of FSWs are a high risk group for HIV and are considered a “bridge” of transmission between FSWs and women in the general population, through unprotected sex. In spite of their high risk behaviours, clients of FSWs have rarely been studied and they have been the target of few interventions. Therefore, the specific objectives of this thesis were to examine 1) estimate the prevalence of HIV, syphilis and HSV-2 (herpes simplex virus 2) infections and their associated risk factors among clients of FSWs in Haiti, to 2) examine the determinants of intention to condom use, and 3) estimate the prevalence of violence towards their intimate partners and its association with sexual risky behaviours. A cross-sectional survey was conducted among 378 clients visiting commercial sex sites in St-Marc and Gonaives, in Haiti. A structured questionnaire and dried blood spot samples were used to collect the behavioural and biological data. Our first research paper found that HIV/STI prevalence was remarkably high among clients of FSWs. These men had many sex partners and condom use differed, depending on the category of partner. Multivariate analysis indicated that clients who had tried marijuana, were practicing Voodoo, had a history of STI or were infected with HSV-2 were more often HIV-positive. Living in Gonaives, not being Protestant, being employed, and having tried marijuana were associated with syphilis infection. Older clients, residents of Gonaives and Voodoo practitioners were more likely to be infected with HSV-2. The second article revealed that subjective norms, perceived behavioural control and attitudes were predictors of intention to use condoms within this population. Clients having had a previous STI and who used condoms the last time they had sexual intercourse with a FSW were more likely to have the intention to use them in the future. The last article showed that prevalence of lifetime IPV was high among clients of FSWs. Moreover, history of emotional and physical IPV were strong predictors of inconsistent condom use with the different sexual partners. The fact that these abusive men are also more likely to be infected with an STI puts their sexual partners at high risk of infection. In summary, this study suggested that clients of FSWs likely act as a bridge population facilitating the spread of HIV/STI throughout the general population in Haiti and that violence seemed to play a role in the transmission. Our findings highlight the importance of STI/HIV prevention interventions addressing this vulnerable population, including gender-based violence.

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