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Au-delà des services écosystémiques culturels : évaluation des valeurs relationnelles des usagers envers les jardins de rue à Montréal

Doan-Lavoie, Eva 08 1900 (has links)
Les infrastructures vertes urbaines (IVU) fournissent de nombreux bénéfices aux citoyens. L’évaluation des Services Écosystémiques (SE) permet de rendre compte de leur valeur. Le cadre conceptuel des SE valorise la nature de manière instrumentale ou intrinsèque, ce qui est inadapté pour évaluer tous les SE culturels (SEC). La notion de valeur relationnelle permet de combler les lacunes de cette vision dichotomique. Des difficultés demeurent pour opérationnaliser le concept, notamment pour les distinguer des autres valeurs environnementales dû au peu d’études empiriques sur le sujet. S’appuyant sur un cadre théorique de co-construction des SEC, les théories de l’embodiment, puis sur la construction des valeurs relationnelles, cette étude a exploré de manière qualitative les valeurs relationnelles des usagers envers les jardins de rue à Montréal. Puisqu’il s’agit d’une IVU publique en bordure de rue et partagée entre voisins, le rapport à l’espace des usagers est intéressant à étudier. Quatre jardins de rues au profil similaire ont été sélectionnés à cet effet. L’analyse des entrevues semi-dirigées réalisées avec les usagers a démontré leurs valeurs relationnelles envers les jardins de rue. Ceux-ci nourrissent l’identité des usagers, leur fait vivre des expériences valorisées, augmentent leurs capacités et leurs connaissances, accroissent leur sens des responsabilités envers la nature et envers les autres, puis alimentent leur bien-être. Leur rôle social est significatif. L’étude donne des perspectives pour opérationnaliser le concept de valeurs relationnelles en identifiant des indicateurs discursifs de ces valeurs. Les facteurs influençant les valeurs relationnelles des usagers envers les jardins de rue ont été explorés. / Urban green infrastructure (UGI) provides numerous benefits to citizens. Valuation of Ecosystem Services (ES) is a way of accounting for their value. The conceptual framework of ES values nature instrumentally or intrinsically, which is unsuitable for valuing all cultural ES (CES). The notion of relational value can fill the gaps in this dichotomous vision. Difficulties remain in operationalizing the concept, particularly in distinguishing it from other environmental values, due to the paucity of empirical studies on the subject. Drawing on a theoretical framework for the co-construction of CES, embodiment theories, and then on the construction of relational values, this study qualitatively explored users' relational values towards street gardens in Montreal. Since this is a public UGI located on street verge and shared between neighbours, users' relationship to space is interesting to study. Four street gardens with similar profiles were selected for this purpose. Analysis of the semi-structured interviews conducted with users demonstrated their relational values towards street gardens. These gardens nourish users' identity, provide them with valued experiences, increase their skills and knowledge, heighten their sense of responsibility towards nature and others, and fuel their well-being. Their social role is significant. The study provides perspectives for operationalizing the concept of relational value by identifying discursive indicators of these values. Factors influencing users' relational values towards street gardens were explored.
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L'espace ouvert pour une nouvelle urbanité

Banzo, Mayté 25 November 2009 (has links) (PDF)
L'" espace ouvert " est un terme utilisé dans le domaine de l'aménagement pour qualifier l'ensemble des espaces " non bâtis " offrant des paysages à caractère rural et naturel dans les vastes aires urbanisées de la ville contemporaine. L'usage de ce terme, pourtant délaissé en Amérique du nord, tend à s'affirmer en Europe. Cette affirmation relève à la fois de la difficulté à identifier la grande diversité des espaces non bâtis, mais également de l'inadaptation des termes fréquemment utilisés pour les caractériser. En effet, les concepts de paysage, campagne, nature continuent d'affirmer l'existence d'espaces ou de mondes du savoir distincts de ceux de l'urbain. La multiplication des oxymores (ville-nature, ville-campagne, ville-paysage) traduit la réticence à accepter la réalité d'une urbanisation généralisée dans le rapport que les sociétés entretiennent avec tous les espaces, quelle que soit leur forme. Le présent volume interroge les raisons qui imposent de trouver un terme alternatif pour qualifier ces espaces et le processus qui participe à l'émergence de ce terme. Nous considérons que trois domaines nourrissent ce processus : la ville et la pensée urbanistique, la relation société/ville-nature, l'action publique territorialisée. L'espace ouvert existe par et pour la ville/urbain. Il naît des formes qu'induisent les relations ville-campagne et du regard que porte la ville, et ceux qui la font, sur les espaces non bâtis (partie 1). L'évolution du rapport de la société à la nature dans un monde qui trouve ses limites impose de repenser la relation de la nature et de la ville qui, longtemps opposées, doivent désormais s'associer. La planification stratégique spatialisée participe à cette nouvelle relation et à la mise en visibilité de l'espace ouvert (partie 2). Cette visibilité se concrétise dans l'action publique territorialisée qui révèle l'espace ouvert comme bien commun et participe à sa territorialisation par le biais de projets territoriaux suscitant un renouvellement des pratiques de l'aménagement urbain (partie 3). Face à la grande diversité des situations et des processus liés aux espaces non bâtis proches, voire éloignés de la ville, l'espace ouvert est un mot-valise utile car assez flou pour intégrer cette diversité sans chercher à la qualifier de prime abord. Il constitue ainsi un outil très utile pour comprendre la manière qu'ont les acteurs territorialisés de concevoir et de s'approprier ces espaces. Il permet d'observer les dynamiques à l'œuvre dans les périphéries urbaines et les formes d'urbanité émergente dans lesquelles semble s'affirmer la place des espaces non bâtis et les pratiques de " nature ". C'est l'hypothèse que défend ce travail.

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