• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 6
  • 1
  • Tagged with
  • 6
  • 6
  • 4
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Etalement urbain et inégalités sociales et environnementales : cas de Nouadhibou - Mauritanie / Urban growth and social and environmental inequalities : Nouadhibou case - Mauritania

El Arbi, Ahmed Salem 01 July 2013 (has links)
Suite aux conséquences de fortes périodes de sécheresse (des années 1960, 1970 et 1980), lemonde nomade/rural s’est vidé de ses habitants venus subitement s’installer dans les grandscentres urbains mauritaniens. Ces changements socio-spatiaux ont bouleversé la sociétémauritanienne, composée d’arabophones (les arabo-berbères appelés Bîdhanes et les hommesaffranchis ou ex-esclaves appelés Haratines) et d’afrophones (peuls, Wolofs, Soninké etBambara). En termes d’urbanisme et de disponibilité des services sociaux de base, les villesdu pays n’étaient pas préparées pour une inclusion réussie des nouveaux migrants. Enconséquence, l’expansion des villes mauritaniennes s’est caractérisée par un développementrapide et par des disparités socio-spatiales criantes. Le littoral mauritanien abrite uniquementdeux villes : Nouakchott (capitale du pays) et Nouadhibou (la capitale économique) qui ontsubi plus de pression anthropique que les autres villes du pays, parce qu’elles offrent plusd’opportunités d’emploi et d’accès aux services urbains.Nous partons de l’hypothèse principale que l’inégalité sociale d’accès aux parcelles est àl’origine de l’étalement urbain incontrôlé de la ville de Nouadhibou. Quelle est la réaction deshabitants face à l’inégal accès aux parcelles à Nouadhibou ? Quelles sont les inégalitéssociales et environnementales produites par le processus d’étalement urbain de Nouadhibou ?Qui habitait majoritairement dans les quartiers spontanés et périphériques de Nouadhibou ?Notre démarche consiste à tracer l’évolution urbaine de Nouadhibou afin de mesurer etcaractériser l’ampleur de son étalement urbain, d'identifier ses causes ainsi que les inégalitéssociales et environnementales qui y sont associées. Nous avons d'abord utilisé des imagessatellites et des formules mathématiques afin de mesurer l’étalement urbain. Puis desentretiens avec des familles résidant dans différentes zones urbaines de la ville ont été menés,selon deux approches, quantitative (160 ménages) et qualitative (15 ménages). Nous avonscréé une base de données contenant des indicateurs mesurant les inégalités subies, et décrit levécu quotidien des habitants. Les données recueillies ont été traitées en utilisant le logicielShinx V5 et utilisées pour la réalisation d’une dizaine de cartes thématiques sur Map Info.Les résultats de notre recherche montrent que les inégalités sociales d’accès aux parcellesurbaines, via le processus d’attribution, sont criantes à Nouadhibou. Seulement 93 parcellesfurent attribuées durant la période 1975 à 1984 et ce malgré les besoins accrus en logements(au début des années 1980, la moitié des habitations furent spontanées). Entre 1990 et 2002,92,96% des parcelles concédées ont été attribuées par les autorités compétentes dans desconditions souvent louches et opaques. La genèse des quartiers spontanés (Kebba) reflète lecontre-pouvoir créé par les habitants pour faire face à ce type d'inégalité sociale. Le processusde régularisation foncière des quartiers spontanés (entamé depuis 1985), consistant à relogerles habitants dans de nouvelles zones urbaines, a conduit à un étalement urbain excessif. Laréalisation des infrastructures urbaines n’a pas accompagné le processus d’étalement, ce quiest à l’origine d'inégalités sociales (problème de transport et d’accès aux écoles, manque depharmacies…) et environnementales (difficultés d’accès à l’eau potable et à l’électricité,absence de service de collecte des ordures…) constatées, surtout dans les quartierspériphériques. Les Haratines, qui résidaient autrefois aux extrémités des campementsnomades maures, représentent 62% (de notre échantillon) des habitants des quartiersspontanés et 73% des familles enquêtées dans les nouveaux quartiers périphériques ElWeva, où l’étalement urbain de Nouadhibou s’est produit ces dernières années. / Further to the consequences of important periods of drought (1960s, 1970 and 1980), thenomadic / rural world was emptied of his inhabitants who came suddenly to settle down in thelarge Mauritanian urban centers. These socio-spatial changes transformed deeply theMauritanian society, consisting of Arabic speakers (Arab-Berber called Bîdhanes and thefreed people or ex-slaves called Haratines) and African languages speakers (Fulanis, Wolofs,Soninké and Bambara). In terms of town planning and availability of basic social services, thecities of the country were not prepared for a successful inclusion of the new migrants. As aconsequence, the expansion of the Mauritanian cities was characterized by a fast developmentand by striking socio-spatial disparities. The Mauritanian coast counts only two cities:Nouakchott (capital of the country) and Nouadhibou (the economic capital) which underwentmore anthropological pressure than the other cities in the country, because they offer moreemployment opportunities and access to urban services. Our main hypothesis is that the socialinequality to the lands’ access is at the origin of the uncontrolled urban growth ofNouadhibou. What is the reaction of the populations in front of the uneven access to the landsof Nouadhibou? What are the social and environmental inequalities produced by the processof Nouadhibou’s urban growth? Who lived mainly in the unplanned (“spontaneous”) districtsand the suburbs of Nouadhibou? Our approach consists in tracking the urban evolution ofNouadhibou to measure and characterize the scale of its urban growth, identify its causes aswell as the social and environmental inequalities which are associated to it. We used firstlysatellite pictures and mathematical analyses to measure the urban growth. Then we hadinterviews with families living in various urban zones of the city, based on two approaches,quantitative (160 households) and qualitative (15 households). We created a databasecontaining indicators that measure the undergone disparities, and described the daily real-lifeexperience of the inhabitants. The collected data were analyzed with Shinx V5 software andused for the realization of about ten thematic maps on Map Info.The results of our study show that the social inequalities of access to the urban lands, via theprocess of allocation, are striking in Nouadhibou. Only 93 lands were attributed between 1975and 1984 in spite of increased needs in housing (at the beginning of 1980s, half of thehabitations were spontaneous). Between 1990 and 2002, 92,96 % of the granted lands wereattributed by competent authorities, often in strange and opaque conditions. The genesis of thespontaneous districts (Kebba) reflects the forces of opposition created by the inhabitants toface this type of social inequality. The process of land regularization of the spontaneousdistricts (started in 1985), consisting in rehousing the inhabitants in new urban zones, led toan excessive urban growth. Realization of the urban infrastructures did not follow the processof growing, which is at the origin of social (problem of transport and access to schools, lackof pharmacies…) and environmental inequalities (difficulty of access to the drinkable waterand to electricity, absence of garbage’s collection services…), especially in suburbs.Haratines, who lived previously in the extremities of the Moorish nomadic camps, represent62 % (of our sample) of the spontaneous districts inhabitants and 73 % of the familiesconsulted in the new suburbs of El Weva, where the urban growth of Nouadhibou occurredduring the last years.
2

Effets de congestion dans la localisation des travailleurs et des exportations / Congestion effect in the location of workers and exports

Boitier, Vincent 25 November 2015 (has links)
La présente thèse a pour but d'expliquer trois faits économiques majeurs : l'étalement urbain excessif, la dispersion du chômage et la hiérarchie de commerce. Dans le premier chapitre, je construis et étalonne un modèle d'appariement du marché du travail simple dans lequel la densité résidentielle des travailleurs est endogène. En utilisant ce cadre d'analyse je démontre que la structure du marché du travail crée de l'étalement urbain excessif important. J'identifie le fait que les entreprises compensent les coûts de transport des salariés comme la source majeure de cette inefficacité. Enfin, je souligne que l'optimalité peut être restaurée si le gouvernement met en place une indemnisation kilométrique. Le second chapitre questionne le fait que bien qu'il a été établi que les villes sont caractérisées par une forte dispersion du chômage les modèles de ségrégation restent le cadre standard de l'économie urbaine et de l'économie du travail. Je montre en particulier que le modèle classique de cette littérature explique la dispersion du chômage si l'environnent résidentiel affecte les préférences des travailleurs. Dans le troisième chapitre co-écrit avec Antoine Vatan, nous montrons que le fait que les entreprises suivent une hiérarchie de commerce dépend très fortement de leur expérience en tant qu'exportateur. Puis, nous développons un modèle simple et dynamique qui le nouveau fait empirique que nous avons mis en relief. A savoir, nous démontrons que ce nouveau fait peut être expliqué par un arbitrage entre attractivité et compétition, ce dernier étant présent dans n'importe quel modèle de compétition monopolistique avec exportation séquentielle. / The present thesis aims to expIain three significant phenomena : urban sprawl, unemployment dispersion and hierarchy of trade. In the first chapter, I construct and calibrate a simple search and matching model in which the residential density of workers is endogenous. Using this new framework, I demonstrate that labor market structure generates significant urban sprawl. l identify the fact that firms compensate workers for their spatial costs as the major cause of this large inefficiency. Finally, l underline that optimality can be restored if the government implements an employee commuter­benefit program. The second chapter questions the fact that although it has been well-advocated that cities are characterized by unemployment dispersion, extreme segregated models remain the workhorse of urban labor economics, show that the standard model of this literature comes to terms with unemployment dispersion if workers have neighborhood composition preferences. ln the third chapter joined with Antoine Vatan, we reveal that the fact that firms obey a hierarchy of trade strongly depends on their experience as exporters. We then develop a simple dynamic model that features the evidence outlined above. Namely, we demonstrate that the new empirical results can be explained by a baseline trade-off between attractiveness and competition that is present in any mode! with monopolistic competition and sequential exporting.
3

Du périurbain au périurbanisme : analyse des (bonnes et mauvaises) pratiques de lutte contre l'étalement urbain dans l'aire urbaine du Mans / Suburban to suburbanism : analysis of (good and bad) practices against urban sprawl in the urban area of Le Mans

Charpentier, Stanislas 26 September 2014 (has links)
Le périurbain est souvent décrié, notamment en raison des formes urbaines produites par un étalement urbainspatiophage et polymorphe. Depuis les lois relatives à la Solidarité et au Renouvellement Urbains (2000) et Grenelle II (2010), le législateur a fait de la lutte contre l‘étalement urbain une priorité nationale. Pour la première fois en France, des outils de planification urbaine tels que les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) ou les Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) sont « officiellement » chargés de lutter contre la consommation excessive des terres agricoles. Au delà de la lutte contre l’étalement urbain se pose la question de la mesure du phénomène. Cette thèse propose d’analyser la morphologie urbaine produite par le processus de périurbanisation à partir d’une méthodologie originale et reproductible à d’autres territoires, reposant sur la télédétection et la photointerprétation et élaborée à l’échelle de l’aire urbaine duMans. Cette recherche mobilise deux approches complémentaires : l’analyse spatiale – diachronique etmultiscalaire – est utilisée pour quantifier le phénomène d’étalement urbain ; l’analyse des entretiens menés auprès des élus permettant de confronter les discours aux pratiques d’urbanisation identifiées grâce à l’analyse spatiale. Les études menées à l’échelle communale révèlent que la délimitation morphologique du périurbain est l’une des conditions sine qua non pour envisager une reprise en main urbanistique de cet espace. Au même titre que l’évolution accélérée de laville contemporaine a donné naissance à l’urbanisme au début du XXe siècle, nous posons ici l’hypothèse que lanotion de périurbanisme pourrait qualifier la mise en ordre nécessaire du périurbain. / Suburbia is often criticized, especially because urban forms produced by urban sprawl and spatiophage multiforme. Since the laws Solidarity and Urban Renewal (2000) and Grenelle II (2010), the legislature has made the fight against urban sprawl a national priority. For the first time in France, the urban planning tools such as Plan Local d’Urbanisme (PLU) orSchémas de Cohérence Territoriale (SCoT) are "officially" in charge of the fight against the excessive consumption of agricultural land. Beyond the fight against urban sprawl is the question of the extent of the phenomenon. This thesis proposes to analyze urban morphology produced by the process of suburbanization from an original and reproduciblemethodology to other territories, based on remote sensing and photo interpretation and developed across the urban area Le Mans. This research uses two complementary approaches: spatial analysis - diachronic and multiscale - is used toquantify the phenomenon of urban sprawl; analysis of interviews with elected officials to compare the speech to urbanization practices identified through spatial analysis. Studies conducted at the municipal level show that the morphological delimitation of peri is a condition sine qua non to consider a recovery in hand urban space. As well as the accelerated evolution of the contemporary city gave birth to urban planning in the early twentieth century, we pose the hypothesis that the concept of périurbanisme might call the ordering of suburban necessary.
4

Lomé au-delà de Lomé : étalement urbain et territoires dans une capitale d'Afrique sud-saharienne / Lomé beyond Lomé : urban sprawl and territories in a metropolis in south Saharan Africa

Biakouye, Kodjo Awussu 17 November 2014 (has links)
Depuis plus de trois décennies, l’urbanisation de l’Afrique en général et de l’Afrique noire en particulier, s’est fortement accélérée. L’explosion démographique dans les villes dont Lomé la capitale togolaise, a considérablement accru les surfaces urbaines entraînant du coup, des conséquences tant sur les conditions de vie des citadins que sur l’organisation et la gestion de l’espace urbain dans son ensemble. En effet, si la métropolisation en cours dans plusieurs pays d’Afrique sud-saharienne est à l’origine de nombreuses et rapides mutations, il faut dire qu’elle pose aussi et de plus en plus, un réel problème de prise en charge efficiente des espaces métropolitains qui au demeurant, sont devenus plus variés en raison d’un étalement territorial non maîtrisé dans la plupart des cas. Ainsi, plus d’un demi-siècle après les indépendances, presque toutes les grandes métropoles présentent encore des paysages urbains très contrastés. Comment et dans quelles conditions se réalise le processus d’extension de Lomé? Quelles sont les mutations qui en découlent, particulièrement dans ses périphéries. Quels sont les mécanismes de gestion et gouvernance de la ville et leurs impacts aussi bien sur le territoire métropolitain que sur la vie des populations? Ce sont les principales questions traitées dans cette thèse. À travers une approche à la fois typologique et territoriale, la thèse aborde ainsi la problématique de l’étalement urbain et analyse plus précisément les formes et les contenus des extensions périphériques ainsi que les diverses dynamiques notamment gestionnaires qui en découlent en Afrique de l’ouest à travers le cas Lomé au Togo. Aussi, au terme des observations et analyses, il ressort que le territoire métropolitain de Lomé constitué sur plus d’un siècle sous l’effet conjugué d’un faisceau de facteurs de tous ordres, est d’une part fragmenté tant dans sa structure, que dans son administration, et d’autre part, différencié et contrasté dans sa gestion; sa gouvernance apparait aujourd’hui comme le défi le plus important auquel restent confrontées les premières autorités de l’agglomération et du pays. / For over three decades, urbanization in Africa in general and in Sub Saharan Africa in particular, has been strongly accelerated. The population explosion in cities like the Togolese capital Lomé has considerably increased the urban areas causing at the same time, impact on both the life of city dwellers and on the organization and the management of urban space as a whole. Indeed, if the metropolization that is underway in several countries in Sub-Saharan Africa is the source of numerous and rapid changes, it more and more raises also actual problem of taking over or charge of metropolitan areas which incidentally have become more varied because of in most cases, uncontrolled territorial spreading. Thus, more than half a century after independence, almost all major cities still having very contrasting urban landscapes. How and under what conditions the extension process of Lomé is going on? What are the resulting changes, particularly in its outskirts? What are the mechanisms for management and governance of the city and its impact on both the space and on people's life? These are the main questions on which the thesis has focused. Therefore through an approach that is both typological and territorial, the thesis discusses in general, the problem of urban sprawl and specifically analyzes the forms and content of the peripheral extensions and various dynamics that are arising including administrative one in West Africa through Lomé’s case, in Togo.So, in the term of the observations and analyses, it appears that the metropolitan territory of Lomé established over more than a century under the combined effect of a beam of factors of all kinds, is on one hand under fragmentation as much in its structure, as in its administration, and on the other hand, differentiated and contrasted in its management; its governance appears today as the most important challenge in which remain confronted the authorities of the metropolis and those of the country.
5

La construction d'une métropole dominante - Le problème de l'étalement urbain dans la région Damascène (Syrie) / The construction of a dominant metropolis The problem of urban sprawl in the region of Damascus (Syria

Fadel, Tamman 29 November 2016 (has links)
De nos jours, l’étalement urbain est devenu une préoccupation grandissante tant pour les institutions concernées (surtout les collectivités territoriales) que pour les chercheurs qui sont en quête d’analyser les facteurs favorisants ce type d’urbanisation, ainsi que les effets qui en découlent. Ce travail de doctorat s’intéresse à l’étalement urbain dans la région Damascène (en Syrie), un phénomène qui s’accélère au fil des années en menaçant les espaces agricoles de la Ghouta (l’osais de Damas). En tenant compte de la situation de Damas et le rôle qu’elle joue au niveau de la Syrie (comme la capitale d’un pays très centralisé), notre travail vise à comprendre : comment les espaces agricoles de son oasis (la Ghouta) se trouvent menacés par l’étalement urbain, alors que l’Etat semble prendre en considération l’importance vitale de ces espaces ? En s’appuyant sur plusieurs études réalisées en Syrie et en France, des données récoltées à partir des institutions syriennes, ce travail repose sur l’hypothèse suivante : la région damascène, comme le reste des métropoles nationales, est soumise aux conditions générales de l’étalement urbain, ce phénomène s'explique aussi et principalement par d'autres éléments, qualifiés de « spécificités Damascènes ». Donc, au delà d’une simple approche qui s’appuie sur les deux facteurs (démographique et économique), la particularité de cette étude se réside dans d’autres facteurs importants liés au contexte politico-administratif, mais aussi au contexte socioculturel (confessionnel). / Nowdays, Urban sprawl is gaining larger attentions by institutions and researchers who are seeking to analyze its effects and the corresponding contributing factors. This PhD thesis focuses on the urban sprawl phenomenon in the region of Damascus (Syria) that is accelerating with time, and threatening the agricultural spaces of Ghouta (the oasis of Damascus). Taking into account the fact of Damascus being the capital of Syria, a very centralized country, we show in this work how the Ghouta agricultural spaces (that are of great importance as declared by the state) are threatened by this urban sprawl. Based on several studies and on data collected from Syrian local institutions, we show that the Damascus region, like the other national metropolis, is subject to the urban spreading general conditions. Finally, this phenomenon can be also mainly explained by other factors termed "specific Damascenes". Therefore, rather considering a simple approach based only on two factors (demographic and economic), the peculiarity of this PhD lies in considering some additional important factors into consideration when analyzing the urban sprawl phenomenon. Those important factors are those related to the political, administrative and sociocultural context (confessional).
6

L'espace ouvert pour une nouvelle urbanité

Banzo, Mayté 25 November 2009 (has links) (PDF)
L'" espace ouvert " est un terme utilisé dans le domaine de l'aménagement pour qualifier l'ensemble des espaces " non bâtis " offrant des paysages à caractère rural et naturel dans les vastes aires urbanisées de la ville contemporaine. L'usage de ce terme, pourtant délaissé en Amérique du nord, tend à s'affirmer en Europe. Cette affirmation relève à la fois de la difficulté à identifier la grande diversité des espaces non bâtis, mais également de l'inadaptation des termes fréquemment utilisés pour les caractériser. En effet, les concepts de paysage, campagne, nature continuent d'affirmer l'existence d'espaces ou de mondes du savoir distincts de ceux de l'urbain. La multiplication des oxymores (ville-nature, ville-campagne, ville-paysage) traduit la réticence à accepter la réalité d'une urbanisation généralisée dans le rapport que les sociétés entretiennent avec tous les espaces, quelle que soit leur forme. Le présent volume interroge les raisons qui imposent de trouver un terme alternatif pour qualifier ces espaces et le processus qui participe à l'émergence de ce terme. Nous considérons que trois domaines nourrissent ce processus : la ville et la pensée urbanistique, la relation société/ville-nature, l'action publique territorialisée. L'espace ouvert existe par et pour la ville/urbain. Il naît des formes qu'induisent les relations ville-campagne et du regard que porte la ville, et ceux qui la font, sur les espaces non bâtis (partie 1). L'évolution du rapport de la société à la nature dans un monde qui trouve ses limites impose de repenser la relation de la nature et de la ville qui, longtemps opposées, doivent désormais s'associer. La planification stratégique spatialisée participe à cette nouvelle relation et à la mise en visibilité de l'espace ouvert (partie 2). Cette visibilité se concrétise dans l'action publique territorialisée qui révèle l'espace ouvert comme bien commun et participe à sa territorialisation par le biais de projets territoriaux suscitant un renouvellement des pratiques de l'aménagement urbain (partie 3). Face à la grande diversité des situations et des processus liés aux espaces non bâtis proches, voire éloignés de la ville, l'espace ouvert est un mot-valise utile car assez flou pour intégrer cette diversité sans chercher à la qualifier de prime abord. Il constitue ainsi un outil très utile pour comprendre la manière qu'ont les acteurs territorialisés de concevoir et de s'approprier ces espaces. Il permet d'observer les dynamiques à l'œuvre dans les périphéries urbaines et les formes d'urbanité émergente dans lesquelles semble s'affirmer la place des espaces non bâtis et les pratiques de " nature ". C'est l'hypothèse que défend ce travail.

Page generated in 0.0982 seconds