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Adaption der automatischen Erkennung nichtmuttersprachlich-akzentuierter Sprache /

Aalburg, Stephanie. January 2006 (has links)
Dissertation--Linguistik--Berlin--Technische Universität, 2006. / Bibliogr. p. 142-149.
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Can the late bird catch the worm? : ultimate attainment in L2 syntax /

Boxtel, Sonja Joke van, January 1900 (has links)
Proefschrift--Letteren--Nijmegen--Radboud Universiteit, 2005. / Bibliogr. p. 209-223.
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L'évolution de la cohérence textuelle dans les productions d'étudiants adultes faux débutants

Al-Housary Helou, Samira. Bouchard, Robert. January 2003 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Linguistique : Lyon 2 : 2003. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Le déterminant démonstratif en français et en néerlandais à travers les corpus : théorie, description, acquisition / The French and Dutch demonstrative determiner through corpora : Theory, description, acquisition

Vanderbauwhede, Gudrun 16 September 2011 (has links)
Cette thèse doctorale comprend une étude contrastive basée sur corpus du déterminant démonstratif en français et en néerlandais en langue native (L1) et en interlangue (L2). Cette étude commence par un volet théorique dans lequel nous élaborons un modèle systématique des emplois référentiels du syntagme nominal démonstratif à partir d’une étude critique de la littérature secondaire en interaction avec une analyse qualitative d’exemples authentiques. Ensuite, nous nous basons en grande partie sur l’Integrated Contrastive Model de Granger (1996) et nous combinons plusieurs analyses contrastives en L1 et en L2 dans le but de dissocier les mécanismes de traduction des différences structurelles et distributionnelles entre le déterminant démonstratif en français et en néerlandais et d’examiner dans quelle mesure ces différences influencent les productions écrites en L2. Afin d’étudier les questions de recherche centrales relatives aux volets descriptif et acquisitionnel de notre thèse, nous réalisons trois études différentes : langue source vs. langue cible (L1), langue native vs. langue native (L1) et langue native vs. interlangue (L1 – L2). À cet effet, nous nous servons de deux corpus parallèles L1, à savoir le Dutch Parallel Corpus et le Corpus de Namur, et de deux corpus d’apprenants, à savoir le Leerdercorpus Nederlands qui contient 1315 textes néerlandais écrits par des apprenants francophones et le Leerdercorpus Frans qui contient 1402 textes français écrits par des apprenants néerlandophones (niveaux B2-C1). / This doctoral thesis includes a corpus-based contrastive study of the French and Dutch demonstrative determiner in native language (L1) and learner language (L2). This study starts with a theoretical section in which we develop a systematic model of the referential uses of the demonstrative noun phrase by means of a critical study of literature in interplay with a qualitative analysis of authentic examples. Subsequently, we base our study for the most part on Granger’s Integrated Contrastive Model (1996) and we combine several contrastive L1 and L2 analyses in order to distinguish translation mechanisms from structural and distributional differences between the French and Dutch demonstrative determiner and to investigate to what extent these differences have an impact on written L2 productions. In order to examine the central research questions with respect to the descriptive part and the applied part of our doctoral thesis, we carry out three studies, each with a different focus: source language vs. target language (L1), original language vs. original language (L1) and original language vs. learner language (L1 – L2). At this purpose, we use two written L1 parallel corpora, namely the Dutch Parallel Corpus and the Namur Corpus, and two written learner corpora, in particular the Leerdercorpus Nederlands that contains 1315 Dutch texts written by French learners and the self-made Leerdercorpus Frans that includes 1402 French texts written by Dutch learners (B2-C1 level).
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Enonciation et Français Langue Etrangère / l'acquisition du système temporel par les sinophones

Cao, Yanyan 14 January 2013 (has links)
Les apprenants sinophones manifestent de nombreuses résistances spécifiques lors de l'acquisition du système temporel du français. Notre objectif est de déterminer les raisons d'une telle situation afin de réfléchir à des propositions didactiques propres à résoudre ces problèmes récurrents. L'analyse du corpus de productions orales et écrites recueilli auprès des étudiants sinophones à différents stades de leur apprentissage a mis en lumière une interlangue caractérisée par une perspective énonciative instable. Pour trouver des explications à ce phénomène, nous avons procédé à une analyse linguistique contrastive des deux systèmes temporels, chinois et français, et également à une analyse des outils de description des langues habituellement utilisés dans l’enseignement du français dans notre établissement d'accueil. Nous avons remarqué que la notion d'énonciation, qui est centrale dans la linguistique française, exerce peu de contraintes formelles dans l'organisation du système temporel du chinois. De plus, elle est rarement évoquée dans l'enseignement du français en Chine. Ces résultats offrent des pistes pertinentes pour la réflexion sur les démarches didactiques à entreprendre en vue d'adapter l'enseignement du fonctionnement interne du français aux caractéristiques du public sinophone / Chinese learners face specific problems when learning French tenses. Our aim is to determine the reasons for this situation and make didactic proposals to adapt the teaching of the French language to Chinese characteristics. The study of the corpus collected from Chinese students at different stages of learning shows an enunciative perspective that isunstable during the construction of the tense system. A contrastive linguistic analysis of Chinese and French temporal systems, as well as an observation of the descriptive language tools commonly used in French teaching in China and didactic practices highlight on the one hand the influences of the mother tongue and secondly the teaching received onthe French tense system construction by Chinese students
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Le recours à la traduction par les apprenants adultes d'une langue seconde : aide ou handicap

Demchenko, Alexandre January 2008 (has links) (PDF)
Comme point de départ de cette étude expérimentale, il s'agissait d'observer chez des russophones la difficulté d'acquérir une langue seconde. Plusieurs chercheurs ont observé le phénomène de traduction pendant l'apprentissage. Cette étude expérimentale s'est concentrée un peu plus sur la traduction mentale et les transferts des apprenants russophones. Dans notre cadre théorique, nous avons traité les questions d'utilisation de la traduction dans le processus de l'apprentissage, notamment les transferts positifs et négatifs. Nous avons examiné si le recours à la L1 aide ou pas l'acquisition d'une L2. Notre recherche visait un groupe de russophones apprenant le français comme langue seconde. Nous avons voulu observer l'effet positif ou négatif du recours à la langue maternelle lors de la rédaction, en utilisant quatre catégories d'erreurs: morphosyntaxe et syntaxe, lexique, orthographe et cohérence et cohésion. Les outils principaux de recherches de Cohen A., Brooks-Carson A. et Jacobs-Cassuto M. (2000) ont été adoptés par le chercheur de cette étude. L'expérimentation a été effectuée dans une école de langue pour adultes à l'hiver 2006 auprès de 15 participants apprenant le français au niveau intermédiaire. Ceux-ci devaient rédiger une composition directement en L2 et une autre en écrivant d'abord leur texte en L1 et en le traduisant ensuite en L2. Notre hypothèse de départ a été partiellement confirmée; nos résultats nous informent que les apprenants russophones du français réfléchissent assez souvent en russe avant d'effectuer une production écrite en français. Nous avons constaté que la composition rédigée directement en L2 comportait moins de transferts négatifs que celle qui provenait de la traduction. Ceci représente donc un net avantage lorsque les étudiants écrivent directement en L2. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue première, Langue seconde, Traduction, Transfert, Influence, Apprentissage, Erreur.
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Modèles d'activités pédagogiques et de support à l'interaction pour l'apprentissage d'une langue le système Sampras /

Michel, Johan Tchounikine, Pierre January 2006 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Informatique : Le Mans : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 230-252.
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Problèmes de référence dans la construction du discours par des apprenants japonais du français, langue 3

Trévisiol, Pascale Perdue, Clive. January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences du langage : Paris 8 : 2003. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 379-390. Index.
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Quelques manifestations de l'interlangue dans une classe d'accueil multiniveau de Montréal

Comtois, Carole January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Prosodie en vreemdetaalverwerving : accentdistributie in het Frans en in het Nederlands als vreemde taal

Rasier, Laurent 22 March 2006 (has links)
In recent years quite a lot of attention has been paid to the suprasegmental features of speech. In the field of second language acquisition, by contrast, the study of prosodic systems suffers from a considerable under-representation. Situated in the double theoretical framework of contrastive linguistics and interlanguage analysis, this study investigates the strategies underlying the distribution of pitch accents in L2 Dutch and French as well as the factors influencing them. The ‘Integrated Contrastive Model' used in this research involves four types of comparisons: Dutch (L1) – French (L1), Dutch (L1) – Dutch (L2), French (L1) – French (L2), Dutch (L2) – French (L2). Looking at Dutch and French L1 data, it appears that structural factors have a much stronger influence on the distribution of pitch accents in French than in Dutch, where their position in the utterance is mainly governed by semantic-pragmatic principles. Crucially, this contrast between the learners' L1 and L2 constitutes a major of interference in their inter¬language system. This is reflected by the use of a structurally motivated default pattern in L2 Dutch, whereas Dutch-speaking L2 learners of French have a clear preference for accent patterns reflecting the contextual news value of sentence elements. The systematic use of the French ‘arc accentuel' in L2 Dutch results in a relatively high number of contextually infelicitous accent distributions (negative transfer), whereas the use of the pragmatic accent rules of Dutch in L2 French gives rise relatively few accentuation errors. This leads to a significant over- and underuse of some accent distributions instead. Besides those differences, there are also similarities between the two interlanguage varieties under investigation. In both cases, the relative correctness of the accentuation proves to be correlated with the overall quality of the segmentation of the utterance: the more accurate the learners' pausing strategies, the higher the probability that they also produce a contextually adequate accent distribution. Also, marked L1 accent patterns appear not to be transferred to the learners' L2 speech. Finally, mastering both the L2 pausing strategies and the typologically marked accent patterns of the target language emerges as an important step towards nativelike use of the L2 accent system. In the general conclusions, both the theoretical and pedagogical implications of the research results are discussed. / En dépit de l'intérêt croissant pour les études prosodiques, relativement peu de recherches ont été consacrées aux caractéristiques suprasegmentales de l'interlangue. Située dans le double cadre théorique de la linguistique contrastive et de l'analyse de l'interlangue, cette thèse étudie les stratégies de placement de l'accent ‘tonique' en français et en néerlandais, ainsi que les facteurs influençant la distribution de l'accent dans les productions orales de locuteurs natifs et non-natifs (niveau de maîtrise ‘avancé') des deux langues. Pour étudier ces différents aspects, nous avons développé un paradigme expérimental (‘Modèle Contrastif Intégré') faisant intervenir quatre études contrastives : néerlandais – français (L1), néerlandais (L1) – néerlandais (L2), français (L1) – français (L2), néerlandais (L2) – français (L2). L'étude contrastive de données comparables recueillies auprès de locuteurs natifs démontrent, en français, la prédominance de facteurs structuraux sur des facteurs d'ordre sémantico-pragmatique, alors qu'en néerlandais c'est l'inverse qui se produit. Par ailleurs, ce contraste s'avère exercer une influence importante sur les productions orales des deux groupes d'apprenants. Ceci se traduit chez les apprenants francophones du néerlandais par une distribution par défaut de type ‘arc accentuel', alors que les apprenants néerlandophones du français ont plutôt tendance à produire des schèmes accentuels reflétant la valeur informative des constituants. Ces différentes stratégies d'accentuation s'accompagnent dans le premier groupe d'un nombre important de distributions contextuellement inadéquates (transfert négatif), alors que dans le second groupe l'application en interlangue des stratégies de la langue maternelle occasionne relativement peu d'erreurs (transfert positif), mais uniquement des différences (significatives) en terme de fréquence statistique. Outre ces différences, les deux interlangues étudiées présentent un certain nombre de similitudes. Tout d'abord, la qualité de l'accentuation s'avère, dans les deux cas, être étroitement liée à la qualité de la segmentation de l'énoncé : plus la répartition des pauses dans l'énoncé est correcte, plus il y a de chances que les apprenants produisent un schème accentuel contextuellement approprié. En outre, il apparaît que les formes ‘marquées' de la langue maternelle ne sont pas transférées vers l'interlangue. Enfin, la maîtrise des schèmes accentuels marqués ainsi que des stratégies de segmentation de la langue-cible s'avèrent constituer deux étapes importantes vers un niveau de maîtrise comparable à celui des locuteurs natifs. L'étude se termine par une discussion des implications théoriques et didactiques des résultats.

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