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L'oulipien translateur : la bibliothèque médiévale de Jacques Roubaud / The oulipian ''translator'' : the medieval library of Jacques Roubaud

Franceschini, Baptiste 22 February 2013 (has links)
Cette thèse s'intéresse à la manière dont l'Oulipien Jacques Roubaud, tout en réécrivant des textes et des motifs venus du Moyen Âge, exhume aussi des pratiques littéraires de l'époque. En effet, tout au long de son œuvre, l'écrivain n'a de cesse d'avouer son penchant pour les lettres médiévales. Non content de publier, en qualité d'érudit, des essais sur la lyrique des troubadours ou le roman arthurien, il considère aussi les textes et les auteurs du Moyen Âge comme autant de modèles à sa propre posture. Il se reconnaît notamment dans cette conception de la littérature où l'originalité se jauge à l'aune, non pas de la pure nouveauté, mais de la récupération incessante du déjà-dit. L'écriture est toujours réécriture, adaptation et transmission d’œuvres anciennes, en un mot résolument médiéval, elle est toujours "translation". En recomposant la bibliothèque médiéval qu'arpente Jacques Roubaud au gré de ses écrits, ce travail cherche donc à cerner les mécanismes et les enjeux d'une réécriture à la lumière de la poétique médiévale. / This thesis examines how the Oulipian Jacques Roubaud, while rewriting texts and motifs from Middle Ages, also recaptures an ancient practice of literature. Indeed, throughout his work, Jacques Roubaud acknowledges medieval literature as an inspirational field. Not only does he publish, as a true scholar, several essays about troubadours and Arthurian romances, but also considers texts and writers of Middle Ages as examples to be followed for his own material. He seems to recognise himself in the medieval conception of literature, in which originality is not a matter of newness but consists in dealing with what has already been told. Writing is always about rewriting, adapting and passing old tales on, in a medieval word, writing is about "translatio". By reconstructing the old library that Jacques Roubaud paces, this study therefore analyses the numerous mechanisms of rewriting in the light of medieval poetic.
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Réécriture d’un archétype médiéval : les géants dans Graal Théâtre de Florence Delay et Jacques Roubaud / Rewriting of a medieval archetype : the giants in Graal Théâtre of Florence Delay and Jacques Roubaud

Guillemin De-Min, Cladie 09 January 2010 (has links)
Florence Delay et Jacques Roubaud ont réécrit sous la forme de dix pièces, la légende arthurienne, avec ses origines, ses aventures et sa double fin, terrestre et céleste. Pour écrire Graal Théâtre, les auteurs ont eu la double démarche des clercs médiévaux : fidélité et liberté. La légende arthurienne a connu quelques transformations. Le personnage du géant fait partie du renouveau « delayroubaldien ». Les géants médiévaux ont subi une rénovation complète. Le géant brutal, à la limite de l’animalité, ayant pour seule arme une massue, a disparu. Dans Graal Théâtre, il cède la place à de grands chevaliers faés. Pour Florence Delay et Jacques Roubaud, il n’y a plus de distinction entre grands chevaliers et géants. Mais le géant dans Graal Théâtre n’est pas un chevalier comme les autres. Il fait généralement partie de l’Autre Monde. Il participe au merveilleux arthurien : il détient certains pouvoirs comme l’invisibilité et la quasi-immortalité, il possède des châteaux merveilleux. De plus, sa grande taille incite à se méfier de lui. Parfois ami, souvent ennemi, quelquefois les deux, le géant est un personnage ambivalent. Dans les romans médiévaux, le personnage du géant mettait en valeur la chevalerie. Dans Graal Théâtre, le géant met en avant les failles du système chevaleresque. La fonction du géant n’est plus de mourir mais bel et bien de vivre à travers les siècles comme un cri de révolte. Le géant n’est plus un témoin du passé mais bien un personnage moderne. / Florence Delay and Jacques Roubaud have re-written the Arthurian legend with its origins, its adventures and its two endings – the earthly and the celestial - as ten plays. In order to write Graal Théâtre, the authors used the dual process adhered to by medieval clerics: accuracy and freedom. The Arthurian legend has undergone some changes. The character of the giant is a part of the Delay-Roubaud renewal. The medieval giants have undergone a complete renovation. The savage giant, almost animal, and whose only weapon was a club, has disappeared. In Graal Théâtre his place is taken by faé knights. For, according to Florence Delay and Jacques Roubaud, there is no longer a distinction between great knights and giants. But the giants in Graal Théâtre are not just any knight. They are usually from the Other World. They are part of the Arthurian supernatural: they have certain powers such as invisibility and near-immortality and they own magical castles. Besides, their great height makes us mistrust them. Sometimes friends, sometimes enemies and sometimes both, the giants are ambivalent characters. In medieval stories, the giants were used to highlight chivalry. In Graal Théâtre the giants call attention to the faults in the system of chivalry. The function of the giants is no longer to die, but to live through the centuries, like a call to revolution. The giants are no longer witnesses to the past, but real modern characters.
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L'oulipien translateur : la bibliothèque médiévale de Jacques Roubaud

Franceschini, Baptiste 22 February 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse à la manière dont l'Oulipien Jacques Roubaud, tout en réécrivant des textes et des motifs venus du Moyen Âge, exhume aussi des pratiques littéraires de l'époque. En effet, tout au long de son œuvre, l'écrivain n'a de cesse d'avouer son penchant pour les lettres médiévales. Non content de publier, en qualité d'érudit, des essais sur la lyrique des troubadours ou le roman arthurien, il considère aussi les textes et les auteurs du Moyen Âge comme autant de modèles à sa propre posture. Il se reconnaît notamment dans cette conception de la littérature où l'originalité se jauge à l'aune, non pas de la pure nouveauté, mais de la récupération incessante du déjà-dit. L'écriture est toujours réécriture, adaptation et transmission d'œuvres anciennes, en un mot résolument médiéval, elle est toujours "translation". En recomposant la bibliothèque médiéval qu'arpente Jacques Roubaud au gré de ses écrits, ce travail cherche donc à cerner les mécanismes et les enjeux d'une réécriture à la lumière de la poétique médiévale.
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Mezura : survivance des troubadours dans Quelque chose noir de Jacques Roubaud

Plante, Manon 08 1900 (has links)
Ce mémoire explore la parenté qui existe entre le principe poétique de mezura (résistance à l’éros mélancolique) élaboré par les troubadours et l’expression du deuil présente dans Quelque chose noir (1986) de Jacques Roubaud. Le premier chapitre vise à cerner comment le rapport aux photographies laissées par Alix Cléo Roubaud, photographe et épouse décédée du poète, mobilise un imaginaire mélancolique propre à l’univers des troubadours. On verra que la contemplation des images permet d’enclencher la mise en mémoire de la disparue. Le deuxième chapitre s’intéresse au dialogue impossible, conçu en termes d’écriture autant que d’oralité, entretenu avec la défunte à travers la reprise de fragments du journal intime d’Alix Cléo Roubaud. En faisant de l’espace poétique un lieu mémoriel, l’inexprimable du deuil se fait paradoxalement source de transmission. Enfin, le dernier chapitre explore les liens qui unissent la structure formelle de Quelque chose noir et la forme médiévale du partimen, plus particulièrement de la « Tenson du néant ». Afin de nommer le rien, la disparition, Roubaud convoque une vaste mémoire littéraire organisée autour des principes du trobar. Ce sont les apories, les tensions maintenues entre des pôles contradictoires, explorées dans chacun des chapitres qui apparentent le dit du deuil à la mezura médiévale, lutte des poètes contre le « néant d’amour ». / This M. A. thesis explores the link between the poetic principle of mezura (resistance to melancholic erosion) elaborated by the troubadours and the expression of mourning presented in Jacques Roubaud’s Quelque chose noir (1986). The first chapter aims at identifying how the relation to the photographs left by Alix Cléo Roubaud, photographer and deceased wife of the poet, mobilizes a melancholic imagination peculiar to the universe of the troubadours. It will be seen that the contemplation of the images makes it possible to initiate the memory of the disappeared. The second chapter examines the impossible dialogue, conceived in terms of writing as much as of orality, maintained with the deceased through the reprise of fragments of the diary of Alix Cléo Roubaud. By making poetic space a memorial place, the inexpressible of mourning is paradoxically a source of transmission. Finally, the last chapter explores the links between the formal structure of Quelque chose noir and the medieval form of the partimen, more particularly the “Tenson du néant”. In order to name the nothing, the disappearance, Roubaud convenes a vast literary memory organized around the principles of the trobar. These are the aporias, the tensions maintained between contradictory poles, explored in each of the chapters that relate the said of mourning to the medieval mezura, struggle of the poets against the “nothingness of love”.

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