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L'ascension du Cardinal de Fleury (1653-1726) / The rise of Cardinal de Fleury (1653-1726)

Malcor, Fabrice 30 January 2016 (has links)
L’ascension du cardinal de Fleury décrit les mécanismes ayant conduit le rejeton d’une famille de financiers « moyens » du Languedoc à devenir en 1726 le principal ministre de Louis XV. Il faut d’abord compter avec le mouvement d’ensemble de tout un lignage qui plonge ses racines dans la marchandise du lodévois depuis au moins le XVIe siècle. Le passage à la finance s’effectue avec le grand-père du cardinal et se poursuit avec son père Jean et surtout son oncle Pierre-Moïse, trésorier de France au bureau des finances de Montpellier. Ce dernier favorise la montée à Paris du jeune André-Hercule qui embrasse dès lors la carrière ecclésiastique. Les moteurs de l’ascension sont ensuite individuels et reposent sur le jeu des clientèles, avec le cardinal de Bonsy puis le cardinal de Noailles qui obtient d’un Louis XIV réticent l’évêché de Fréjus (1698) pour son protégé. La suite relève davantage de la contingence mais ne peut s’extraire du contexte religieux et, là encore, le système des fidélités. La désignation comme précepteur du futur Louis XV, quelques jours avant la mort du Grand Roi, permet à Fleury de faire sa rentrée à la Cour. L’incontestable habileté de Fleury lui permet de profiter de l’évolution politico-religieuse engagée par le Régent qui, passé une phase initiale de rapprochement avec les adversaires de la bulle Unigenitus, s’en détache bientôt. Fleury incarne un soutien modéré mais ferme. Sa proximité avec le petit roi fait le reste et le positionne en personnalité majeure. Les décès de Dubois puis de Philippe d’Orléans le laissent seul face au duc de Bourbon (1723). Trois ans seulement vont suffire à M. de Fréjus pour éliminer le premier ministre en titre. / The ascent of the cardinal of Fleury describes the mechanisms which have driven the heir of an "average" family of financiers in Languedoc to become Louis XV’s Prime Minister in 1726. It is necessary to underline at first the whole rise of a linage which plunges its roots into the merchandise in the Lodévois for at least the XVIth century. The transition to the finance is made with the cardinal’s grandfather and continues with his father Jean and especially his uncle Pierre-Moses, trésorier de France at the bureau des finances of Montpellier. The latter favors the rise in Paris of the young André-Hercule who embraces from then the ecclesiastical career. The causes of the ascent are individual and are based on the set of the clienteles, with at first the cardinal of Bonsy, then the cardinal of Noailles who obtains from reluctant Louis XIV the bishop's siege of Fréjus ( in 1698 ) for his protégé. The continuation is more a matter of contingency but cannot be extracted from the religious context and, even there, the system of the clienteles. The designation as the private tutor of the future Louis XV, a few days before the death of the Great King, allows Fleury to make his comeback to the Court. The indisputable skill of Fleury allows him to take advantage of the politico-religious evolution led by the Regent who, after an initial phase of proximity with the opponents of the Unigenitus bull, soon gets loose from them. Fleury embodies a moderate support but firm. His closeness with the small king makes of him a major actor. The death of Dubois and of Philippe of Orléans leaves him alone in front of the duke of Bourbon (1723). Three years only will be enough for M. de Fréjus to eliminate the official Prime Minister.
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Isaac Papin (1657-1709) Itinéraire d’un humaniste réformé, de l’École de Saumur au jansénisme / Isaac Papin (1657-1709). Journey of a reformed humanist, from Saumur School to jansenism

Guillemin, Thomas 04 December 2015 (has links)
Théologien du Grand Siècle, minor de la République des Lettres, Isaac Papin (1657-1709) est né calviniste. Il appartient à l'École théologique dite de Saumur : fils spirituel du théologien novateur Claude Pajon (son oncle), il adopte les théories de ce dernier sur la grâce et, lecteur de Spinoza dès 1681, développe une conception originale de la tolérance à une période d’effervescence sur cette question dans la pensée protestante. Au moment de la révocation de l'édit de Nantes, Papin rejoint le Refuge : il est alors proche de citoyens des Lettres comme Jacques Lenfant, Jean Le Clerc et Pierre Bayle. Il s’installe d'abord en Angleterre où il est ordonné prêtre de l'Église anglicane puis se rend aux Provinces-Unies, puis dans le Saint-Empire où il tente de s'installer comme pasteur d'une Église wallonne. Son identité de novateur déclenche l'opposition de l'orthodoxe Pierre Jurieu (déjà ennemi de Pajon) qui l'empêche d'atteindre son but. Il décide alors de se convertir et revient en France en 1690, où il passe au catholicisme grâce à Bossuet. Jusqu’alors nomade huguenot de la République des Lettres, Papin se mue en catholique sédentaire dans sa ville natale, Blois : il devient l'un des acteurs de la controverse antiprotestante et se rapproche du jansénisme grâce à l’un de ses amis,également pasteur calviniste converti. En associant histoire sociale des réseaux théologiques et religieux et histoire des idées et des controverses, cette biographie intellectuelle retrace la trajectoire théologique particulière d’un converti du Grand Siècle passé de l’humanisme réformé de Saumur à un jansénisme entre Nicole et Quesnel. / Theologian of the Grand Siècle, minor of the Republic of Letters, Isaac Papin (1657-1709) was born Calvinist. He belongs to the so-called theological school “École de Saumur” : spiritual son of pioneering theologian Claude Pajon (his uncle), he adopts his theories on grace and, as Spinoza reader from 1680, he develops an original design of tolerance during a boom period on this issue in Protestant thought. At the time of the Revocation of the Edict of Nantes, Papin joins the Refuge : he is then close to Letters’ citizens such as Jacques Lenfant, Jean Le Clercand Pierre Bayle. He first moves to England where he is ordained priest of the Anglican Church. Then he goes to the United Provinces and to the Holy Empire, where he tries to settle as a pastor of a Walloon Church. His innovative identity triggers opposition from the Orthodox Pierre Jurieu (Pajon’s former enemy) that prevents him from reaching his goal. He decides to convert and returns to France in 1690, where he becomes a Catholic under the authority of Bossuet. Until then nomadic Huguenot of the Republic of Letters, Papin turns into a sedentary Catholic in his hometown, Blois.He becomes one of the actors of the anti-Protestant controversy and approaches the Jansenism thanks to a friend who is also a converted Calvinist pastor. By combining social history of theological and religious networks and history of ideas and controversies, this intellectual biography traces the particular path of a theologian converted of the Grand Siècle, from reformed humanism of Saumur to Jansenism, between Nicole and Quesnel.
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Les bénédictins de Saint-Michel de SaintMihiel de 1689 à 1790 / The benedictines of Saint-Michel in Saint-Mihiel from 1689 to 1790

Gauthier, Noëlle 27 October 2018 (has links)
L’abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel est fondée par l’abbaye de Saint-Denis, sur l’ordre du roi Pépin le Bref, après 755 et avant 772, sur les hauteurs boisées de la rive droite de la Meuse, à une trentaine de kilomètres au sud de Verdun. Elle est réinstallée avant 824 au bord de la Meuse et agrégée à l’ordre de saint Benoît, réorganisé par saint Benoît d’Aniane, à la demande del’empereur Louis le Pieux.En 954, l’abbaye est donnée en dot à la fille d’Hugues le Grand qui épouse le duc de Haute-Lorraine Frédéric 1er. Ils sont les ancêtres des ducs de Bar, devenus aussi ducs de Lorraine au XVème siècle. L’abbaye reste barroise jusqu’en 1766, date du rattachement des deux duchés à la France.C’est une des abbayes bénédictines importantes des deux duchés. Elle fait partie de la province de Lorraine de la congrégation bénédictine de Saint-Vanne, créée en 1604, et qui regroupe une cinquantaine de maisons en Champagne, Lorraine et Franche-Comté.Le XVIIème siècle est une période difficile pour la Lorraine et le Barrois, pris dans la terrible guerre de Trente Ans de 1631 à 1661. Les duchés et l’abbaye de Saint-Mihiel se relèvent de leurs ruines et se préparent pour un XVIIIème siècle qu’on pourrait prédire d’épanouissement matériel, intellectuel et spirituel. Semblent en témoigner, pour l’abbaye, ses bâtiments que l’on peuttoujours admirer au XXIème siècle et, en particulier, sa magnifique bibliothèque réaménagée vers 1775 et qui renferme toujours plus de 6 000 livres ayant appartenu aux bénédictins.La réalité est plus nuancée et complexe si l’on s’intéresse à ces religieux de 1689, sommet de leur épanouissement spirituel et intellectuel, à 1790, année de la suppression des ordres religieux en France. Nous avons la chance de disposer de leurs témoignages, le plus important étant celui de leur très savant bibliothécaire, de 1717 à 1756, dom Ildefonse Catelinot. / The Saint-Michel monastery of Saint-Mihiel was founded by the SaintDenis abbey, on the request of King Pépin the Younger, after 755 and before 772, on the forested heights of the right bank of the river Meuse, at about 30 km south of Verdun. It was reinstalled before 824 on the edge of the Meuse and aggregated to the Saint Benedict order, reorganized by Saint Benedict d’Aniane on the request of the emperor Louis the Pious.In 954, the monastery is given as a dowry to the daughter of Hugh the Great who marries the Duke of Haute-Lorraine Frederick 1st. They are the ancestors of the Dukes of Bar, who also became the Dukes of Lorraine in the 15th century. The abbey remains linked to the Barrois until 1766, which is the date of attachment of the two duchies to France.It is one of the important Benedictine abbeys of the two dukedoms. It is part of the province of Lorraine of the Benedictine congregation of Saint-Vanne, created in 1604, which comprises about fifty monasteries in Champagne, Lorraine and Franche-Comté.The 17th century is a difficult period for the Lorraine and Barrois, involved in the terrible Thirty Years war from 1631 to 1661. The dukedoms and the Saint-Mihiel abbey recover from their ruins and get prepared for an 18th century that one could predict as a material, intellectual and spiritual blooming. What seems to testify, for the abbey, are its buildings that one can still admire in the 21th century, and particularly its magnificent library refurnished around 1775 and which still comprises over 6 000 books having belonged to the Benedictines.The reality is more balanced and complex if one gets interested in these religious figures from 1689, culmination of their spiritual and intellectual blooming, until 1790, year of the withdrawal of the religious orders in France. We are lucky to have their testimonies, the most important being the one of their scholarly librarian, from 1717 to 1756, Dom Ildefonse Catelinot.
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Les bibliothèques des clercs séculiers du duché de savoie du XVIIIe siècle à 1860 / The libraries of the secular clergy in Savoie from the 18th century to 1860

Collombat, Michel 16 September 2016 (has links)
Cette étude vise à aborder la culture des clercs séculiers en Savoie du XVIIIe siècle à 1860, date du rattachement de la Savoie à la France. Une première partie s’intéresse à la circulation des livres des ecclésiastiques. Elle décrit l’utilisation des manuels lors des études au collège chappuisien d’Annecy, puis dans les séminaires et les différentes universités, mais encore lors des conférences et des retraites ecclésiastiques. Par ailleurs, les livres sont achetés, prêtés à des collègues ou à des laïques, comme l’attestent de trop rares livres de raison retrouvés. Ce sont les testaments qui montrent que les bibliothèques, longuement constituées par héritages, achats tout au long d’une vie, sont ensuite le plus souvent transmises à des membres de la famille également hommes d’Eglise ou dispersées au profit de l’évêque, d’un vicaire ou de différentes institutions, ce qui prouve l’existence de réseaux intellectuels. Les livres relient donc le monde des morts au monde des vivants. La deuxième partie montre qu’ils sont aussi au cœur des débats intellectuels, ce qui explique que leur diffusion soit contrôlée par les autorités religieuses. Les livres sont ainsi au centre des réflexions concernant le protestantisme, le jansénisme, le mouvement des Lumières, l’épisode révolutionnaire de 1792, puis des enjeux de la modernité du XIXe siècle. La Savoie, frontière de catholicité, apparaît alors comme un relais original dans les processus de maturation et de diffusion des idées entre le royaume d’Italie, la France et l’Europe. La troisième partie propose à partir d’un corpus de bibliothèques, essentiellement du XVIIIe siècle, complété par des legs faits au XIXe siècle au grand séminaire de Chambéry, une classification des lecteurs comprenant différents types de desservants, des chanoines et des évêques. En croisant les différents centres d’intérêts en rapport avec la théologie et les sciences profanes, des identités cléricales se dessinent, des facteurs de cohésion, des signes de curiosité intellectuelle apparaissent et montrent que le clergé séculier savoyard est à la fois dépositaire et diffuseur auprès des fidèles d’une culture élargie et qu’il n’est pas à l’écart des évolutions de son époque. / The aim of the following study is to tackle the notion of knowledge and culture among Savoie’s secular clergy, from the 18th century to 1860, when Savoie was annexed by France. The first part focuses on the circulation of clergymen’s books. It depicts the way books are used by scholars at the Collège Chappuisien of Annecy, then in seminaries and different universities, as well as for lectures or ecclesiastical retreats. Besides, books are bought, passed on to colleagues and laymen, as one can learn from the very few commonplace books left. One can read in wills how libraries, whose volumes have been inherited or purchased over the years, are , most of the time, subsequently transmitted to relatives that are men of the cloth too, or scattered to the benefit of bishops, vicars or different institutions, which tends to prove the existence of intellectual networks. Books can thus be said to connect the world of the dead to that of the living. The second part shows that they are also at the very heart of intellectual debates, which explains why their circulation was controlled by religious authorities. Books are thus central points of reflection over Protestantism, Jansenism, the Enlightenment, the 1792 revolutionary episode and eventually what is at stake in 19th century modernity. Savoie, as a catholic boarder, appears as some original basis in the maturing process of ideas as well as their circulation between the kingdom of Italy, France and Europe. The third part, based on a corpus of 18th century libraries mostly and 19th century legacies to Chambéry’s Grand Séminaire, offers a classification of readers, among whom various types of parish priests, canons and bishops. By confronting the different centers of interest related to theology and profane science, some clerical identities are taking shape, factors of cohesion and signs of intellectual curiosity appear, showing that to the believers, Savoie’s secular clergy both keeps and spreads a broader culture and that its members are in no way cut off from the evolutions of their time.

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