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De fiel et de miel : les représentations de la stratégie de gestion de la crise post-référendaire présentes dans la presse canadienne, 1995-1999Lapointe-Gagnon, Valérie 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / L'objet d'étude que constituent les représentations sociales est de plus en plus utilisé en histoire afin d'étudier des phénomènes, des tendances ou des événements. Dans ce mémoire, les représentations sociales sont employées afin d'appréhender les suites du référendum québécois sur la souveraineté de 1995, un moment clé du conflit de basse intensité opposant le Célnada anglophone et le Québec francophone. Récoltant un taux de participation exceptionnel et un résultat extrêmement serré, le référendum du 30 octobre 1995 confronta les responsables fédéraux à une crise qu'ils se devaient de résorber afin de maintenir l'unité nationale, malmenée dans la tourmente référendaire. Le présent mémoire s'attache donc plus précisément à l'étude des représentations de la stratégie déployée par l'État fédéral afin de gérer la crise post-référendaire. Analysant les représentations présentes dans la presse canadienne, il met notamment en lumière le phénomène de ± mémoires inversées ¿ qui amène les Anglo-canadiens et les Francoquébécois à partager une conception différente des événements qui jalonnent leur trajectoire historique. Il souligne également la place occupée par la rhétorique de la réconciliation nationale dans les initiatives mises en place par le gouvernement de Jean Chrétien, une place qui s'avère bien discrète.
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Médias et groupes de pression dans la formulation des politiques publiques au Québec : le cas de la modification du programme des prêts et bourses d'étudesSouissi, Seima 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire traite de la question de la médiatisation des politiques publiques au Québec. Dans la foulée des nouvelles formes de délibérations démocratiques, les groupes de pression agissent comme des acteurs primordiaux dans la formulation des politiques publiques. Animées par le souci de préserver leurs intérêts, ces organisations misent sur la capacité des médias de masse à joindre et mobiliser l'opinion publique. Dans ce travail, nous nous interrogeons sur les possibilités d'accès de ces groupes aux médias de masse et leur adaptation aux règles de fonctionnement de ces institutions ainsi que l'orientation de la couverture qui leur est donnée par les journaux. A partir de l'étude d'une politique publique québécoise, celle de la modification du programme des prêts et bourses d'études, nous avons pu cerner les caractéristiques des activités de protestation menées par les groupes de pression étudiants et qui ont pu franchir les médias. Après avoir combiné les techniques d'analyse de contenu de presse et l'entretien semi dirigé, nous avons relevé que le pseudo-événement constitue l'activité des groupes de pression la plus citée par les médias. Le spectacle s'est avéré être le principal critère permettant aux actions promues par ces groupes de franchir les médias de masse. Les résultats de la recherche prouvent, de même, que les pseudo-événements à caractère spectaculaire obtiennent une couverture médiatique qui appuie la cause des groupes de pression et leur permet de transmettre leurs messages au public. Ce constat nous amène à conclure que le traitement journalistique de l'affaire des prêts et bourses a tenu compte des dimensions scénique et symbolique des pseudo-événements. Par ailleurs, le cas étudié confirme l'habileté des groupes de pression à s'adapter aux exigences de la nouvelle au sens journalistique du terme et la tendance des entreprises de presse à privilégier l'information spectaculaire et, par conséquent, à accorder plus de visibilité aux sources qui fournissent ce type d'information au détriment d'autres. Nous en concluons que ce mécanisme est susceptible de nuire à la vertu de l'expression plurielle des opinions.
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Portrait anthropologique d'un acteur social dans une famille industrielle verviétoise (Belgique, Province de Liège) au XIXe siècle / Portrait anthropologique d'un acteur social dans une famille industrielle verviétoise (Belgique, Province de Liège) au dix-neuvième siècleMauffette-Vachon, Michelle 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire construit le portrait anthropologique d'un acteur social qui a vécu au XIXe siècle (1806-1875) dans une famille entrepreneuriale de la bourgeoisie verviétoise du textile (Belgique - province de Liège). Il s'agit d'un travail ethnohistorique basé sur des archives. Le document principal est un journal personnel rédigé p en d an t une période de vingt ans (1843-1864) par l'acteur étudié. L'approche est ethnographique et l'éclairage théorique est transactionnaliste. Le travail décrit de façon détaillée, en s’approchant par paliers des enjeux prioritaires de l'acteur, quelques aspects de son insertion sociale, incessamment entretenue et reproduite. L'étude s'attarde à la position particulière de cet acteur né second fils dans une famille qui possède et transmet un bien industriel, et qui restera sans enfants, au moment où il agit dans son milieu local, et où interagissent, avec lui et entre eux, les membres de sa famille et ceux des familles alliées. Tous s'entrecroisent dans les horizons - tangents aux domaines du textile, des mines et de l'agriculture, des journaux, de la politique et de la religion - que sont les affaires, les oeuvres sociales et de charité. Le but de ce mémoire est de montrer qu'en s'intéressant de près aux acteurs dans les contextes sociaux de leurs vies, on peut com prendre leurs stratégies, leurs interprétations et leurs limites.
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Le libéralisme du journal Le Soleil, 1896-1911Boivin, Philippe 13 April 2018 (has links)
Au Canada, sur le plan politique, le tournant du vingtième siècle est synonyme de triomphe pour le Parti libéral, et ce, autant sur la scène provinciale que fédérale. Le libéralisme, idéologie qu'il prône et qui se base sur la primauté de l'individu, gagne en influence et concurrence désormais les idéologies conservatrices qui détiennent le haut du pavé depuis plusieurs décennies. De nombreux journaux épousent la cause libérale et la défendent avec vigueur dans cette lutte de tous les instants. A Québec, le quotidien Le Soleil fait, dès 1896, office de principal lieutenant et de véhicule privilégié du libéralisme modéré incarné particulièrement par la figure du premier ministre canadien Wilfrid Laurier. Très représentatif du courant libéral de son époque, le journal est jusqu'en 1911 le porte-étendard de cette idéologie dont il fait fidèlement la promotion.
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Im Spiegel der Parteipresse : la perception de la dénazification par les partis politiques sarrois : 1946-1947Cormier, Yannick 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / Aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, la Sarre, convoitée pour ses ressources par l'occupant français, allait subir une denazification différente des autres Lânder allemands occupés par la France : une participation des nouveaux partis politiques à « l'épuration » des anciens membres du parti nazi et d'individus compromis allait être allouée par les occupants, limitant le rôle du gouvernement militaire français à une fonction de contrôle indirect de la denazification. Quatre formations politiques sarroises allaient ainsi émerger à partir de 1946 et publier des prises de positions sur la denazification. Les ratés de cette politique allaient ainsi être vivement commentées au cours des années 1946-1947 par les journaux de ces partis. Face au développement du mécontentement collectif de l'opinion, les partis allaient graduellement développer une distanciation rhétorique face au sens et à la nécessité d'une denazification en Sarre, de même que sur la culpabilité de la jeunesse et des membres nominaux {Mitlàufer) du NSDAP face à la criminalité nazie.
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Analyse de contenu du journal Bas-CanadaLegendre, Roland 25 April 2018 (has links)
Le 9 avril I656, le Canadien informait ses lecteurs qu'il avait reçu "le prospectus d'un journal qui devait être publié aux Trois-Rivières par Doucet et Cie". Il annonçait ainsi la naissance du Bas-Canada fondé par Georges-Isidore Barthe le 3 avril I856. Georges-Isidore, fils du capitaine Joseph Barthe et de Marie Tapin, était né à Restigouche au Nouveau-Brunswick le 16 novembre 1834. H fit ses études primaires dans sa paroisse et vint poursuivre ses études classiques au Séminaire de Nicolet. Par la suite il opta pour le droit et après avoir fait une partie de sa cléricature à l'étude de Napoléon Bureau de Trois-Rivières et l'avoir terminée à celle de George et Andrew Robertson de Montréal, il est admis au barreau le 16 octobre I856. La fondation du Bas-Canada marquait donc la première expérience de Barthe dans le monde du journalisme. Cependant Georges-Isidore recevra une précieuse collaboration de son frère Joseph-Guillaume. Ce dernier, de dix-huit ans son aîné, a vu le jour à Carleton le 16 mars 1816. Après des études classiques à Nicolet, il s'initia aux éléments de la médecine qu'il abandonna pour le droit. En 1837, à 21 ans, mêlé au mouvement insurrectionnel, il donna â la presse et en particulier au Fantasque de Nicolas Aubin quelques odes patriotiques qui lui valurent d'être emprisonné à Montréal le 2 janvier 1839, sous l'accusation d'avoir écrit en faveur de Papineau et des exilés des Bermudes. Remis en liberté, il se fit inscrire au barreau. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Stylos et fusils : la Yougoslavie dans les journaux britanniques, 1941-1945Jakupovic, Adi 16 April 2018 (has links)
Après la défaite rapide de la Yougoslavie face aux troupes combinées de l'Allemagne, de l'Italie et de leurs alliés en avril 1941, la presse britannique, dont l'avant-garde est représentée par le Times, le Manchester Guardian, et le Daily Herald, essaie de trouver une lueur d'espoir dans une Europe ayant sombré sous la domination de l'Allemagne nazie. À la fin de l'année 1941, les journaux anglais trouvent leur homme en la personne de Draza Mihailovic, commandant des troupes royalistes en Yougoslavie. À travers les deux premières années de l'occupation de ce pays balkanique, le triumvirat de la presse britannique construit une légende romantique autour de ce chef de résistance serbe, lui assignant tous les succès possibles. Or, vers la fin de l'année 1943, les journaux britanniques délaissent abruptement leur héros en faveur du chef communiste d'un mouvement de résistance yougoslave jusqu'alors méconnu en Grande-Bretagne. Jusqu'à la fin de la guerre en 1945, ils n'arrêteront pas d'appuyer Tito, ce "vrai" héros, et de déconstruire le mythe de Mihailovic et la personne du roi yougoslave Petar II. Cependant, la crise de Trieste viendra tester leur relation avec les nouveaux chefs de la Yougoslavie.
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Le journal le Droit, miroir de l'identité franco-ontarienneLaporte, Luc 25 April 2018 (has links)
Menacés par la possibilité d'assimilation au monde anglophone, les Franco-Ontariens ont toujours eu à lutter pour leur survie. La montée du néo-nationalisme québécois qui fait disparaître la notion du Canada français au cours des année s '60 et '70 constitue un nouveau danger pour les Franco-Ontariens. Alors que les Québécois cherchent à s'affirmer comme majoritaires au Québec, les Franco-Ontariens se sentent "minorisés" davantage et isolés dans leur province. Cette nouvelle condition les pousse à revendiquer avec plus de vigueur pour le respect de leurs droits et contribue à forger une identité franco-ontarienne distincte. C'est cette transformation du Canada français et l'émergence d'une nouvelle identité franco-ontarienne que nous analyserons à travers les éditoriaux du journal Le Droit, le seul quotidien francophone de l'Ontario. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'évolution des pratiques rédactionnelles et de l'identité discursive des journalistes pratiquant dans le domaine de l'information judiciaire de nature criminelle et pénale de 1950 à 2010Moreau, Lise 11 December 2024 (has links)
Notre thèse vise d’abord à démontrer que, de 1950 à 2010, il y a eu des changements dans les représentations journalistiques de la justice et des magistrats et ensuite, à expliquer ces transformations. Un corpus de 350 articles de presse, soit cinquante textes publiés la première année de chaque décennie, sélectionnés de manière aléatoire dans le journal La Presse, est étudié par l’intermédiaire de l’analyse critique du discours. Selon cette méthode, l’analyse et la compréhension d’un discours requièrent de prendre en compte les conditions dans lesquelles il est produit, puisque ces conditions déterminent la nature des représentations qui y sont inscrites. En effet, les journalistes ne possèdent pas une totale liberté leur permettant de décider des sujets à traiter et de la manière de le faire. Ce sont les rapports qu’ils entretiennent avec la source de leur discours, les collègues, l’employeur, les lecteurs, etc., qui le déterminent. C’est la raison pour laquelle l’analyse critique d’un discours dans une perspective diachronique ne peut être complète sans le situer dans l’environnement, lui aussi changeant, dans lequel il prend forme, car des « rapports de force » (entendus comme la possibilité d’agir sur autrui en fonction des ressources et des contraintes de chacun) se jouent derrière son élaboration et en forgent la signification. Chaque sous-environnement (dans notre cas, particulièrement les sous-environnements judiciaire et médiatique), se compose effectivement de structures (par exemple, les lois, les tribunaux, l’entreprise de presse, le marché des médias, etc.) ayant pour effet, soit de faciliter le travail des journalistes, soit de le contraindre en limitant leurs marges de manoeuvre. Ces structures, contribuant à établir ce qu’ils peuvent écrire, évoluent elles aussi. L’effet combiné des différents éléments structurants d’un même sousenvironnement, de même que les interactions entre sous-environnements et entre les individus, interviennent en jouant sur le rapport de force (ce dernier sera parfois à l’avantage des journalistes ou encore à leur désavantage), tout en contribuant à déterminer le statut social et professionnel dont disposent les journalistes et les juges. Il arrive que les changements dans ces conditions de production entraînent à leur tour des transformations plus ou moins prononcées dans les façons de faire des journalistes et, par la même occasion, dans leur discours. Lorsqu’ils écrivent, les journalistes laissent dans leurs textes, sans même le vouloir, des traces des rapports sociaux qu’ils entretiennent avec le sujet et l’objet dont ils traitent, ainsi qu’avec ceux à qui ils s’adressent. La notion d’identité discursive journalistique permet d’observer l’effet émergent de pratiques routinières à un moment précis de leur évolution, car inconsciemment, les journalistes rédigent leurs articles en conformité avec la manière constituant la norme au moment où ils écrivent leurs textes. Ce concept nous permet alors de déceler, à l’aide d’indicateurs microtextuels et macrotextuels, les conséquences de ces rapports dans la production de l’énonciation journalistique. L’institution judiciaire et les entreprises de presse sont deux organisations de nature discursive, chacune possédant son système de valeurs, ses propres significations, son public cible, ses objectifs, bref, son système sémiotique spécifique. En ce sens, lorsque les journalistes rendent compte de ce qui se produit devant les tribunaux, ils mettent en discours un discours déjà construit une première fois par la justice et ses représentants. Selon qu’ils possèdent une identité discursive plus ou moins forte, les journalistes se permettront de modifier ou au contraire de reproduire le plus fidèlement possible, l’énonciation originale. Ainsi, en 1950, sans qu’ils en soient nécessairement conscients, les journalistes s’appliquent à construire la nouvelle en privilégiant la logique énonciative et les intérêts de l’institution judiciaire, comme si le rôle attendu d’eux en était un de rapporteur. Les valeurs rattachées aux acteurs du premier niveau sémiotique demeurent donc prédominantes dans les articles de presse. À la fin de la période étudiée, il apparaît évident que l’identité discursive des journalistes se trouve renforcée. Ils se distancient de la sémiotique judiciaire en remaniant l’énonciation originale. La prédominance des valeurs associées à la justice va de plus en plus s’estomper au moment de la seconde sémiotisation, désormais construite en fonction de la logique énonciative des journalistes et de leur évaluation de ce que désirent les lecteurs, ce qui contribue par la suite à conforter, voire affermir, leur statut social et professionnel.
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Identités et exotisme : représentations de soi et des autres dans la presse coloniale française au XIXe siècle (1830-1880)Demougin, Laure 06 November 2024 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / Identités et exotisme : représentations de soi et des autres dans la presse coloniale française au XIXe siècle (1830-1880) Sur les territoires colonisés par la France paraissent des journaux locaux qui suivent le développement national de la presse : entre 1830 et 1880, l’époque est médiatique et le journal est un support important des publications littéraires. Dans les colonies, les périodiques contiennent ainsi des textes adaptés à leurs territoires respectifs, mais publiés toujours selon la même structure, ce qui permet une comparaison entre les différentes stratégies conduisant à l’élaboration d’identités coloniales. Ces textes, par leur diversité et leurs évolutions, représentent une sorte de chaînon manquant entre la littérature des récits de voyage et la littérature coloniale qui se définit au tournant du XXe siècle : interrogés et étudiés sous cet angle, ils prennent valeur de corpus signifiant. Ils montrent en effet le rôle identitaire de cette littérature médiatique adaptée aux colonies : en adaptant l’exotisme aux conditions coloniale, en faisant varier le critère d’altérité et par bien d’autres moyens encore, la presse locale fonde en partie une attitude coloniale qui se retrouve, mutatis mutandis, dans l’empire colonial français. C’est également la raison pour laquelle le corpus médiatique colonial du XIXe siècle se trouve être au centre de connexions avec les textes de la littérature coloniale ainsi qu’avec les problématiques de l’écriture postcoloniale : lieu de publication, de nouveauté, de tentatives identitaires et d’essais génériques, le journal colonial a produit entre 1830 et 1880 des mécanismes d’écriture appelés à se développer par la suite. / Identities and exoticism : representations of self and others in the french colonial press in the 19th century (1830-1880) Local newspapers were published in French colonial areas following the same evolution as the national newspapers: between 1830 and 1880, media-rich times, the press represents a significant publishing-platform for literary texts. Colonial newspapers contain texts adjusted to their respective geographic areas, but keep the same structure regardless, thereby allowing the comparison between the strategies leading to the building of colonial identities. The diversity and the different evolution pathways of these texts may then be considered as the missing link between the travel narratives and the early-20th century defined colonial literature. As such, they can undoubtedly be considered as a significant corpus of colonial times. These texts reflect the identity role this colonial-area adjusted media literature had: by adapting exoticism to the colonial conditions, by varying the criterion of alterity and by many other ways, local press founds, partially, a colonial attitude that can further be found, mutatis mutandis, in the French colonial empire. This is also the reason the 19th-century colonial-media corpus is at the crossroads of both colonial literature and postcolonial writing problematics: as a place for publication, novelty, identity essays, and literary genre essays, the colonial newspaper witnessed the creation, between 1830 and 1880, of writing mechanisms that would eventually develop later on.
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