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Le théâtre français « de l’absurde » en RFA (1949-1989) : créations et réceptions des œuvres d’Adamov, Beckett, Genet et Ionesco outre-Rhin / The French theatre of the “absurd” in West Germany (1949-1989) : productions and receptions of Adamov’s, Beckett’s, Genet’s and Ionesco’s plays

Gay, Marie-Christine 09 December 2016 (has links)
À la fin des années 1940, une nouvelle avant-garde théâtrale fait son apparition dans les petites salles de la Rive gauche à Paris : le théâtre « de l’absurde », désigné ainsi par le critique britannique Martin Esslin. Cette écriture dramatique novatrice, qui parvient à s’imposer rapidement auprès du public français et international, connaît sur les scènes ouest-allemandes un succès durable. La présente thèse s’emploie à mettre au jour le processus de transfert et les modalités de réception en République Fédérale d’Allemagne des œuvres des principaux représentants de ce mouvement : Arthur Adamov, Samuel Beckett, Jean Genet et Eugène Ionesco.À partir de sources inédites issues des archives, il s’agit de reparcourir les trajectoires des médiateurs de cette importation culturelle, de retracer la chronologie de la réception et de souligner la diversité des supports utilisés, théâtraux, radiophoniques et télévisuels. La circulation des œuvres dans le paysage théâtral ouest-allemand entre 1949 et 1989 est étudiée dans ses différentes étapes, de leur découverte par les maisons d’éditions à leurs traductions, créations scéniques majeures et enfin leur accueil par la presse spécialisée et le public dans son ensemble. Par nature cosmopolite, le répertoire théâtral « de l’absurde » a été doté dans la culture d’accueil ouest-allemande d’une dimension internationale qui a favorisé la réussite de son intégration. Ce travail ouvre ainsi un chapitre inédit dans l’histoire de l’Allemagne, de sa culture et de son théâtre comme, plus largement, des relations culturelles franco-allemandes. / At the end of the 1940s, a new theatrical avant-garde appears on the small stages of the Left Bank in Paris: the theatre of the “absurd”, as conceptualised by the British drama critic Martin Esslin. This innovative dramatic writing style succeeds in establishing itself with the French and international public, and enjoys a long-lasting success in West German theatres. This thesis aims at uncovering the process of cultural transfer and the modes of reception in the Federal Republic of Germany through the main representatives of this movement: Arthur Adamov, Samuel Beckett, Jean Genet and Eugène Ionesco. Based on previously unpublished archival sources, this work retraces the path of the mediators of this cultural import, follows the chronology of the reception and highlights the diversity of the types of media used: theatre, radio and television. The individual steps through which the theatrical works were circulated in the West German theatre landscape between 1949 and 1989 will be analysed from the discovery by publishing houses via different translations, to major stage productions and finally the acceptance by the theatrical press and the general public. Thanks to its cosmopolitan nature, the theatre of the “absurd” was endowed by the West German host culture with an international dimension that contributed to its successful integration. Hence this study opens a new chapter in the history of Germany, its culture and theatre as well as, more widely, the French-German cultural relations.
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L'homme, l'humain et l'humanisme dans les oeuvres d'Albert Camus / Man, human and humanism in works of Albert Camus

Aqelsaravani, Zahra 30 January 2014 (has links)
Albert Camus a lui-même distingué trois phases dans son Œuvre : celle de l’absurde : (la prise de conscience du non-sens de la vie conduit Camus à l’idée que l’homme est « libre de vivre sans appel », « quitte à payer les consciences de ses erreurs » et doit épuiser les joies de cette terre. La vie accepte le non-sens du monde et trouve le bonheur au sein même de l’absurde. Camus affirme que l’absurde n’est ni dans l’homme ni dans le monde, mais dans leurs présences communes, dans leur « confrontations » et le définit comme « l’indifférence à l’avenir et la passion d’épuiser tout ce qui est donné »), celle de la révolte : (la révolte est considérée par lui comme la seule position tenable face à l’absurde. Elle figure avec la liberté et la passion, comme une solution valable et capable d’assurer la justice. Elle seule peut assurer une action affective capable de dépasser la stérilité et l’angoisse créées par l’absurde), celle de l’amour : (Camus entend par là, l’amour de l’homme, tel qu’il est, avec ses forces et son intelligence et aussi avec ses limites et ses faiblesses. Camus exprime son affection et sa solidarité envers l’homme. Ce n’est plus seulement un humanisme classique qui s’affirme, plus seulement une position morale, mais une position d’homme sensible. Camus recherche encore à s’approcher de ces « quelques choses », de cette « part obscure » qui est en tout homme, et en lui-même en particulier). Cette étude interroge sur la remarquable prose camusienne qui touche au premier plan la question de l’Homme qui progresse et modifie au fil des années ; l’attachement au service d’une justice relative aux hommes dont l’idée n’est pas séparable de celle du bonheur ; l’adhésion à une éthique humaine et humaniste qui n’est que pour pousser l’esprit humaine à la perfection. Son art n’est pas « une réjouissance solitaire ». Camus formule son exigence envers l’Homme car l’art est le moyen de l’expression d’une communion entre les hommes. / Albert Camus himself distinguished three phases in his work: that of the absurd (awareness of non-meaning of life led Camus to the idea that man is ‘’ free to live without appeal’’, take a risk to pay the consciences of his errors and must exhaust the joys of this earth. Life accepts the non-sense of the world and finds happiness in even the absurd. Camus says that the absurd is not in man nor in the world, but in their common presences, in their ‘’ confrontation’’ and defines it as ‘’ indifference to the future and the passion to exhaust all that is given’’), that of the revolt: (revolt is considered by him as the only tenable position to face the absurd. It appears with the freedom and passion, as a valid solution and capable of ensuring justice. It alone can assure emotional action capable of overcoming unproductiveness and anxiety created by the absurd), that of the love (Camus meant here the love of man as he is, with its forces and intelligence as well as its limitations and weaknesses. Camus expresses his affection and solidarity towards man. This is not only a classical humanism which expresses itself, not just a moral position, but the position of a sensitive man. Camus still tries to approach these ‘’ few things’’ this ‘’obscure part’’ which is in every man, and himself in particular. This study examines the remarkable prose of Camus that concerns the issue of man, who progresses and changes over the years; attachment to the service of justice, relating to man whose idea is not separable from that of happiness; adherence to human and humanist ethics which are pushing the human mind to perfection. His art is not ‘’ a solitary joy’’. Camus formulates his expectation from man because art is the way of expression of communion between people.
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Comedy of the Impossible : The Power of Play in Post-war European Theatre / La Comédie de l’impossible : la force du jeu dans le théâtre européen de l’après-guerre

Street, Anna 05 December 2016 (has links)
En retraçant le développement des théories de la comédie dans la philosophie occidentale, cette thèse avance que des préjugés l’ont empêchée d’être reconnue comme un genre littéraire sérieux. Il est montré que la place donnée à la comédie comme genre mineur pendant plus de deux mille ans correspond à un modèle éthique qui affirme, en distinguant le réel de l'Idéal, une vision néo-platonicienne de l'existence. Partant de l’analyse d’un phénomène théâtral précis dans l’Europe de l’après-guerre et à travers de nombreux exemples choisis parmi des pièces de cinq dramaturges différents, cette thèse propose trois principaux critères de la comédie : le statut ontologique des personnages comiques, la relation paradoxale de la comédie au monde des apparences, et son aptitude à permettre l'impossible. Opérant ainsi un renversement total des systèmes de valeurs et remettant en question une vision binaire, la comédie brouille les clivages entre l’abstrait et le concret, le mécanique et l’organique, et au bout du compte entre la vie et la mort. Il est démontré comment ce renversement s’accomplit de manière linguistique, métaphorique ou encore dramaturgique. L’étude conclut que la comédie bouleverse l'ordre socio-symbolique qui repose sur la logique du possible. / By tracing the development of theories of comedy within Western philosophy, this thesis claims that anti-comic prejudices prevented comedy from being recognized as a serious genre. Comedy’s inferior status for over two thousand years is shown to correspond to an ethical model that distinguishes the real from the Ideal and affirms a Neo-Platonic vision of existence. Through numerous examples taken from a particular phenomenon of post-war European theatre comprising five different playwrights, this thesis proposes three primary characteristics of comedy: the ontological instability of comic characters, comedy’s paradoxical relation to the world of appearances, and comedy’s willingness to accommodate the impossible. By throwing binaries into question and promoting a complete reversal of dominant value systems, comedy blurs the lines of distinction between the abstract and the concrete, the mechanical and the organic and, ultimately, between life and death. Demonstrating how this reversal is accomplished linguistically, metaphorically, or dramaturgically, this study concludes that comedy subverts the socio-symbolic order that relies upon the logic of possibility.

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