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Indefinites /Diesing, Molly. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Ph. D.--Amherst (Mass.)--University of Massachusetts, 1990. Titre de soutenance : The syntactic roots of semantic partition. / Bibliogr. p. 157-169. Index.
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Französische Sprachgesetzgebung und europäische Integration /Haas, Rainer. January 1991 (has links)
Diss.--Tübingen--Universität Tübingen, 1990. / Bibliogr. p. 180-190.
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Coordination: its implications for the theory of general linguisticsDik, S. C. January 1968 (has links)
Thesis--University of Amsterdam. / Bibliography: p. [296]-307.
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A minimalist approach to intrasentential code switching /Macswan, Jeff, January 1999 (has links)
Version remaniée de: Thèse de doctorat--Los Angeles--University of California. / Bibliogr. p. 271-295. Index.
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Les Catastrophes de la parole : de Roman Jakobson à René Thom /Petitot, Jean, January 1985 (has links)
Texte remanié du 1er chapitre de: Thèse--Lettres--Paris. / Bibliogr. p. 345-354. Thèse soutenue sous le titre : Pour un schématisme de la structure, de quelques implications sémiotiques de la théorie des catastrophes"
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Aspect and temporal ordering : a contrastive analysis of Dutch and English /Boogaart, Ronny. January 1900 (has links)
Proefschrift--Letteren--Vrije universiteit te Amsterdam, 1999. / Bibliogr. p. 269-284.
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Peuplement et langues dans l'espace mosellan de la fin de l'Antiquité à l'époque carolingienne / Population and Languages in the Moselle Area from the end of Antiquity to Carolingian TimesSimmer, Alain 29 November 2013 (has links)
L'espace mosellan est foncièrement germanique, considéré comme une émanation directe des Grandes Invasions d'où serait issue une Lorraine coupée en deux, germanique - donc franque - d'un côté et romane de l'autre, ayant conservé les traditions du Bas-Empire, le tout séparé par une frontière linguistique. Cette image, directement issue de l'historiographie d'outre-Rhin du XIXe siècle, a toujours force de loi, en Lorraine comme ailleurs, en dépit des progrès de la recherche. Le but de ma thèse est de démontrer que ces théories, forgées en fait sur des critères essentiellement toponymiques, ne reposent sur aucun fondement scientifique réel et ne peuvent résister aux avancées de la recherche moderne, notamment archéologiques. Elle s'articule en trois parties : 1 : Adapter l'espace mosellan au panorama général de l'historiographie moderne. Etudier cet ensemble de l'intérieur, non plus en fonction de pseudo-invasions extérieures mais comme une entité propre. Aborder la frontière linguistique sur des critères objectifs et non plus théoriques. Abandonner le mythe « franc » au profit de la réalité de l'ethnogenèse. Appréhender la réalité archéologique de la Gaule Belgique au Bas-Empire. 2 : Passer du mythe historiographique à la réalite du terrain. Par l'étude de l'occupation du sol au haut Moyen Âge sur des critères archéologiques : implantation des nécropoles mérovingiennes, données les plus récentes quant à la langue « francique » et la toponymie mosellane. Il en résulte une inadéquation totale entre les théories classiques et la réalité, où la romanité s'avère omniprésente. 3 : Redonner à l'espace mosellan une cohérence historique. Dans un tel contexte de pérennité antique, l'organisation du territoire n'a pu que se maintenir: par l'intermédiaire des cadastres et du système fiscal, automatiquement relayés par la toponymie. Elle-même n'a pu qu'être profondément remaniée par les réformes territoriales du Bas-Empire. L?ensemble était encore lisible dans le paysage régional jusqu'à la Révolution, par le biais des structures du diocèse de Metz, héritier direct de la cité des Médiomatriques, dont la frontière linguistique n'a fait que reprendre fidèlement le tracé. On découvre un espace bilingue, au sein duquel la toponymie régionale apparaît clairement comme un héritage de l'administration gallo-romaine et non pas comme la conséquence d'invasions ; elle a été organisée en secteurs germaniques et romans, bien avant les bouleversements du Ve siècle. La combinaison archéologie-toponymie confirme l'existence de centres de romanisation autour desquels se groupent des implantations secondaires, reflet d'une germanité ancestrale intégrée à un cadre administratif gallo-romain, auquel le haut Moyen Âge ne modifiera quasiment rien, comme le confirme l'implantation des nécropoles mérovingiennes. Se dessine alors un paysage ancestral avec la pérennité d'un germanisme endémique, sans rapport avec de prétendues invasions extérieures. L'espace mosellan retrouve enfin une individualité historique et une spécificité culturelle. / The Moselle area is mainly Germanic, seen as taking its roots in the Great Invasions which originated a Lorraine divided into two parts, a Germanic one -so to say Frankish- on one hand and a Roman one on the other, both parts having kept their traditions since the Late Antiquity, the whole being separated by a linguistic frontier. This picture is the product of the XXth century German historiography and is still commonly taken for granted, in Lorraine and everywhere else in spite of the improvements of research. The purpose of my thesis is to show that these theories, based almost essentially on toponymic criteria, have no real scientific grounds and cannot resist in front of the modern research, especially in archaeology. It hinges on three points: 1: to adapt the Moselle area to the general panorama of modern historiography. To study the area from the inside, as a whole entity, no longer depending on pseudo-invasions. To approach the linguistic frontier on unbiased and non-theoretical criteria. To let down the ?Frankish? myth for the benefit of the ethnogenesis reality. To survey the archaeology of Gallia Belgica in Low Antiquity; 2: to give up traditional historiography for the benefit of archaeological reality. To study the settlements in the Early Middle Ages based on Merovingian cemeteries; to examine the latest discoveries about the languages of the Franks and about the Moselle country toponymy. We then discover a total inadequacy between the classical theories and the reality imbued with romanity; 3: to give back an historical coherence to the Moselle area. In such a context of antique duration, the organization of the territory could do nothing but live on thanks to the cadastres and the fiscal system automatically taken over by toponymy which was deeply reorganized by the territorial reforms of the Late Antiquity. This could still be seen in the regional landscape until the Revolution through the structures of the Metz diocese, the direct heir of the Mediomatric city, whose layout was exactly the same A bilingual area reveals itself and the regional toponymy clearly appears as the heritage of the Gallo-Roman administration and can no more be considered as a consequence of migrations. It was set up into German and Roman sectors long before the disruptions of the Vth century. Putting together archaeology and toponymy lead to confirm the existence of a lot of romanized centres surrounded by more little settlements; all this is a mirror of an ancient Germanity, which was included in a Gallo-Roman administrative structure . The Early Middle Ages hardly changed anything as can be shown by the implantation of the Merovingian cemeteries. Then we can rediscover an ancestral landscape with a continuity of an endemic germanism, without any connection with the so-called external invasions. At last the Moselle area recovers its historical individuality and its specific culture.
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Discrimination prosodique et représentation du lexique : application aux emplois des connecteurs discursifs / Prosodic discrimination in the representation of the lexicon : an application to discourse connectivesPetit, Mélanie 28 November 2009 (has links)
Dans le cadre d’une sémantique linguistique reposant sur la distinction signification/sens et partant du principe que le sens se construit en discours, nos recherches ont pour objectif de rendre compte de la diversité des emplois d’un signe dans une perspective intégrant la prosodie, afin de définir un processus de discrimination prosodique des différents sens d’une même unité tels qu'ils peuvent être décrits sur la base de corpus oraux authentiques. Elles portent sur un ensemble d’objets empiriques, de enfin à quelques ou oui en passant par disons, mais principalement sur des connecteurs discursifs. Après avoir mis au jour des corrélations forme prosodique/sens au niveau du lexique, et en prenant en compte le caractère gradable de la langue ainsi que la notion d’argumentation dans la langue, nous proposons un nouveau format de représentation sémantique distinguant, sur la base de nos résultats, deux niveaux de sens que sont l’interprétation-type et l’emploi-type, ce dernier présentant la particularité de comporter un commentaire exprimé par la prosodie, commentaire qui porte sur le rapport à la situation et/ou à l'énonciation. L’intégration d’un niveau de sens supplémentaire constitue l’originalité de ce nouveau format et présente l’avantage de réduire les phénomènes de surgénéralisations observables dans les caractérisations sémantiques des emplois. Nous présentons ensuite la façon dont nos résultats pourraient être intégrés à une perspective lexicographique, et dont ils pourraient permettre d'obtenir à la fois une plus grande cohérence et une plus grande exhaustivité des articles d’une entrée de dictionnaire, et une prise en compte systématique de la prosodie des emplois. / Within a linguistic approach to semantics based on the distinction between signification and sense (lexical meaning) and the assumption that sense is built it in discourse, our research aims is to account for the diversity of uses of a sign in a perspective that integrates the prosodic dimension of the interpretative process. Based extensively on authentic oral corpora and, its goal is to define a process of prosodic discrimination of the different senses of the same lexical unit. It deals with of empirical objects, from French enfin to quelques (some) or oui (yes) passing by disons (so to say, etc.), but essentially about discourse connectives (discourse markers). After establishing the existence of an association of prosody and senses at the level of lexicon, which takes into account the gradable nature of language (la langue) and its argumentative nature, we present a new semantic model in which the classical level of sense or lexical meaning is described as split between two levels of sense which are interpretation-type and use-type, the specificity of the latter being to include a prosodically expressed lexicalized comment about the speaker's relationship with the situation and/or its own discourse or enunciation. The integration of an additional level of sense is the originality of the new model. It aims at reducing the otherwise constant fatality of over-generalisation in the semantic characterisations of lexical uses. We further present the way our results could be integrated into a lexicographic perspective in order to obtain both more coherent and more exhaustive descriptions of actual language use in dictionaries and a systematic description of prosody within each entry.
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Acquisition automatique des termes : l'utilisation des pivots lexicaux spécialisésDrouin, Patrick January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Attribution et variation du genre d'emprunts à l'anglais, à l'italien, au japonais et à l'arabe dans le lexique du françaisBelleau, Rémi 24 April 2018 (has links)
Le genre des emprunts lexicaux référant à des entités non-sexuées en français est parfois considéré comme arbitraire, alors qu’il est parfois vu comme motivé par sa forme physique et/ou ses significations. Puisque les avis diffèrent à ce sujet, nous nous sommes intéressé à analyser de nombreux critères pouvant contribuer à l’attribution du genre d’un emprunt. Nous avons constitué quatre corpus, chacun composé de textes issus d’une communauté linguistique emprunteuse (Québec et Europe) et d’un niveau de formalité (formel ou informel). Nous avons observé que le genre des emprunts varie considérablement dans de nombreux cas. Nous constatons que les emprunts des langues à genre (italien, arabe) conservent généralement leur genre originel. Les critères sémantiques et de forme physique peuvent autant justifier le genre d’un emprunt l’un que l’autre. Le critère sémantique le plus opératoire intègre chaque emprunt dans un paradigme conceptuel regroupant plusieurs unités lexicales sous une même conceptualisation et, généralement, un genre commun au paradigme. / Gender assignment to lexical non-human loanwords in French is not easily predictable. Some authors will consider it as arbitrary, others as motivated from physical or semantic properties of a given word. Because points of view on this matter are highly divided, we investigated and analysed many criteria that may contribute to gender assignment to loanwords in French. We compiled four corpora, each one composed of texts originating from one of two different linguistic communities (the province of Québec or Europe) and either a formal or informal context. We noticed that a loanword’s assigned gender varies considerably between usages in many cases. However, in general, loanwords from languages having a binary gender feature, such as Italian or Arabic, usually keep their original gender. Semantic criteria may justify loanword gender as much as physical criteria. The most productive semantic criterion is the conceptual paradigm into which the loanword is integrated, which groups together many lexical units under a similar conceptualisation, and usually a common gender.
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