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Morphological structure and language acquisition

Randall, Janet H., January 1985 (has links)
Thesis (Ph. D.--University of Massachusetts, 1982). / Includes bibliographical references (p. 229-236).
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Literarisierung von Mündlichkeit : Louis-Ferdinand Céline und Raymond Queneau /

Blank, Andreas January 1991 (has links)
Diss. : Freiburg-im-Breisgau : 1990. / Bibliogr.: p. 321-341. Index.
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Facteurs linguistiques et sociolinguistiques de l'intégration en milieu multilingue : le cas des immigrants à Montréal

Calinon, Anne-Sophie A.-S. 04 1900 (has links)
Cette recherche a pour but de définir et de décrire les facteurs linguistiques et sociolinguistiques de l’intégration des immigrants dans le contexte multilingue qu’est Montréal. Elle se fonde sur un corpus d’entretiens effectués avec des immigrants, suivant les cours de francisation gouvernementaux. Notre travail repose principalement sur la notion – à la fois politique et sociolinguistique – d’intégration linguistique. Nous étudions les politiques de gestion de l’immigration et de la pluralité linguistique qui influencent l’intégration des immigrants dans une société d’installation culturellement diversifiée et francophone. Notre démarche est à la fois macrosociolinguistique et microsociolinguistique, aussi bien dans la problématique que dans la méthodologie appliquée. Nous cherchons à apprécier l’impact des mesures de politique linguistique sur la préservation du français au Québec en nous intéressant aux perceptions des immigrants concernant les fonctions sociales des langues à Montréal. La francisation étant présentée comme la mesure politique la plus significative, nous nous intéressons au contenu des cours, sur le plan linguistique et culturel. Nous déterminons le niveau de compétence que les immigrants-apprenants atteignent à la fin de leur formation à l’aide d’une grille originale d’observables énonciatifs, structurels et normatifs. Après avoir évalué le degré d’autonomie linguistique des sujets, nous décrivons leur mobilité sociale en étudiant la fréquence et le type d’interactions dans lesquelles les immigrants ont l’occasion d’utiliser les différentes langues de leur répertoire langagier, en vue de déterminer leur intégration sociale. A partir de ces données, nous mettons en évidence l’influence du degré de maîtrise linguistique sur le sentiment d’intégration. Les résultats montrent que le français jouit d’une vitalité linguistique importante. De par ses fonctions véhiculaires et sociales, le français est généralement la langue de communication première dans toutes les sphères de la vie sociale à Montréal. De ce fait, la capacité de communiquer, grâce à l’appropriation de la variété standard du français, est un facteur linguistique de l’intégration. Or, à la fin de la formation en français, les immigrants ont des compétences linguistiques et sociolinguistiques qui leur permettent seulement une mobilité linguistique et sociale limitées. Ce facteur linguistique doit être obligatoirement accompagné d’autres éléments intégrateurs qui constituent les étapes suivantes du processus d’intégration. / Linguistic and Sociolinguistic Factors of Integration within a Multilingual Context : the case of immigrants in Montreal The purpose of this study is to define and describe the linguistic and sociolinguistic factors of integration of immigrants within the multilingual context of Montreal. Based on a corpus of interviews (discussions, conversations) with immigrants enrolled in government-sponsored French language training programs, our work focuses mainly on linguistic integration, understood here as both a political and sociolinguistic notion. We examine the policies of immigration management and linguistic plurality which influence the assimilation of immigrants into a francophone and culturally diversified society. Our approach to the research subject and the methodology applied to it is both macro-sociolinguistic and micro-sociolinguistic. We attempt to determine the impact of linguistic policy measures on preserving the use of the French language. To do this, we study how immigrants perceive the social functions of languages in Montreal. Since francization is presented as the most significant political measure, we analyze training course content, on a cultural and linguistic level. In order to determine the level of skill obtained by the immigrants at the end of their training program, we use an original scale measuring observable cognitive, structural and normative items. After assessing immigrants’ degree of linguistic autonomy, we describe their social mobility to see how well they are actually assimilated into the francophone living environment. We analyze the type and frequency of the interactions in which immigrant are called upon to use the different languages making up their language repertoires. This data allows us to show how immigrants’ command of the French language affects their feeling with regard to social integration. Our results demonstrate that the linguistic vitality of the french-speaking community in Montreal is increasing. Indeed, French is the primary language of communication in all aspects of social life. The ability to communicate easily in standard French is, therefore, a linguistic factor contributing to successful social and cultural integration. However, at the completion of their French language training program, immigrants’ linguistic and sociolinguistic skills allow them only limited linguistic and social mobility. This linguistic facet of cultural integration must necessarily be accompanied by other means to facilitate and consolidate the process of integration. / réalisé en cotutelle à l'Université de Franche-Comté (France)
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Le nombre et la définitude dans le syntagme nominal en albanais

Vocaj, Etleva January 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur la distribution et l'interprétation des expressions nominales introduites par un nom 'nu' (libër 'livre') ou par un nom suivi du/des suffixe(s) de nombre et/ou de définitude (libra 'livres', libri 'le livre', librat 'les livres'), en albanais. Les particularités de l'albanais consistent premièrement dans le fait que les formes du nom qui ne contiennent pas de déterminant peuvent être employées référentiellement, deuxièmement, l'albanais peut utiliser la forme 'nue' du nom dans des contextes prédicatifs et troisièmement il peut effacer le nom, utilisant les déterminants seuls. La problématique est envisagée dans le cadre d'une approche théorique néo-saussurienne proposée par Bouchard (2002, 2005) qui se base sur le principe que le langage n'est pas primordialement le reflet d'un système computationnel, mais plutôt que l'interaction des propriétés antérieures au langage (les propriétés physiologiques du système sensorimoteur et celles cognitives du système conceptuel) détermine le système des langues naturelles. Notre analyse s'articule autour du Paramètre du Nombre, qui dérive d'une propriété sémantique fondamentale, la nécessité d'indiquer minimalement au niveau conceptuel qu'un actant est en jeu dans l'événement décrit par la phrase, et du fait que le système sensori-moteur offre des moyens équivalents entre eux pour l'exprimer à l'intérieur d'une expression nominale. Nous soutenons que les propriétés observées en albanais sont une conséquence directe de l'organisation du système de Nombre et des moyens formels que l'albanais utilise pour exprimer les oppositions qui constituent ce système, et des choix qu'il fait dans la façon de conceptualiser la notion de Nombre au niveau du système conceptuel-intentionnel, et dans la façon de réaliser chacun de ces choix au niveau du système articulatoire-perceptuel. La thèse offre un nouveau support empirique à l'analyse de Bouchard (2002), qui propose que les différences entre les systèmes nominaux du français et de l'anglais découlent de la façon de marquer le Nombre -le français sur le déterminant et l'anglais sur le nom, et l'élargit par l'introduction d'un nouveau concept, le 'Numérable'. Le Numérable est une valeur du nombre qui indique que le nominal a la possibilité de dénombrer, recouvrant toutes les options possibles de nombre, mais qu'il n'est pas obligé de le faire tant que ceci n'est pas nécessaire. Le système de Nombre en albanais contient le Numérable et l'opposition singulier vs. pluriel, mais la langue ne possède pas de forme particulière morphologique pour exprimer chacune de ces valeurs. Il utilise la forme 'nue' du nom pour exprimer le Numérable et le singulier indéfini. Le nom 'nu' peut être utilisé aussi bien en position prédicative que référentielle parce que sémantiquement il a le strict nécessaire pour pouvoir le faire. Il peut être interprété comme un nom de masse, un 'weak indefinite', un nom d'espèce ou un générique. Cette distribution est cependant régie par une contrainte d'accord, qui exige une concordance en nombre entre les arguments et le verbe. Dans les cas où le nombre précis est requis, l'albanais présente une autre particularité. Il grammaticalise deux façons de conceptualiser la notion de Nombre, qui contribuent de deux façons à l'interprétation sémantique: le Nombre qui atomise l'ensemble et permet d'accéder aux individus qui le composent et le Nombre qui caractérise le type d'individu délimité par la classe du nom. Chacune de ces conceptualisations est marquée au niveau du système articulatoire-perceptuel par des marques morphologiques différentes. Le Nombre qui atomise l'ensemble est marqué sur le déterminant, tandis que le Nombre qui caractérise la nature des membres du supra-ensemble est marqué sur le nom. Ainsi, le nom pluriel, exprimant un nombre 'catégorisant', peut seulement dénoter un ensemble pluriel, mais n'est ni en mesure d'indiquer ni la quantité ni l'identité des individus qui le composent. Le nom pluriel ne peut pas faire référence au supra-ensemble et identifier la totalité des individus qui composent la classe que le nom dénote. Il est incapable d'introduire l'effet de nominalisation, nécessaire pour obtenir une lecture d'Espèce et par conséquent une lecture Générique. La seule lecture possible sera une lecture existentielle. Par contre, le déterminant exprimant le nombre atomisant, peut identifier à lui tout seul un des actants de l'événement décrit par la phrase. La présence du nom ou d'un autre élément porteur de nombre n'est pas requise. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Syntagme nominal, Albanais, Nom, Nombre, Déterminant.
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Procédures morphologiques en lien avec les règles de formation des mots du français écrit chez des lecteurs sourds du primaire

Berthiaume, Rachel January 2008 (has links) (PDF)
La maîtrise du code écrit du français n'est pas une tâche facile pour les apprenants sourds. Cette situation peut être expliquée, entre autres, par une utilisation moins efficace des procédures liées à la reconnaissance des mots, qui constitue l'un des aspects les plus fondamentaux de la lecture. Ces procédures ont surtout été perçues en termes de traitement phonologique. Or, si les lecteurs sourds perçoivent les signes orthographiques sur la page, ils ne perçoivent pas nécessairement les sons qui y sont associés. La recherche actuelle nous indique que d'autres unités sublexicales participent à la reconnaissance des mots et peuvent contribuer à une meilleure compréhension du développement de la lecture. C'est le cas du morphème. Depuis le milieu des années soixante-dix, de nombreux travaux ont montré que la structure morphologique des mots est prise en compte lors de leur reconnaissance par des lecteurs adultes. Récemment, d'autres études, menées auprès d'apprentis lecteurs, ont montré que ceux-ci prennent en compte, très tôt, la structure morphologique des mots lors de leur reconnaissance. Ces recherches, qui s'affichent explicitement comme faisant partie du grand domaine de la conscience morphologique, sont susceptibles de fournir des indications en ce qui concerne le rôle de la morphologie dans le développement de la reconnaissance des mots, en particulier en ce qui a trait à la morphologie dérivationnelle. La présente recherche a pour objectif général de vérifier si des enfants sourds gestuels québécois, âgés de 9 à 12 ans, analysent les mots du français écrit en fonction des unités morphologiques dérivationnelles qui les constituent. Les objectifs spécifiques sont d'observer la relation entre l'âge, le niveau de lecture et les connaissances morphologiques relatives aux règles de formation des mots du français. Dans cette perspective, une épreuve d'habiletés cognitives générales et une épreuve de lecture standardisée ont été administrées à un groupe d'élèves sourds. Par la suite, 21 de ces élèves ont été retenus et deux groupes contrôles ont été formés: un groupe de 24 sujets entendants du même âge un groupe de 22 sujets entendants du même niveau de lecture. Tous ces sujets ont réalisé quatre épreuves morphologiques. Afin de solliciter, de manière implicite, des connaissances de nature prélexicale, trois de ces épreuves impliquent le traitement de pseudo-mots. C'est le cas des épreuves implicites de jugement de plausibilité I et II et de jugement de ressemblance. Une quatrième épreuve, l'épreuve explicite de décomposition, requiert explicitement la segmentation des mots présentés en leurs constituants morphémiques. Les résultats obtenus indiquent que seules les épreuves de jugement de plausibilité l et II ont donné lieu à des résultats au-delà du hasard chez les sourds, et que seuls les contrôles âge obtiennent toujours des résultats significativement différents du hasard. Un effet lié au niveau de lecture a été observé chez les sujets sourds et les contrôles lecture pour les épreuves de jugement de plausibilité I et Il et de décomposition. Pour toutes les épreuves, on relève un effet lié au groupe, les sujets sourds et les contrôles lecture ne se distinguant pas et les contrôles âge obtenant toujours des résultats supérieurs. Aucune tendance n'a été observée en ce qui concerne le type d'affixe (préfixe ou suffixe). Globalement, ces résultats suggèrent que les élèves sourds qui ont participé à notre étude ont induit certaines règles de formation des mots, mais que le traitement morphologique n'est pas indépendant du développement de la lecture chez ces sujets. Pour cette raison, il est possible de croire que le traitement morphologique est en développement chez ces élèves. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Lecture, Reconnaissance des mots, Conscience morphologique, Apprentis lecteurs sourds.
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Compétences linguistiques et cognitives des enfants bilingues en situation linguistique minoritaire

Mayer-Crittenden, Chantal E. 30 July 2013 (has links)
Au Canada, l’évaluation langagière des enfants franco-ontariens s’avère une tâche complexe pour les orthophonistes en raison d’une carence d’outils et de normes régionales. Le problème s’accentue lors de l’évaluation langagière des enfants bilingues (anglais-français) qui fréquentent des écoles de langue française. L’étude que nous proposons ici a d’abord réitéré auprès de 26 enfants francoontariens une recherche québécoise (Thordardottir et coll., 2010) dans laquelle on a évalué la performance d’enfants franco-québécois avec une batterie de tests qui sert à mesurer les compétences linguistique et cognitive. Ces enfants ont été répartis en trois groupes d’âge : 4;6, 5;0 et 5;6 ans. Notre étude a ensuite évalué la performance d’enfants bilingues (47 français-anglais et 31 anglais-français) du même âge sur cette même batterie de tests à laquelle elle a ajouté un ensemble de tests de langue anglaise. Les enfants ont été appariés selon l’âge, le statut socio-économique et la cognition non verbale ; ils différaient selon la quantité d’intrants (input) dans chaque langue et selon le statut linguistique des langues (minoritaire/majoritaire). Les trois groupes linguistiques ont été créés selon le niveau d’exposition aux langues ; nous avons ainsi distingué les monolingues, les franco-dominants et les anglo-dominants. En outre, des enfants identifiés par les orthophonistes scolaires comme ayant un trouble primaire du langage (n = 20) ont été évalués à l’aide des mêmes tests afin de confirmer ou d’infirmer la présence de trouble primaire du langage. En outre, a été examiné l’effet de l’intrant langagier dans l’acquisition d’une langue minoritaire, puisque cet apprentissage a lieu au contact d’une langue majoritaire qui, au demeurant, exerce son influence aussi sur les enfants monolingues (francophones) et bilingues (français-anglais et anglais-français). Les résultats montrent que, au plan linguistique, les Franco-Ontariens monolingues réussissent moins bien que les Franco-Québécois. Les franco-dominants réussissent encore moins bien que les monolingues et les anglo-dominants réussissent moins bien que les monolingues et les franco-dominants à l’âge de 4;6 ans et de 5;0, mais cela n’est pas toujours le cas pour les enfants anglo-dominants de 5;6 ans. En fait, pour certaines épreuves de langue française, les anglo-dominants obtiennent des scores supérieurs à ceux des monolingues et des franco-dominants. Les résultats montrent aussi que plus l’anglo-dominant reçoit d’intrants en français à l’école, meilleure est sa performance linguistique en français. Chez les franco-dominants, c’est l’inverse qui se produit puisque plus l’enfant vieillit, plus il reçoit d’intrants en anglais. Les résultats ont aussi montré que, parmi les 20 cas de trouble primaire du langage, 16 ont été confirmés. Somme toute, ces résultats témoignent de la différence importante entre les Franco- Québécois et les Franco-Ontariens, de sorte que l’emploi des normes québécoises pour les Franco-Ontariens est remis en question. De plus, l’effet de l’intrant est accentué chez les groupes bilingues, ce qui met en évidence le rôle incontestable de l’intrant langagier et aussi celui du statut des langues lors de l’acquisition d’une langue seconde.
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Les variables du mensonge dans la parole : une analyse discriminante

Perron, Chantal January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Carrefour discursif : Les jeunes issus de l'immigration et l'école franco-ontarienne

Richards, Mary Elizabeth 22 August 2014 (has links)
Le contexte social actuel est caractérisé par les effets des processus qu’on attribue à la mondialisation tels que la diversité, l’(im)migration et la mobilité. Ces processus dits mondialisés ont un impact sur les individus, les populations et les institutions ; cela influence les idées de l’éducation en général et de façon plus spécifique la mission et le fonctionnement des écoles de la minorité linguistique francophone. Cette étude de cas ethnographique, sociolinguistique et critique, explore les expériences des jeunes issus de l’immigration dans une école de langue française à Toronto (Canada). Les deux principales questions de recherche sont les suivantes : 1) comment les jeunes issus de l’immigration se positionnent-ils par rapport à l’école de langue française en milieu minoritaire ? ; 2) comment l’école de langue française doit-elle se réinventer pour être plus inclusive de sa clientèle qui est de plus en plus diversifiée aux niveaux linguistique, socio-économique et ethnoculturel ? L’argument central avancé soutient que l’école de langue française en situation minoritaire est en décalage entre la vision et le fonctionnement de la langue à l’école et en dehors de l’école. Ce décalage entre l’idéologie et la réalité linguistique crée des inégalités pour certains membres de la clientèle scolaire plus que pour d’autres, et surtout pour les jeunes immigrants. Les thèmes analysés comprennent l’attrait et le choix des écoles de langue française pour les immigrants (chapitre 5), l’accès au bilinguisme dans le sens canadien (à savoir avec l’anglais) chez les élèves immigrants (chapitre 6) et le rôle de la langue dans les activités des jeunes (chapitre 7). Les résultats de la recherche indiquent que l’accès au bilinguisme en milieu scolaire francophone n’est pas équitable pour tous, que les programmes scolaires ne sont pas nécessairement adaptés aux besoins et aux attentes de la clientèle issue de l’immigration et que les jeunes immigrants rencontrent des obstacles importants à l’école et dans leurs parcours postsecondaires à cause du manque de capital, notamment de capital linguistique. La thèse se termine avec un résumé des implications de la recherche pour les programmes scolaires, pour les rapports école-communauté et pour les parcours postsecondaires chez les jeunes immigrants. Elle fournit également des recommandations pour les divers acteurs intéressés par l’éducation francophone en situation minoritaire.
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Les mots pour le dire…L’influence de l'(in)sécurité linguistique sur l'expérience d'étudiantes de milieux francophones minoritaires canadiens inscrites aux études supérieures à l'Université d'Ottawa

Desabrais, Tina 24 October 2013 (has links)
Cette thèse présente l’expérience de dix-neuf femmes de milieu francophone minoritaire canadien inscrites aux études supérieures à l’Université d’Ottawa. Notre objectif était de voir si et comment les éléments linguistiques et l’identité, et plus particulièrement la sécurité et l’insécurité linguistique, dans le contexte francophone minoritaire, a une influence sur l’expérience des études supérieures. Des cas comme ceux présentés en filigrane dans cette thèse permettent principalement de voir l’impact que peuvent avoir la sécurité et l’insécurité linguistique sur l’expérience étudiante. Nous nous sommes plus particulièrement questionnée à savoir : En quoi l’expérience d’étudiantes de milieux francophones minoritaires canadiens inscrites aux études supérieures est-elle sous-tendue par des considérations reliées à la SL et à l’IL à l’oral et à l’écrit, en français? Quelle part les considérations reliées à la SL et à l’IL jouent-elles dans l’expérience des femmes francophones aux études supérieures? La question du choix de la langue des études et/ou de rédaction de la thèse en milieu universitaire sont-ils des indicateurs de la SL et de l’IL? Quel sens est accordé aux études supérieures par les étudiantes de milieux francophones minoritaires canadiens en lien avec la SL et l’IL? Cette thèse vient combler une lacune de au chapitre des connaissances en ce sens qu’aucune autre étude en milieu minoritaire ne porte sur les études supérieures. L’on reconnaît un vide en ce qui a trait aux études supérieures, comme s’il n’y avait plus lieu de se questionner, comme si plus nous avancions dans les années d’études, moins la spécificité culturelle et linguistique avait une influence sur l’expérience scolaire. Or, d’aucuns l’admettra, elle continue de nous habiter et d’influencer notre quotidien. L’utilisation des méthodes de la recherche qualitative, dont l’étude de cas, exploitée à trois niveaux (institutionnel, inter-cas, cas unique) et l’analyse du discours émergeant d’entretiens en face à face et en groupe, à la lumière d’une approche phénoménologique, a permis de faire valoir la voix d’étudiantes qui vivaient, au moment des entretiens, l’expérience que le contexte à la fois universitaire et minoritaire peut traduire. Au plan théorique, la théorie de l’expérience (Dewey, 1968 ; Dubet, 1994 ; Coulon, 1997) a permis d’analyser les données. Les données issues d’entretiens avec des étudiantes de milieu francophone minoritaire canadien inscrites aux études supérieures ont présenté des expériences relatives au fait d’être à la fois francophone de milieu minoritaire et femme inscrite aux études supérieures, et ont bien concrétisé l’expérience de la double minorisation, de même que les rapports de force, de domination et de minorisation. Elles ont également permis de comprendre que les étudiantes ne sont pas que des victimes : elles sont également des actrices, au sens de Giddens (1987), capables d’utiliser des stratégies d’évitement et de canalisation. Ainsi, alors que l’on peut croire que les étudiants inscrits au niveau des études supérieures ont intégré à la fois les compétences et la confiance habituellement acquises rendu à ce stade et, surtout, maîtrisé une façon d’être, de se comporter, d’interagir, voire de se représenter le monde (en un autre mot, l’habitus), force est de reconnaître, à la lecture des données de cette thèse, que cela ne va pas de soi, et que l’IL influence toujours cette expérience, et ce, bien que l’individu actualise différentes facettes de sa personnalité selon les situations. Les confrontations d’ordre social présentées tout au long de cette thèse se veulent donc révélatrices de l’accueil que réserve le milieu universitaire bilingue (français-anglais), au moment des études supérieures qui n’est, tout compte fait, pas si différent de l’accueil réservé aux jeunes francophones minoritaires au moment des études de premier cycle. En somme, le parcours scolaire de ces étudiantes représente plus concrètement l’expérience de francophones de milieu minoritaire qui (malgré d’autres facteurs décisifs), à la lumière de leur expérience à titre de femme et de leur bagage culturel et linguistique, associent parfois leur manque de confiance et leur IL à de l’incompétence.
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Two-level morphology a general computational model for word-form recognition and production /

Koskenniemi, Kimmo. January 1983 (has links)
Thesis (doctoral)--University of Helsinki, 1984. / Added thesis t.p. inserted. Includes bibliographical references (p. 138-144).

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