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La divulgation de la preuve et de la défense de l'accusé préalablement au procès : un problème dû à l'absence de théorie articulée de la procédure criminelle au Canada

Amyot, Patrick G. January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La Recherche de la vérité de Descartes et les objections faites aux Méditations métaphysiques : pour une approche systématique du problème de datation / La Recherche de la vérité de Descartes e as objeções feitas às Meditações metafísicas : Para uma abordagem sistemática do problema da datação / The Search of truth of Descartes and the objections made to the Metaphysical Meditations : for an approach systematic of dating problem

De Souza Borba, Maira 06 July 2015 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’analyser le dialogue cartésien La Recherche de la Vérité par la Lumière Naturelle au sujet d‘une corrélation entre lui et les Objections subis par Descartes à ses Méditations et leurs respectifs Réponses. L’hypothèse principale est que la Recherche a été influencée par les Objections et Réponses, ce qui la situe dans un moment tardif du corpus cartésien. L’étude de La Recherche de la Vérité et de sa relation avec les Règles pour la direction de l’esprit et le Discours de la Méthode, ainsi que l’enquête sur les principales interprétations qui voient la Recherche comme une œuvre d’une époque antérieure aux Méditations révèle qu’il n’y a pas des preuves suffisantes pour établir une proximité temporelle entre eux, ni d’arguments assez forts pour établir une de ces hypothèses au détriment des autres. La comparaison entre la Recherche et les Objections et Réponses, à son tour, montre qu’il y en effet dans la Recherche la présence constante d’éléments du débat suscité par les Méditations. Comme ces éléments ne viennent pas de l’esprit cartésien, mais de nombreux autres savants qui ont lu les Méditations, ils sont plus déterminants pour établir la datation de la Recherche que la comparaison avec n’importe quel autre écrit de Descartes. Toutefois, si les arguments philosophiques et textuels peuvent confirmer l’hypothèse que la Recherche a été influencée par les Objections et Réponses, à eux seuls ils ne sont pas en mesure de nous offrir une datation plus précise pour cette œuvre. Ainsi, il est nécessaire de recourir à l’analyse des arguments historiques et contextuels pour essayer de situer le dialogue dans un moment plus précis entre 1641 et 1650. Compte tenu principalement de la correspondance personnelle du philosophe et des événements marquants de cette période de sa vie, nous concluons que la date la plus probable se situerait entre 1646 et 1647. / The aim of this thesis is to analyze Descartes’ dialogue The Search for Truth by means of the Natural Light regarding a comparison between it and the Objections suffered by Descartes to his Meditations and their respective Replies. The main hypothesis is that the Recherche has been influenced by the Objections and Replies, which in turn puts this work in a late stage of the Cartesian corpus. The study of the Search for Truth and its relation to the Rules for the Direction of the Mind and the Discourse on the Method, as well as the investigation of the main interpretations that perceive the Search as a work of an earlier time to the Meditations, reveals that there is no sufficient evidence to establish a temporal proximity between them, and there are no strong enough arguments for establish these hypotheses to the detriment of others. The comparison between the Search and the Objections and Replies, on the other hand, shows that there are in the Search the constant presence of elements from the debate generated by the Meditations, such elements are more crucial to establish the dating of the Search than the comparison to any other written of Descartes, because they are not from the Cartesian mind, but of many other scholars who read their Meditations. Whereas the philosophical and textual arguments are able to confirm the hypothesis that the Search has been influenced by the Objections and Replies, alone they are not able to offer a more precise dating for this work. Thus, the analysis of historical and contextual arguments is necessary in order to locate the dialogue in a more precise time between 1641 and 1650. In view of the personal correspondence of the philosopher and the events that marked this period of his life, our conclusion is that the most likely date would be between 1646 and 1647. / Recherche de la Véritée de sua relação com as Regras para a orientação do espírito e com o Discurso do Método, bem como a investigação das principais interpretações que veem a Recherche como uma obra de um momento anterior às Meditações, revela que não há elementos suficientes para estabelecer uma proximidade temporal entre esses textos, tampouco há argumentos suficientemente fortes para estabelecer uma dessas hipóteses em detrimento das outras. A comparação entre a Recherchee as Objeções e Respostas, por sua vez, demonstra que de fato há no diálogo a presença constante de elementos provenientes do debate gerado pelas Meditações, elementos que, por não serem provenientes da mente cartesiana, mas de diversos outros sábios, são mais determinantes para estabelecer sua datação do que a comparação com qualquer outro escrito de Descartes. Contudo, se os argumentos filosóficos e textuais são capazes de nos confirmar a hipótese de que a Recherche tenha sido influenciada pelas Objeções e Respostas, sozinhos eles não são capazes de nos oferecer uma datação mais precisa para essa obra. Deste modo é necessário recorrer à análise dos argumentos históricos e contextuais para tentar situar o diálogo em um momento mais preciso entre 1641 e 1650. A partir principalmente da correspondência pessoal do filósofo e dos acontecimentos que marcaram esse período de sua vida, chegamos à conclusão de que a data mais provável seria entre 1646 e 1647.
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Malebranche e il metodo / Malebranche et la méthode / Malebranche and his method

Lovascio, Tania 11 July 2017 (has links)
De la Méthode, le VIème et dernier livre de la Recherche de la Vérité, a été consacré par Malebranche à l’exposition de sa méthode. Ce traité est toutefois demeuré en dehors des cercles d’intérêt des études malebranchistes. Le premier objectif de notre travail consiste donc à tenter de suppléer à ce manque en proposant une étude de la méthode qui mette en lumière ses aspects fondamentaux, dont, en premier lieu, le rapport qu’elle entretient avec la doctrine cartésienne des Regulae ad directionem ingenii. L’hypothèse a été soulevée que Clerselier ait pu transmettre à Malebranche le manuscrit cartésien, encore non publié à l’époque de la rédaction de la Recherche. Pour approfondir cette question, nous avons reconstruit et analysé toutes les correspondances avec les Regulae présentes dans l’œuvre. Ce dossier montre que l’hypothèse mentionnée ci-dessus est fondée : Malebranche s’inspire profondément du texte cartésien dans l’élaboration de sa méthode. Un autre aspect nous ayant semblé digne d’intérêt est le rapport entre la méthode et le problème de l’erreur, auquel Malebranche consacre les cinq premiers livres de la Recherche. L’incidence de la doctrine cartésienne de la IVème Méditation n’émerge pas sans révéler l’originalité de certaines thèses et traités du parcours de l’oratorien. Apparaît également le thème de la science universelle, ou la question de l’ordre, des questions essentielles exigeant une comparaison avec Descartes. Une comparaison qui reste toujours en toile de fond : il ne pourrait pas en être autrement puisque Descartes n’est pas seulement à l’origine de la vocation philosophique de Malebranche, mais aussi de la constitution de sa méthode. / Malebranche dedicates the sixth and final book of the Recherche de la Vérité, entitled De la Méthode, to presenting his method. This treatise has been left outside of the sphere of interest for studies on Malebranche. The primary goal of my work is to fill this gap and provide a study on the method by highlighting some of its key aspects. The first of these concerns its relationship with the Cartesian doctrine of Regulae ad directionem ingenii. Clerselier is assumed to have notified Malebranche of the Cartesian manuscript, which had not yet been published at the time of writing the Recherche. To examine this very question, I have reconstructed and analysed all correlations with the Regulae found within the work. This dossier demonstrates the validity of the above assumption: that his knowledge of this Cartesian text greatly inspired Malebranche as he developed his method. Another noteworthy aspect I have explored is the method’s relationship with the issue of error, which is addressed by Malebranche in the first five books of the Recherche. The influence of the Cartesian doctrine of the fourth Meditation does not emerge without revealing the originality of certain arguments and certain parts of Malebranche's development. There is also the topic of universal science and that of order – essential issues that naturally allude to the comparison with Descartes. This comparison always and inevitably remains in the background: Descartes is found not only at the origin of Malebranche’s philosophical calling, but also in the construction of his method.
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L'admission des confessions et le risque d'erreur judiciaire : toute vérité est-elle bonne à dire ?

Gélinas, Louis 08 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en droit (LL.M.)" / L'étude de notre common Law révèle que les tribunaux canadiens et anglais ont constamment été appelés à décider de l'admissibilité d'éléments de preuve impliquant la participation de l'accusé à la détermination de sa culpabilité. Qu'il s'agisse des confessions obtenues auprès d'un suspect lors de l'interrogatoire policier, ou du témoignage rendu par un accusé dans le cours du processus judiciaire (par exemple lors du procès d'un complice ou d'un premier procès dont le verdict a été annulé par la cour d'appel), on constate que l'État a régulièrement tenté de prouver la culpabilité d'un accusé par le biais de ses propres aveux. On tente généralement de justifier le recours à cette méthode d'obtention de la preuve en invoquant que les aveux faits par un accusé sont de loin la meilleure preuve de sa culpabilité et donc, qu'ils aident le juge des faits à découvrir la vérité. Il appert toutefois qu'au fil des années, l'État a souvent abusé de ce pouvoir et que des condamnations ainsi obtenues l'ont parfois été au mépris des droits des accusés, notamment le droit à un procès juste et équitable et le droit encore plus fondamental de ne pas être contraint à fournir contre sa volonté une preuve de nature à établir sa culpabilité dans son propre procès. De plus, les nombreuses erreurs judiciaires mises à jour au cours de dernières années au Canada démontrent clairement que des verdicts de culpabilité ont aussi été erronément prononcés contre des accusés sur la foi de confessions qui se sont révélées plus tard être fausses. Pour cette raison, il apparaît important de déterminer si ce moyen de preuve est toujours légitime aujourd'hui, en regard de deux des grandes théories du droit pénal: la «théorie de la gestion des risques» et la «théorie de la justice» ou de l'équité du procès. De façon plus générale, cette étude cherche à répondre à la question suivante: en droit criminel canadien, la fin (recherche de la Vérité) justifie-t-elle tous les moyens employés pour la découvrir? / The study of our "common Law" reveals that the Canadian and English courts were constantly called upon in order to decide on the admissibility of elements of proof involving the participation of the defendant in the assertion of his guilt. Whether it is confessions obtained from a suspect during a police interrogation, or the testimony given by a defendant during the course ofthe legal process (for example, at the time of a trial of an accomplice or a first trial for which the verdict was cancelled by a court of appeal), we notice that the State regularly tried to prove the guilt of a defendant by way of his own statements. We generally try to justify the recourse to this method of obtaining proof by invoking that the statements made by a defendant are by far the best proof of his guilt and thus help the judge to uncover the truth. It appears, however, that over the years the State often abused this power and that ensuing convictions were sometimes obtained with a disregard of the rights of the defendants; in particular, the right to a fair trial and the right even more fundamental not to be constrained to provide against his will, a proof likely to establish his guilt in his own trial. In addition, many legal updates in the recent years in Canada c1early show that verdicts of guilt were also incorrectly pronounced against defendants on the faith of confessions which were later proved to he false. As such, it appears important to determine ifthis type ofproofretains its legitimacy today in regards to two of the great theories of criminallaw: the "Theory of Risk Management" and the "Theory of Justice" or the equity of the trial. More generally, this study seeks to answer the following question: "In Canadian criminallaw, does the end (search for the truth) justify the means used to uncover it?"
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L'admission des confessions et le risque d'erreur judiciaire : toute vérité est-elle bonne à dire ?

Gélinas, Louis 08 1900 (has links)
L'étude de notre common Law révèle que les tribunaux canadiens et anglais ont constamment été appelés à décider de l'admissibilité d'éléments de preuve impliquant la participation de l'accusé à la détermination de sa culpabilité. Qu'il s'agisse des confessions obtenues auprès d'un suspect lors de l'interrogatoire policier, ou du témoignage rendu par un accusé dans le cours du processus judiciaire (par exemple lors du procès d'un complice ou d'un premier procès dont le verdict a été annulé par la cour d'appel), on constate que l'État a régulièrement tenté de prouver la culpabilité d'un accusé par le biais de ses propres aveux. On tente généralement de justifier le recours à cette méthode d'obtention de la preuve en invoquant que les aveux faits par un accusé sont de loin la meilleure preuve de sa culpabilité et donc, qu'ils aident le juge des faits à découvrir la vérité. Il appert toutefois qu'au fil des années, l'État a souvent abusé de ce pouvoir et que des condamnations ainsi obtenues l'ont parfois été au mépris des droits des accusés, notamment le droit à un procès juste et équitable et le droit encore plus fondamental de ne pas être contraint à fournir contre sa volonté une preuve de nature à établir sa culpabilité dans son propre procès. De plus, les nombreuses erreurs judiciaires mises à jour au cours de dernières années au Canada démontrent clairement que des verdicts de culpabilité ont aussi été erronément prononcés contre des accusés sur la foi de confessions qui se sont révélées plus tard être fausses. Pour cette raison, il apparaît important de déterminer si ce moyen de preuve est toujours légitime aujourd'hui, en regard de deux des grandes théories du droit pénal: la «théorie de la gestion des risques» et la «théorie de la justice» ou de l'équité du procès. De façon plus générale, cette étude cherche à répondre à la question suivante: en droit criminel canadien, la fin (recherche de la Vérité) justifie-t-elle tous les moyens employés pour la découvrir? / The study of our "common Law" reveals that the Canadian and English courts were constantly called upon in order to decide on the admissibility of elements of proof involving the participation of the defendant in the assertion of his guilt. Whether it is confessions obtained from a suspect during a police interrogation, or the testimony given by a defendant during the course ofthe legal process (for example, at the time of a trial of an accomplice or a first trial for which the verdict was cancelled by a court of appeal), we notice that the State regularly tried to prove the guilt of a defendant by way of his own statements. We generally try to justify the recourse to this method of obtaining proof by invoking that the statements made by a defendant are by far the best proof of his guilt and thus help the judge to uncover the truth. It appears, however, that over the years the State often abused this power and that ensuing convictions were sometimes obtained with a disregard of the rights of the defendants; in particular, the right to a fair trial and the right even more fundamental not to be constrained to provide against his will, a proof likely to establish his guilt in his own trial. In addition, many legal updates in the recent years in Canada c1early show that verdicts of guilt were also incorrectly pronounced against defendants on the faith of confessions which were later proved to he false. As such, it appears important to determine ifthis type ofproofretains its legitimacy today in regards to two of the great theories of criminallaw: the "Theory of Risk Management" and the "Theory of Justice" or the equity of the trial. More generally, this study seeks to answer the following question: "In Canadian criminallaw, does the end (search for the truth) justify the means used to uncover it?" / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en droit (LL.M.)"

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