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The rise and demise of a book-review magazine interpreting the cultural work of Books in Canada (1971-2008)

Ariss, Michelle January 2011 (has links)
This interdisciplinary study examines the contribution that a book-review magazine makes to the cultural identity of its readers. It is the result of reflections on the cultural work of Books in Canada , on whether or not this periodical was a cultural worksite and if that is the case how it performed that cultural work. In addition, it interrogates factors that may have contributed to the magazine's demise. The study affirms that Books in Canada, a cultural enterprise from 1971 to 2008, mirrored and helped to shape book and literary culture in Canada through its circulation, through the personalities of its editors, through its front covers and through its reviewers and their reviews. Furthermore, it proposes that the demise of the enterprise was due to a combination of factors. The study begins with an introduction to book reviewing and special-interest magazines. Chapter I examines the interplay between selected visual and textual contents published in Books in Canada in its founding years. These components reflected and helped to fuel the cultural nationalism that was sweeping Canada subsequent to the 1967 World's Fair in Montreal. There were also persistent rumours and comments about the magazine that caused certain"cracks in the foundation" to appear. Chapter II compares the aims and editorial challenges of Val Clery, founder of Books in Canada , with those of Adrien Thério, founder of Lettres québécoises, and of the editors of the magazines' twentieth-anniversary issues, Paul Stuewe in the case of the former and André Vanasse in the case of the latter. Evidence in the content of the magazine, editorial and otherwise, indicated that the"contracts" that the editors made with their readers over the years were similar, to reflect and shape a cultural identity, but the result of their"projects," that is, the nature of those identities, was distinctly different. Evidently then, personal aims, preferences and political leanings of editors can have a major impact on the content of a book-review magazine and thus on the cultural work that it does. Therefore, in Chapter III, I focus on selected contents published during the tenures of two of Books in Canada 's key editors, Paul Stuewe and Olga Stein, in order to understand ways that their choices constituted a form of cultural work. The second part of this chapter moves from an analysis of the cultural work of editors to an examination of the cultural work of reviewers. Here, through a close-reading of a selection of reviews published in Books in Canada, and in other periodicals, I argue that reviewers do cultural work in the way that they negotiate their presence in a review, and in how they signal that presence through lexical choices and through the degree of intellectual interaction that they invite. Intellectual interaction is at the core of Chapter IV.This chapter consists of close readings of some of the"billboards" of the enterprise, that is, the front covers of Books in Canada , in order to show how these important components do cultural work by requiring readers to make an intellectual leap from image to text. Chapter V suggests that book reviews, the company's"bills of goods," do cultural work in much the same way as the paratexts of a book. One of my own reviews is offered as a case-study along with a number of other reviews of how central components of a book-review magazine do cultural work through the illocutionary force of their sentences. The first part of Chapter VI, the final chapter, measures the legacy of the magazine, in particular, the annual Books in Canada First Novel Award. Created in 1976, this prize is awarded to the author of the novel judged by a Books in Canada prize committee to be the best first novel in English of the year. The second part of Chapter VI sheds light on factors that may have contributed to the closure of the enterprise, including the copyright uproar that accompanied the agreement that Adrian Stein, publisher of Books in Canada and Olga Stein's husband, made in 2001 with the online book merchant, Amazon.com. Furthermore, this penultimate section of the study suggests that one of the most important factors in the magazine's demise was the decision by the Steins to exploit their position as owners, publisher, and editor of a book-review periodical, a government-subsidized one at that, to publish their own lengthy pre-trial defense of Conrad Black. The chapter then zooms back from the particular to the general with a broader consideration of the impact of technology and globalization on the book industry and on the ability of Books in Canada to survive in any form, print or digital.
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La correspondance de la famille de Théodore-Jean Lamontagne (1852-1925) : la lettre, véhicule d'une expérience migratoire

Mimeault, Mario 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Cette thèse se penche sur la correspondance que la famille de Théodore-Jean Lamontagne a échangée de 1852 à 1925. L'hypothèse soutenue veut que ce corpus épistolaire soit le véhicule d'une expérience migratoire. En effet, neuf des quinze enfants de cet homme d'affaires gaspésien se sont volontairement expatriés aux États-Unis et dans l'ouest canadien sans jamais briser le lien qui les unissait. Le présent travail cherche à dégager les caractères de la mobilité qui les a emportés au loin. La lettre objet, instrument et discours est le premier sujet abordé. Comme objet, elle est mémoire consignée puis conservée pour sa valeur de témoignage. Elle est message par sa matière et sa présentation, rendant compte de la condition sociale de ses auteurs, des atouts dont ils disposaient et des contraintes que leur terre d'adoption leur a imposées. Elle est lieu du discours quand, compensant l'absence de l'autre, le migrant y traduit ses besoins et assimile son vécu. Instrument, elle devient substitut familial, support psychologique et source de délivrance. Témoin des parcours individuels, la lettre est souvent porteuse d'un modèle de réussite, mais elle rend compte aussi des échecs personnels. Sa lecture révèle les ambitions qui peuvent expliquer des départs, les horizons d'attente qui animaient les parcours individuels les plus représentatifs chez les enfants de Théodore-Jean et d'Angélique Roy. L'analyse de cette correspondance offre l'occasion de démonter les mécanismes décisionnels quand vient le temps de partir. Il apparaît que la mobilité familiale fut une réponse imposée par les contraintes du présent, mais qu'elle a aussi été un choix exercé dans le cadre de stratégies familiales héritées du passé. En s'écrivant, les membres de la fratrie se sont réunis dans un espace épistolaire commun, rien de moins qu'une troisième dimension. Cette réalité, tangible par la masse documentaire en soi, se veut indicative par son contenu des déplacements de la famille à travers le continent. Considérée à un autre niveau, elle devient un univers immatériel, partagé entre le psychologique et le mental, où s'exprime le sentiment d'appartenance de ses auteurs. Le contact régulier de la famille avec l'extérieur ayant élargi leurs horizons, la lettre, miroir d'une époque, renvoie l'empreinte que les grands événements du temps ont laissée sur la destinée du groupe.
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Rhétorique et autoreprésentation : la pratique épistolaire des femmes en temps d'insurrections

Bédard, Mylène 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Cette thèse s’inscrit dans la mouvance des travaux qui visent à renouveler l’histoire littéraire (Thérenty, Vaillant, Pinson, Cambron) en tenant compte des enjeux de l’histoire culturelle, dont celui des représentations (Corbin, Kalifa). Elle met en valeur un corpus de 300 lettres écrites par des Bas-Canadiennes liées au mouvement patriote entre 1830 et 1840 et a pour objectif de montrer que la pratique épistolaire des femmes de la première moitié du XIXe siècle n’évolue pas en circuit fermé, mais s’avère perméable à l’actualité et au discours médiatique. Tout en révélant les conditions matérielles, les codes et les relations sociales qui régulent la forme épistolaire, cette étude cherche à faire état des mutations que subissent les usages de la lettre féminine au contact des événements insurrectionnels. Privilégier une lecture culturelle de la décennie 1830-1840 à travers le prisme des correspondances féminines permet d’observer la période insurrectionnelle du point de vue des opportunités qu’elle offre aux femmes. Cette perspective incite à examiner les lettres qu’elles ont écrites, mais aussi à se pencher sur les autres pratiques de sociabilité, dont le salon, de même que sur les pratiques de lecture, principalement celle du journal, qui est accessible aussi bien aux femmes de la bourgeoisie qu’à celles issues de milieux plus modestes. L’étude croisée des lettres et de la presse rend compte des interférences et de la complémentarité entre la correspondance et la culture médiatique au cœur du XIXe siècle, et témoigne d’une politisation progressive des usages et des pratiques culturelles. En plein siècle romantique, l’enchevêtrement entre le politique et le personnel bouleverse les frontières entre le privé et le public et entraîne des tensions dans l’écriture épistolaire, notamment dans la représentation du sujet féminin, mais aussi entre une pratique plus ouverte à une sensibilité de nature romantique et un cadre normatif fondé sur l’idéal classique. C’est pourquoi cette thèse allie les méthodes de l’histoire littéraire et la notion d’autoreprésentation empruntée à l’analyse du discours (Maingueneau, Amossy) pour évaluer dans quelle mesure les femmes s’approprient les représentations culturelles en vigueur pour être entendues, tout en étant fidèles à elles-mêmes et aux possibles de l’époque.
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Représentation de soi et matérialité des lettres dans la correspondance amoureuse entre Pauline Julien et Gérald Godin (1962-1993)

Germain, Emmanuelle 07 December 2018 (has links)
Pauline Julien et Gérald Godin ont entretenu une correspondance amoureuse s’étendant sur plus de trente ans, soit de 1962 à 1993. Quelques-unes de leurs lettres ont fait l’objet d’une publication, La Renarde et le mal peigné (Leméac Éditeur, 2009), grâce à Pascale Galipeau, fille du comédien Jacques Galipeau et de Pauline Julien. Mais c’est avant tout le corpus inédit de plus de 400 lettres non reprises, découvertes dans les fonds d’archives à BAnQ, qui feront l’objet de nos recherches. Outre sa « fonction documentaire » (Jaubert, 2010a : 74), cette correspondance permet de voir la mise en scène par laquelle s’élabore la construction du moi de Julien et de Godin. Au fil de leur échange épistolaire, chacun joue sur l’impression qu’il tente de produire sur l’autre, de manipuler la mise en scène du moi qui régule leur interaction amoureuse. Dans l’ensemble des lettres, cette présentation de soi relève d’une complexion plus vaste que celle qui se dégage des choix éditoriaux effectués dans La Renarde et le mal peigné, restreinte à la relation amoureuse. Permettant d’éclairer la relation personnelle entre Julien et Godin, ainsi que leurs trajectoires artistiques respectives, cette correspondance constitue le lieu d’une négociation entre leurs postures publiques (poète journaliste puis ministre et chanteuse engagée) et intimes (homme de lettres au foyer et femme de profession). De fait, même si leurs échanges restent intimes, il y a là une présentation de soi qui se confronte à la nécessité de négocier avec la médiatisation de leur figure publique, celle-ci influençant leur part de contrôle sur la figure intime qu’ils tentent de dessiner dans leur correspondance. Des textes de Ruth Amossy (La présentation de soi. Ethos et identité verbale et Images de soi dans le discours : la construction de l’ethos), d’Anna Jaubert (« L’éthos de l’épistolier au miroir de l’autre ») et d’Arlette Farge (Le goût de l’archive), constitueront les bases théoriques de notre étude.

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