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La réception par le droit Iranien de la loi type de la CNUDCI sur l’arbitrage commercial international / The receipt by Iranian Law of the UNCITRAL model law on international commercial arbitrationMehdi Pour, Mohammad 14 December 2017 (has links)
De nos jours, les activités et les relations d'affaires sont beaucoup plus larges et complexes qu'auparavant. L'extension de cet espace, nécessite que les différends relatifs aux affaires commerciales soient réglés dans des systèmes efficaces adaptés à la nature des litiges de ce domaine, c'est-à-dire, rapidement, de manière précise et par des experts. C'est pour quoi, au cours des dernières décennies, les législations des pays relatives à l’arbitrage ont été actualisées, et les conventions internationales dans ce domaine connaissent une large réussite. Les pays recherchant à transformer leur législation sur l’arbitrage commercial disposent d’un modèle législatif apprécié et intéressant fourni par la loi type sur l’arbitrage commercial international ; il a été adopté en 1985 par la CNUDCI et constitue aujourd’hui une référence pour réaliser une unité juridique dans le domaine de l’arbitrage commercial international. Les transformations des régimes juridiques nationaux ont débuté assez tôt dans certains des pays développés tels la France, la Suisse et la Belgique, tandis qu’elles ont été entamées assez tardivement dans d’autres pays, tels ceux en voie de développement dont l’Iran. En Iran, l’arbitrage a toujours été admis et pratiqué ; néanmoins, la procédure civile iranienne présentait encore des insuffisances, et dévoila encore davantage de défauts concernant l’arbitrage international. En conséquence, les parties iraniennes aux contrats internationaux ne pouvaient convaincre les parties étrangères à accepter l’Iran en tant que place d’arbitrage. C’est en accord avec les évolutions législatives mondiales que l’Iran aussi, tout en se joignant à la Convention de New York de 1958, réforma sa législation sur l’arbitrage commercial international, en adoptant en 1997 une loi sur l’arbitrage commercial international rédigée en adoptant le modèle législatif proposé par la CNUDCI. Cette loi marqua une évolution marquante dans la législation iranienne vu qu’elle institua d’importantes règles alignées sur les tendances récentes du droit de l’arbitrage international. Malgré cela, certains praticiens y découvrirent des défauts et des lacunes, réclamant ainsi une réforme nécessaire pour rendre le droit iranien réellement attractif. Néanmoins, la loi iranienne de 1997 n’a jamais fait jusqu’à ce jour l’objet d’une étude scientifique systématique. L’examen des droits d'autres pays tels que : la français, la belge et l'anglais sur l’arbitrage commercial international, ainsi que l’étude d’autres sources pertinentes, permettra d’identifier et d’analyser en profondeur les lacunes et de proposer des remèdes. / Nowadays, the business relations are much broader and more complex than before. The extension of this area of activities requires the disputes arising out of business relationships to be resolved through the effective systems aligned with the nature of this area, i.e. the promptness, accuracy and expertise. Hence, over the last few decades, the national laws relating to the arbitration have been developed, and international conventions in this field achieved a great deal of success.The countries seeking to reform their legislation on commercial arbitration can adopt the well-known model law provided by the UNCITRAL Model Law on International Commercial Arbitration which has been adopted in 1985 by UNCITRAL and is now a reference for the realization of a legal system in the field of international commercial arbitration. Changes in national legal regimes began relatively early in some of the developed countries such as France, Switzerland and Belgium, while they were initiated fairly late in other countries, such as developing world, including Iran.In Iran, arbitration has always been admitted and practiced; nevertheless, the civil procedure in Iran was inadequate in this area, and revealed even more defects concerning international arbitration. Consequently, Iranian parties to international contracts could hardly convince their foreign parties to accept Iran as the seat of arbitration.It was in line with global legislative developments that Iran, while joining the 1958 New York Convention, has reformed its legislation on international commercial arbitration by adopting a law on commercial arbitration in 1997 in accordance with the model law proposed by UNCITRAL. This law marked a significant development in Iranian legislation as it established important rules aligned with recent trends in the law of international arbitration. Despite this, the practitioners discovered some defects and shortcomings. That’s why they call for a reform necessary to make Iranian law truly attractive. Nevertheless, the Iranian law of 1997 has never been subject of a comprehensive study so far. Examination of the laws of other countries such as French, Belgian and English on international commercial arbitration, as well as the study of other relevant sources, will pave the way to identify and analyze in depth the gaps and propose remedies.
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L'intervention du juge canadien avant et durant un arbitrage commercial internationalBachand, Frédéric 06 1900 (has links)
"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'Université de Montréal en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (LL.D.) et à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) Droit-économie-Sciences Sociales en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (Arrêté du 30 mars 1992 modifié par l'arrêté du 25 avril 2002)" / Cette thèse précise les conditions dans lesquelles les tribunaux judiciaires canadiens
peuvent intervenir avant ou durant un arbitrage commercial international, soit afin d'y
prêter assistance, soit afin d'en contrôler la légalité. Elle soumet également ces
conditions à l'analyse critique, dans le but d'esquisser une théorie générale de
l'intervention avant et durant un arbitrage commercial international des juges oeuvrant
dans les États qui ont choisi d'accorder leur concours à la justice arbitrale
internationale. Principalement, cette théorie repose sur l'idée selon laquelle
l'intervention judiciaire survenant avant le prononcé de la sentence ne doit - à quelques
exceptions près - servir que les intérêts des opérateurs du commerce international, les
intérêts publics prépondérants ne devant être pris en compte que dans l'élaboration des
conditions de l'intervention judiciaire survenant après le prononcé de la sentence. De
cette idée directrice découlent deux conséquences majeures. D'abord, les ordres
juridiques des États qui accordent leur concours à la justice arbitrale internationale
doivent être perméables à des faits normatifs transnationaux qui s'intéressent à
l'intervention judiciaire avant et durant un arbitrage commercial international, car
l'adoption d'une loi ayant vocation à régir spécialement l'arbitrage commercial
international ne peut jamais - à elle seule - assurer que les tribunaux judiciaires agiront
de manière pleinement satisfaisante. Ensuite, les conditions de cette intervention doivent
surtout avoir pour objectif d'accroître l'efficacité - envisagée du point de vue des
opérateurs du commerce international - de ce système de justice internationale. / This thesis sets out the conditions under which Canadian courts can intervene prior to
and during an international commercial arbitration, either to assist the arbitral process
or to control its legality. These conditions are also analyzed in a critical manner, with a
view to elaborating a general theory of judicial intervention prior to and during an
international commercial arbitration in States that have chosen to support international
arbitral justice. This theory essentially rests on the idea that judicial intervention
occurring before the rendering of the award must almost entirely be geared towards
satisfying the interests of international business operators, as superior public interests
need only be reflected in the conditions under which courts may intervene after an award
has been rendered. Two major consequences flow from this idea. Firstly, the legal
orders of States that have chosen to support international arbitral justice must be
permeable to transnational normative facts which relate to judicial intervention prior to
and during an international commercial arbitration, as the adoption of legislation
dealing specifically with international commercial arbitration can never - in itself - ensure
that courts will act in a fully satisfactory manner. Secondly, the conditions of
such intervention must essentially be aimed at increasing the efficiency - assessed from
the point of view of international business operators - of this system of international
justice.
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Le consentement à la convention d'arbitrage commercial international : évolution et développement récents en droit québécois et en droit internationalKost de Sèvres, Nicolette 12 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option droit des affaires" / L'arbitrage évolue parallèlement et en accord au développement du commerce et des
relations internationales s'accompagnant d'un accroissement des différends
commerciaux de plus en plus complexes et spécialisés. En choisissant l'arbitrage, les
parties excluent, de manière consensuelle, la compétence juridictionnelle des tribunaux
étatiques. Ce droit à l'accès aux tribunaux étatiques se retrouve notamment à la Charte
québécoise des droits et libertés de la personne. La validité d'une convention
d'arbitrage dépend donc avant tout de la preuve de son existence et la preuve du
consentement des parties s'y rattachant. La nécessité de l'écrit est donc un moyen de
s'assurer du consentement des parties. La Convention de New York de 1958 énumère
plusieurs de ces principes de forme. Son article 11(2), qui prévoit que la convention
d'arbitrage doit être par écrit, n'est plus adapté aux réalités juridiques et commerciales
d'aujourd'hui ni au développement du commerce électronique. Que peut être considéré
comme un écrit afin de répondre aux exigences de l'article 1I(2)? Abordée par la
CNUDCI, cette problématique quant au formalisme requis dans l'expression de la
volonté des parties à se soumettre à l'arbitrage est d'une importance capitale dans la
mesure des différentes interprétations qui existent à ce sujet tant au niveau du droit
québécois et canadien qu'au niveau du droit international. Une réforme des dispositions
législatives quant au formalisme écrit du consentement à l'arbitrage doit être mise en
place et ce, soit par une réforme des dispositions législatives existantes ou par une mise
à jour officielle de l'interprétation donnée aux dispositions actuelles en vigueur. / Arbitration has evolved in parallel and in accordance with the development of
commerce and of international relations coming along with the rise of commercial
disputes which are becoming increasingly complex and specialised. By choosing
arbitration, the parties consensually exclude the jurisdiction ofState courts. This right to
access State courts is protected namely in the Charter ofHuman Rights and Freedoms.
The validity of an arbitration clause therefore depends above all on the proof of its
existence and of the consent of the parties to that effect. The necessity of the written
form becomes a mean that insures of the consent of the parties. The 1958 New York
Convention enumerates several of those formal requirements. !ts section 11(2), which
states that the arbitration clause has to be in written form, is not adapted to today's legal
and commercial reality nor to the development of electronic commerce. What exactly is
considered as ''written'' in order to respect the requirements of section 1I(2)? As
addressed by UNCITRAL, the issue concerning the formalism required for the
expression of the parties' intent to be subjected to arbitration is of a vital importance.
Numerous interpretations exist in Canadian law as well as in International law. A
reform of the existing legal provisions relating to the consent of arbitration needs to be
implemented, either through a reform of the existing provisions or through an official
process to update the interpretation given to the requirements that are a1ready in place.
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L'intervention du juge canadien avant et durant un arbitrage commercial internationalBachand, Frédéric 06 1900 (has links)
Cette thèse précise les conditions dans lesquelles les tribunaux judiciaires canadiens
peuvent intervenir avant ou durant un arbitrage commercial international, soit afin d'y
prêter assistance, soit afin d'en contrôler la légalité. Elle soumet également ces
conditions à l'analyse critique, dans le but d'esquisser une théorie générale de
l'intervention avant et durant un arbitrage commercial international des juges oeuvrant
dans les États qui ont choisi d'accorder leur concours à la justice arbitrale
internationale. Principalement, cette théorie repose sur l'idée selon laquelle
l'intervention judiciaire survenant avant le prononcé de la sentence ne doit - à quelques
exceptions près - servir que les intérêts des opérateurs du commerce international, les
intérêts publics prépondérants ne devant être pris en compte que dans l'élaboration des
conditions de l'intervention judiciaire survenant après le prononcé de la sentence. De
cette idée directrice découlent deux conséquences majeures. D'abord, les ordres
juridiques des États qui accordent leur concours à la justice arbitrale internationale
doivent être perméables à des faits normatifs transnationaux qui s'intéressent à
l'intervention judiciaire avant et durant un arbitrage commercial international, car
l'adoption d'une loi ayant vocation à régir spécialement l'arbitrage commercial
international ne peut jamais - à elle seule - assurer que les tribunaux judiciaires agiront
de manière pleinement satisfaisante. Ensuite, les conditions de cette intervention doivent
surtout avoir pour objectif d'accroître l'efficacité - envisagée du point de vue des
opérateurs du commerce international - de ce système de justice internationale. / This thesis sets out the conditions under which Canadian courts can intervene prior to
and during an international commercial arbitration, either to assist the arbitral process
or to control its legality. These conditions are also analyzed in a critical manner, with a
view to elaborating a general theory of judicial intervention prior to and during an
international commercial arbitration in States that have chosen to support international
arbitral justice. This theory essentially rests on the idea that judicial intervention
occurring before the rendering of the award must almost entirely be geared towards
satisfying the interests of international business operators, as superior public interests
need only be reflected in the conditions under which courts may intervene after an award
has been rendered. Two major consequences flow from this idea. Firstly, the legal
orders of States that have chosen to support international arbitral justice must be
permeable to transnational normative facts which relate to judicial intervention prior to
and during an international commercial arbitration, as the adoption of legislation
dealing specifically with international commercial arbitration can never - in itself - ensure
that courts will act in a fully satisfactory manner. Secondly, the conditions of
such intervention must essentially be aimed at increasing the efficiency - assessed from
the point of view of international business operators - of this system of international
justice. / "Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'Université de Montréal en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (LL.D.) et à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) Droit-économie-Sciences Sociales en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (Arrêté du 30 mars 1992 modifié par l'arrêté du 25 avril 2002)"
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Le consentement à la convention d'arbitrage commercial international : évolution et développement récents en droit québécois et en droit internationalKost de Sèvres, Nicolette 12 1900 (has links)
L'arbitrage évolue parallèlement et en accord au développement du commerce et des
relations internationales s'accompagnant d'un accroissement des différends
commerciaux de plus en plus complexes et spécialisés. En choisissant l'arbitrage, les
parties excluent, de manière consensuelle, la compétence juridictionnelle des tribunaux
étatiques. Ce droit à l'accès aux tribunaux étatiques se retrouve notamment à la Charte
québécoise des droits et libertés de la personne. La validité d'une convention
d'arbitrage dépend donc avant tout de la preuve de son existence et la preuve du
consentement des parties s'y rattachant. La nécessité de l'écrit est donc un moyen de
s'assurer du consentement des parties. La Convention de New York de 1958 énumère
plusieurs de ces principes de forme. Son article 11(2), qui prévoit que la convention
d'arbitrage doit être par écrit, n'est plus adapté aux réalités juridiques et commerciales
d'aujourd'hui ni au développement du commerce électronique. Que peut être considéré
comme un écrit afin de répondre aux exigences de l'article 1I(2)? Abordée par la
CNUDCI, cette problématique quant au formalisme requis dans l'expression de la
volonté des parties à se soumettre à l'arbitrage est d'une importance capitale dans la
mesure des différentes interprétations qui existent à ce sujet tant au niveau du droit
québécois et canadien qu'au niveau du droit international. Une réforme des dispositions
législatives quant au formalisme écrit du consentement à l'arbitrage doit être mise en
place et ce, soit par une réforme des dispositions législatives existantes ou par une mise
à jour officielle de l'interprétation donnée aux dispositions actuelles en vigueur. / Arbitration has evolved in parallel and in accordance with the development of
commerce and of international relations coming along with the rise of commercial
disputes which are becoming increasingly complex and specialised. By choosing
arbitration, the parties consensually exclude the jurisdiction ofState courts. This right to
access State courts is protected namely in the Charter ofHuman Rights and Freedoms.
The validity of an arbitration clause therefore depends above all on the proof of its
existence and of the consent of the parties to that effect. The necessity of the written
form becomes a mean that insures of the consent of the parties. The 1958 New York
Convention enumerates several of those formal requirements. !ts section 11(2), which
states that the arbitration clause has to be in written form, is not adapted to today's legal
and commercial reality nor to the development of electronic commerce. What exactly is
considered as ''written'' in order to respect the requirements of section 1I(2)? As
addressed by UNCITRAL, the issue concerning the formalism required for the
expression of the parties' intent to be subjected to arbitration is of a vital importance.
Numerous interpretations exist in Canadian law as well as in International law. A
reform of the existing legal provisions relating to the consent of arbitration needs to be
implemented, either through a reform of the existing provisions or through an official
process to update the interpretation given to the requirements that are a1ready in place. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option droit des affaires"
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