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Mètre et nation : les versifications française et bulgare dans leurs relations avec l'histoire et la culture / Metre and nation : the French and Bulgarian versifications in their relations with the history and the culture.

Aladjemova, Vessela 01 December 2014 (has links)
Ce travail propose une réflexion comparatiste sur la poésie française et la poésie bulgare au tournant du XIXe siècle. Le point de vue adopté est celui de la versification qui est perçue, dans la lignée des travaux métriques après 1980, non seulement comme résultant de la spécificité de la langue, mais avant tout comme produit culturel et sociopolitique. La période considérée se caractérise, dans les deux pays, par une remise en cause des pratiques des prédécesseurs si bien que, malgré les différences entre le syllabisme français et la syllabotonique bulgare, l'invention métrique et les débats qui l'accompagnent représentent une réalité commune. L'analyse comparatiste de la conception qu'ont les poètes français et bulgares de l'œuvre poétique fait ressortir les différentes connotations esthétiques des deux versifications respectives. Le sens sociopolitique de celles-ci s'éclaire à la lumière de ce que les poètes pensent de la société, du pouvoir en place, et de leurs lecteurs potentiels. Le point de vue métrique révèle ainsi les partis-pris nationaux inhérents aux formes poétiques. / This work offers a comparatist reflection upon the French poetry and the Bulgarian poetry at the turn of the nineteenth century. The view I have adopted is that the versification which is perceived, in the tradition of the metric works after 1980, not only as a result of the language specificity, but above all as a cultural and socio-politicalproduct. The period I examine is characterised, in both countries, by a calling into question of the practices of the predecessors so that, in spite of the differences between the French syllabism and the Bulgarian syllabotonicversification, the metric invention and the debates that follow point out a common reality. My comparatist analysis of the views that are held by the French and Bulgarian poets bring out the different aesthetic connotations of the two respective versifications. The socio-political meaning of the latter is clearer in the light of what the poets think about their society, the power in place, and of their potential readers. The metric view thus reveals the national biases that are inherent to the poetic forms.
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Traduire le mètre, traduire le rythme : les poèmes de Sappho par Philippe Brunet

Desarzens, Aline 06 1900 (has links)
En 1991, Philippe Brunet publie une traduction inédite de la poétesse grecque archaïque du VII ème siècle avant J.-C., Sappho. Dans cette traduction, celui-ci a tenté d'imiter et de faire ressentir le mètre grec en français. La difficulté de cette entreprise réside dans le fait que le français n'est pas une langue à accent de mot et qu'il ne ressent pas la quantité des syllabes. Les mètres poétiques du français se basent en effet sur le nombre des syllabes et non sur leur quantité. À la Renaissance, une telle tentative d'imitation du mètre grec avait déjà été entreprise par Jean-Antoine de Baïf. Mais celui-ci, oubliant les particularités accentuelles du français, n'a pas réussi à développer un système adéquat. Philippe Brunet quant à lui a su utiliser ces règles accentuelles françaises pour faire ressentir à son lecteur quelque chose du rythme quantitatif grec. Se servant autant de l'accent tonique que de l'accent initial, son système respecte dans son ensemble la langue française tout en créant un rythme nouveau. Une fois cette traduction comparée à d'autres, on peut également voir à quel point ses recherches sémantiques et prosodiques aident à la réalisation de ce rythme particulier. M ots-clé : Sappho, grec, traduction, rythme, mètre, métrique, accent. / In 1991, Philippe Brunet published a new translation of the seventh century B.C. archaic Greek poet, Sappho. In this translation, he attempted to imitate and instigate the feel of the Greek meter in French. The difficulty of this project stands in the fact that the French language is not one of word accentuation and it doesn't take into account the syllables quantity. The poetic meters in French are indeed based on the syllables number and not on their quantity. During the Renaissance, a similar imitation experiment had already been attempted by Jean-Antoine de Baïf. But dismissing the accentual particularities of the French language, he failed to develop an adequate system. Meanwhile, Phillipe Brunet was able to use the French accentual rules to make his read feel about the quantitative Greek rhythm. Using the tonic accent as well as the initial accent, his system fully respects the French language while creating a new rhythm. When this translation is compared to others, we can see how much his sematic and prosodic research help to the creation of this peculiar system.
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Le chant de la prose dans l'opéra (France, Italie, Allemagne), 1659-1902 : élements de poétique, d'esthétique et d'histoire du goût / Singing Prose in Opera (France, Italy, Germany), 1659-1902 : Elements of Poetics, Aesthetics, and Reception

Gribenski, Michel 29 November 2008 (has links)
Si l’opéra sur un livret en prose ne se manifeste publiquement en Europe qu’au tournant des XIXe et XXe siècles, dans les domaines russe, puis français, enfin allemand et tchèque, des essais de chant de prose et des réflexions sur ses conditions de possibilités sont cependant intervenus, en France, dès le XVIIIe siècle. Envisagée comme forme verbale apériodique, la prose peut ainsi être considérée comme étant au fondement du genre de l’opéra. D’une part, en effet, dans la tragédie lyrique et auparavant dans l’opéra italien, des vers mêlés apériodiques sont d’emblée associés à un chant lui aussi largement apériodique, notamment dans le récitatif. Cette caractéristique formelle du récitatif est soulignée par la notion analogique péjorative de « prose musicale », élaborée dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, en France et en Allemagne, par les partisans de la mélodie périodique italienne. D’autre part, l’ opposition entre le régime du récitatif et le régime de l’air peut être interprétée comme un conflit entre un principe dramatique linéaire de prosa oratio et un principe lyrique circulaire de versus. Sur un plan stylistique, la notion formelle de prose s’articule en outre à celle de prosaïsme, non seulement dans le drame lyrique naturaliste en prose, mais plus généralement dans le chant de type récitatif, considéré par certains théoriciens comme la prose du chant, parce qu’il est apériodique et dévolu aux matières de moindre valeur lyrique. Cette articulation entre les plans formel et stylistique s’opère notamment dans la prosodie musicale, et plus spécifiquement à travers le traitement de l’e caduc, qui fait l’objet de débats idéologiques touchant aux limites entre le naturel et le prosaïsme. Les tentatives de divers compositeurs, poètes et théoriciens pour dépasser l’antagonisme entre le vers et la prose conduisent dès lors à repenser le genre, non en termes de dichotomie formelle et stylistique, mais comme une unité organique. Celle-ci prend ainsi la forme d’un poème lyrico-dramatique, qui s’incarne dans un discours poético-musical associant chant, orchestre, et silence. Le problème du chant de la prose dans l’opéra apparaît donc comme un révélateur des enjeux génériques, esthétiques, voire idéologiques du théâtre lyrique. / Although prose opera only appeared in Europe at the turn of the nineteenth and twentieth centuries, in Russian, French, German and Czech opera, some ventures into prose singing and reflections about it did occur in France as early as the eighteenth century. Seen as an aperiodic verbal form, prose can be considered to have been an essential part of the operatic genre from the beginning. Indeed, aperiodic free mixed verse is used in French tragédie en musique, and before that in Italian opera, in association with largely non-periodic singing, especially in recitative. This formal characteristic of recitative is summed up in the metaphoric and pejorative phrase of “musical prose”, which was created in France and Germany in the second half of the eighteenth century by admirers of the Italian periodic melody. This opposition between two modes of singing, recitative-like and aria-like singing, can be seen as a conflict between two contradictory principles in opera: on the one hand, a prosa oratio principle, whose linearity represents the dramatic progressive succession ; on the other hand, a versus principle, whose periodic circle constitutes the traditional form of lyrics. On a stylistic level, prose also has to do with prosaic matters and language, not only in the naturalistic drame lyrique, but more generally in recitative singing. The latter is sometimes considered the prose of music, not only because of its form, but also because it deals with less lyrical matters than aria. This relationship between formal and stylistic levels is particularly tight in prosodic matters, especially in the treatment of the famous mute e, which provokes multiple ideological debates concerning natural, realistic, or prosaic styles of diction. Attempts to solve this problematic opposition between verse and prose logics led various musicians, librettists and theorists to go beyond formal and stylistic dichotomy and to rethink opera as an organic whole: in the form of a lyric-dramatic poem and a poetic-musical speech, where singing, orchestra, and silence are combined. The problem of prose singing in opera thus clearly reveals the generic, aesthetic, and ideological issues concerning lyric theatre.
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Rythme et rime de l'alexandrin classique. <br />Étude empirique des 80 000 vers du théâtre de Corneille et Racine

Beaudouin, Valérie 24 January 2000 (has links) (PDF)
Ce mémoire présente une approche empirique du rythme et de la rime du vers alexandrin classique. Un outil d'analyse systématique du vers, le métromètre, a été mis au point. Il transcrit le vers dans l'alphabet phonétique, le découpe selon les positions ou syllabes métriques, en respectant les règles de la versification (diérèse/synérèse, décompte du e muet et liaison) ; finalement, il attribue à chacune des positions un certain nombre de marquages ou étiquettes d'ordre exclusivement linguistique : noyau vocalique et syllabe de la position, catégorie morpho-syntaxique, situation dans le mot et présence d'une marque accentuelle sur la position. L'outil repose sur un analyseur syntaxique développé par P. Constant et un phonétiseur développé par F. Yvon. Les outils ont été adaptés aux particularités du vers. <br />Le métromètre a été utilisé pour analyser les 80 000 vers de Corneille et Racine. Il en résulte que la structure rythmique du vers est bel et bien le résultat d'un agencement spécifique des éléments de la langue (il n'y a pas « d'accent de vers »). Nous montrons que tous les marquages, qui relèvent de composantes a priori indépendantes de la langue, contribuent chacun à leur manière à définir la forme rythmique de chaque hémistiche et du vers. Les corrélations entre ces niveaux a priori indépendants semblent être constitutives du rythme. <br />Parallèlement, l'examen systématique de la rime chez Corneille et Racine a permis de montrer l'existence de régularités, non attestées dans les traités de métrique (la voyelle [e] a, par exemple, toujours besoin d'une consonne d'appui) et de proposer une définition contextuelle des concepts de rime riche, suffisante ou pauvre, lesquels varient selon le type de terminaison examiné. <br />Enfin, nous avons tenté de montrer en quoi la structure rythmique et rimique des vers pouvait contribuer à enrichir l'analyse stylistique : nous avons ainsi mis à jour des corrélations entre des univers de discours et des rythmes spécifiques.
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Traduire le mètre, traduire le rythme : les poèmes de Sappho par Philippe Brunet

Desarzens, Aline 06 1900 (has links)
En 1991, Philippe Brunet publie une traduction inédite de la poétesse grecque archaïque du VII ème siècle avant J.-C., Sappho. Dans cette traduction, celui-ci a tenté d'imiter et de faire ressentir le mètre grec en français. La difficulté de cette entreprise réside dans le fait que le français n'est pas une langue à accent de mot et qu'il ne ressent pas la quantité des syllabes. Les mètres poétiques du français se basent en effet sur le nombre des syllabes et non sur leur quantité. À la Renaissance, une telle tentative d'imitation du mètre grec avait déjà été entreprise par Jean-Antoine de Baïf. Mais celui-ci, oubliant les particularités accentuelles du français, n'a pas réussi à développer un système adéquat. Philippe Brunet quant à lui a su utiliser ces règles accentuelles françaises pour faire ressentir à son lecteur quelque chose du rythme quantitatif grec. Se servant autant de l'accent tonique que de l'accent initial, son système respecte dans son ensemble la langue française tout en créant un rythme nouveau. Une fois cette traduction comparée à d'autres, on peut également voir à quel point ses recherches sémantiques et prosodiques aident à la réalisation de ce rythme particulier. M ots-clé : Sappho, grec, traduction, rythme, mètre, métrique, accent. / In 1991, Philippe Brunet published a new translation of the seventh century B.C. archaic Greek poet, Sappho. In this translation, he attempted to imitate and instigate the feel of the Greek meter in French. The difficulty of this project stands in the fact that the French language is not one of word accentuation and it doesn't take into account the syllables quantity. The poetic meters in French are indeed based on the syllables number and not on their quantity. During the Renaissance, a similar imitation experiment had already been attempted by Jean-Antoine de Baïf. But dismissing the accentual particularities of the French language, he failed to develop an adequate system. Meanwhile, Phillipe Brunet was able to use the French accentual rules to make his read feel about the quantitative Greek rhythm. Using the tonic accent as well as the initial accent, his system fully respects the French language while creating a new rhythm. When this translation is compared to others, we can see how much his sematic and prosodic research help to the creation of this peculiar system.
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Investigation of laser frequency stabilisation using modulation transfer spectroscopy

Hopper, David J. January 2008 (has links)
Optical frequency standards are necessary tools for accurate measurement of time and length. In practice these standards are stabilised laser systems locked to a known frequency reference. These references are typically the resonant frequencies of the atoms of an absorption medium that have been theoretically calculated to a high degree of accuracy. This thesis describes a combination of experimental and theoretical research performed on modulation transfer spectroscopy (MTS)--a technique used to frequency stabilise a laser in order to produce an accurate frequency reference--with emphasis placed on developing techniques and procedures to overcome the limitations found in existing MTS stabilised laser systems. The focus of the thesis is to generate a highly accurate frequency reference by researching the system parameters that will increase the signal to noise ratio and improve the accuracy of the reference through refinement of the signal structure. The early theoretical interpretation of MTS was effectively a low absorption approximation that occurs at low pressures. This approximation ignores the depletion of beam energy through absorption and is a distinct limitation of the theoretical model in its ability to accurately predict the influence of a range of system parameters on signal strength and structure. To overcome this limitation a 3-D (or volumetric) analysis was developed and is presented here for the first time. This volumetric model is a measure of two depleted beams interacting collinearly in an absorbing medium of iodine and is described to accurately predict the signal maximum as a function of pressure for all wavelengths. This model was found to be more accurate in predicting the influence of system parameters on the signal strength and structure, including that of pump beam intensity, pressure, saturation parameter, cell length and modulation parameters. The volumetric model is a novel approach to MTS theory but is more complex computationally than the traditional low pressure model and therefore more difficult to implement in many situations. To overcome this problem a hybrid model was developed as a combination of the low pressure and volumetric models. The comparison between the rigorous volume model and the hybrid model indicate that there is a deviation in the signal strength at high pressures. However, the agreement was very good in the pressure regimes that are commonly used to realise actual frequency references. Comparison of the hybrid model to experimental data was performed over a range of different wavelengths (532 nm, 543.5 nm, 612 nm and 633 nm) and found to be in close agreement. This gives confidence in the model to accurately predict signal strength and structure in any situation. Three mechanisms have been identified that limit the accuracy of frequency references due to the creation of residual amplitude modulation (RAM) where it shifts the frequency of the reference. The influence of RAM is included in the hybrid model as a ratio of the amplitude modulated and frequency modulated components of the saturating beam. These RAM production mechanisms result from the modulation of the saturating beam, the overlap of the beams in the medium, and the differential absorption of the sidebands in the medium. While the first mechanism has been previously reported the latter two are discussed here in detail for the first time. RAM generated by the modulators used (acousto-optic or electro-optic modulators) was typically of the order of 10% to 12%, depending on the excursion of the created sidebands. RAM generated by an asymmetric beam overlap with the modulators used was found to be as large as 30%. A combination of these two independent mechanisms can be used to provide a "RAM-free" state of the system by using one to cancel the effects of the other. The third RAM generation process--medium induced RAM--is difficult to remove but through a careful combination of absorption related parameters--namely, pump intensity, cell length, pressure and detector phase--the effects of RAM can be removed, leading to a distortion free MTS signal. Further investigation into the predictions provided by the hybrid model shows that there is a complex relationship between cell length and the optimum pressure required for maximum signal strength, such that longer cell lengths will not necessarily improve the signal strength. This is contrary to conventional thinking and is important in the MTS design process to reduce unnecessary costs and improve the signal to noise ratio and frequency accuracy. Optimisation of frequency stabilised laser systems using MTS are generally performed using trial and error. Comparison of these optimum parameter values to those predicted by the hybrid model show that for popular wavelengths such as 532 nm they are similar. In addition, the hybrid model is able to predict the frequency shifts that arise within the system parameters used and has shown that existing systems being used at 532 nm, 633 nm and 778 nm could improve their signal to noise ratio and accuracy through a variation in the parameters. A methodology based on the hybrid model is presented that can be used to calculate the optimum parameters for maximum signal strength and a "RAM-free" state for any wavelength. This systematic approach can therefore be used to guide the design of actual frequency stabilised laser systems prior to and during the design process.

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