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Mécanismes institutionnels de gouvernance et valeur actionnariale des entreprises : une comparaison internationale / Mechanisms of governance and shareholder of larges companies

Mejdoub, Imène 10 November 2011 (has links)
L’objectif de cette thèse est de tester l’hypothèse d’une relation entre les mécanismes, organisationnels et institutionnels, de gouvernance et la valeur actionnariale des grandes entreprises dans le monde. L’analyse prend appui sur 775 grandes entreprises cotées, répartis sur 22 pays les plus développés. Les résultats indiquent une neutralité de l’impact des mécanismes de gouvernance sur la valeur actionnariale des grandes entreprises. Ceci est dû essentiellement à la similitude et la convergence des systèmes et des pratiques de gouvernance pour les grandes entreprises dans le monde et la disparition, ainsi, de la notion de système national de gouvernance qui est en contradiction avec le caractère multinational des grandes entreprises / The objective of this thesis is to test the hypothesis of a relation between mechanisms, organizational and institutional, of governance and the shareholder value of larges companies in the world. The analysis takes support on 775 listed larges companies, distributed on 22 most developed countries. The results indicate a neutrality of the impact of the mechanisms of governance on the shareholder value of larges companies. This is essentially due to the resemblance and the convergence of the systems and the practices of governance for t larges companies in the world and the disappearance, so, of the notion of national system of governance which is contradictory to the multinational character of larges companies
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Gouvernance et performance des alliances stratégiques : le cas du secteur français des biotechnologies / Governance and performance of strategic alliances : French sector biotechnology

Souid, Samia 05 July 2013 (has links)
La mondialisation de l’économie et l’internationalisation des marchés ont entrainé le développement sans précédent des alliances stratégiques. De nombreux travaux de recherches se sont attachés à décrire et tenter d'expliquer ce phénomène notamment en s'intéressant à leurs modes de gouvernance. Dans la plupart des travaux, deux modes de gouvernance sont identifiés et théorisés : la gouvernance contractuelle et la gouvernance relationnelle. Dans le prolongement de ces travaux, l'étude de la relation entre mode de gouvernance et performance occupe une place de choix en sciences de gestion. Partant de ce corpus, cette recherche vise à répondre à la question suivante : "Dans quelle mesure la structure de la gouvernance peut-elle améliorer la performance d'alliance?". En mobilisant la théorie des coûts de transactions (Williamson, 1985) et la théorie de l’échange social (Blau, 1964 ; Homans, 1961), cette recherche développe un modèle intégrateur à travers neuf hypothèses de recherche, permettant de comprendre le lien entre la gouvernance contractuelle, la gouvernance relationnelle et la performance d’alliance stratégique. Avec la collaboration de l'association France Biotech, ce modèle a été testé auprès d’un échantillon représentatif des firmes biotechnologiques françaises. La validation des hypothèses de recherche a été faite en ayant recours à la méthode PLS. Trois principaux résultats importants ont émergé : le choix de la gouvernance contractuelle est fortement recommandé en cas de forte spécificité des actifs investis dans l’alliance, une forte dépendance vis à vis du partenaire défavorise le recours à la gouvernance relationnelle ; et l’effet positif de la gouvernance relationnelle sur la performance d’alliance est plus fort que celui de la gouvernance contractuelle. / Economic globalization and internationalization of markets have led to an unprecedented development of strategic alliances. Many research projects have tried to describe and explain this phenomenon, some via exploration of modes of governance. Contractual and relational governance are the two modes of governance identified and theorized upon in the majority of these works. Extending this research avenue further in the area of Management Sciences, a prominent place is held by the relationship between mode of governance and performance. Based on this corpus, this research aims to answer the following question: “To what extent can the governance structure improve the performance of an alliance?” Mobilizing transaction cost theory (Williamson, 1985) and social exchange theory (Blau, 1964 ; Homans, 1961) this research develops an integrative model through nine research hypotheses in an effort to understand the link between contractual governance, relational governance and performance of strategic alliances. Thanks to collaboration with the French Biotech association, the model has been tested using a representative sample of French Biotech firms. The research hypotheses were validate using the PLS method. Three main important results emerge : contractual governance is a strongly recommended choice if there is a high level of asset specificity invested in the alliance ; in the case of strong dependence on a partner, relational governance is not the ideal choice ; and relational governance has a stronger positive effect on alliance performance than does contractual governance.
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Application des arbres décisionnels en grappes pour prédire la performance des institutions microfinancières / Application of decision-trees for predicting the performance of microfinance institutions

Bou Kheir, Roy 28 June 2013 (has links)
Les performances financières et sociales sont des caractéristiques institutionnelles importantes qui permettent aux pauvres et aux ‘quasi-pauvres' d'avoir accès aux crédits dans des conditions favorables, et aboutissent en même temps à un fonctionnement durable et aux mécanismes efficaces de gouvernances dans les institutions micro financières (IMFs). Dans ce contexte, cette étude a été menée afin de déterminer les variables financières/sociales/gouvernables qui peuvent influer les indicateurs de performance financière et sociale des IMFs à l'échelle mondiale; et de développer pour la première fois des arbres logiques décisionnels (en grappes) simples et pratiques qui peuvent être considérés comme des outils précieux aidant la mise en œuvre de stratégies efficaces pour les différents types des IMFs (à but lucratif et non lucratif) à l'échelle nationale.La première partie de cette thèse expose les données financières et sociales globales qui ont été extraites au cours des cinq dernières années (2007-2011) à partir de plusieurs bases de données bien connues (ex. Microfinance Information Exchange, Mix Market, Rating fund, etc…) pour les IMFs choisies classées comme ayant 4 ou 5 diamants (soit, 263 IMFs à but non lucratif et 135 IMFs à but lucratif) distribuées à travers les continents. Parmi les 263 IMFs à but non lucratif, l'échantillon de données a été composé de 192 organisations non-gouvernementales (ONGs), 42 institutions non bancaires et 29 coopératives. Un grand nombre de variables prédictives (54) ont été recueillies reflétant les aspects de l'environnement financier de ces IMFs (par exemple l'index des dépenses administratives, l'index de solvabilité, le coût par prêt, le nombre des déposants, etc…), les caractéristiques sociales (ex. profondeur, pourcentage des emprunteurs actifs ‘femmes', marché rural/urbain, niveau de pauvreté, etc…) et les mécanismes de gouvernance (ex. la taille de l'entreprise, la taille du conseil, la régulation, l'audit, l'affiliation à un réseau, l'assurance, etc…). Cette 1ère partie compare également l'efficacité de la plupart des méthodes/modèles statistiques les plus utilisés (incluant la régression linéaire, la régression logistique, les méthodes bayésiennes, les réseaux artificiels des neurones, l'analyse en composantes principales, etc….) pour estimer les indicateurs de performance financière et sociale au sein des IMFs. Elle inclue aussi une description détaillée du processus de construction des arbres décisionnels en grappes qui peut être utilisé pour cette estimation ainsi que toutes les étapes reliées (comprenant l'évaluation des divisions, l'assignement des catégories aux nœuds, les valeurs manquantes avec des répartiteurs de substitution, les critères d'arrêt, etc….).La deuxième partie explore les relations quantitatives entre les quatre indicateurs de performance financière les plus couramment utilisés [autosuffisance opérationnelle (operational self-sufficiency OSS), marge bénéficiaire (profit margin PM), rendement des actifs (return on assets ROA), et rendement des capitaux propres (return on equity ROE)] et les principales variables prédictives pour les IMFs choisies à but non lucratif (incluses à partir de 53 pays) à travers l'application de la modélisation par arbre de régression. Pour chaque indicateur de performance financière, plusieurs arbres de régression non élagués (684) ont été développés : (i) en utilisant toutes les variables prédictives, (ii) en utilisant toutes les variables prédictives financières seulement, (iii) en utilisant toutes les variables prédictives sociales seulement, (iv) en utilisant toutes les variables prédictives de gouvernance seulement, (v) en appliquant une seule variable prédictive à la fois, (vi) en excluant chaque variable à la fois du groupe potentiel des variables prédictives, et (vi) en forçant la séparation initiale de l'arbre à travers l'utilisation de la variable prédictive préférée afin d'explorer le pouvoir prédictif ... / Financial and social performances are important institutional characteristics that allow ‘the poor and the near-poor' to have access to credit in favorable conditions, and drives sustainable efficiency and effective governance mechanisms in MFIs (microfinance institutions). In this context, this study was conducted to determine the most influencing financial/social/governance variables (with their relative importance in %) that may affect the financial and social MFI performance indicators on worldwide basis; and to develop simple and practical microfinance tree-models (for the first time) that can be considered valuable tools helping with the implementation of efficient strategies among nonprofit and profit MFIs at a national scale.The first part of this thesis exposes the global financial and social data that has been extracted over the five recent years (2007-2011) from several well-known databases (e.g., Microfinance Information Exchange, Mix Market, Rating fund, etc.) for the chosen MFIs ranked four or five diamonds (i.e., 263 nonprofit MFIs and 135 profit ones) distributed widely over the continents. Among the 263 nonprofit MFIs, the data sample was composed of 192 Non-Governmental Organizations (NGOs), 42 non-bank institutions and 29 cooperatives. A large number of predictor variables (54) have been collected capturing aspects of the financial environment of these MFIs (e.g., administrative expense ratio, ratio of solvency, cost per loan, number of depositors, write-off-ratio, etc.), the social characteristics (e.g., depth, percent of women active borrowers, rural/urban market, poverty level, etc.) and the governance mechanisms (e.g., firm size, board size, regulation, audit, network affiliation, insurance, etc.). This first part compares also the efficiencies of the most used statistical methods/models (including linear regression, logistic regression, Bayesian methods, artificial neural networks, cluster analysis, principal component analysis, decision-trees, etc.) for estimating diverse financial and social performance MFIs' indicators. It includes also a detailed description of the tree building process that has been used for such estimation and all related steps (involving evaluating splits, assigning categories to nodes, missing values with surrogate splitters, stopping criteria, etc.).The second part explores quantitative relationships between the four commonly worldwide used financial performance indicators (operational self-sufficiency OSS, profit margin PM, return on assets ROA, and return on equity ROE) and key financial/social/governance predictor variables for the chosen non-profit MFIs (included from 53 countries) through the application of regression-tree modeling. For each financial performance indicator, several un-pruned regression trees (684) were developed: (i) using all predictor variables, (ii) all financial predictor variables only, (iii) all social predictor variables only, (iv) all governance predictor variables only, (v) applying only a single variable at a time, (vi) excluding each variable one at a time from the potential pool of predictor variables, and (vii) forcing the initial split of the tree using the preferred predictor variable for exploring the predictive power of independent predictors. The obtained results demonstrate that the strongest relationships were associated with ROE and ROA, the proportion of variance explained being equal to 99.8% and 99.5% respectively, followed by PM (97%) and OSS (95%). The second part also showed that the financial predictor variables did interfere differently in building the financial performance regression trees and associated relationships where ; administrative expense ratio influenced ROE (100%) ; average loan balance per borrower affected OSS (100%); cost per borrower, number of depositors, operating expense:loan portfolio, and risk coverage had significant impacts on ROA/ROE (98.5-100%).
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Impact des mécanismes de gouvernance sur la création et la répartition de la valeur partenariale / Impact of corporate governance mechanisms on the creation and distribution of stakeholder value

Khaldi, Mohamed Ali 12 December 2014 (has links)
La multiplication des scandales financiers depuis l'an 2000 suscite des débats et des controverses sur la gouvernance des entreprises cotées en bourse. Dans le paradigme contractuel, les débats sur la gouvernance ont largement consacré la valeur actionnariale comme modèle dominant, et dans lequel les actionnaires sont les seuls créanciers résiduels. Toutefois, la théorie des parties prenantes part du principe que la relation d'agence actionnaire-dirigeant doit s'élargir aux autres partenaires intervenant dans la chaîne de valeur, et qu'il faut abandonner l'hypothèse du statut de créancier résiduel exclusif des actionnaires. Cet abandon conduit à s'interroger sur le partage de la rente organisationnelle, ou valeur partenariale créée par la firme. Plus précisément, le concept de valeur partenariale soulève les questions de sa mesure, de son appropriation par les différents partenaires, et du rôle des mécanismes de gouvernance à ce niveau. L'objectif de cette recherche est, dans un premier temps, d'examiner le rôle joué par les mécanismes de gouvernance propres à la firme (caractéristiques du conseil, structure de propriété) sur la valeur partenariale créée, puis, dans un deuxième temps, sur l'appropriation de cette valeur partenariale par la firme et par ses parties prenantes explicites. Les tests empiriques portent sur un panel de 103 sociétés françaises cotées observées sur trois années (2006, 2008 et 2010). Les résultats suggèrent que quatre mécanismes ressortent globalement positivement associés à la valeur partenariale créée : la taille et l'indépendance du conseil, le pouvoir actionnarial des salariés, et la présence d'un comité d'éthique et/ou de gouvernance (CEG). En matière d'appropriation, deux mécanismes de gouvernance semblent jouer un rôle. Premièrement, la taille du conseil permettrait aux actionnaires et aux fournisseurs de capter davantage de rente organisationnelle, au détriment des clients et de la firme elle-même. Deuxièmement, la présence d'un CEG incite à une meilleure prise en compte des intérêts de certaines parties prenantes non-financières dans le partage de la rente (clients, salariés), alors que la part de rente que s'approprient les apporteurs de capitaux financiers (actionnaires et créanciers) diminue. Dans l'ensemble, nos résultats concernant la mise en place d'un CEG s'avèrent encourageant quant à la capacité de ce mécanisme à promouvoir une véritable gouvernance partenariale au sein des firmes cotées. / The multiplication of financial scandals since year 2000 induced debates and controversies about the governance of public companies. In the contracting paradigm, the debates on corporate governance have largely relied on shareholder value as a dominant model, in which shareholders are the only residual claimants. However, the stakeholder theory builds on the principle that the shareholder-manager agency relationship has to widen to the others stakeholders who intervene in the value creation chain, and that it is necessary to get rid of the hypothesis that shareholders are exclusive residual claimants. This move brings questions about the sharing of the organizational rent, or stakeholder value created by the firm. More specifically, the concept of stakeholder value raises questions about its measurement, its appropriation by the various stakeholders, and about the role of corporate governance mechanisms on that ground. The objective of this research is to investigate the role of firm-specific governance mechanisms (board characteristics, ownership structure) on the creation of stakeholder value on the one hand, and on the distribution of that stakeholder value to the firm and to its explicit stakeholders, on the other hand. Empirical tests are based on a panel of 103 French listed companies observed over three years (2006, 2008, and 2010). The main findings suggest that four mechanisms stand out globally positively associated to the stakeholder value created: board size and board independence, employees' voting rights (shareholder power), and the presence of an Ethics and/or Governance Committee (EGC). In terms of appropriation, two governance mechanisms seem to play a role. Firstly, board size would result in a larger part of the organizational rent captured by shareholders and suppliers, at the expense of customers and the firm itself. Secondly, the presence of an EGC results in a better consideration of the interests of some non-financial stakeholders (customers and employees), whereas the share of rent that is appropriated by financial capital providers (shareholders and debt-holders) decreases. Overall, our results concerning the implementation of an EGC turn out encouraging regarding the capacity of such mechanism to promote effective stakeholder governance within listed companies.
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Les PME : modes et mécanismes de gouvernance : étude comparative des droits français et turc / SMEs : modes and mechanisms of governance : a comparative study of French and Turkish law

Ekici, Abdullah 07 December 2016 (has links)
Les PME représentent en France et en Turquie près de la totalité des entreprises existantes et jouent un rôle très important dans la régulation de la vie économique et sociale de ces pays. Afin de les protéger mais surtout de les inciter à œuvrer davantage pour une performance d’ordre global, l’action des dirigeants de PME doit être orientée vers une gouvernance socialement responsable. Pour parvenir à cette fin, des moyens empruntés aux règles de la « corporate governance » doivent être adoptés par ces derniers. Toutefois, ces règles de management, prévues à l’origine pour discipliner l’action des dirigeants des grandes firmes américaines de type managérial, sont inadaptées aux PME de type entrepreneurial et familial ainsi qu’au contexte dans lequel cette catégorie d’entreprises évolue. Les dirigeants de PME éprouvent en effet de grandes difficultés à mobiliser des fonds. Ils se doivent d’être pragmatiques pour la pérennité du groupement. C’est donc naturellement qu’ils songent à performer en termes économique avant de songer à performer en termes social ou sociétal. De plus, de nombreux mécanismes de gouvernance ne prennent pas en compte les spécificités organisationnelles et fonctionnelles de cette catégorie d’entreprises. Les dirigeants de PME évoluent dans un contexte proxémique fort marqué par l’informalité des relations avec les « stakeholders ». Peu visibles du grand public, ces entreprises agissent souvent dans un rayon d’activité locale voire régionale. Les dirigeants sont proches de leurs salariés, de leurs fournisseurs et créanciers, de leurs associés ainsi que de leurs clients. La propriété du capital est peu diluée de telle sorte que les fonctions de propriété, de direction et de contrôle sont souvent réunies dans les mains d’une personne forte (le dirigeant-propriétaire) ou de ses proches. Dans ces conditions, les principes de gouvernement d’entreprise tels qu’ils existent sont difficiles à mettre en œuvre par les dirigeants de PME si bien que les modes de gouvernance qu’ils adoptent sont peu influencés par la gouvernance d’entreprise et ses mécanismes. / In France and Turkey SMEs make up nearly all current enterprises and play a very important role in the regulation of economic and social life in both countries. In order to protect them, but above all, in order to encourage them to adopt more global performance, the action of SME managers has to be oriented towards socialy responsable governance. To achieve this, they have to adopt the rules of corporate governance. However, these management rules, originally intented to control the action of the managers of big US managerial firms, are not adapted to family and entrepreneurial SMEs and to the context in which this particular category of enterprise evolves. Indeed, SME managers have many difficulties to leverage private funds.They have to adopt a pragmatic approach to ensure the existence of their enterprises. It is quite normal, therefore, for them to do business in economic terms before considering social relations and societal questions. Moreover, many mechanisms of corporate governance don’t take into account the organizational and functional characteristics of this particular category of enterprise. SME managers work in a strong context of proximity characterised by the informality of relations with stakeholders. Such enterprises, since they are barely visible to the general public, often work localy or regionaly. Managers are close to their employees, suppliers and creditors, associates and customers. The ownership of capital property is not diluted very much so that the functions of ownership, management and control are often all in the hands of one strong individual (the owner-manager) or his/her relatives. In these conditions, the principles of corporate governance, as they exist today, are not easily implemented by SMEs managers to the extent that the modes of governance they adopt are barely influenced by corporate governance and its mechanisms.

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