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Les voix voies de la liberte : une analyse de trois pieces choisies de Matei Vişniec

Olivier, Tanya 04 1900 (has links)
Thesis (MA)--Stellenbosch University, 2014. / ENGLISH ABSTRACT: This study analyses three plays by Romanian author, Matei Vişniec, namely Richard III n’aura pas lieu, Le Roi, le rat et le fou du Roi, et L’Histoire du communisme racontée aux malades mentaux. The study begins with a discussion of the author’s particular personal, historical and literary circumstances in order to contextualise his use of intertextuality and the fictionalisation of writers to whom he pays homage in his plays. It seeks to further analyse the way in which these various contexts provide the author with a unique authority and insight to speak on notions of freedom. Through close readings of the given texts, we analyse Vişniec’s use of various techniques such as parallel monologues, characters as mouthpieces, the repetition of phrases, and silence in order to demonstrate the breakdown in communication that penetrates his plays. In a communist context, the study recognises that verbal denunciation is not an effective means of protesting the oppression often experienced in totalitarian or dictatorial regimes. If verbal communication is not an effective means of protesting the horrors of such a regime, the study seeks to determine whether staged theatre could fulfil this role. The study notes that leaders in totalitarian regimes have often used theatre as a propaganda tool in order to further their own agendas. Similarly, we suggest that theatre could be an alternative means of communication in the hands of the oppressed. The study shows that the public and unifying character of theatre allows it to influence reality and thereby become a means of denunciation, a weapon of the struggle for freedom. Finally, we discuss the complex relationship that exists between man and freedom. The study distinguishes between political or external freedom and metaphysical or internal freedom. We posit, along with Jean-Paul Sartre and Erich Fromm, that freedom is accompanied by responsibility and a profound existential angst. Man is unable to bear this burden and as such, he willingly loses his freedom in order to seek it once more. This perpetual search for freedom becomes a vicious circle from which man tries endlessly to escape. In conclusion, the study demonstrates how Matei Vişniec himself experiences this vicious circle of freedom: having escaped the oppression of the Romanian communist regime, the author finds himself oppressed once again under the democracy of France, his country of exile. / FRENCH ABSTRACT: Résumé: Cette étude se penche sur une analyse de trois pièces de l’auteur roumain, Matei Vişniec : Richard III n’aura pas lieu, Le Roi, le rat et le fou du Roi, et L’Histoire du communisme racontée aux malades mentaux. L’étude débute avec une discussion des circonstances personnelles, historiques et littéraires de l’auteur afin de contextualiser son usage de l’intertextualité et de la fictionnalisation des écrivains à qui il rend hommage dans ses pièces. Nous analysons comment tous ces contextes lui fournissent une autorité singulière pour parler de la liberté. Par le biais de lectures approfondies nous analysons quelques techniques dont se sert Vişniec telles que les monologues parallèles, les personnages porte-paroles, la répétition des phrases et le silence afin de démontrer la crise de la communication verbale qui envahit ses pièces. Dans le contexte du communisme, nous déduisons que la dénonciation verbale n’est pas un outil efficace pour lutter contre l’oppression vécue sous un régime totalitaire ou dictatorial. Si la communication verbale n’est pas un moyen efficace pour protester contre les injustices d’un tel régime, nous nous demandons si le théâtre peut servir ce but. Nous remarquons que dans les régimes totalitaires, le théâtre a souvent été utilisé comme arme de propagande par les dirigeants et nous suggérons qu’il peut également servir les buts des opprimés comme moyen alternatif de communication. Le théâtre, de par sa nature publique et unificatrice, possède la capacité d’intervenir dans la réalité courante et il devient ainsi dénonciateur et arme de libération. Finalement, nous discutons la relation qu’entretient l’homme avec la liberté. Nous faisons une distinction entre la liberté politique ou extérieure, et la liberté métaphysique ou intérieure. Comme Jean-Paul Sartre et Erich Fromm, nous postulons que la liberté est accompagnée de la responsabilité et d’une angoisse existentielle profonde. Incapable de supporter ce fardeau qui lui incombe, l’homme perd volontiers sa liberté afin de recommencer à la chercher. Cette quête perpétuelle de la liberté devient un cercle vicieux auquel l’homme essaie de s’échapper. Pour conclure nous démontrons comment ce cercle vicieux se manifeste dans la vie de Matei Vişniec qui, ayant échappé à l’oppression du régime communiste en Roumanie, éprouve de nouveau des sentiments d’oppression sous la démocratie en France, son pays d’exil.
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Droit au travail et troubles mentaux: une analyse critique des exclusions et des inclusions par le droit en assurance chômage et en aide sociale

De Greef, Vanessa 29 April 2015 (has links)
Ma thèse de doctorat a poursuivi un double objectif :d’une part, présenter la situation des personnes souffrant de troubles mentaux face à certains mécanismes d’exclusion et d’inclusion engendrés par le droit et, d’autre part, approfondir l’examen du caractère idéologique des droits fondamentaux, plus spécifiquement du droit au travail. L’hypothèse générale est que la personne malade mentale serait exclue du bénéfice ou aurait le bénéfice de certains droits fondamentaux non pas en raison principalement des conséquences concrètes de son état mental sur sa situation individuelle, mais surtout en raison de l’idéologie dominante des droits fondamentaux. <p><p>Les deux premières parties de la thèse comportent une analyse de la réglementation du chômage et de la législation relative au droit à l’intégration sociale. Dans ces deux premières parties, j’ai analysé les conditions d’octroi de l’assurance chômage et du droit à l’intégration sociale et ai examiné dans quelle mesure les allocataires souffrant de troubles mentaux sont accompagnés dans leur recherche d’emploi par les services régionaux de l’emploi et les centres publics d’action sociale (CPAS). Les évolutions qui ont marqué ces domaines au cours des dernières années en Belgique révèlent que loin d’être uniquement un individu totalement exclu du droit au travail, la personne souffrant de troubles mentaux devient progressivement un sujet du droit au travail. Cette transformation de la représentation de la personne souffrant de trouble mentaux est plus marquée dans le domaine de l’assurance chômage, mais influence progressivement les acteurs de l’aide sociale, plus particulièrement en Flandre. <p><p>La troisième partie propose une grille d’analyse du caractère idéologique du droit. Dans cette optique, j’ai développé les concepts d’exclusion et d’inclusion juridique qui ont pour but d’analyser l’idéologie des dispositifs de restriction ou d’extension d’un droit fondamental, qu’ils soient explicites (en étant prévu dans un texte juridique) ou implicites (en étant la résultante du silence du texte ou d’une pratique informelle des autorités publiques). Ensuite, j’ai dégagé des deux premières parties de la thèse six dispositifs spécifiques :trois cas d’exclusion juridique de la personne souffrant de troubles mentaux et trois cas d’inclusion juridique. J’ai retracé les justifications qui ont conduit les autorités publiques à élaborer (ou non) certains dispositifs et ce faisant, à diminuer ou à accroître le champ d’application du droit au travail des personnes souffrant de troubles mentaux. <p><p>Pour ce faire, je me suis appuyée sur la théorie des justifications du sociologue L. Boltanski et du sociologue et économiste L. Thévenot. L’exploration des justifications a permis de confirmer mon hypothèse :l’évolution des représentations dominantes de la personne souffrant de troubles mentaux reflète l’évolution de son droit au travail. L’analyse idéologique des dispositifs d’exclusion et d’inclusion juridiques a revélé que, malgré sa faible effectivité, le droit au travail est fréquemment mobilisé par les autorités juridiques, en particulier lorsqu’elles évoquent des valeurs d’ « efficacité » ou « d’intérêt général ». Les autorités publiques insistent généralement sur l’accès au travail des personnes souffrant de troubles mentaux et non sur les autres dimensions du droit au travail, telles que le droit à une rémunération ou à des conditions de travail équitables. Mon hypothèse n’a, par contre, pas pu être strictement confirmée dans les domaines où la représentation de la personne souffrant de troubles mentaux est plus effacée. Ce silence juridique ne signifie pas que l’idéologie est absente de ces domaines ;celle-ci ne vise cependant pas à offrir une représentation spécifique de la personne souffrant de troubles mentaux et il est donc plus délicat de l’identifier. <p> / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La couverture du « livre vivant » fait-elle son histoire? : Tournez la page pour découvrir l'expérience vécue de « lecteurs » de la Bibliothèque vivante à l'égard des personnes ayant un trouble mental

Chabot, Isabelle 11 June 2018 (has links)
La stigmatisation affecte d’une façon particulière les personnes ayant un trouble mental. Elle peut mener jusqu’à des comportements discriminatoires et dépouiller ces personnes de la reconnaissance sociale ou de la participation sociale auxquelles elles ont droit. Étant donné les différents défis auxquels ces personnes victimes de stigmatisation et de discrimination vivent, il importe de documenter les initiatives visant la réduction des préjugés. Cette étude traite d’initiative danoise, la Bibliothèque vivante, adaptée au Québec sous la dénomination d’À livres ouverts. Elle a pour objectif d’explorer l’expérience vécue des participants à cette activité surnommés les « lecteurs » tout en documentant les représentations sociales qu’ils ont des personnes ayant un trouble mental à partir de leur participation à l’activité. L’analyse des données recueillies auprès de 38 « lecteurs » révèle que les participants ont une perception relativement positive envers les personnes ayant un trouble mental. Cette perception des participants résulterait de leur contact auprès d’une personne présentant un tel trouble ayant été initié avant leur participation à l’activité. Mais l’expérience de cette initiative leur a permis d’enrichir les connaissances déjà acquises sur le sujet des troubles mentaux. Dans cette perspective, les résultats de l’étude montrent que l’expérience et le lien qu’ont les « lecteurs » envers ces personnes agissent positivement sur leur perception à l’égard de ces dernières. Cette relation semble effectivement permettre de mieux comprendre la réalité de ces personnes ainsi que d’accroitre leurs connaissances à leur sujet. Il apparaît que cette proximité a sensibilisé favorablement les « lecteurs » à cette problématique et a amenuisé leur perception péjorative des personnes ayant un trouble mental. Pourrait-on alors initier dès l’enfance les individus à l’empathie sociale en les jumelant avec des personnes de tous horizons afin d’éveiller leur ouverture d’esprit aux personnes présentant des différences de soi en s’inspirant du système éducatif actuel au Danemark ? Voilà une des suggestions qui émanent de ce mémoire. / People with mental disorders are particularly affected by stigmatization, which can lead to discriminatory behaviors and can deprive them of their right to be acknowledged and to participate in society. Considering the various challenges of stigmatization and discrimination that these persons must face, it is important to document initiatives that aim to reduce prejudices. This study focuses on the Danish initiative, The Human Library, which was adapted in the province of Québec under the name of À livres ouverts. Its objective is to explore the experiences of the participants, known as “readers”, while documenting their way of perceiving people with mental disorders. The analysis of the data from the 38 “readers” revealed that participants have a relatively positive view of these people, which could be a result of them being in contact with each other during the activity. Experiencing this initiative allowed them to expand their knowledge of mental disorders. In this regard, the results of the study show that this experience and the connections they made with the other persons act positively on their perceptions toward them. This relationship seems to help them know more about these individuals and understand their realities. It seems that this proximity sensitized the “readers” to this issue and reduced their negative perceptions of people with mental disorders. Could we then draw from Denmark’s education system and introduce children to social empathy by pairing them up with people from all aspects of life? This could awaken their openness toward people who are different from them. This is one of the suggestions that emerge from this master’s thesis. / Stigmatisering påvirker mennesker med psykiske lidelser på en særlig måde. Det kan føre til diskriminerende adfærd og hindre dem i social anerkendelse eller deltagelse i sociale sammenhænge, som de ellers burde være en del af. Hvis man iagttager de forskellige udfordringer, som disse stigmatiserede og diskriminerede personer står over for, er det vigtigt at kunne vise initiativer der mindsker disse fordomme. Dette studie omhandler det danske initiativ, ” Menneskebiblioteket”, som i Quebec eksisterer under navnet” À livres ouverts”. Formålet med dette studie er, at se på erfaringerne fra deltagere i denne aktivitet, som bliver kaldt "læserne, " når de bliver præsenteret for et menneske med en mental lidelse. Analysen af data, indsamlet fra 38 "læsere" afslører, at deltagerne har en relativt positiv opfattelse af personer med en psykisk lidelse. Denne opfattelse af deltagerne skyldes den kontakt med en person med en sådan lidelse, der er blevet indledt før deres deltagelse i aktiviteten. Erfaringen med dette initiativ har givet dem mulighed for at udvide den viden, de allerede har tilegnet sig om psykiske lidelser. I dette perspektiv viser resultatet af undersøgelsen, at erfaringerne og den relation, som "læserne" har med disse mennesker, har en positiv effekt på deres opfattelse af dem. Dette forhold synes at bidrage til en bedre forståelse af disse mennesker, samt at øge deres viden om dem. Det ser ud til, at denne nærhed har positiv effekt på "læserne" og har reduceret deres nedsættende opfattelse af personer med psykiske lidelser. Kunne man så, ved at lade sig inspirere af det nuværende tiltag i Danmark, allerede fra barndommen give individer social empati ved at sætte dem sammen med mennesker fra alle samfundslag for saa at give dem åbenhed overfor forskelligheder? Dette er et af de forslag, der udledes af dette speciale.

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