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Étude des déficits sensori-moteurs associés aux douleurs lombaires

Descarreaux, Martin 11 April 2018 (has links)
Au cours des dix dernières années, on a pu observer l'émergence de nouvelles problématiques de recherche portant sur les dysfonctions et les syndromes douloureux de la région lombaire. En effet, de nombreux chercheurs s'intéressent maintenant aux liens possibles entre le contrôle moteur, l'utilisation des informations proprioceptives en provenance du tronc et le développement de douleurs lombaires chroniques et aiguës. Dans cette thèse, trois articles permettant d'approfondir la question des déficits sensori-moteurs associés aux douleurs lombaires sont présentés. Les effets de la douleur chronique et de la douleur expérimentale dans des tâches de forces isométriques et de repositionnement du tronc sont, entre autres, abordés. Un quatrième article aux portées cliniques présente les résultats d'une étude sur les effets préventifs de la manipulation vertébrale. L'évaluation du statut sensori-moteur des patients atteints de douleurs lombaires permettra éventuellement de développer de nouveaux indices cliniques qui faciliteront le suivi et les interventions cliniques.
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Activité des fibres nociceptives lors de l'inhibition d'une douleur expérimentale au dos par une manipulation vertébrale

Provencher, Benjamin January 2020 (has links) (PDF)
No description available.
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Neuroimmunologie : études cliniques pour mesurer l'effet de l'ajustement chiropratique sur la température cutanée, la variabilité du rythme cardiaque et les cytokines (protéine réactive-C et interleukine-6)

Roy, Richard 09 1900 (has links) (PDF)
L'objet de cette thèse est l'évaluation de l'effet du traitement chiropratique sur des variables physiologiques. Il y a peu d'information sur l'effet du traitement chiropratique sur la température cutanée paraspinale. De plus, il y a peu d'information sur la technologie de thermométrie utilisée pour faire ces évaluations. Plusieurs recherches ont été effectuées pour mesurer l'effet des traitements chiropratiques cervicaux ct dorsaux sur la variabilité du rythme cardiaque, mais il n'y a aucune étude qui mesure les effets des traitements chiropratiques lombaires. La littérature fournit peu de documentation sur l'effet des traitements chiropratiques sur les hormones pro-inflammatoires. Il n'y a aucune information sur l'effet des traitements chiropratiques sur l'interleukine-6 et la protéine réactive C. Les hypothèses visaient à mesurer s'il y a des effets produits par des traitements chiropratiques sur les variables énumérées ci-haut : la température cutanée paraspinale; la variabilité du rythme cardiaque et les hormones pro-inflammatoires. La méthodologie était progressive. Le premier projet évaluait l'effet du traitement chiropratique sur des sujets sans douleurs au cours d'un seul traitement. Le traitement chiropratique a été effectué avec un instrument (Activator IV). Deux périodes d'adaptation furent utilisées pour mesurer la réaction de la température cutanée paraspinale selon la période d'adaptation. Le deuxième projet évaluait l'effet du traitement chiropratique de sujets en douleurs lors d'un seul traitement traditionnel et il n'y a eu qu'une seule période d'adaptation. La période d'adaptation a été choisie à partir du projet 1 et elle représentait la période d'adaptation qui semblait la mieux adaptée cliniquement. Le traitement a été effectué avec la main, selon la méthode Diversified. Ce projet nous a permis de mesurer les effets de l'ajustement chiropratique sur la TC de sujets en douleurs et de comparer ces résultats à ceux des sujets sans douleur du projet 1. De plus, il a été possible de mesurer le transfert de chaleur de la main du clinicien et de comparer ces mesures à l'effet de l'instrument utilisé dans le projet 1. Pour le troisième projet, nous avons recruté des sujets avec douleurs et des sujets sans douleurs. Ce projet évaluait l'effet du traitement chiropratique sur la variabilité du rythme cardiaque. Les deux techniques chiropratiques des projets 1 et 2 ont été utilisées. Il y avait une période d'acclimatation de trois minutes et les mesures de la VRC ont été enregistrées pendant les cinq minutes qui suivaient ces trois minutes initiales. Le traitement chiropratique a été effectué et il y avait une autre période d'enregistrement de cinq minutes après le traitement chiropratique. Les mesures temporelles et spectrales ont été analysées. Le quatrième projet évaluait l'effet du traitement chiropratique sur des sujets en douleurs chroniques pour une période de neuf traitements échelonnée sur deux semaines. Il y avait un groupe-témoin dont les sujets étaient sans douleurs. Nous avons mesuré pour chaque groupe l'indice de fonctionnalité de Oswestry (questionnaire sur la douleur et la fonctionnalité); la température cutanée paraspinale; la variabilité du rythme cardiaque et les hormones pro-inflammatoires, soit l'interleukine-6 et la protéine réactive C. Les résultats du projet 1 ont démontré que l'ajustement chiropratique avec instrumentation avait un effet sur la température cutanée paraspinale. Toutefois, pour le projet 2, il y a une différence lors de l'évaluation de la mesure obtenue immédiatement après le traitement. Dans le projet 1, il y avait un refroidissement alors que dans le projet 2, il y avait un réchauffement. Le reste des enregistrements étaient très similaires. Les résultats du projet 3 ont été mitigés et ont révélé que la variabilité du rythme cardiaque avait subi une certaine influence provenant d'une manipulation lombaire. Les résultats du projet 4 étaient multiples. L'indice d'Oswestry a démontré que les valeurs du groupe-traitement avaient tendance à se rapprocher des valeurs du groupe-témoin. Pour ce qui est de la température cutanée paraspinale, celle du groupe-traitement était plus froide que celle du groupe-témoin avant le traitement. Après neuf traitements, les valeurs des variables du groupe-traitement avaient tendance à se rapprocher des valeurs des variables du groupe-témoin, les valeurs pré et post des variables du groupe témoin n'ayant pas changé. Les données sur la variabilité du rythme cardiaque ont démontré que les valeurs du groupe-traitement avaient tendance à se rapprocher des valeurs du groupe-témoin. De même, les valeurs des données de l’IL-6 et de la PRC ont démontré la même tendance, à savoir se rapprocher des valeurs du groupe-témoin. En conclusion, même s'il y avait des effets sur la température cutanée paraspinale, il est impossible en ce moment d'utiliser la technique de thermométrie en milieu clinique. En effet, comme il n'existe aucune base de données normative, il est impossible de conclure sur la valeur de l'effet de l'ajustement chiropratique. Quant à la variabilité du rythme cardiaque, il appert que l'effet serait un réflexe d'origine supraspinale plutôt qu'un effet direct sur le système nerveux autonome. Pour ce qui est des hormones pro-inflammatoires de l'IL-6 et de la PRC, il semble que ces mesures soient similaires aux tendances des valeurs de l'indice Oswestry à la suite d'un traitement chiropratique sur des sujets en douleurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Thermométrie, chiropratique, diagnostoque, variabilité du rythme cardiaque, cytokines.
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Neurologie Fonctionnelle : description et validité d’une approche thérapeutique controversée / Functional Neurology : description and validity of a controversial therapeutic approach

Meyer, Anne-Laure 07 February 2019 (has links)
En France, les chiropracteurs sont autorisés à pratiquer des actes conservateurs, incluant la manipulation vertébrale, afin de prévenir ou de remédier à des troubles neuro-musculo-squelettiques. La profession apparaît toutefois composite, certains chiropracteurs proposant de prendre en charge également des troubles non-neuro-musculo-squelettiques, sur la base d’approches aux théories diverses.La Neurologie Fonctionnelle (NF) en constitue un exemple contemporain. Il s’agit d’une approche attractive, présentée comme scientifiquement fondée. Elle fait cependant l’objet de vives critiques, la qualifiant parfois de pseudoscience.Cette thèse a pour but de contribuer à une meilleure compréhension de ce qu’est la NF ainsi qu’à une meilleure connaissance des faits scientifiques pouvant la sous-tendre, plus particulièrement dans un contexte chiropratique. Pour ce faire, une scoping review et deux revues critiques de la littérature ont été réalisées.La scoping review a montré que la NF est une approche thérapeutique conservatrice qui compterait de nombreuses indications, notamment non-neuro-musculo-squelettiques. Les “neurologues fonctionnels” recourent à de multiples outils thérapeutiques, dont la manipulation vertébrale, dans le but de stimuler le système nerveux, particulièrement des zones du cerveau. En NF, de nombreux éléments de langage sont empruntés aux neurosciences et différentes procédures diagnostiques et différents outils thérapeutiques sont issus de la médecine conventionnnelle. L’ensemble que forme sa théorie et ses applications cliniques lui apparait cependant propre et peu plausible.A travers une revue critique d’articles obtenus via un journal spécialisé en NF, aucune évidence scientifique probante n’a été trouvée à propos du bénéfice ou effet de la NF. A l’issue d’une revue systématique critique de la littérature, aucune évidence montrant que la manipulation vertébrale a un effet clinique via un effet sur l’activité cérébrale n’a été trouvée.Ces travaux nous ont amené à conclure que la NF, utilisée dans un contexte chiropratique, relève probablement d’une pratique pseudoscientifique. / In France, chiropractors are allowed to provide conservative care, which typically includes spinal manipulation in order to manage neuro-musculoskeletal conditions. However, some chiropractors also propose to manage non-neuro-musculoskeletal conditions. This alternative proposal is justified by using various approaches based on various theories.Functional Neurology (FN) is a contemporary example of one such approach. FN is an attractive method within the chiropractic profession, presented as scientifically based. However, FN is also vividly criticized, stated by some to be pseudoscientific.The aim of this thesis is to better understand what FN is and the scientific evidence available on this approach, especially in a chiropractic context. For this, a scoping review and two critical review of the literature were conducted.According to the scoping review, FN is a conservative approach, using a multitude of therapeutic tools, including spinal manipulation, used to stimulate the nervous system, especially brain areas. Many symptoms and conditions are supposed to benefit from FN, including in the non-neuro-musculoskeletal area. While “functional neurologists” use many terms belonging to neurosciences and several diagnostic procedures and therapeutic tools from conventional medicine, the theoretical concepts and clinical applications of FN do not appear plausible in general.A critical review of articles obtained through a search of a specialized scientific journal that purported to report on the benefit or effect of FN did not bring any robust evidence on this topic. Also, through a systematic critical review of the literature, no scientific evidence was found in relation to any clinical effect of spinal manipulation via an effect on brain function.This work led us to conclude that FN, when used in a chiropractic context, is probably a pseudoscientific approach.
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L'effet de la manipulation vertébrale sur la douleur provoquée expérimentalement

Millan, Mario 06 February 2014 (has links) (PDF)
La manipulation vertébrale (MV) est l'une des options dans le traitement des douleurs d'origine neuromusculosquelettique. Ses indications ont été identifiées à partir de l'expérience des professionnels qui l'utilisent, ainsi que des études épidémiologiques autour de ses résultats cliniques. Cependant, son mécanisme d'action précis demeure à ce jour inexpliqué.La littérature scientifique sur ce sujet est incomplète, éparse et confuse. Certains auteurs et professionnels proposent des hypothèses des mécanismes d'action neurobiologiques et d'autres biomécaniques. De plus, l'étude de la douleur rend la situation difficile en raison de la complexité des situations cliniques et des traitements associés dont les patients bénéficient. C'est la raison pour laquelle l'objectif de cette thèse est d'étudier si la MV a un effet sur la douleur provoquée de manière expérimentale. Si tel est le cas, il importe de savoir s'il est systémique ou locorégional et dans cette dernière hypothèse, si ce résultat est le produit d'une action directe de la MV sur la douleur ou secondaire à une amélioration du mouvement. N'ayant pas trouvé d'étude englobant la problématique mixte des effets de la MV sur la douleur et le mouvement, nous avons procédé à deux revues systématiques et critiques de la littérature scientifique ; l'une a porté sur son effet sur la douleur et l'autre sur l'amplitude du mouvement des segments vertébraux. Dans la première, nous avons rassemblé 22 articles décrivant 43 essais cliniques montrant un effet hypoalgésique de la MV au niveau locorégional, mais les résultats diffèrent selon la manière dont la douleur a été provoquée. Nous n'avons pas pu tirer de conclusion sur l'action systémique de la MV du fait de la qualité des articles sur ce sujet. Quant à la revue de la littérature réalisée sur l'effet de la MV sur l'amplitude du mouvement, l'étude de 15 articles ne nous a pas permis de prouver l'efficacité de cette technique pour augmenter l'amplitude des mouvements segmentaires, malgré des limitations à prendre en considération, notamment le fait que ces études ont été réalisées sur des volontaires sains et non sur des patients avec une mobilité réduite. A partir de là, nous concluons que l'effet de la MV sur la douleur est plutôt direct, et défendons la thèse que l'hypoalgésie induite par la MV permet l'amélioration et la récupération de la fonction de mouvement, et non l'inverse.Cependant, même si nous répondons à nos questions de recherche, ces réponses demeurent partielles et le sujet reste à approfondir. Nos deux revues indiquent qu'il reste à clarifier : les mécanismes exacts des effets de la MV sur la douleur, la durée des effets, les rapports "dose/effet", l'identification des techniques les plus efficaces, ou encore, sur le ciblage plus fin des patients à traiter. Il en est de même en ce qui concerne l'étude de l'effet de la MV sur l'amplitude du mouvement, où il manque notamment des études réalisées sur des patients et des personnes présentant des mouvements limités. Des améliorations sont également à prévoir dans la coordination des chercheurs les rassemblant autour d'une politique de recherche partagée sur le long/moyen terme, et à partir d'un consensus méthodologique, particulièrement en termes de suivi des essais, d'unités de mesures, de précision des critères de qualité des essais, de promotion de méta-analyses, etc. Au total, si la MV semble avoir un effet direct sur la douleur, il n'en demeure pas moins que la connaissance détaillée de ses mécanismes et des modalités d'application dans la pratique clinique reste à approfondir, ce qui pourrait devenir un véritable enjeu pour la communauté des chercheurs, des enseignants et des cliniciens.
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L'effet de la manipulation vertébrale sur la douleur provoquée expérimentalement / The effect of spinal manipulative therapy on experimentally induced pain

Millan, Mario 06 February 2014 (has links)
La manipulation vertébrale (MV) est l'une des options dans le traitement des douleurs d'origine neuromusculosquelettique. Ses indications ont été identifiées à partir de l'expérience des professionnels qui l'utilisent, ainsi que des études épidémiologiques autour de ses résultats cliniques. Cependant, son mécanisme d'action précis demeure à ce jour inexpliqué.La littérature scientifique sur ce sujet est incomplète, éparse et confuse. Certains auteurs et professionnels proposent des hypothèses des mécanismes d'action neurobiologiques et d'autres biomécaniques. De plus, l'étude de la douleur rend la situation difficile en raison de la complexité des situations cliniques et des traitements associés dont les patients bénéficient. C'est la raison pour laquelle l'objectif de cette thèse est d'étudier si la MV a un effet sur la douleur provoquée de manière expérimentale. Si tel est le cas, il importe de savoir s'il est systémique ou locorégional et dans cette dernière hypothèse, si ce résultat est le produit d'une action directe de la MV sur la douleur ou secondaire à une amélioration du mouvement. N'ayant pas trouvé d'étude englobant la problématique mixte des effets de la MV sur la douleur et le mouvement, nous avons procédé à deux revues systématiques et critiques de la littérature scientifique ; l'une a porté sur son effet sur la douleur et l'autre sur l'amplitude du mouvement des segments vertébraux. Dans la première, nous avons rassemblé 22 articles décrivant 43 essais cliniques montrant un effet hypoalgésique de la MV au niveau locorégional, mais les résultats diffèrent selon la manière dont la douleur a été provoquée. Nous n’avons pas pu tirer de conclusion sur l'action systémique de la MV du fait de la qualité des articles sur ce sujet. Quant à la revue de la littérature réalisée sur l'effet de la MV sur l'amplitude du mouvement, l'étude de 15 articles ne nous a pas permis de prouver l'efficacité de cette technique pour augmenter l'amplitude des mouvements segmentaires, malgré des limitations à prendre en considération, notamment le fait que ces études ont été réalisées sur des volontaires sains et non sur des patients avec une mobilité réduite. A partir de là, nous concluons que l'effet de la MV sur la douleur est plutôt direct, et défendons la thèse que l'hypoalgésie induite par la MV permet l'amélioration et la récupération de la fonction de mouvement, et non l'inverse.Cependant, même si nous répondons à nos questions de recherche, ces réponses demeurent partielles et le sujet reste à approfondir. Nos deux revues indiquent qu’il reste à clarifier : les mécanismes exacts des effets de la MV sur la douleur, la durée des effets, les rapports "dose/effet", l'identification des techniques les plus efficaces, ou encore, sur le ciblage plus fin des patients à traiter. Il en est de même en ce qui concerne l'étude de l'effet de la MV sur l'amplitude du mouvement, où il manque notamment des études réalisées sur des patients et des personnes présentant des mouvements limités. Des améliorations sont également à prévoir dans la coordination des chercheurs les rassemblant autour d'une politique de recherche partagée sur le long/moyen terme, et à partir d'un consensus méthodologique, particulièrement en termes de suivi des essais, d'unités de mesures, de précision des critères de qualité des essais, de promotion de méta-analyses, etc. Au total, si la MV semble avoir un effet direct sur la douleur, il n’en demeure pas moins que la connaissance détaillée de ses mécanismes et des modalités d'application dans la pratique clinique reste à approfondir, ce qui pourrait devenir un véritable enjeu pour la communauté des chercheurs, des enseignants et des cliniciens. / Spinal manipulative therapy (SMT) is one of the treatments used to reduce musculoskeletal pain. Some clinical studies have shown that it really has a pain reducing effect but the indications for when it should be used is mainly based on clinical experience and logic. Further, although SMT is widely used, the precise mechanisms of action that can explain how it works, are unknown.We noticed that the scientific literature on this subject is incomplete, scattered and confused. In relation to the mechanisms, some authors propose a number of neurobiological mechanisms (such as a direct reduction of pain) whereas others are convinced that the mode of action is biomechanical (such as improved range of motion). For this reason, when trying to find out if SMT has a pain reducing effect, a better alternative is to start with healthy people, provoke a pain experimentally, perform the SMT, and measure their pain, to see if it has improved with the “treatment”. If it would be possible to see if SMT does have a pure pain reducing effect, then it would be important to find out if this effect is only regional, in the area of the manipulation, or if this effect is systemic. Also, none of the authors who proposed the biomechanical theory offered any evidence that improved movement results in less pain, but then, the opposite pathway (reduce pain first, better movement after) has not been shown either, by these proponents of theories. For this reason we decided to study the already existing scientific literature in a critical and systematic fashion.Unfortunately, we did not find any study including the mixed problem of the effects of SMT on pain and movement, we therefore performed two systematic reviews of the scientific literature: one focused on its effect on experimental pain and the other on its effect on the range of motion (ROM) of the vertebral segments. In the first one, we collected 22 articles describing 43 trials showing an hypoalgesic effect of the locoregional level. Interestingly, the results differ depending on how the pain was provoked. We were not been able to reach a conclusion on the systemic action of the SMT because of the lack of quality of articles on this topic. Concerning the literature review on the effect of SMT on ROM, the review of 15 research articles did not allow us to « prove » the effectiveness of this technique to increase the range of segmental motion. There were some limitations with these studies, such as the fact that they had been performed in healthy volunteers and not in people with reduced mobility. In sum, we could conclude that the effect of SMT on pain has been clearly shown, which supports the hypothesis that the hypoalgesia induced by SMT allows the improvement and recovery of function of movement, and not the inverse. These results have been reported in our two scientific articles.However, even if we were able to obtain answers to our research questions, these answers are incomplete and the subject remains to be further explored. There are still questions that remain to be clarified, such as: What are the exact effects of SMT on pain mechanisms? How long does the effect remain ? Is there a " dose / effect "? Which are the most effective SMT techniques? and How should patients be best targeted for this treatment ? Does SMT have an effect on ROM on people with limited movement?Finally, a coordination of research is necessary to move forward more effectively. Researchers would need to gather around a shared policy in relation to the medium / long term research, and from a methodological consensus. In conclusion, SMT does seem to have a direct effect on pain. However, we need some more and detailed knowledge of the mechanisms and procedures before we can really apply this knowledge efficiently in clinical practice. No doubt, this could become an important issue for the community of researchers, teachers and clinicians.
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Effets d'une manipulation vertébrale sur la sommation temporelle de la douleur

Randoll, Christopher 08 1900 (has links)
No description available.
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Système musculo-squelettique et capacité posturo-cinétique dans l’initiation de la marche : effet de la fatigue musculaire,d’un blocage articulaire et d’une manipulation vertébrale / Musculoskeletal system and posturo-kinetic capacity in the initiation of gait : effect of muscle fatigue, joint blockage and vertebral manipulation

Ditcharles, Sébastien 20 November 2018 (has links)
L’objectif général de cette thèse était d’analyser les effets d’une modification expérimentale de la capacité-posturo-cinétique (CPC) sur l’organisation biomécanique de l’initiation de la marche (IM) chez le jeune adulte. L’hypothèse générale était qu’une altération de la CPC a un effet négatif sur la stabilité et/ou la performance motrice et, qu’à l’inverse, une amélioration de la CPC a un effet positif. Pour tester cette hypothèse, trois expérimentations ont été réalisées, chacune ayant pour objet de modifier une composante spécifique de la CPC en lien avec le contexte clinique. Dans une première expérimentation, les effets d’une fatigue bilatérale aigue des Tibialis Anterior, muscles impliqués dans les ajustements posturaux anticipateurs (APA) de l’IM, étaient analysés. Les résultats ont montré que lorsque l’IM était réalisée en condition de fatigue, le recul anticipateur du centre des pressions et la vitesse du centre de gravité lors du décollement du pied étaient réduits, malgré une augmentation de la durée des APA. En conséquence, la performance motrice (vitesse maximale du centre de gravité/longueur du pas) était réduite. Les résultats d’une étude complémentaire ont montré que les sujets restaient cependant capables d’atteindre le même niveau de performance qu’en condition « sans fatigue » lorsque la consigne expérimentale l’exigeait. Dans une deuxième expérimentation, les effets d’une hypomobilité unilatérale du genou induite par un port d’attelle ont été investigués. En condition de port d’attelle, l'amplitude des APA médio-latéraux, ainsi que la stabilité étaient augmentées comparativement à la condition contrôle (IM sans port d’attelle). En revanche, la performance motrice était réduite. Là encore, lorsque la consigne expérimentale l’exigeait, les sujets étaient capables d’atteindre le même niveau de performance motrice qu’en condition contrôle, mais au détriment de la stabilité. Enfin, dans une troisième expérimentation, les effets d’une augmentation de la mobilité de la chaîne posturale, induite par une manipulation vertébrale de type HVLA étaient analysés. Les participants étaient répartis dans groupe expérimental (subissant la manipulation HVLA) et un groupe témoin (subissant une manipulation neutre). Les résultats ont mis en évidence un gain de mobilité du rachis de 20% suite à ce type de manipulation, suggérant une amélioration de la CPC. De façon surprenante, l’amplitude des APA et la performance motrices étaient réduites dans le groupe expérimental uniquement. En conclusion, l’ensemble de ces résultats suggère que lorsque la CPC est modifiée expérimentalement, le SNC priorise la protection corporelle, le maintien de la stabilité posturale ou le maintien de la performance motrice, en fonction de la consigne expérimentale et de la contrainte appliquée au niveau du système musculo-squelettique. / The main objective of this thesis was to assess the effects of an experimental modification of the posturo-kinetic capacity (PKC) on the biomechanical organization of gait initiation (GI) in young adults. The general hypothesis was that an alteration of PKC has a negative effect on stability and / or motor performance and that conversely, an improvement in PKC has a positive effect. To test this hypothesis, three experimentations were conducted. Each of them aimed at modifying a specific component of the PKC related to the clinical context. In a first experimentation, the effects of acute bilateral fatigue of Tibialis Anterior, muscles involved in the anticipatory postural adjustments (APA) of GI, were analyzed. Results showed that when the GI was performed in fatigue condition, the anticipatory backward of the center of pressure as well as the speed of the center of gravity during the detachment of the foot were reduced, despite an increase in the duration of APA. As a consequence, the driving performance (maximum center of gravity speed / step length) was reduced. Results of a complementary study showed that the subjects were nevertheless able to reach the same level of performance as in "no fatigue" condition when the experimental set point required it. In a second experimentation, the effects of unilateral hypomobility of the knee induced by orthosis were investigated. In orthosis condition, both mediolateral APA amplitude and stability were increased, compared to control condition (GI without orthosis). However, motor performance was reduced. Again, when the experimental set point required it, the subjects were able to achieve the same level of motor performance as under control conditions, but to the detriment of stability. Finally, in a third experimentation, the effects of an increase of postural chain mobility induced by HVLA-type (High-Velocity, Low-Amplidude) vertebral manipulation were assessed. The participants were divided into experimental group (with HVLA manipulation) and a sham group (with neutral manipulation). The results showed a spinal mobility gain of 20% following this type of manipulation, suggesting an improvement of the PKC. Surprisingly, APA amplitude and motor performance were reduced in the experimental group only. To conclude, all these results suggest that when PKC is experimentally modified, the CNS prioritizes body protection, maintenance of the postural stability or maintenance of the motor performance, depending on experimental conditions and constraints applied on musculoskeletal system.
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Activité des fibres nociceptives lors de l’inhibition d’une douleur expérimentale au dos par une manipulation vertébrale

Provencher, Benjamin 12 1900 (has links)
Les douleurs vertébrales sont fréquentes et incapacitantes. La manipulation vertébrale peut soulager certaines de ces douleurs. Cependant, les mécanismes neurophysiologiques sous-jacents à ces effets hypoalgésiques restent à élucider. La littérature scientifique actuelle suggère que la manipulation inhibe des processus nociceptifs relatifs aux fibres C (sommation temporelle), alors que les processus nociceptifs liés aux fibres Aδ demeurent inchangés. Toutefois, cela n’a jamais été démontré à l’aide de mesures neurophysiologiques. L’objectif de ce mémoire était donc de clarifier comment la douleur et l’activité des fibres nociceptives sont modulées par une manipulation vertébrale. Pour ce faire, un laser infrarouge a été utilisé afin d’activer les fibres nociceptives et d’induire une douleur au dos chez des participants sains. Ceux-ci étaient aléatoirement distribués en quatre groupes : manipulation vertébrale appliquée sur la zone douloureuse, manipulation vertébrale appliquée distalement à la zone douloureuse, intervention placébo appliquée sur la zone douloureuse et aucune intervention. L’activité cérébrale liée à l’activation des fibres nociceptives et les évaluations de douleur des participants ont été mesurées puis comparées dans le temps entre les groupes. Les résultats démontrent qu’une manipulation vertébrale appliquée au site douloureux diminue significativement la douleur au dos induite par le laser. De plus, cette hypoalgésie est indépendante de processus nociceptifs relatifs aux fibres Aδ. Il est possible que la diminution de douleur observée soit due à une inhibition de l’activité des fibres nociceptives C, toutefois cela n’a pas pu être confirmé dans ce mémoire. Ces connaissances pourraient éventuellement servir à mieux guider l’utilisation du traitement. / Spine pain is a common and debilitating condition. The management of back pain by spinal manipulative therapy is recommended by several clinical practice guidelines. However, the neurophysiological mechanisms underlying the hypoalgesic effects of spinal manipulation are still unclear. The current literature suggests that spinal manipulation inhibits nociceptive processes related to C-fiber activation (temporal summation) while nociceptive processing related to Aδ- fiber activation is unaffected. Yet, this has never been examined with neurophysiological measurements. Therefore, the aim of this thesis was to determine how nociceptive fiber activity is modulated by spinal manipulation. In healthy participants, an infrared laser was used to activate nociceptive fibers and induce back pain. Participants were randomized into four groups: spinal manipulation applied to the painful area, spinal manipulation applied remotely to the painful area, placebo intervention applied to the painful area, and no intervention. Brain activity related to the activation of nociceptive fibers as well as pain ratings were compared over time between groups. The results indicate that spinal manipulation applied to the painful area significantly reduced laser-evoked back pain. This hypoalgesia occurred independently of nociceptive processes related to Aδ fibers, as indicated by the lack of significant change in laser evoked- potential amplitude. It may be caused by the inhibition of the C fiber activity, but this remains to be clarified in future studies. These results could provide scientific bases for the management of back pain with spinal manipulative therapy.
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Neurophysiological mechanisms of chronic primary spine pain relief by chiropractic spinal manipulation = Mécanismes neurophysiologiques du soulagement de la douleur vertébrale chronique primaire par les manipulations vertébrales chiropratiques

Gevers-Montoro, Carlos 04 1900 (has links)
La chiropratique est une profession de la santé qui s’intéresse au diagnostic, au traitement, et à la prévention des troubles musculosquelettiques. L’intervention la plus communément utilisée en chiropratique est la manipulation vertébrale (dite « ajustement chiropratique »). D’ailleurs, les consultations en chiropratique sont principalement pour des douleurs vertébrales, particulièrement dans la région lombaire. La lombalgie est la principale cause d'incapacité à travers le monde. Elle engendre des coûts considérables pour la société et les individus atteints. Chez environ un tiers des individus, la lombalgie persiste et devient chronique, entraînant une incapacité et une diminution de la qualité de vie. Chez ces individus, aucun processus pathologique affectant les tissus vertébraux ne peut être mis en évidence. En effet, cette douleur, dite nociplastique, serait plutôt causée par des mécanismes pathologiques du système nociceptif. La lombalgie chronique, dite primaire chez ces individus, est ainsi considérée comme le diagnostic en soi, et non un symptôme secondaire à une pathologie sous-jacente. Chez certains individus, les manipulations vertébrales peuvent soulager la lombalgie chronique primaire. Cependant, leur efficacité comme intervention de première ligne et leurs mécanismes hypoalgésiques restent à démontrer. L'objectif général de cette thèse est d’examiner les mécanismes hypoalgésiques des manipulations vertébrales. Le premier objectif spécifique est d’examiner les mécanismes hypoalgésiques d’une manipulation vertébrale à l’aide d’un modèle expérimental de douleur persistante chez des individus en santé. Le deuxième objectif spécifique est d’examiner les mécanismes du soulagement de la douleur lombaire chronique primaire par une intervention chiropratique de quatre semaines, qui comprend douze séances de manipulations vertébrales. La thèse comprend deux études empiriques, soit une étude expérimentale et une étude clinique, qui sont précédées d’une revue de littérature ciblée. Le premier article est une revue narrative explorant les mécanismes neurophysiologiques de la manipulation vertébrale pour soulager la douleur vertébrale. Le deuxième article décrit les résultats d’une étude expérimentale chez des individus en santé. Dans cette étude, nous avons examiné les mécanismes d'inhibition de la douleur en réponse à une manipulation vertébrale ciblant un segment vertébral dont la peau a été sensibilisée par une application topique de capsaïcine. Le troisième article est une revue narrative examinant l'efficacité des manipulations vertébrales pour le traitement des douleurs vertébrales. Le quatrième article décrit les résultats d’un essai contrôlé randomisé avec groupe placebo chez des individus atteints de lombalgie chronique primaire. Dans cette étude, nous avons examiné si le soulagement de la lombalgie chronique primaire par une intervention chiropratique s’accompagne d’une atténuation de processus pathologiques contribuant à la douleur nociplastique. Les résultats indiquent qu’une manipulation vertébrale peut atténuer l’hyperalgésie mécanique secondaire observée avec le modèle expérimental de douleur persistante. Ceci suggère qu’une manipulation vertébrale pourrait agir sur des processus pathologiques qui mènent à la douleur chronique. Ces résultats sont cohérents avec la réduction de la douleur observée chez les patients atteints de lombalgie chronique primaire recevant des manipulations vertébrales. De plus, la réduction de la lombalgie chronique était accompagnée d’une réduction de l’hyperalgésie mécanique lombaire et de la dramatisation de la douleur. Dans l’ensemble, ces résultats suggèrent qu’une intervention chiropratique comprenant des manipulations vertébrales est efficace pour réduire la lombalgie chronique primaire, et que cet effet pourrait découler en partie d’une réduction de processus contribuant à la douleur nociplastique. Ceci renforce les recommandations cliniques sur l’utilisation de la chiropratique pour le soulagement de la lombalgie chronique primaire. D’autres études seront nécessaires pour clarifier les mécanismes neurophysiologiques et anti-inflammatoires des manipulations vertébrales. / Chiropractic is a health profession focused on the diagnosis, treatment, and prevention of musculoskeletal disorders, mainly through spinal manipulation (also known as "chiropractic adjustment"). The majority of patients consult a chiropractor seeking spine pain relief, primarily in the lower back. Low back pain is the leading cause of global disability, generating considerable costs for society and affected individuals. At least one third of people with low back pain experience persistent pain, leading to chronic disability and a decrease in quality of life. In affected individuals, no pathological process affecting the spinal tissues can be identified. Instead, this pain, called nociplastic, is presumed to be caused by pathological mechanisms within the nociceptive system. Thus, in these individuals, low back pain is considered as chronic primary pain, and not the symptom of an underlying disease. In some individuals, spinal manipulations can relieve chronic primary low back pain. However, their effectiveness as a first-line intervention and their hypoalgesic mechanisms remain to be demonstrated. The overarching aim of this thesis is to examine the hypoalgesic mechanisms of chiropractic spinal manipulations. The first specific objective is to investigate the hypoalgesic mechanisms of a spinal manipulation using an experimental model of persistent back pain in healthy individuals. The second specific objective is to investigate the mechanisms of relief of chronic primary low back pain by a four-week chiropractic intervention, including twelve sessions of spinal manipulations. The thesis includes two empirical studies: an experimental study and a clinical study, both preceded by a targeted literature review. The first study is a narrative review exploring the neurophysiological mechanisms of spinal manipulation to relieve spine pain. The second article describes the results of an experimental trial on healthy individuals, where we examined the mechanisms of pain inhibition following a spinal manipulation targeting a spinal segment sensitized by the topical application of capsaicin The third article is a narrative review examining the effectiveness of spinal manipulation for the treatment of spine pain. The fourth article describes the results of a randomized placebo-controlled trial with individuals suffering from chronic primary low back pain. In this study, we examined whether the relief of chronic primary low back pain by a chiropractic intervention is accompanied by an attenuation of pathological processes contributing to nociplastic pain. The results indicate that a single spinal manipulation can mitigate segmental mechanical hyperalgesia observed with the experimental model of persistent pain. This suggests that spinal manipulations could act on pathological processes that lead to chronic pain. These results are consistent with the pain reduction observed in patients with chronic primary low back pain receiving spinal manipulations. Furthermore, low back pain relief was accompanied by a reduction in mechanical hyperalgesia and in pain catastrophizing. Overall, these results indicate that a chiropractic intervention including spinal manipulations is efficacious in reducing chronic primary low back pain, and that this effect could in part stem from a reduction in processes contributing to nociplastic pain. This reinforces clinical recommendations on the use of chiropractic for the relief of chronic primary low back pain. Further studies will be needed to clarify the neurophysiological and anti-inflammatory mechanisms of spinal manipulations.

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