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Transgressions chez Michel Tremblay : la traversée des frontières traditionnelles du fémininMaxwell, Amélie 16 May 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’univers féminin de La diaspora des Desrosiers, la toute dernière série romanesque de Michel Tremblay, auteur québécois célèbre au Canada français depuis la fin des années 1960. À la demande de ses lecteurs , Tremblay décide, plus de dix ans après la publication de ses récits autobiographiques, d’écrire l’enfance d’un de ses personnages les plus connus : Nana. Dans La traversée du continent, La traversée de la ville et La traversée des sentiments, les lecteurs ont donc droit aux aventures de la jeune Rhéauna, qui présente déjà des ressemblances avec son personnage tel qu’il apparaît dans d’autres œuvres de Tremblay. Ces romans (ainsi que les récits et pièces de théâtre) font ici pour la première fois l’objet d’une lecture au féminin approfondie qui s’attarde au thème de la transgression sous trois formes principales : la transgression du rôle traditionnel des femmes, de l’espace qui leur est traditionnellement imparti, et de la parole féminine traditionnelle. D’abord, elle souligne les écarts de la norme des personnages féminins de La diaspora des Desrosiers par rapport aux attentes d’une société patriarcale qui leur réserve peu de rôles à l’abri de la marginalité. Ensuite, elle présente des femmes qui s’échappent par moments de la sphère privée établie pour les confiner, et ce, grâce à leurs déplacements géographiques et mentaux. Finalement, elle se penche sur le rire au féminin en tant qu’infraction (par l’ironie et par l’humour) à la parole féminine traditionnelle par le truchement de personnages féminins qui rient en plus de faire rire.
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Transgressions chez Michel Tremblay : la traversée des frontières traditionnelles du fémininMaxwell, Amélie 16 May 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’univers féminin de La diaspora des Desrosiers, la toute dernière série romanesque de Michel Tremblay, auteur québécois célèbre au Canada français depuis la fin des années 1960. À la demande de ses lecteurs , Tremblay décide, plus de dix ans après la publication de ses récits autobiographiques, d’écrire l’enfance d’un de ses personnages les plus connus : Nana. Dans La traversée du continent, La traversée de la ville et La traversée des sentiments, les lecteurs ont donc droit aux aventures de la jeune Rhéauna, qui présente déjà des ressemblances avec son personnage tel qu’il apparaît dans d’autres œuvres de Tremblay. Ces romans (ainsi que les récits et pièces de théâtre) font ici pour la première fois l’objet d’une lecture au féminin approfondie qui s’attarde au thème de la transgression sous trois formes principales : la transgression du rôle traditionnel des femmes, de l’espace qui leur est traditionnellement imparti, et de la parole féminine traditionnelle. D’abord, elle souligne les écarts de la norme des personnages féminins de La diaspora des Desrosiers par rapport aux attentes d’une société patriarcale qui leur réserve peu de rôles à l’abri de la marginalité. Ensuite, elle présente des femmes qui s’échappent par moments de la sphère privée établie pour les confiner, et ce, grâce à leurs déplacements géographiques et mentaux. Finalement, elle se penche sur le rire au féminin en tant qu’infraction (par l’ironie et par l’humour) à la parole féminine traditionnelle par le truchement de personnages féminins qui rient en plus de faire rire.
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Transgressions chez Michel Tremblay : la traversée des frontières traditionnelles du fémininMaxwell, Amélie 16 May 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’univers féminin de La diaspora des Desrosiers, la toute dernière série romanesque de Michel Tremblay, auteur québécois célèbre au Canada français depuis la fin des années 1960. À la demande de ses lecteurs , Tremblay décide, plus de dix ans après la publication de ses récits autobiographiques, d’écrire l’enfance d’un de ses personnages les plus connus : Nana. Dans La traversée du continent, La traversée de la ville et La traversée des sentiments, les lecteurs ont donc droit aux aventures de la jeune Rhéauna, qui présente déjà des ressemblances avec son personnage tel qu’il apparaît dans d’autres œuvres de Tremblay. Ces romans (ainsi que les récits et pièces de théâtre) font ici pour la première fois l’objet d’une lecture au féminin approfondie qui s’attarde au thème de la transgression sous trois formes principales : la transgression du rôle traditionnel des femmes, de l’espace qui leur est traditionnellement imparti, et de la parole féminine traditionnelle. D’abord, elle souligne les écarts de la norme des personnages féminins de La diaspora des Desrosiers par rapport aux attentes d’une société patriarcale qui leur réserve peu de rôles à l’abri de la marginalité. Ensuite, elle présente des femmes qui s’échappent par moments de la sphère privée établie pour les confiner, et ce, grâce à leurs déplacements géographiques et mentaux. Finalement, elle se penche sur le rire au féminin en tant qu’infraction (par l’ironie et par l’humour) à la parole féminine traditionnelle par le truchement de personnages féminins qui rient en plus de faire rire.
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Transgressions chez Michel Tremblay : la traversée des frontières traditionnelles du fémininMaxwell, Amélie January 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’univers féminin de La diaspora des Desrosiers, la toute dernière série romanesque de Michel Tremblay, auteur québécois célèbre au Canada français depuis la fin des années 1960. À la demande de ses lecteurs , Tremblay décide, plus de dix ans après la publication de ses récits autobiographiques, d’écrire l’enfance d’un de ses personnages les plus connus : Nana. Dans La traversée du continent, La traversée de la ville et La traversée des sentiments, les lecteurs ont donc droit aux aventures de la jeune Rhéauna, qui présente déjà des ressemblances avec son personnage tel qu’il apparaît dans d’autres œuvres de Tremblay. Ces romans (ainsi que les récits et pièces de théâtre) font ici pour la première fois l’objet d’une lecture au féminin approfondie qui s’attarde au thème de la transgression sous trois formes principales : la transgression du rôle traditionnel des femmes, de l’espace qui leur est traditionnellement imparti, et de la parole féminine traditionnelle. D’abord, elle souligne les écarts de la norme des personnages féminins de La diaspora des Desrosiers par rapport aux attentes d’une société patriarcale qui leur réserve peu de rôles à l’abri de la marginalité. Ensuite, elle présente des femmes qui s’échappent par moments de la sphère privée établie pour les confiner, et ce, grâce à leurs déplacements géographiques et mentaux. Finalement, elle se penche sur le rire au féminin en tant qu’infraction (par l’ironie et par l’humour) à la parole féminine traditionnelle par le truchement de personnages féminins qui rient en plus de faire rire.
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La Main ou le théâtre de l'identité trafiquée chez Michel TremblaySareault, Guillaume 12 1900 (has links)
Ce mémoire veut, de prime abord, porter un regard sur la rue Saint-Laurent qui,
depuis ses débuts, joue un rôle fondamental dans le tissu montréalais. Grâce à son visage
bigarré et à son hétérogénéité, elle a su marquer l’histoire de la métropole et alimenter l’imaginaire d’un bon nombre d’écrivains. Michel Tremblay demeure un de ceux qui, dans l’ensemble de son oeuvre, explore le plus abondamment les clairs-obscurs et l’étrangeté de ce corridor urbain. Son écriture à la fois crue, marginale et théâtrale, s’inscrit pertinemment dans l’univers de la Main et, plus particulièrement, dans la partie du Redlight où aboutissent et se meuvent ses personnages les plus colorés. Ayant délaissé leur milieu d’origine, ces derniers s’imposent des changements radicaux afin de mieux cadrer avec la nature et les activités de leur terre d’accueil. Ce mémoire visera donc à penser l’« identité trafiquée » des personnages de Tremblay comme condition de leur inscription sur la rue Saint-Laurent. En outre, il sera question de l’esprit théâtral de cette artère qui pousse les travestis et les artistes en tout genre à se
donner « en représentation » et à incarner un rôle de composition. Par l’entremise des
masques – notamment celui du déguisement, du maquillage et du travestissement, mais
aussi celui de la langue qu’ils modulent afin de mieux coller à leur personnage –, ils
projettent une identité individuelle instable qui dévoile l’ambiguïté qui les habite. Plus largement, la présente étude s’intéressera à l’ensemble des marginaux qui arpentent la Main et qui cherchent à (re)définir leur identité culturelle, au milieu des cultures américaine et française. Bien qu’elle essaie de se forger une identité propre, cette collectivité peine à se définir sans calquer les modèles dont elle tente de se dissocier. Une telle contradiction évoque à bien des égards le paradoxe auquel se sont heurtées les
communautés immigrantes de la rue Saint-Laurent, dont la lente adaptation à la culture nord-américaine s’est faite non sans un difficile constat de pertes et de gains face à la culture d’origine. Il s’agira donc de voir comment ces groupes, en apparence
irréconciliables, trouvent dans le même univers un contexte favorable pour mener leur
quête identitaire. / The primary objective of this thesis is to examine St. Laurent Street, which has played, since its early stages, a fundamental role in the city of Montreal. Due to its motley face and its heterogeneousness, this street marked the history of the metropolis and fed the imagination of many writers. Michel Tremblay is one who, within his work, explores most abundantly the twilight and the oddness of this urban corridor. His writing, which is considered controversial, raw and theatrical, pertinently frameworks
the universe of The Main and, more specifically, the world of the Redlight District where his most colourful characters find themselves. Having left their place of origin, the characters bring about radical changes in order to fit in with the nature and the activities of their new neighborhood. This thesis will therefore aim to think out the « trafficked identity » (identité trafiquée) of Tremblay’s characters as the condition of their belonging on St. Laurent Street. Moreover, it will take a keen interest in the theatrical spirit of this main road, which
influences transvestites and artists of all kinds to play a role and embody a made-up
persona. Through the use of masks – notably disguises, make-up and cross-dressing, as
well as language which they modulate in order to fit with their character –, they project an unstable identity that unveils the ambiguity that lies in them. The present study will also focus on the marginalized individuals who pace The Main as a group of people who look forward to (re)defining their cultural identity, due to the feeling of being stuck between the American and French culture. Although this community tries to build up its own identity, it struggles to define itself without imitating the models from which it attempts to dissociate itself. Such a contradiction evokes the paradox that faced immigrant communities on St. Laurent Street, whose slow adaptation to North-American
culture took place with many gains and losses of their culture of origin. It will therefore be interesting to examine how these apparently irreconcilable groups find in the same universe a favorable context to lead their quest for identity.
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La Main ou le théâtre de l'identité trafiquée chez Michel TremblaySareault, Guillaume 12 1900 (has links)
Ce mémoire veut, de prime abord, porter un regard sur la rue Saint-Laurent qui,
depuis ses débuts, joue un rôle fondamental dans le tissu montréalais. Grâce à son visage
bigarré et à son hétérogénéité, elle a su marquer l’histoire de la métropole et alimenter l’imaginaire d’un bon nombre d’écrivains. Michel Tremblay demeure un de ceux qui, dans l’ensemble de son oeuvre, explore le plus abondamment les clairs-obscurs et l’étrangeté de ce corridor urbain. Son écriture à la fois crue, marginale et théâtrale, s’inscrit pertinemment dans l’univers de la Main et, plus particulièrement, dans la partie du Redlight où aboutissent et se meuvent ses personnages les plus colorés. Ayant délaissé leur milieu d’origine, ces derniers s’imposent des changements radicaux afin de mieux cadrer avec la nature et les activités de leur terre d’accueil. Ce mémoire visera donc à penser l’« identité trafiquée » des personnages de Tremblay comme condition de leur inscription sur la rue Saint-Laurent. En outre, il sera question de l’esprit théâtral de cette artère qui pousse les travestis et les artistes en tout genre à se
donner « en représentation » et à incarner un rôle de composition. Par l’entremise des
masques – notamment celui du déguisement, du maquillage et du travestissement, mais
aussi celui de la langue qu’ils modulent afin de mieux coller à leur personnage –, ils
projettent une identité individuelle instable qui dévoile l’ambiguïté qui les habite. Plus largement, la présente étude s’intéressera à l’ensemble des marginaux qui arpentent la Main et qui cherchent à (re)définir leur identité culturelle, au milieu des cultures américaine et française. Bien qu’elle essaie de se forger une identité propre, cette collectivité peine à se définir sans calquer les modèles dont elle tente de se dissocier. Une telle contradiction évoque à bien des égards le paradoxe auquel se sont heurtées les
communautés immigrantes de la rue Saint-Laurent, dont la lente adaptation à la culture nord-américaine s’est faite non sans un difficile constat de pertes et de gains face à la culture d’origine. Il s’agira donc de voir comment ces groupes, en apparence
irréconciliables, trouvent dans le même univers un contexte favorable pour mener leur
quête identitaire. / The primary objective of this thesis is to examine St. Laurent Street, which has played, since its early stages, a fundamental role in the city of Montreal. Due to its motley face and its heterogeneousness, this street marked the history of the metropolis and fed the imagination of many writers. Michel Tremblay is one who, within his work, explores most abundantly the twilight and the oddness of this urban corridor. His writing, which is considered controversial, raw and theatrical, pertinently frameworks
the universe of The Main and, more specifically, the world of the Redlight District where his most colourful characters find themselves. Having left their place of origin, the characters bring about radical changes in order to fit in with the nature and the activities of their new neighborhood. This thesis will therefore aim to think out the « trafficked identity » (identité trafiquée) of Tremblay’s characters as the condition of their belonging on St. Laurent Street. Moreover, it will take a keen interest in the theatrical spirit of this main road, which
influences transvestites and artists of all kinds to play a role and embody a made-up
persona. Through the use of masks – notably disguises, make-up and cross-dressing, as
well as language which they modulate in order to fit with their character –, they project an unstable identity that unveils the ambiguity that lies in them. The present study will also focus on the marginalized individuals who pace The Main as a group of people who look forward to (re)defining their cultural identity, due to the feeling of being stuck between the American and French culture. Although this community tries to build up its own identity, it struggles to define itself without imitating the models from which it attempts to dissociate itself. Such a contradiction evokes the paradox that faced immigrant communities on St. Laurent Street, whose slow adaptation to North-American
culture took place with many gains and losses of their culture of origin. It will therefore be interesting to examine how these apparently irreconcilable groups find in the same universe a favorable context to lead their quest for identity.
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Michel Tremblay's Albertine en cinq temps: A Tale of Two TranslationsKennedy, Andrea Unknown Date
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L'oral comme fiction.Dargnat, Mathilde 01 December 2006 (has links) (PDF)
Ce travail est consacré à une comparaison entre l'image de l'oral véhiculée par une œuvre théâtrale (cinq pièces de l'écrivain québécois Michel Tremblay) et par une transcription linguistique (corpus Sankoff-Cedergren et Montréal 84). Il aboutit à deux conclusions. D'une part, la comparaison systématique du corpus littéraire et linguistique met en évidence les contraintes différenciées qui pèsent sur le codage de l'oralité (aux niveaux graphique, syntaxique et énonciatif). D'autre part, l'oralité apparaît dans le corpus littéraire non seulement comme un paramètre sociolinguistique, mais aussi comme une composante de l'organisation fictionnelle narrative. L'oralité est ainsi doublement fictionnelle, à la fois imaginaire social de la langue et élément d'un univers narratif et affectif.<br /><br />Du point de vue méthodologique, l'étude repose sur l'utilisation du logiciel Weblex (http://weblex.ens-lsh.fr/wlx/), qui permet de comparer les différentes transcriptions de mots et de locutions caractéristiques de l'oral, et de mettre en évidence les choix techniques ou esthétiques des transcripteurs et de l'écrivain. Par ailleurs, à l'intérieur du corpus littéraire, on peut faire apparaître des profils linguistiques pour les différents personnages, ou encore dessiner une évolution stylistique du traitement de la fiction langagière sur trente ans (1968-1998).<br /><br />Du point de vue théorique, la question centrale est celle de la nature des « filtres » de l'oral. Ce travail montre une double nécessité : a. la nécessité d'une définition précise des catégories linguistiques pour constituer (annoter) et exploiter des corpus de langue non standard, qu'il s'agisse de transcriptions d'entretiens ou de littérature ; b. la nécessité d'articuler la description de la langue avec les aspects culturels et affectifs, pour mieux comprendre les trois dimensions (linguistique, symbolique et esthétique) du phénomène de l'oralité.
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