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Le musée de l’Armée et ses collections sous la Troisième République / The French Army Museum and its collections during the Third Republic

Rocher, Yves-Marie 08 December 2018 (has links)
La création officielle du musée de l’Armée au sein de l’Hôtel des Invalides se fait en 1905 du regroupement de deux établissements préexistants, le musée historique de l’Armée et le musée d’Artillerie. Ce faisant, ce sont deux conceptions des collections d’objets militaires qui se regroupent sous une même tutelle. Alors que l’un est avant tout un musée des techniques, soucieux de retranscrire les évolutions de l’armement au fil du temps, l’autre cherche à transmettre au visiteur un sentiment de grandeur nationale intemporelle dont l’armée est le ciment et le reflet. Cette double ascendance va être au cœur des questionnements sur la muséographie et les choix relatifs à la collection durant toute la vie de l’établissement. La place de la mémoire va notamment être un enjeu permanent. Les premiers temps de mise en place de ce grand musée s’arrêtent avec la Grande Guerre qui voit à la fois le musée ralentir son activité et connaître une grande affluence avec l’exposition des trophées et des peintures réalisées sur le front. Cet épisode si particulier de la vie de l’établissement va initier la création de nouvelles salles dès 1915 et donner au musée l’ambition d’être un lieu phare de la mémoire du premier conflit mondial. Cette aspiration se heurte à la fois aux moyens limités du musée alloués par le ministère de la Guerre et à l’expression même de ces commémorations. L’obtention de l’autonomie financière du musée en 1928 va transformer l’établissement qui s’inspire alors des collections privées. Séparant nettement les parties consacrées à la mémoire de celles montrant la collection, l’établissement se donne alors une politique qui perdure au-delà du second conflit mondial. / The official creation of the French Army Museum in the Hotel des Invalides occured in 1905, gathering two pre-existent establishments, the Army historic museum and the artillery museum. In so doing it is two conceptions of the collections of military objects that group together under the same administration. One was a museum of techniques, eager to retranscribe the evolutions of the armament over time, the other one tried to transmit to the visitor a feeling of timeless greatness of the french nation symbolized by its Army. This double ancestry is going to be the core of questionings on the museography and the choices relative to the collection during all the life of the establishment. The place of the memory is going to be a permanent stake. The first stages of implementation stopped with the Great War, which saw at the same time the museum slowing down its activity and knowing a big influx with the exhibition of trophies and paintings realized on the battlefield. This episode, so peculiar in the life of the establishment, is going to impulse the creation of new rooms from 1915 onward. Then the Army museum had the ambition to be a key place of the memory of the first world conflict. However this will had to cope with two major difficulties. First, the war ministry didn’t provide enough fees and furthermore the expression of these remembrances after 1918 left the Invalides for other places. In 1928, while the museum obtained its financial autonomy, all the display were changed in a way close to the private collections. Separating the parts dedicated to the memory of those showing the collection, the establishment gave itself a policy which continued beyond the second world conflict.
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Militaria à Lugdunum : étude de l'armement et de l'équipement militaire d'époque romaine à Lyon (1er s. av.-IVe s. apr. J.-C.) / Militaria in Lugdunum : a study of the roman weaponry and military equipment in Lyon (1st century BC- 4th century AD).

Guillaud, Lucas 12 April 2017 (has links)
En tant que colonie romaine, capitale administrative de la province de Lyonnaise, la ville de Lugdunum tisse depuis ses origines des liens étroits avec l’exercitus romanus. Impliquée directement, et à plusieurs reprises, dans des conflits militaires de grande ampleur, elle est la seule ville de Gaule à avoir accueilli une cohorte urbaine, dont l’existence est attestée par les sources écrites comme par les inscriptions funéraires. Face à ces témoignages, et à défaut de découvertes récentes, l’archéologie, jusqu’ici peu prise en compte, apparaît comme une source complémentaire de poids pour comprendre les modalités de la présence et de l’occupation militaire de Lugdunum. Le développement récent de l’archéologie programmée et préventive a favorisé la collecte d’un mobilier toujours plus abondant. Parmi les ensembles d’instrumentum recueillis, certains objets, appelés militaria, relèvent de la sphère militaire. Le travail exposé au sein de cette thèse se propose donc de traiter de la question de la présence militaire romaine à Lugdunum à travers le prisme de ces artefacts archéologiques. L’étude proposée s’appuie sur un corpus de de 496 fragments pour 337 objets, répartis sur quarante sites disséminés sur le territoire de la colonie romaine et ses abords proches. Chaque artefact fait l’objet d’une étude exhaustive selon les catégories fonctionnelles en usage (armement offensif et défensif, ceintures/baudrier, harnachement, autres). Une discussion d’ordre technologique, typologique et chronologique est proposée pour chacun d’eux, sur la base des comparaisons observées à l’échelle du monde romain. A l’appui des données collectées, une discussion d’ordre quantitative, spatiale et contextuelle est engagée ainsi qu’une réflexion sur une éventuelle production artisanale de certaines catégories d’armement et d’équipement militaire à Lugdunum. Les résultats de l’étude servent de point d’appui pour un discours élargi sur la présence militaire romaine à Lyon entre le Ier et le IVe s. apr. J.-C. La confrontation des données archéologiques, historiques et épigraphiques permet de proposer plusieurs hypothèses sur la nature de l’occupation militaire de Lugdunum, sur son évolution et sa densité mais aussi son intégration au tissu urbain de la colonie de droit romain. / As a roman colony and administrative capital of the Gaul Lyonnaise province, the city of Lugdunum entwines, since its origins, direct links with the exercitus romanus. This city was entangled directly and often in major military conflicts. Furthermore, it was the only settlement in Gaul to welcome a roman cohort, whose existence is confirmed by written sources such as funerary inscriptions. Taking into account these evidences, and lacking of recent findings, Archeology, lightly valued till now, appears as a great important source to understand the procedures of the military presence and occupation in Lugdunum. Recentdevelopments in both rescue and voluntary Archeology, favored the assemblage of a great number of collections. Among the gathered sets of instrumentum, certain objects arise mainly from the military sphere, the militaria.The work set out at the center of this thesis enables to approach the interpretation of the roman military presence in Lugdunum through the perspective of these archeological artifacts. The present study relies on a militaria corpus of 496 fragments to 337 objects, diffused over forty sites, scattered on the territory of the roman colony and its outskirts. Each artifact wassubjected to a thorough research, according to the classifications in use: defensive and offensive armament, belts, straps, harness and others. A technological, typological and chronological analysis is proposed for each one of them, based on the fieldwork observed at the scale of the roman world. After analyzing the data collected, conclusions about space, context and quantity can be established, as well as the notion of a possible craft-related production of certain types of military weaponry and equipment in Lugdunum.The results of this study provide a support for a broader discussion, as it concerns the roman military occupation in Lyon between the 1st century BC and the 4th century AD. The combination of the archaeological, historical and epigraphical data allows several hypothesis on the nature of the military establishment in Lugdunum, but also on its evolution, density andits role on the urban network of the colony of roman law.
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Plukovní kroniky v kontextu české prvorepublikové legionářské literatury / Regimental Chronicles in the Context of the Legionnaire Literature in the First Czechoslovak Republic

Lukeš, Martin January 2017 (has links)
Thesis maps out the position of the legionnaire regimental chronicles within context of the legionnaire literature as a whole. It attempts to define legionnaire literature as a distinct literary area, to identify unique position of regimental chronicles and to advert its commemorative, propagational and cultural significance. In connection with legionnaire regimental chronicles is also decribed the original background of Austro-Hungarian regimental histories.
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płk E H s. F

Winkler, Filip January 2022 (has links)
En visuell utforskning av de föremål som min morfar lämnat efter sig; medaljer, uniformer, cigarettpaket, fotografier och diverse dokument. / A visual exploration of the objects my grandfather left behind; medals, uniforms, cigarette packs, photographs and various documents.
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Presenze germaniche nell'Italia tardoantica. Identità culturale barbarica, militaria e rinvenimenti monetali per la ricostruzione e l'ampliamento del dato archeologico

Ballestrin, Francesca 12 October 2023 (has links)
La ricostruzione del quadro delle presenze germaniche nell’Italia tardoantica pre-ostrogota su base archeologica si fonda sulla raccolta delle testimonianze relative agli spostamenti dei gruppi umani che costituirono le premesse delle grandi migrazioni di epoca altomedievale, in un periodo che, dal punto di vista disciplinare, si colloca in una zona di confine tra due settori distinti: l’archeologia classica e l’archeologia medievale. Se da un lato sono ancora individuabili gli interventi da parte dell’autorità centrale nell’urbanistica, nell’organizzazione della difesa, sebbene non sempre con continuità, e nell’economia, analogamente a quanto era avvenuto nei secoli precedenti, dall’altro lato evidenti furono le trasformazioni che interessarono soprattutto la composizione degli eserciti e dell’amministrazione. Tali cambiamenti coinvolsero anche le modalità di relazione con il Barbaricum, con l’introduzione di un numero sempre più elevato di individui di origini non locali all’interno dei confini dell’impero, sia a fini militari sia per motivazioni legate più strettamente alla gestione del territorio e della produzione agricola. Inoltre, a partire dall’ultimo quarto del IV secolo, le trasformazioni sociali e politiche, che interessarono le popolazioni barbariche stanziate a ridosso del limes danubiano, ebbero ripercussioni dirette sulla pars Occidentis, con la concessione di territori sul suolo romano. Prima di allora, con un’intensificazione a partire dalla seconda metà del III secolo, l’Italia settentrionale era stata colpita da una serie di incursioni da parte di gruppi composti per lo più da Alamanni, ma si era trattato di raid di breve durata e contrastati a volte con non poche difficoltà dall’autorità centrale. Dal punto di vista archeologico, tali azioni non lasciarono tracce materiali dirette, che permettano di identificare i barbari presenti nel territorio romano, ma forse un’eco dell’insicurezza generata dalla minaccia di un loro ritorno, come effettivamente si verificò in più occasioni, e delle contromisure adottate dall’esercito regolare è stata riconosciuta nella realizzazione di nuove opere fortificate o nel rinnovo delle esistenti, nella distribuzione di oggetti che testimoniano della presenza dei soldati e nell’interramento di numerosi ripostigli e di casse militari. A partire dall’età costantiniana l’immissione nell’esercito di individui di origini non romane iniziò ad assumere proporzioni importanti, mentre gli attacchi dall’esterno riguardarono soprattutto le aree di confine. Sia nella seconda metà del III sia nel corso del IV secolo i contrasti più combattuti e pericolosi per l’Occidente ebbero per protagonisti non tanto le popolazioni barbariche, almeno con riguardo alle vicende che interessarono la Penisola, quanto, piuttosto, i legittimi imperatori e gli usurpatori che tentavano di conquistare il potere con il favore di una parte delle truppe. Fu agli inizi del V secolo che ripresero le incursioni in Italia da parte di individui provenienti dal Barbaricum, non sempre fermate con successo dalle forze imperiali e provenienti sia da nord, via terra, che da sud, via mare. A differenza del contesto europeo, non si può parlare di migrazioni di popoli in Italia prima dell’istituzione del regno ostrogoto, ma, forse, le premesse che portarono a tale esito politico risiedono, da un lato, in una presenza sempre più consistente di individui di origini barbariche nell’esercito e, più in generale, nella società tardoantica residente in Italia e, dall’altro lato, in un’esperienza o consuetudine di percorsi e modalità di ingressione, ma anche di dinamiche relazionali con l’autorità centrale e i possessores locali, che facilitarono i nuovi arrivi. L’approfondimento dei temi della composizione dell’esercito tardoantico, anche attraverso i testi e le iconografie restituite dai contemporanei, e della difesa dell’Italia dalle minacce esterne ed interne, in considerazione della forte presenza dell’elemento barbarico tra le fila dei soldati o al loro fianco, ha dimostrato che gli individui di origine barbarica all’interno dell’esercito tardoantico erano molto numerosi, se non, in certi periodi o circostanze, preponderanti, e potevano conservare con un carattere più o meno spiccato le connotazioni culturali che li distinguevano dalla componente di identità culturale romana. Alla luce delle considerazioni sulla consistenza della componente barbarica all’interno delle risorse militari romane, è stato raccolto il materiale archeologico, rinvenuto in Italia, che, in letteratura, identifica i soldati in servizio presso l’esercito romano. Tali oggetti, definiti militaria, comprendono, infatti, gli elementi propri dell’abbigliamento e dell’equipaggiamento dei militari: fibule, fibbie, guarnizioni da cintura, armi da difesa e da offesa, oggetti legati all’ambito equestre. Alcune tipologie di militaria, inoltre, rappresentano possibili indicatori della presenza di individui di origini non romane. È, poi, stato esaminato il materiale archeologico riferibile ad un’identità culturale barbarica, di ambito sia militare che civile. Nella maggior parte dei casi si è trattato di rinvenimenti sporadici o isolati; pochi, ma molto preziosi, si sono rivelati i sepolcreti o le sezioni di necropoli indagati in anni recenti e con metodo stratigrafico, in alcuni casi anche con l’ausilio delle analisi bioarcheologiche. Anche gli oggetti non direttamente legati all’ambito militare hanno mostrato con esso stretti legami, come hanno dimostrato proprio i sepolcreti, dove è stato possibile appurare che i soldati di origini barbariche si spostavano con le famiglie al seguito e che nei corredi e tra gli elementi di ornamento ed abbigliamento, deposti nelle sepolture, erano presenti simultaneamente oggetti afferenti tradizioni culturali diverse, compresa quella romana. Ogni tipologia di materiale, ove la disponibilità di dati lo rendesse possibile, è stata accompagnata da un’introduzione, che ne ha illustrato le funzioni, le origini e lo stato della ricerca. In alcuni casi le attribuzioni funzionali, culturali, cronologiche e interpretative degli oggetti sono state sottoposte a revisione, nel caso in cui fossero state riscontrate incongruenze o inesattezze. A partire dal materiale edito nella letteratura specialistica, i ritrovamenti sono stati mappati in tre distinte carte di distribuzione, corredate ognuna da un commento, dall’elenco dei rinvenimenti e dalla lista delle località. Il materiale archeologico è stato classificato in tre macro-fasi, parzialmente sovrapposte e corrispondenti alle tre carte di distribuzione: la prima fase ha compreso i reperti datati tra la seconda metà-fine del III secolo e gli inizi del successivo; la seconda ha raccolto il materiale di pieno IV secolo; nella terza, infine, sono confluiti i reperti di cronologia estesa tra l’ultimo terzo del IV e il V secolo. Un aspetto innovativo dello studio è consistito nel prendere in considerazione congiuntamente, per la prima volta nel medesimo percorso di ricerca, i rinvenimenti archeologici e i ritrovamenti monetali, al fine di ricostruire il quadro delle presenze barbariche nell’Italia tardoantica. Diversi contributi scientifici di ambito numismatico contengono proposte interpretative, che associano l’occultamento di ripostigli e tesori alla presenza militare, in alcuni casi di origini barbariche. Attraverso alcuni casi-studio è stato, infatti, indagato il possibile apporto dei rinvenimenti monetali all’ampliamento del dato archeologico, non traducibile, però, in ulteriori punti in carta. Pochi sono risultati, infine, i dati attualmente disponibili sull’insediamento in Italia di individui di estrazione militare, anche di rango elevato, o di probabili origini non locali. Anche in corrispondenza dei sepolcreti finora meglio indagati, non è ancora stato appurato dove gli individui di provenienza translimitanea dimorassero, se vivessero separatamente dal resto della popolazione o se fossero integrati negli abitati di riferimento; se mantenessero le tradizioni edilizie proprie dei loro luoghi di origine o se vivessero negli spazi messi a disposizione dall’autorità centrale. La conclusione della ricerca, più che costituire un punto di arrivo, si è rivelata una base di partenza per ulteriori approfondimenti, da intraprendere, auspicabilmente, attraverso un lavoro di équipe, che coinvolga specialisti di ambito sia archeologico sia numismatico.
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L'armement dans la région balkanique à l'époque romaine tardive et proto-byzantine (284-641) : héritage, adaptation et innovation / Late roman and early-byzantine weapons from the Balkan Peninsula (284-641) : inheritance, borrowing and innovation

Glad, Damien 25 October 2013 (has links)
Cette thèse de doctorat en archéologie est consacrée à l'étude des "militaria" découvertes dans la péninsule balkanique et issues de contextes datés de l'époque romaine tardive et protobyzantine. La définition des champs de l'enquête permet, dans un premier temps, d'établir un corpus répertoriant 156 sites archéologiques à armes et de proposer l'inventaire des "militaria" dans leurs contextes historiographiques, géographiques et chronologiques. L'analyse typologique replace ensuite ces armes dans leurs contextes de production, de diffusion et d'approvisionnement, d'utilisation, d'entretien et d'abandon. Une telle analyse démontre enfin qu'aucune forme n'est anodine et que l'évolution de celle-ci résulte d'héritage, d'adaptation et d'innovation. / This Phd work in archaeology deals with the study of "militaria", found on the Balkan Peninsula, from late roman and early-byzantine archaeological contexts. At first, the definition of field investigation allows to establish a database indexing 156 archaeological sites with weapons and to take stock of the "militaria" within their historiographical, geographical and chronological contexts. Cluster analysis then puts these weapons in their contexts of manufacture, circulation and supplying, use, maintenance and abandonment. This analysis demonstrates finally that no style is trivial and that the evolution of the latter results of inheritance, borrowing and innovation.

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