Thesis--Philosophy--Fribourg, 1978. / Bibliogr. p. 343-351.

Akademiska avhandling--Filosofie doktorsexamen--Uppsala, 1994.

Diss.--Philosophischen Fakultät--Universität zu Köln, 1996. / Bibliogr. p. 280-307.

This dissertation is based upon a study of the active service magazines produced by British and Dominion troops serving in the various active war theatres of the First World War. These magazines have never previously been systematically examined, and the dissertation first analyses them as a phenomenon in their own right, then uses them in conjunction with other sources to construct an analysis of morale in the British and Dominion forces and the means by which it was sustained. The analysis of morale and the influences upon it forms the main body of the text. It deals particularly with the infantry, because of the hardness of their lot and their dominant role in mutinies in other armies. It analyses their organisation and conditions of life, but it focuses most attention on the time spent behind the lines in rest and reserve, and particularly on the recreations enjoyed by the troops. It attempts to show that these aspects of the infantrymen's service have been unduly neglected, were important, and had an influence over attitudes throughout the period of service and perhaps even beyond it. Arising from this study, the dissertation seeks to demonstrate a considerable degree of continuity in attitudes, as expressed through the popular cultural media of the troops, from civilian to military life. It considers the importance of this for understanding the behaviour of the men as soldiers and, to a lesser extent, as veterans after the war. It also looks at similarities and differences of background and approach between the various national contingents which made up the British and Dominion forces, and looks briefly at perceived contrasts with other armies. In conclusion, it looks ahead to the use of troop recreations in the Second World War, and attempts to assess their importance in the First, both for morale and for the historiographical debate about continuity and change in the soldiers' experience.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Les circonstances déterminent la bonté de l’action. Elles sont infinies en nombre. Chacune d'entre elles peut être autrement qu'elle n'est et, en plus, il est impossible de la décrire dans tous les détails. Ainsi, lorsque l'autorité responsable légifère, sont inscrites dans la loi l'action et les circonstances qui déterminent la bonté de cette action. En vertu des caractéristiques propres à chacune des circonstances et de la signification qu'elle a pour l'action, la loi écrite comporte nécessairement une part d'erreur. En appliquant la loi écrite, il arrive que la qualité de solertia ait rapidement saisi qu'un cas hic et nunc n'a plus de correspondance avec la circonstance-mesure concernée, et cela, en aucune manière (car le cas lacunaire ne peut pas être ramené à son état initial), et que cette application - elle continue à être maintenue - conduira certainement à un état de crise. L'équité veut éviter cet état-de-choses tout en voulant le but que vise habituellement la loi écrite : la justice et le bien commun. L'application de la loi écrite, devenue déficiente, est ainsi suspendue. La solertia, par l'intermédiaire de l'équité, inspire la prudence politique à produire les ea quae sunt ad finem. Cette production - le mot production doit être pris ici dans son sens passif - par rapport à la vertu de gnômé s'appelle jugement de la vertu de gnômé. Par rapport à l'équité, elle correspond à l'acte équitable et, dans ce contexte, elle est le correctif de la loi écrite. Une fois statuée par l'autorité responsable, elle devient décret, respectant les légitimités de l’ethos. L'équité est donc la justice qui, ayant inclus la solertia, implique nécessairement le jugement de la vertu de gnômé.

Thèse (M.A.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. [80]-84. Publié aussi en version électronique.

Ce mémoire s'interroge sur la façon appropriée d'articuler les perspectives objective et subjective en éthique. Il évalue et compare les réponses respectives de Bernard Williams et de Thomas Nagel. Williams refuse de considérer la perspective subjective comme la seule acceptable en morale à cause du danger que cela représente pour l'identité personnelle et le savoir éthique forgé dans une communauté. Il propose plutôt que la morale soit basée sur des règles substantielles reflétant l'anthropologie propre à un groupe d'appartenance. Nagel met l'emphase sur une tension irréductible entre les perspectives, autant au niveau des choix individuels que politiques. Aussi, même s'il favorise la prédominance des exigences morales objectives, il ne néglige pas les préoccupations subjectives et propose des moyens de diminuer la tension perspectuelle. J'esquisse finalement un moyen de dépasser Williams et Nagel dans la réconciliation des perspectives et l'accroissement de la motivation morale, en ayant recours au dialogue intersubjectif.