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La mort de Dieu et l’être du langage / Death of God and being of the language

Jakob, Florent 04 December 2010 (has links)
Proclamant la mort de Dieu, Nietzsche annonce l’événement le plus grand. Cet événement excède l’histoire au sein de laquelle il se profère. Revenant sur la genèse de cette annonce, la présente étude s’enquiert de son épuisement pour tenter d’en ouvrir de nouveau la portée. Dès lors, le sens historique lui-même s’y révèle insuffisant, complice tant de son retrait que de son refus. La transvaluation des valeurs pourrait alors bien s’indiquer non seulement comme justice à l’égard de l’événement mais comme dépassement de l’histoire. Mais d’où procède-t-elle et comment accéder à une telle histoire supérieure dès lors que nous nous trouvons héritiers d’une connaissance qui en refuse l’accès et la réception ? C’est ici que Nietzsche élève la philosophie à une dignité nouvelle pour laquelle l’expérience comprise comme altération détermine toute accessibilité. En conférant au sentiment le sens de l’incorporation et la condition de toute réception, il ouvre à l’expérience de nouvelles possibilités philosophiques. C’est l’expérience qui devra ici devenir le domaine d’élaboration de l’héritage et du droit à hériter, la nécessaire dissolution de la connaissance réactive comme le désapprentissage d’un individu grégaire, peureux et défensif par essence. S’il est possible de s’altérer ainsi dans l’expérience, sans devenir un autre ni pourtant rester le même, alors commence à s’éclairer une nouvelle relation à la connaissance qui n’est plus adversative, qui n’appartient plus à la dimension oppositionnelle en laquelle se seront structurées et mêlées la morale et la métaphysique. Partant, la langue n’y serait plus ce seul dépôt de millénaires délires. N’est-ce pas cela qui s’indiquait déjà lorsque mourait le Dieu révélé et que le philosophe l’annonçait. Ici, c’est bien une conception objectivée du langage qui s’est prêtée hier à la révélation comme aujourd'hui à la communication que celui qui se veut philosophe en un sens nouveau tente de déborder. / When Nietzsche proclaims the death of God, he is announcing the greatest event. This event exceeds the history in which it is uttered. Going back to the genesis of this announcement, the purpose of this study concerns the exhausting of this announcement in order to reopen its reach. At this point, the historical sense itself appears as insufficient, as accomplice both of its standing back and of its refusal. Then, the transvaluation of the values could not only be considered as justice towards the event, but also as a surpassing of history.But from where does this transvaluation of the values proceed, and how to have access to such a superior history, when we discover ourselves as the heirs to a knowledge that refuses the access and the reception of this history? At this point, Nietzsche raises the philosophy up to a new dignity in which the experience understood as alteration determines any accessibility. While conferring to the feeling the sense of incorporation and the condition of any reception, Nietzsche gives to the experience some new philosophical possibilities. The experience will have to become the place where the inheritance and the right to inherit can be elaborated, it will also have to become the necessary dissolution of the reactive knowledge and the des-apprenticeship of an essentially gregarious, fearful and defensive individual. If it is possible to alter oneself in the experience without neither becoming an other one nor staying the same one, a new relation to the knowledge that would not be any longer adversative, that does not belong any longer to the oppositional dimension in which moral and metaphysic have been structured and mixed, begins to become clearer. Consequently, the language would not be any longer this very deposit of millenary deliriums. Is not it precisely this point that was yet occurring while the revealed God was dying and when the philosopher was announcing it. Then, it is this objectivated conception of the language, that was yesterday dedicated to the revelation as it is today to the communication, that who wants to be philosopher in an new sense tries to overlap.
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Nietzsche et les répercussions de la mort de Dieu - Nier l'au-delà et affirmer la vie

Gagnon, Lucie 14 May 2024 (has links)
Ce mémoire s'intéresse aux répercussions de la mort de Dieu, telles que développées dans l'œuvre de Friedrich Nietzsche. En s'attaquant au mythe gigantesque, rassurant, tenace et trompeur du dieu chrétien, Nietzsche remet en question l'idée que Dieu est la vérité et que la vérité est divine et prône de remplacer le dogme auquel il faut adhérer pour faire partie de la chrétienté par une invitation qu'il lance à tous d'accepter leur nature et à chacun, la singularité de son destin. Comme Dieu représente l'inconditionné, une vérité supérieure à toutes les autres et à partir de laquelle tout s'explique, sa suppression rend légitime un renversement des valeurs, un bannissement des *tu dois*, de ce médicament que l'on appelle la morale, et permet à l'homme de se penser à partir de lui-même et non plus à partir d'une idée qui lui est extérieure et qui le dépasse. Ce basculement, qui s'élabore dès les premiers textes nietzschéens, s'amorce vraiment au moment de la rédaction du *Gai savoir* : « la victoire qui arrive, qui doit arriver, qui est peut-être déjà arrivée ». Cette victoire du doute sur la vérité intervient à la fois pour lever les entraves — qu'elles soient morales ou culturelles — et pour favoriser trois remplacements : celui de la foi en l'au-delà par la célébration de la vie, celui de l'obéissance à la morale par l'exploration du soi et celui de ce qui est par ce qui devient. Avant de faire cela, Nietzsche cherche à comprendre les raisons de la pérennité du mythe de l'au-delà. Il identifie d'abord que la peur, comme disposition fondamentale de l'homme, le porte à créer des rassemblements au sein desquels l'orthodoxie privilégiée est sanctifiée par le biais de l'*illusio* religieuse. Puis, aux fins de saisir le rôle que joue cet au-delà dans la philosophie occidentale et pourquoi la mort du dieu chrétien n'a pas occasionné la fin de cette référence, il pointe vers le besoin de certitudes absolues et dénonce la technique sophistiquée de manipulation jouée par la conscience chrétienne. / This memoir focuses on the repercussions of the death of God, as developed in the works of Friedrich Nietzsche. By attacking the gigantic, reassuring, tenacious and misleading myth of the Christian God, Nietzsche questions the idea that God is truth and that truth is divine and advocates replacing the dogma to which one must adhere to be par of the Christianity by an invitation that he launches to all to accept the whole of their nature and to each person, the singularity of their destiny. As God represents the unconditioned, a truth superior to all others and from which everything is explained, its suppression legitimizes a reversal of values, the banishment of the *you must*, of this medicine that we call morality, and allows for man to think by himself starting from himself and no longer from an idea which is external to him which goes beyond him. This swift, which was developed from the first Nietzschean texts, really came into play at the time of the writing of *Gay Science*: "the victory which is coming, which must happen, which has perhaps already arrived." This victory of the doubt over the truth intervenes both to remove obstacles – whether moral or cultural – and to promote three replacements: that of faith in the afterlife through the celebration of life, that of obedience to morality through exploration of the self and that of what is through what becomes. Before doing so, Nietzsche seeks to understand the reasons for the sustainability of the myth of the afterlife. He first identifies that fear, as a fundamental disposition of man, leads him to create gatherings within which the privileged orthodoxy is sanctified through religious illusion. Then, in order to understand the role that the afterlife plays in Western philosophy and why the death of the Christian god did not bring about the end of this reference, he points to the need for absolute certainties and denounces the sophisticated manipulation technique played by the Christian conscience.
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L'antagonisme dialectique matérialisme / idéalisme : un holisme polymorphe. / Dialectical antagonism materialism / idealism : a polymorphic holism.

Rispoli, Hugo 16 October 2015 (has links)
Le 19ème siècle connaît un renouveau des façons de penser proches du matérialisme. Celles-ci deviennent triomphantes avec Marx, Nietzsche .... Il s'agit d'analyser les causes de ce renouveau et ses conséquences sur les idéologies du 20ème siècle. Ces idéologies misent en œuvre sont prises dans une dualité matérialiste/idéaliste au sein de leurs différentes composantes. A la sortie du second conflit mondial et surtout après la chute des pays socialistes de l'Europe de l'est, cette dualité se recompose en s'adaptant à un champ politique unique et hégémonique. Le capitalisme entretient un rapport très paradoxal au matérialisme dans le même temps il l'appelle de ses vœux car il lui permet de détruire un obstacle : le christianisme social, mais il le dénature également en lui donnant une forme vulgaire d'un matérialisme de possession. Il ne peut pas lui redonner ses lettres de noblesse puisqu'il générerait un retour du politique (le marxisme,...). Or il se présente comme post politique et non idéologique. Dans le discours réemployant la rhétorique marxiste de fin de l'histoire prononcé par Francis Fukuyama, le capitalisme se présente de fait comme un Léviathan face à ce qui a réduit l'homme à l'état de nature : les idéologies « totalitaires ». Il permet également une remontée forte de l'idéalisme dans une dissonance perpétuelle entre morale et pratique. Le matérialisme étant vulgarisé et réduit, il ne porte plus en lui d'éthique et il devient limité à une pulsion d'achat. Le capitalisme, dans son appareil idéologique et sa culture de masse, apparaît comme double perpétuel au réel. / A journey inside history, ideology and psychology with a key, the antagonism between materialism and idealism. A new point of view arise and create a new kind of analysis on our modern times. From Martin Luther to today, we explore differents systems : Nazism, Socialism and Capitalism. We will find, in each system and so in human mind, this heuristic antagonism.
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Christlicher Atheismus und radikales Christentum : Studien zur Theologie von Thomas Altizer im Zusammenhang mit Ketzereien der Kirchengeschichte, der Dichtung von William Blake und der Philosophie von Georg Friedrich Wilhelm Hegel /

Borné, Gerhard F. January 1900 (has links)
Dissertation : Fachbereich Philosophie und Sozialwissenschaften--Berlin--Freie Universität, 1976. / Bibliogr. p. 296-309.
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Niilismo e t?cnica: a caminho da ultrapassagem

Oliveira, Williane de Souza 22 November 2010 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T15:12:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 WillianeSO_DISSERT.pdf: 1035980 bytes, checksum: 8901d7ffb28215f9ae7e883764aa6c6d (MD5) Previous issue date: 2010-11-22 / Pour formuler une discussion sur le nihilisme, l'enqu?te sur le premier chapitre examine les preuves historiques et philosophiques de montrer que la r?flexion sur le nihilisme comme un probl?me philosophique, suite ? l'analyse et la critique du philosophe Friedrich Nietzsche ? partir des principaux concepts au sein de son travail: d?cr?pitude, la mort de Dieu, la d?valuation des valeurs, transvaluation des valeurs, volont? de puissance et ?ternel retour, ils sont quelques-uns des concepts et servir de cadre au point critique de la m?taphysique. Le deuxi?me chapitre est une analyse des id?es qui ont ?merg? de la lecture de Nietzsche qui sont d?velopp?es entre le philosophe Martin Heidegger et Ernst J?nger. Un dialogue qui limite le nihilisme et ses ramifications pour l'?re de la technique, et finalement vaincre leur pens?e ou d?passement. / Para formular uma discuss?o sobre o niilismo, a investiga??o do primeiro cap?tulo considera o ambiente hist?rico e filos?fico em que se mostram evid?ncias para pensar o niilismo como problema filos?fico, seguindo a an?lise e cr?tica do fil?sofo Friedrich Nietzsche a partir dos principais conceitos no interior de sua obra: decad?ncia, morte de Deus, desvaloriza??o de valores, transvaloriza??o de valores, vontade de poder e eterno retorno; s?o alguns dos conceitos e servem de arcabou?o para apontar uma cr?tica ? metaf?sica. No segundo cap?tulo ? feita uma an?lise sobre as id?ias surgidas a partir da leitura de Nietzsche que s?o desenvolvidas entre o fil?sofo Martin Heidegger e Ernst J?nger. Um di?logo que circunscreve o niilismo e os seus desdobramentos para a Era daT?cnica, e, em ?ltima an?lise pensar a sua supera??o ou ultrapassagem.
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Ludwig Feuerbach, penseur de la mort de Dieu

Chaput, Emmanuel 04 1900 (has links)
Le présent mémoire porte sur la question de la mort de Dieu dans la philosophie allemande du XIXe siècle. Plus précisément elle entend mettre en lumière le rôle qu’un auteur comme Ludwig Feuerbach (1804-1872) a pu jouer dans la réception d’un tel événement pour la philosophie de cette époque. On observe en effet chez Hegel et Nietzsche, certainement les deux philosophes les plus importants à s’être intéressés au thème de la mort de Dieu, deux manières tout à fait différentes, voire antinomiques, d’interpréter un tel événement. Ce qui fera dire à certains auteurs comme Deleuze et Foucault notamment, qu’entre Hegel et Nietzsche il ne saurait y avoir qu’une coupure radicale tant leurs compréhensions de la mort de Dieu diffère. Un tel geste trahit cependant un certain arbitraire qui empêche de comprendre la genèse philosophique d’un tel déplacement, entre Hegel et Nietzsche, dans la manière d’aborder la mort de Dieu. C’est ici que l’étude de la philosophie feuerbachienne s’avère fructueuse, car si elle demeure dans un dialogue critique par rapport à la conception hégélienne de la mort de Dieu, sa réponse opère cependant un déplacement qui anticipe certains aspects de la pensée nietzschéenne. C’est à partir de l’analyse de sa critique de la religion chrétienne et de l’anthropologie philosophique nouvelle qui l’y oppose que l’on sera en mesure de saisir la nature de ce déplacement feuerbachien. / This Master’s Thesis focuses on the topic of the death of God in the nineteenth century German philosophy. More specifically, it highlights the role played by Ludwig Feuerbach (1804-1872) in the development of this problematic, i.e. his influence on the way this decisive “death” has been interpreted philosophically. The two major philosophical figures who have reflected on the death of God, namely Hegel and Nietzsche, have done so in very different, some would say antinomian, ways. Authors such as Deleuze or Foucault have even argued that between Hegel’s and Nietzsche’s way of addressing the question of the death of God there can be no common ground, but only an irrevocable clash. Unfortunately, such a statement forbids further investigations enabling a more rigorous understanding of the philosophical development that occurs between Hegel and Nietzsche on that specific topic, that is, on the death of God in nineteenth century German philosophy. Here, I shall argue, the study of Ludwig Feuerbach’s thought becomes essential to such an understanding, since it develops a critical dialogue with Hegel’s stance on the death of God, while at the same time anticipating some aspects of Nietzsche’s approach to the problem of the death of God.
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Les maîtres du soupçon et la mort de Dieu

Gagné, Dominique 21 February 2021 (has links)
La pensée des Maîtres du soupçon concernant l'origine de la religion nous permet de constater la part d'anthropomorphisme et de besoins humains dont elle peut être constituée. La critique marxiste de la religion rend compte de la fonction idéologique qu'elle peut remplir par rapport à un état donné de la société, l'analyse nietzschéenne de notre représentation du réel tente une explication de ce qui en l'homme veut la religion, et la psychanalyse freudienne tend à démontrer que notre langage sur Dieu peut s'enraciner dans certains processus inconscients. Cependant, même si l'athéisme qu'ils proposent peut permettre à l'homme de prendre conscience de l'état de minorité dans lequel il est maintenu par le biais de ses croyances religieuses, la réappropriation de l'homme ne peut être réalisable que par lui-même.

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