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Le pilotage aux confins mouvants de la gouvernance. Économie, écologie, politique et régulation en Amazonie Colombienne, 1975-1990

van Vliet, Geert 17 February 1997 (has links) (PDF)
Le pilotage aux confins mouvants de la gouvernance. Économie, écologie, politique et régulation en Amazonie Colombienne, 1975-1990. Geert van Vliet, Paris I Panthéon-Sorbonne, Février 1997. Cette thèse se situe sur un terrain essentiellement théorique et méthodologique (essai de modélisation de la problématique de gouvernance) et analyse les possibilités de rétablir une capacité de pilotage (public) légitime dans des situations complexes et adverses extrêmes. A l'aide de diverses approches systémiques (l'apport de l'économie multidimensionelle, la gestion de l'environnement, les théories de régulation socio-politique et économique, et l'économie des organisations) nous caractérisons les éléments constitutifs du "terroir de la gouvernance" (première partie). Trois mécanismes vitaux de la gouvernance (régulation par la commande, par l'autonomie -et par sa variante- l'autopoièse) coexistent dans toute organisation. Ces mécanismes contribuent à la nature hétérogène des structures et des limites organisationnelles. Leur analyse permet, en mettant en évidence les paradoxes des processus d'apprentissage et d'innovation, d'expliquer l'efficacité décroissante des politiques publiques (deuxième partie). La caractérisation des systèmes de micro, macro et méga-régulation permet ensuite d'établir un lien entre les réflexions sur le thème de l'autonomie relative - et donc l'espace de ce qui peut être gouverné - avec celles sur les "confins" de cet espace, notamment en introduisant la théorie de l'autopoièse. En effet, pour les organisations autopoiètiques la notion "de limite" ne se pose pas, ce qui réduit sérieusement la validité des approches standard de pilotage stratégique. Ces réflexions alimentent une relecture de la situation de gouvernance en Amazonie Colombienne, où l'on distinguera trois périodes selon la prédominance de la régulation par la commande, l'autonomie ou l'autopoièse (troisième partie). En conclusion : la modélisation de la problématique de la gouvernance semble utile; par contre, il est difficile d'aller au delà de la phase de l'intelligibilité. Bien que quelques pistes soient proposées, la persistance des nombreux problèmes théoriques et méthodologiques signalés et l'existence de risques considérables associés à des tentatives de manipulation déplacées, constituent une invitation à la prudence. Gouverner aux confins exige un travail patient de la part de nombreux artisans, notamment à partir d'une meilleure connaissance des limites de nos propres systèmes de pilotage et d'organisation. MOTS-CLES SUGGÉRÉS : COMPLEXITE, AUTOPOIESE, AMAZONIE COLOMBIENNE, REGULATION, PILOTAGE STRATEGIQUE, GOUVERNANCE THEORIE DES SYSTEMES, THEORIE DES ORGANISATIONS, THEORIE DE LA NEGOCIATION, GESTION DE L'ENVIRONNEMENT, GESTION DE CONFLITS, ECONOMIE DES ORGANISATIONS, ECONOMIE MULTIDIMENSIONNELLE, GÉOPOLITIQUE
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Débat privé, enjeu public? : comment les citoyens ordinaires construisent des opinions sur le problème de l’énergie / Private debate, public issue? : how ordinary citizens construct their opinions on the energy public problem

Bouillet, Jérémy 12 September 2017 (has links)
L’énergie apparaît comme un problème public majeur, dans la résolution duquel les pouvoirs publics s’engagent régulièrement. Mais, à l’autre bout de cette chaîne, comment les individus ordinaires s’approprient-ils le problème public de l’énergie ? Dans les mesures classiques de l’opinion publique, les questions énergétiques et environnementales sont souvent loin d’occuper les premières places dans la hiérarchie des priorités. Or, pour réduire la pression engendrée par nos modes de consommation sur les écosystèmes, le changement des comportements et des attitudes de consommation est présenté comme un levier majeur. La question énergétique est-elle alors un enjeu politique pour tous mais un problème pour personne ? Pour répondre à cette question nous nous interrogeons sur la fabrique des opinions ordinaires et nous proposons de considérer ces dernières comme des énoncés discursifs testés dans des situations sociales plus ou moins complexes, conflictuelles et publiques. En amont, bon nombre d'acteurs ayant accès à l'espace public contribue à orienter et promouvoir certaines injonctions normatives pour définir la « bonne » pratique. Mais ces injonctions ne sont ni stables, ni homogènes : elles font l'objet de controverses et donnent lieu à des reformulations discursives parfois dissonantes. Entre enjeux technologiques, économiques, écologiques, sociétaux, etc. l’énergie comme problème public est alors soumise à un cadrage par des ordres normatifs dynamiques définissant certaines déviances et se voit proposer des solutions reconnues comme légitimes sous l’effet, entre autres, de l’action publique. Mais, ce niveau de description fait l’économie de la parole des citoyens « ordinaires », couvrant ainsi un présupposé instrumental commun qui estime que les citoyens dotés de la « bonne » information agissent « correctement ». Ce présupposé est contestable. Certes, une majorité écrasante d’enquêtés souligne son accord de principe aux économies d’énergie, témoignant ainsi de sa connaissance – même partielle – de l’existence d’un « problème public de l’énergie » et d’un engagement – même limité – aux injonctions à la modération en termes de consommation énergétique. Mais cet accord tacite se heurte à d’autres injonctions, à la compétition des problèmes, des pratiques sociales et à la mise en œuvre pratique des solutions. Ni surcompétents, ni incompétents, les citoyens ordinaires construisent donc du sens à travers des ordres normatifs concurrentiels et cherchent à le rendre compatible avec leurs modes de vie. Pour ce faire, la confrontation de leurs opinions et l’ajustement collectif de leurs représentations sont nécessaires. En reprenant certaines notions du pragmatisme, nous interrogeons la manière dont les perceptions du problème de l’énergie varient selon les scènes sociales où il est discuté, leur publicité ou encore le degré de conflictualité qu’il génère, et nous montrons que des communautés locales interprétatives d’un problème – et éventuellement de solutions – peuvent émerger et contribuer à alimenter la légitimité du problème dans l’espace public. Par ce biais, nous soulignons qu’il existe des espaces adossés au politique mais qui ne répondent pas toujours aux critères de conflictualisation et montée en généralité. Ces espaces illustrent l’intérêt de prendre en compte l’ambivalence et la labilité des opinions dans l’appropriation d’un problème public et la normalisation de ses solutions. / Energy appears to be a major public problem, in which the public authorities regularly commit. But at the other end of this chain, how do ordinary individuals appropriate the public problem of energy? In the classical measures of public opinion, energy and environmental issues are often far from the top of the hierarchy of priorities. However, to reduce the pressure generated by our consumption patterns on ecosystems, the change in consumer behavior and attitudes is presented as a major lever. Is the energy issue then a political issue for all but a problem for no one? In order to answer this question, we question the fabric of ordinary opinions and propose to consider them as discursive statements tested in more or less complex, conflicting and public social situations.Upstream, many actors with access to public space help to guide and promote certain normative injunctions to define "good" practice. But these injunctions are neither stable nor homogeneous: they are the subject of controversies and give rise to discursive reformulations, sometimes dissonant. Between technological, economic, ecological, societal, etc. energy as a public problem is then subjected to a framing by dynamic normative orders defining certain deviations and is offered solutions recognized as legitimate under the influence of, inter alia, public action.But this level of description does not take "ordinary" citizens into account, and covers a common instrumental presupposition that citizens with "good" information act "correctly". This presupposition is questionable. Admittedly, an overwhelming majority of respondents stressed their agreement in principle to energy savings, thus demonstrating their knowledge - even partial - of the existence of a "public energy problem" and a commitment - even limited - to injunctions to moderate their energy consumption. But this tacit agreement comes up against other injunctions, competition between problems, social practices and the practical implementation of solutions.Neither overcompetent nor incompetent, ordinary citizens construct meaning through competitive normative norms and seek to make it compatible with their lifestyles. To do this, the confrontation of their opinions and the collective adjustment of their representations are necessary. By taking up some of the notions of pragmatism, we examine how the perceptions of the energy problem vary according to the social scenes in which it is discussed, their publicity or the degree of conflict that they generate, and we show that local communities with a common interpretation of a problem - and possibly solutions - can emerge and help fuel the legitimacy of the problem in public space. In this way, we emphasize that there are more or less public spaces but which do not always meet the criteria of conflictualization and rise in generality. These spaces illustrate the importance of taking into account the ambivalence and the lability of opinions in the appropriation of a public problem and the standardization of its solutions.
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Sexisme et misogynie sur l’écosystème de Reddit : processus de négociation des normes sociales par une typologie d’actions mises en place

Beaudoin-Paul, Émilie 08 1900 (has links)
Dans le contexte actuel de la polarisation sur les réseaux sociaux, ce mémoire de maîtrise porte sur la négociation à plusieurs niveaux des normes sociales relatives au discours haineux, sur le forum de Reddit. La recherche s'articule autour de la régulation du contenu par les modérateurs et les utilisateurs. Le mémoire commence par présenter le forum Reddit, son histoire et son fonctionnement avant de développer une revue de littérature sur le discours de haine et le misogynie, notamment l'absence de consensus sur sa définition ainsi que les défis juridiques et opérationnels de sa régulation. Ensuite, pour comprendre comment les utilisateurs et les modérateurs de Reddit régulent les discours de haine misogyne, le cadre conceptuel développe le concept de normes sociales, en particulier les normes sociales en ligne. Parmi les autres concepts mobilisés figurent les chambres d'écho et la théorie de l'étiquetage. Une approche qualitative a été adoptée pour faire une analyse schématique d’un corpus de données empiriques publiquement disponibles sur Reddit qui a été sélectionné pour son lien avec le discours haineux misogyne. Cinq communautés (« subreddits ») ont été sélectionnées pour explorer la manière dont les discours misogynes sont régulés. Les résultats présentent une typologie des actions disponibles pour les utilisateurs et les modérateurs, ainsi que les règles de Reddit et de chaque communauté sur lesquelles ils et elles s'appuient pour réguler le discours haineux misogyne. La typologie d'actions est représentée au sein de schémas répétitifs qui mettent en valeur la façon dont la régulation se produit sur les communautés. Plusieurs exemples illustratifs sont offerts de ces négociations réglementaires. La recherche conclue que l'étiquetage par les actions répétitives pourrait potentiellement contribuer à la négociation des normes sociales entre les utilisateurs et les modérateurs et ainsi avoir des effets sur la façon dont les échanges se produisent sur les fils de discussions, au sein du forum. Cette négociation des normes ferait donc un lien direct quant à la fine ligne qui subsiste entre la liberté d'expression et le discours haineux, et recadrer ce qui en constitue ou non, pour comprendre les types de discours acceptables sur cette plateforme. / In the current context of polarization on social networks, this Master's thesis examines the multi-level negotiation of social norms around hate speech on the Reddit forum. The research focuses on the regulation of content by moderators and users. The thesis begins by introducing the Reddit forum, its history and operations before developing a literature review on hate speech and misogyny, including a lack of consensus on its definition and the legal and operational challenges of regulating it. Then, to better understand how Reddit users and moderators regulate misogynous hate speech, the conceptual framework develops the concept of social norms, specifically online social norms. Other concept of echo chambers and labeling theory are also mobilized. The research adopts a qualitative approach to conduct schematic analysis of a body of publicly available empirical data on Reddit that was selected for its connection to misogynistic hate speech. Five communities (“subreddits”) were selected to explore how misogynistic speech is regulated. In the findings, I present a typology of actions available to users and moderators, as well as the rules of Reddit and each community that they rely on to regulate misogynistic hate speech. The typology of actions is represented within repetitive patterns that highlight how regulation occurs on communities. Several illustrative examples are offered of these regulatory negotiations. The research concludes that labeling through repetitive actions could potentially contribute to the negotiation of social norms between users and moderators and thus have effects on the way exchanges occur on threads within the forum. This negotiation of norms would thus directly relate to the fine line that remains between free speech and hate speech, thus reframing what does and does not constitute hate speech, in order to understand the types of speech that are acceptable on this platform.

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