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Le paysage de la peur en milieu agricole: le cas de la Grande Oie des neiges

Dumas, Pierre-Alexandre January 2016 (has links)
Depuis environ 40 ans, l’intensification des pratiques agricoles a grandement transformé le paysage agricole et ce tant, dans les Amériques qu’en Europe. Quoique, plusieurs espèces animales soient affectées négativement par ces changements, certaines espèces en bénéficient. C’est le cas de la Grande Oie des neiges (Chen caerulescens atlantica) qui a vu sa population croître de façon importante et ce, au point de devenir problématique. De fait, la Grande Oie des neiges cause des dommages importants aux cultures du Québec (1 646 229 ± 800 000 par an entre 2009 et 2015) et aux écosystèmes qu’elle utilise lorsqu’elle fait halte dans la vallée du Saint-Laurent, Québec, Canada. Bien que plusieurs actions aient été tentées pour contrôler sa population le problème persiste. La quête alimentaire des animaux est entre autres modulée par les comportements anti-prédateurs, tels que le temps passé en vigilance et une utilisation différentielle des habitats. Ces comportements sont à leur tour affectés par le risque de prédation et la vie en groupe. En effet, le risque de prédation perçu par un individu dépend entre autres (1) de la taille du groupe auquel il appartient ; (2) de la densité et de l’activité des proies et des prédateurs dans l’environnement ; (3) de son niveau de connaissance de l’environnement ; et (4) des caractéristiques du paysage qu’il occupe. Il s’ensuit que le risque de prédation varie dans l’espace et dans le temps. La représentation cartographique de ce risque à un moment donné consiste en un paysage de la peur, où chaque location ou chaque élément d’un paysage se voit associé un risque de prédation. On s’attend donc à ce que la quête alimentaire des individus, tant dans leur utilisation des habitats que dans leur budget d’activité, soit affectée par la structure du paysage de la peur. Par conséquent, on peut se demander si le paysage de la peur peut être utilisé comme outil de gestion d’une espèce, notamment pour la Grande Oie des neiges. Mon objectif est de quantifier comment la perception du risque de prédation par la Grande Oie des neiges varie en fonction de différents éléments des paysages agricoles visités par les oies, mais aussi de quantifier cette variation selon différentes contraintes énergétiques et temporelles durant leurs haltes migratoires. Ceci afin de voir si le paysage de la peur pourrait être utiliser comme outil de gestion. À ce titre, je vise à mesurer l’effet du type de cultures, de la nature de l’élément paysager, de la distance de celui-ci et du niveau de compétition intraspécifique au sein des sites d’alimentation et ce, durant les deux migrations, sur l’utilisation des habitats et le budget d’activité des oies. Je pose que les oies prendront plus de risques si les contraintes temporelles sont fortes, de même que si elles se nourrissent dans une parcelle alimentaire de haute qualité et si elles subissent une plus forte de compétition. Pour ce faire, j’ai parcouru les Basses-Terres-du-Saint-Laurent de Salaberry-de-Valleyfield jusqu’à l’Islet lors des printemps 2014 et 2015 et de l’automne 2014. J’ai ainsi repéré et observé 141 groupes d’oies exploitant des terres agricoles pour lesquels j’ai noté la position des individus dans les champs et mesuré leur taux de vigilance, de même que noté divers facteurs qui pourraient affecter ces deux comportements, dont le type de cultures exploitées et le fait d’être ou non au sein d’une zone où la chasse est permise. Au printemps, le taux de vigilance des oies était, plus élevé dans les cultures de maïs, plus bas si la densité locale d’oies augmentait et plus bas dans les sanctuaires (i.e., en absence de chasse). Alors qu’à l’automne, le taux de vigilance était, plus élevé à proximité d’une route ou d’un fossé et plus élevé en bordure du groupe. Au printemps, la distance aux éléments du paysage potentiellement dangereux était, plus grande face à une bordure de forêt et plus faible face à la route. La distance était plus petite dans les cultures de maïs, plus élevée dans le foin et plus faible dans les sanctuaires. À l’automne, les effets des différents éléments étaient semblables à ceux du printemps. La distance était plus grande si la taille du groupe augmentait et plus petite dans les sanctuaires. De plus, les oies semblaient montrer un évitement des bordures forestières alors que les autres éléments du paysage étudiés ne semblent pas être sélectionnés ou évités. Les oies subissent des contraintes différentes au printemps et à l’automne. Ces contraintes semblent moduler la prise en compte du risque de prédation entre les saisons. En effet, les oies semblent privilégier l’alimentation au détriment de la prise de risques au printemps, une décision probablement liée à la reproduction dont le succès dépend d’une arrivée relativement hâtive sur les aires de nidification arctiques et donc, des réserves énergétiques accumulées sur les haltes migratoires. En opposition, les oies semblent prendre davantage conscience du risque de prédation dans leur quête alimentaire à l’automne, ce qui pourrait être lié au fait qu’elles sont accompagnées de leurs jeunes et à une contrainte énergétique et temporelle plus faible qu’au printemps. En bref, les oies semblent subir les effets de la peur reliée à la chasse. Mes résultats semblent indiquer que le paysage de la peur pourrait être utilisé dans les stratégies de gestion. Par exemple, en instaurant des haies brise-vent dans les secteurs où le risque de dommages agricoles est élevé, le risque de prédation perçu par les oies y serait plus élevé et pourrait ainsi diminuer l’utilisation de ces secteurs.
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Factors influencing health care utilization following a cardiovascular event among aboriginal people in Central Australia

Artuso, Stella January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'environnement psychosocial du travail comme variable médiatrice de la relation entre l'emploi temporaire et la détresse psychologique

Hains, Julie January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Planification de tournées de véhicules pour le problème de livraison à domicile

Azi, Nabila January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le processus décisionnel du parent face à la consultation à l'urgence pédiatrique

Tsoybariotis, Androniki January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les friches agricoles herbacées et arbustives du sud-ouest québécois étudiées par une approche écologique et sociologique inspirée de l'écologie du paysage

Benjamin, Karyne January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The perception, knowledge and utilisation of research and its role in the chiropractic profession as determined by chiropractors attending the World Federation of Chiropractic biennial conference 2013

d'Hotman de Villiers, Jason January 2015 (has links)
Submitted in partial compliance with the requirements for a Master's Degree in Technology, Durban University of Technology, Durban, South Africa, 2015. / Background The Chiropractic profession is considered a form of complementary and alternative therapy which began as a vitalistic approach to health care. Over the years research has become a main focus of the profession in order to validate its claims for its treatment modalities, with the profession having made advances in producing high quality research (Newell and Cunliffe, 2003). In an era of evidenced based practice medical professionals are required to use research findings to guide their practice therefore their perceptions towards using research are important to ascertain. Although there is some literature on Chiropractors' perception of research most studies focus on specific regional populations. Very few if any studies have assessed perceptions of research from different Chiropractic populations at the same time. The aim of this study was to determine the perception, knowledge and utilisation of research and its role in the Chiropractic profession as determined by Chiropractic delegates attending an international Chiropractic conference. In order to provide information to the profession as to how Chiropractors from varying regions perceive research and to see if the shift seen in other health care professions towards evidence based practice is seen in the chiropractic profession. Method This quantitative, cross sectional, descriptive survey was administered to Chiropractic delegates attending the World Federation of Chiropractic biennial conference 2013 in Durban, South Africa. The questionnaire was compiled by using the available literature and validated by means of a focus group and pilot testing. The questionnaire was administered to the delegates as part of their delegate packs at the conference and was made available electronically via SurveyMonkey© after the conference. Participants were required to give written informed consent prior to partaking in the research. The research protocol was approved by the Durban University of Technology Institutional Research Ethics Committee (REC 26/13). On completion the questionnaire and the signed letter of information and consent were deposited into separate sealed containers at the conference or stored on SurveyMonkey© . When the study closed, data was coded into an excel spread sheet and imported into IBM SPSS version 21 for statistical analysis. Descriptive and inferential statistics were used to analyse the data Results A response rate of 34.48% (n = 140) was obtained. More than half of the respondents were male (52.2%), from the African region (51.1%), in possession of a master's degree in Chiropractic (51.4%), and were involved in professional chiropractic practice (60.7%). The respondents had a favourable perception towards research (51.4%), with almost all respondents perceiving that research was essential to the progression of the Chiropractic profession (97.5%). A more favourable perception of research was found in those who were from Europe as opposed to Africa (p = 0.001) and had an evidence based practice (EBP) philosophical orientation as opposed to a mixer or straight approach (p < 0.001). Overall the respondents displayed an adequate knowledge of research terminology (59.2%), with those from Europe as opposed to Africa (p = 0.001) having improved research knowledge along with those who had an EBP philosophical orientation (p < 0.001) compared to the straights and mixer approaches. In terms of research utilisation the respondents showed a high utilisation of research to improve clinical practice (88.9%), for self-development (90.1%) and to change their approach to conditions, polices and practice in their area of the Chiropractic profession (83%). There was a trend that being from Europe, North America and Australisia resulted in high research utilisation than those from Africa and Asia. The effectiveness of Chiropractic care for various musculoskeletal conditions was seen as the primary research focus area for the profession (95.1%), with 75% of the respondents wanting the profession to move in the direction of science as opposed to a philosophical focus. The respondents perceived research to play an integral role within Chiropractic by promoting its acceptance among other health care professionals (87%) and by third party payers (70%). Conclusion The respondents in this study had a favourable perception, knowledge and utilisation of research and supported the role of research and science in the future of the Chiropractic profession. Future studies should be conducted on more diverse groups of Chiropractors to see if the findings of this study are replicated, as well as investigate the disparity observed between developed and developing countries. / PDF copy unavailable. please refer to hard copy for full text information / M
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The design of a risk assessment model to determine the impact of the herbal medicine trade on the Witwatersrand on resources of indigenous plant species

Williams, Vivienne Linda 08 August 2008 (has links)
Exploitation of botanical resources has resulted in significant decreases in the sizes of some plant populations, especially for species that have a high commercial value and are important to the lives and livelihoods of rural communities. Medicinal plant resources are used and traded commercially in both rural areas and urban centres, and over-exploitation has become a deterministic factor in the extinction risks to certain species. The main aim of the study was to design a risk assessment model to determine the impact of the medicinal plant trade on the Witwatersrand (centred around Johannesburg) on indigenous plant resources. The goal was to incorporate trade variables correlated with harvesting risks together with biological characteristics of the harvested species to predict which species are most threatened by the trade and are thus high on the list for conservation priority. The study required semi-quantitative surveys of the medicinal plants sold by traders in the Witwatersrand to be conducted. In 1994 and 2001, the plants sold in 50 muti shops and by 100 vendors in the Faraday Street market respectively were inventoried. Quantitative trade data were also captured, including volume, pricing structures and plant size (e.g. bark thickness and bulb diameter). A scientific sampling strategy was adhered to throughout the study to add statistical validity to the results. In a novel approach to analysing ethnobotanical data, the frequency of plant occurrences in the markets was analysed using measures (analysed by EstimateS) of species diversity traditionally used in ecology. The measures allowed for sampling strategies and sizes to be compared between data sets and for the number of species likely to be sold in the region to be estimated. Furthermore, data sets could be compared in terms of species richness, diversity, evenness and complimentarity. Another novel approach taken in the thesis was to estimate the number of individual plants harvested annually by gatherers, specifically the number of trees that are debarked and the number of whole bulbs that are removed. In order to estimate the number of trees debarked, a study was conducted to determine the relationship between bark thickness and stem diameter for six species. The results made it possible to estimate the condition of the resource in the wild from market records (i.e. bark thicknesses) and to see how the availability of larger trees has declined for species such as Warburgia salutaris between 1994 and 2001. Results for bulbs showed that there has been a significant decrease in the diameter of Eucomis autumnalis bulbs present in the markets in the same period, suggesting significant levels of resource depletion. The thesis explored the use of a multivariate methodology for assessing the extinction risks of species and assigning species harvested for the medicinal plant trade to various hierarchies of risk and conservation priority. Hierarchical and non-hierarchical cluster analysis (Ward’s and K-means respectively) methods were found to be effective in assigning species to clusters of similar risk and conservation priority. From a combined list of 392 ethnospecies recorded in the muti shops and Faraday market, a short-list of 119 higher risk species was identified using four to five trade variables. This list was further reduced to 87 species to ascertain conservation priorities based on the additional inclusion of seven biological variables in the assessment. From this list, approximately 31 species were identified as having higher conservation priority and would be candidates for further research, management and protection within the ambit of conservation and sustainable utilisation programmes. These species would further benefit from Orange Listing or having their IUCN Red List status re-evaluated. The methods developed in this study are recommended for other ethnobotanical studies. Furthermore, the risk assessment method could be applied to the assessment of species similarly traded in other medicinal plant markets or applied to the assessment of species under threat from other stressors at a regional, provincial and/or national level using the appropriate variables.
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Využití molekulárně cytogenetických metod v reprodukční genetice / Utilisation of molecular cytogenetic techniques in productive genetics

Paulasová, Petra January 2013 (has links)
Title.: Utilisation of molecular cytogenetic techniques in reproductive genetics Chromosomal abnormalities constitute one of the most important causes of birth defects, fertilization failure and/or human infertility. Approximately, 40-50% of human conceptuses are chromosomally abnormal, 6% of the abortions during the first trimester of gestation are directly linked to chromosomal abnormality, while at term 0.6% of livebirths present with such features. Most of these abnormalities originate from the gametogenesis and arise through disturbed meiotic processes. Each gamete is a final and original product of the meiosis carrying a unique chromosomal set. Therefore, cytogenetic examination of individual gametes represents an important scientific challenge for our undrstandidng of the formation, incidence and etiology of aforementioned chromosomal abnormalities. Nonetheless, it is very technically demanding to perform efficient chromosomal investigation on gametes, hence single cells. My Ph.D. thesis is focused on the development of new techniques for the detection of chromosomal abnormalities in gametes and embryos. We developed a PNA-based technique as an alternative to conventional FISH and PRINS-based methods for fast, efficient and robust in situ detection of chromosomal abnormalities in human...
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Résilience des services écosystémiques à l’échelle du paysage : un cadre conceptuel et une analyse pour un socio-écosystème de montagne / Resilience of ecosystem services at landscape scale : Conceptual framework and analysis for a mountain socio-eco-system

Devaux, Caroline 01 March 2016 (has links)
L’intérêt que porte la communauté scientifique ainsi que politique aux les services écosystémiques et à leur résilience face aux changements globaux (environnementaux ou sociétaux) en cours est grandissant, ce qui se reflète par le nombre d’études à ce sujet, le rapport d’évaluation des écosystèmes pour le millénaire et la mise en place d’un groupe de travail sur la résilience (« Resilience Alliance »). Les définitions de la résilience sont elles aussi très variées, avec des concepts tels que la résistance, la résilience spécifique (« de quoi à quoi ? »), la résilience générale, l’adaptabilité et la transformabilité, que nous nous sommes appropriés dans le but de développer un cadre conceptuel et méthodologique pour étudier la résilience de la fourniture de services écosystémiques, en particulier dans le but de comparer les potentiels de résilience des différents types de prairies subalpines du col du Lautaret (Hautes-Alpes, France) pour un ensemble de services sélectionnés. Nous avons proposé deux approches pour évaluer les potentiels de résilience des différents états dans lequel peut se trouver un socio-écosystème, en considérant la résilience comme la capacité d’un système à maintenir une fourniture stable de services écosystémiques (composante résistance) mais aussi sa capacité à l’adapter (différentes composantes selon le degré d’adaptation : résilience, transition, transformation). Une première étape d’évaluation d’un ensemble de services d’intérêt sur la zone d’étude est suivie d’une première analyse de la résilience de chacun de ces services spécifiquement, basée sur l’évaluation de « gammes opérationnelles » pour chaque service, définies comme les gammes de valeurs que peut prendre le dit service dans un état donné du socio-écosystème. L’échelle organisationnelle à laquelle ces gammes sont évaluées les relie aux différentes composantes de la résilience. Les résultats confirment l’intérêt de s’intéresser à la résilience spécifique de chaque service, car leur profil de résilience sont différents, c’est-à-dire que les prairies aux plus forts potentiels ne sont pas les même d’un site à l’autre, bien que dans tous les cas les potentiels de résilience soient plutôt forts, au contraire des autres potentiels.La deuxième analyse part de l’hypothèse théorique que la diversité des traits de réponse (hétérogénéité et redondance) améliore la résilience. Nous avons fait l’hypothèse que, lorsque les traits de réponse sont ceux utilisés pour modéliser les services écosystémiques, la diversité fonctionnelle d’une communauté végétale peut-être reliée à sa résilience générale en termes de services écosystémiques. Nous avons relié plusieurs mesures de la diversité fonctionnelle aux potentiels de résilience (entropie et diversité fonctionnelle dans leur dimension α et β, redondance et complémentarité des groupes fonctionnels). Cependant, les résultats obtenus par l’analyse des prairies du Lautaret nous amènent à réfuter l’hypothèse proposant que la diversité fonctionnelle des communautés végétales permet d’expliquer le profil de résilience des services écosystémiques analysés, car ils ne concordent pas avec les profils de résilience trouvés par l’approche des gammes opérationnelles. Au final, nous préconisons d’utiliser l’approche des gammes opérationnelles, qui permet de connaître le profil de résilience de chaque service, dans le cadre d’étude portant sur la capacité d’un socio-écosystème à maintenir la fourniture de ses services écosystémiques. Cette approche peut de plus être enrichie d’une approche de scénarisation qui permettrait de déterminer « à quoi » la fourniture de chaque service est résiliente. / As evidenced by the number of studies on the subject, the recent millennium ecosystem assessment and the establishment of a working group on resilience (« Resilience Alliance »), the interest of the scientific community in ecosystem services and their resilience in the face of global change (environmental or social) is steadily increasing. Definitions of resilience are highly varied, and we used concepts such as resistance, specific resilience (« of what to what ? »), generalised resilience, adaptability and transformability to develop a conceptual and methodological framework to study the resilience of ecosystem service provision. This conceptual framework was applied to compare the potential resilience of differing sub-alpine grasslands types in three local government areas in the area of the Col du Lautaret (Hautes-Alpes, France) for a number of locally and regionally important ecosystem services. We proposed two approaches for evaluating the potential resilience of the different states in which a socio-ecosystem can exist, by considering resilience as the capacity of a system to maintain a stable provision of an ecosystem service (resistance component), as well as its capacity to adapt this provision if needed (components of resilience, transition, transformation depending on the degree of adaptation). A first stage of the quantification of ecosystem services was followed by an initial analysis of each of these services via the evaluation of their « operating ranges », defined as the range of values that a service can take given a particular state of the socio-ecosystem. The organizational scale at which these ranges are evaluated links them to other components of resilience. Our results confirm the utility of considering the specific resilience of each service, as the profiles of their resistance are different. In particular, the types of grasslands with the highest resilience component potential are not the same from one site to another, even though in all cases these resilience component potentials are rather high as compared to other components potentials. The second analysis is based on the theoretical hypothesis that it is the increasing diversity of response traits (heterogeneity and redundancy) which increases resistance. We hypothesised that, when it is response traits that have been used to model ecosystem services, the functional diversity of a plant community can be linked to its overall resistance in terms of ecosystem services. We linked a number of measures of functional diversity to resilience potential, including the α and β dimensions of entropy and functional diversity, and the redundancy and complementarity of functional groups. The obtained results for the grasslands at Lautaret lead us to reject the hypothesis which proposes that the functional diversity of plant communities can be used to predict the patterns of resilience of the analysed ecosystem services, as these do not correspond to the patterns of resistance obtained from the approach using operating ranges. Finally, we suggest that to assess the capacity of a socio-ecosystem to maintain the provision of ecosystem services, our approach using operating ranges is preferable as it allows for the quantification of the resistance profile of each service. This approach could be further developed using scenario building so as to determine « to what » the provision of each service is resistant.

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