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Nord-Cameroun : crises et peuplement /

Beauvilain, Alain. January 1989 (has links)
Thèse--Lettres--Rouen, 1989. / Bibliogr. p. 611-617.
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Le Pouvoir administratif et politique dans la région nord du Cameroun sous la période française : 1919-1960 /

Nkili, Robert, January 1990 (has links)
Texte remanié de: Th.--Aix-en-Provence, 1985. / Bibliogr. p. 216-220.
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Territoires, troupeaux et biomasses : enjeux de gestion pour un usage durable des ressources au nord-cameroun

Dongmo Ngoutsop, Aimé Landry 06 April 2009 (has links) (PDF)
Au Nord-Cameroun à l'instar de l'Afrique soudano sahélienne, les sécheresses et la forte pression démographique, ont favorisé l'afflux des agriculteurs et la sédentarisation des éleveurs sur des zones plus humides et moins saturées de la région. Aujourd'hui, dans ces zones, les agriculteurs font face à la baisse continue des rendements agricoles et les éleveurs, aux difficultés d'alimentation du bétail. Le suivi de leurs systèmes de culture et d'élevage, et l'analyse des interactions qui existent entre eux, ont montré la nécessité de mieux gérer les biomasses. Les résultats montrent que la fumure organique est très limitée sur le sol des agriculteurs, alors qu'elle est nettement très élevée sur celui des éleveurs du fait de l'important cheptel bovin qu'ils y parquent. Ces derniers obtiennent des rendements en biomasses beaucoup plus importants que ceux des agriculteurs, mais sur des superficies plus réduites. Grâce au droit de vaine pâture ces éleveurs alimentent leur bétail en saison sèche à partir des résidus de cultures produits par les agriculteurs. Le reste de l'année, une partie du cheptel transhume, tandis que l'autre, reste sédentaire sur le terroir et s'alimente difficilement (longs déplacements journaliers, esquives des cultures). L'offre locale de la biomasse cultivée dépend fortement de la production des agriculteurs qui, elle, est influencée à la fois par les pratiques des agriculteurs (fumure organique, fertilisation minérale) et par celles des éleveurs (vaine pâture). Différents modes de gestion des biomasses sont proposés pour améliorer à court terme (compost produit en bordure du champ, fumier produit à l'étable, en fosse ou sur parc fixe, association des cultures) ou à moyen terme (systèmes de culture sur couverture végétale), la production. Pour raisonner et accompagner leur diffusion à l'échelle de la parcelle, de l'unité de production et du terroir, différents modèles conceptuels ont été développés.
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Les aires protégées de l'Extrême-Nord Cameroun entre politiques de conservation et pratiques locales

Wafo Tabopda, Gervais 09 September 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour objectif d'évaluer l'impact des politiques publiques de conservation et de gestion des aires protégées face aux logiques paysannes d'exploitation des ressources et de développement. Dans le cadre de cette réflexion, nous tentons d'estimer le poids réel des politiques nationales de conservation des aires protégées de l'Extrême-Nord Cameroun. Cette recherche se propose de répondre à la question suivante : l'analyse de la dynamique de l'occupation du sol à l'intérieur et autour des aires protégées permetelle de juger de l'efficacité de la politique de conservation dans les aires protégées de l'Extrême- Nord Cameroun ? Pour caractériser et évaluer la dynamique de la végétation, la méthode retenue privilégie une double entrée prenant en compte à la fois la spatialisation et le discours. De la sorte, l'exploitation à la fois des données historiques et juridiques, des données cartographiques et des images satellites acquises à des dates successives est complétée par des relevés de terrain et des enquêtes socio-économiques. L'ensemble des informations collectées constitue la base de données nécessaire pour la création d'un Système d'information Géographique (SIG), outil indispensable à la gestion durable des ressources dans les aires protégées.
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Territoire, filiere et temps : modalites et enjeux de l'insertion marchande des systemes d'elevage bovins au nord-cameroun

Djamen Nana, Patrice 15 December 2008 (has links) (PDF)
Au Nord-Cameroun, les systèmes d'élevage bovins sont remis en cause par la pression sur l'espace. Parallèlement, la croissance démographique stimule les marchés de la viande bovine. Cette recherche visait à vérifier l'existence d'interactions entre le développement des marchés, et la dynamique des systèmes d'élevage et de la filière bovine. La démarche méthodologique était articulée autour de trois axes : territoire, filière et temps. Des enquêtes et un suivi annuel ont été réalisés au niveau des troupeaux, exploitations, marchés de bestiaux, abattoirs et consommateurs, à propos de l'approvisionnement de la ville de Garoua en viande bovine. Les pratiques des éleveurs sont contraintes par les caractéristiques du territoire, mais davantage par la manière dont ils réagissent aux opportunités et contraintes du milieu. La demande finale, et les stratégies des acteurs qui y concourent, sont analysées. La productivité des élevages est incompatible avec le rythme de croissance démographique. Les éleveurs sont sensibles au développement des marchés, mais leur insertion marchande est prudente et progressive. Ils préfèrent la minimisation des risques à l'optimisation des revenus. L'influence des marchés se traduit plus par la spéculation que par la modification des pratiques d'élevage. L'amélioration des performances techniques n'est rentable que lorsqu'elle est accompagnée de pratiques de commercialisation efficaces. Il est nécessaire de développer les services d'appui à l'élevage : conseil, appui à l'organisation, accès aux intrants et crédit. Des mesures politiques appropriées s'imposent, pour sécuriser la base productive et, rendre le fonctionnement de la filière bovine plus équitable, et incitatif aux éleveurs. Un modèle d'approvisionnement de la ville de Garoua est proposé. Des scénarios en sont dérivés, qui permettent de saisir l'ampleur des enjeux en termes de sécurité alimentaire des populations et de devenir des élevages.
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De la mobilité à la sédentarisation: gestion des ressources naturelles et des territoires par les éleveurs Mbororo au nord du Cameroun

Kossoumna Libaa, Natali 28 November 2008 (has links) (PDF)
La remise en cause du système d'élevage mobile impose la sédentarisation des éleveurs. L'objectif de la recherche entreprise vise à comprendre les évolutions et les conditions de durabilité des systèmes de gestion des ressources naturelles et des territoires actuellement mis en œuvre par les éleveurs Mbororo sédentarisés. Nous partons de l'hypothèse que les Mbororo se sédentarisent parce que l'environnement agro-pastoral et socio-économique n'est plus adapté au système d'élevage mobile. La thèse a été menée à Laïndé Ngobara et Ndiam Baba au Nord du Cameroun. Notre méthodologie s'appuie la cartographie à ces différentes échelles, l'enquête semi-directive et le suivi d'un échantillon de 27 familles d'éleveurs réalisé sur un cycle annuel. Les résultats montrent que la fixation de l'habitat des éleveurs est une réalité mais qu'ils s'efforcent de maintenir leur système d'élevage basé sur la transhumance d'une grande partie du bétail. Les territoires sont organisés autour de l'habitat avec une distinction nette entre espace agricole et espace pastoral pendant l'hivernage. La gestion et l'utilisation de l'espace réservé au pâturage reste un problème entre les éleveurs et les agriculteurs. Pour la transhumance, les éleveurs adoptent des stratégies individuelles pour accéder aux petits espaces de pâturages. La fumure organique est valorisée pour l'agriculture. Les éleveurs sont autosuffisants en céréales et en lait. Ils diversifient leurs sources de revenus et dégagent un solde financier. La poursuite de la pratique de la transhumance s'impose pour une bonne valorisation des ressources fourragères au niveau de la région. Une forte implication de l'Etat et des ONG est nécessaire pour la bonne gouvernance des territoires pastoraux et la sécurité des éleveurs.
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Une démarche agronomique pour accompagner le changement technique. Cas de l'emploi du traitement herbicide dans les systèmes de culture à sorgho repiqué au Nord-Cameroun

Mathieu, Bertrand 04 February 2005 (has links) (PDF)
Le développement de la culture du sorgho de saison sèche, qui concerne l'ensemble du bassin du lac Tchad, constitue la dynamique agraire la plus visible de ces dernières décennies dans les plaines de l'Extrême-Nord Cameroun. La plante est repiquée dans des terres argileuses plus ou moins inondables, difficilement cultivables en saison des pluies, et accomplit son cycle à partir de la réserve en eau du sol. Le traitement herbicide, introduit récemment, est utilisé de façon croissante compte tenu des avantages à la fois agronomiques pour accélérer la préparation des parcelles et maîtriser certaines adventices vivaces, et économiques en réduisant légèrement les coûts par rapport à l'emploi de manoeuvres salariés. Un travail de recherche est apparu opportun pour accompagner les agriculteurs concernant l'adaptation de ce changement technique vers une utilisation la plus modérée possible des herbicides. Notre démarche associe deux approches agronomiques : l'une consiste à cerner les problèmes que les agriculteurs doivent résoudre à travers l'analyse et la formalisation des règles de décision pour la conduite de la culture ; l'autre à évaluer de nouvelles règles de décision liées à l'utilisation de l'herbicide sur l'élaboration du rendement de sorgho et l'évolution de la flore. La combinaison de ces deux formes de connaissances agronomiques permet de conseiller les agriculteurs sur l'insertion judicieuse d'une nouvelle technique dans leurs systèmes de culture, en valorisant au mieux leurs savoirs et leurs savoir-faire. La démarche s'appuie sur des enquêtes fines à l'échelle de l'exploitation agricole et des expérimentations "systèmes de culture" en parcelles paysannes, dans deux terroirs de référence. L'analyse révèle l'importance de l'hétérogénéité inter et intra-parcellaire du sol, sur laquelle l'agriculteur s'appuie pour enchaîner les opérations afin de repiquer dans de bonnes conditions d'humidité du sol malgré la lenteur des tâches culturales et un créneau réduit de réalisation de l'implantation. Dans la majorité des situations pédoclimatiques, la réserve hydrique du sol constitue le principal facteur limitant de la culture. La concurrence des mauvaises herbes se révèle limitante dans les terrains les plus humides en particulier lors des années de bonne pluviométrie. Dans ces conditions climatiques et d'enherbement, le traitement herbicide offre des gains de rendement d'au moins 20 % et parfois beaucoup plus dans les zones inondables où prolifèrent certaines adventices vivaces. Dans les situations à dominante de graminées annuelles, le désherbage chimique ne permet pas d'augmentation de production et ne devrait être envisagé que comme une solution d'ajustement ponctuelle pour éviter à l'agriculteur de prendre du retard dans l'implantation de sa sole, en particulier lors des années les plus sèches. Les résultats ont permis de préciser les règles de décision liées à la mise en oeuvre du traitement : localisation des traitements et modulation des doses en tenant compte de l'hétérogénéité des milieux cultivés; alternance de l'utilisation d'herbicide avec le mode de préparation habituelle selon le scénario climatique. Cette démarche, mise en oeuvre dans le cadre d'un projet de développement, contribue à l'enrichissement de services d'appui et de conseil aux exploitations familiales à l'échelle régionale, notamment pour orienter les agriculteurs vers des principes de gestion intégrée de l'enherbement et limiter les effets négatifs de l'innovation sur l'environnement et l'emploi en milieu rural.
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Les plutons de Guider et de Bossoum-Pologozom (chaîne panafricaine au Nord-Cameroun): analyses pétrographique, structurale, magnétique, géochronologique et implications géodynamiques

Dawaï, Daouda 14 March 2014 (has links) (PDF)
Le pluton de Guider (PG), mis en place vers 593 Ma dans des orthogneiss, est composé principalement de diorite et de syénites transalcalines. Le magma parent de ce pluton serait issu d'une large fusion partielle d'une source basaltique, et les différents faciès résulteraient de processus de cristallisation fractionnée, assimilation crustale et métasomatisme. Le pluton de Bossoum-Pologozom (PBP) est composé de syénite et de syénogranite ferro-potassiques issues d'un magma granodioritique essentiellement par cristallisation fractionnée. L'encaissant du PG qui s'est mis en place vers 632 Ma, a subi une déformation transpressive à cisaillement pur dominant dextre, orienté N-S à NNE-SSW, qui a débuté vers 612 Ma. Les microstructures et l'ASM suggèrent que sa mise en place a eu lieu avant la fin de la déformation transpressive de son encaissant. Le PBP s'est mis en place vers 566 Ma, au sein d'orthogneiss et granites syntectoniques. L'installation des granites syntectoniques est synchrone d'un second épisode cisaillant, postérieur à l'épisode transpressif dextre sus-cité. Le sens de cisaillement de ce second épisode reste incertain. Les structures internes du PBP suggèrent qu'il est syn- à tardi-tectonique du second épisode de la transpression. Cette transpression régionale est la conséquence de la collision entre les domaines Mayo-Kébbi et NW-Cameroun qui se serait achevée vers 566 Ma. Enfin le magmatisme transalcalin du PBP est semblable et contemporain du magmatisme de certains plutons de l'Est du Nigéria et du Nordeste brésilien, ce qui à suggère que le second épisode de transpression du secteur de Guider est contemporain des grands cisaillements de la zone de Patos.
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Capital sol et arrangements institutionnels dans les agrosystèmes du Nord-Cameroun / Soil Capital and institutional arrangements in North Cameroon

Balarabe, Oumarou 07 December 2012 (has links)
Dans un contexte de dégradation des ressources naturelles agricoles, notre étude se propose d'élaborer un concept de capital sol permettant de réexaminer l'analyse économique des sols, en intégrant l'ensemble des services fournis par cet écosystème. Un retour sur les différents cadres d'analyse en agronomie et en sciences environnementales a permis de redéfinir les différentes perspectives associées à l'usage des sols. Une revue de la littérature sur les modèles de l'érosion et de la conservation des sols a été effectuée, et a permis de jeter les bases d'un modèle bio-économique en contrôle optimal du capital sol, basé sur la matière organique du sol et les engrais minéraux. L'étude des états stationnaires associés aux différents régimes a mis en évidence l'importance de la dynamique des stocks de matière organique, ainsi que les apports d'engrais minéraux. Ainsi, en fonction de la vitesse de minéralisation de la matière organique, les régimes miniers atténués (par la restitution de la matière organique) ou bien minier compensé (par des apports d'engrais minéraux) sont stationnaires. Les résultats obtenus par l'estimation économétrique du capital sol par une fonction de production de type translog, à partir des données expérimentales en panel obtenues au Nord-Cameroun, a permis de confirmer le poids de la matière organique et des engrais minéraux. L'estimation des élasticités des facteurs « quantité de mulch » et « quantité d'engrais apporté » a également révélé qu'elles sont négatives à leur valeur minimale, et positive au delà. De même, ces deux facteurs sont substituables à leur valeur minimale, et complémentaires au delà de cette valeur, pour maintenir un stock de capital sol identique. L'analyse des droits de propriété liés au capital sol dans le contexte du Nord-Cameroun a révélé que l'une des contraintes les plus importantes concerne la dissociation entre les droits d'exclusion et les droits de gestion, réduisant de fait l'incitation à investir pour le capital sol. L'étude suggère la prise en compte de l'innovation institutionnelle complémentaire, et propose une nouvelle typologie des innovations basée sur la proportion des deux types d'innovations (technologique et institutionnelle) nécessaires pour maintenir le capital sol. Enfin, l'étude a permis de discuter les principaux instruments de politiques publiques à mesure d'assurer la convergence entre l'optimum privé et l'optimum social. Ces mesures concernent une meilleure définition des droits de propriété, les incitations économiques pour suppléer à la défaillance des marchés, l'action collective pour la définition des arrangements institutionnels endogènes et le paiement et les marchés des services écosystémiques liés au capital sol. / Within a global context of agricultural natural resources degradation, our study aims at elaborating a soil capital concept, which will help renewing soil economic analysis by considering overall ecosystem services provided. A feedback analysis on agronomic and environmental issues related to soil made it possible to clarify different perspectives associated to soil use. Additional litterature review on soil erosion and conservation models helped to lay the foundation of an optimal control model of soil capital, based on organic matter return to soil, and mineral fertilizer application rate. Steady state conditions associated to different soil capital regimes revealed the importance of organic matter stocks, as well as mineral fertilizer in soil capital dynamics. According to organic mineralization rate, attenuated (by organic matter restitution) mining regime, and compensated (by fertiliser application) mining regime of soil capital appeared to be steady state regimes. Results from econometric modelling through translog production function based on 7 years experimental panel data in Northern Cameroon helped confirming organic matter and fertiliser importance in soil capital asset. Production elasticity of factors « mulch quantity » and « fertilizer quantity » revealed that elasticities are negative around minimal values, and positive at medium and maximum values of soil capital. Also, it appeared that these factors are substitutes at minimum value and complementary at medium and maximum value of soil capital. Property rights analysis on soil capital in Northern Cameroon revealed that dissociation between holders or exclusion rights and management rights is among most important constraints in soil capital investment incentive. The study also suggested to take into account complementary institutional innovations, and proposed a specific innovation's typology, according to relative dimensions of technical and institutional innovations on soil capital. Finally, the study discussed the main tools of public policy enabling to reconciliate private and social optimum in soil capital. These include suitable property rights definition, economic incentives to supplement market failures, collective action and paiement and markets for ecosystem services.
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Déterminants socio-économiques de la gestion paysanne des plantations d'Acacia sénégal et de la production de la gomme arabique au Nord-Cameroun / Socio-economic determinants of Farmer Management of Acacia senegal plantations and production of arabic gum in northern Cameroon

Palou Madi, Oumarou 21 December 2011 (has links)
E Nord-Cameroun comme toutes les zones arides et semi-arides de l’Afrique subsaharienne est confronté à la désertification qui est causée par les aléas climatiques et la surexploitation des ressources naturelles. L’une des conséquences est la baisse des rendements des cultures due à la dégradation des sols cultivables. Dans cette situation, l’une des voies pour améliorer le niveau de vie paysan est de développer la plantation des ligneux à usages multiples. L’introduction de l’A. senegal dans les années 90 dans les exploitations agricoles avait l’optique de restaurer la fertilité des sols et de diversifier les sources de revenus des agriculteurs par la production de gomme arabique. Malgré la multifonctionnalité de cet arbre et les efforts des projets pour sa vulgarisation, les résultats et les réactions des populations pour sa plantation restent peu concluants et sélectifs. La thèse identifie et analyse les facteurs socio-économiques et leurs effets sur la décision paysanne à planter A. senegal. La méthode est basée sur les enquêtes et entretiens semi-directs. Les résultats montrent que la plus grande production en gomme obtenue par une exploitation est de seulement 50 kg/ha/an. Toutefois les recettes des ventes éventuelles des autres produits des plantations complètent celles de la gomme. Les planteurs n’ont pas tous disposé d’information ni de formation suffisantes. Une plate forme de concertation est à mettre en place pour redéfinir les rôles des acteurs de la filière gomme. Pour une gestion durable des plantations d’A. senegal, les projets de développement et les décideurs doivent faire respecter les normes de différentiation des prix de la gomme. / The North Cameroon like all arid and semi-arid zones of African sub-Saharan is facing desertification caused by climatic factors and over exploitation of natural resources.One of the consequences is the decline of crop yields due to degradation of arable land. In this situation, promotion of multipurpose trees plantations can improve the farmers’ livelihood. The introduction of A. senegal in the 90’s in agricultural farms had the aim to restore soil fertility and diversify sources of income for farmers through the production of arabic gum. Despite the multifunction aspect of this tree and the involvement of different development projects for its extension, the results and reactions of local people to its plantation remain inconclusive and selective. The thesis identifies and analyzes the socio-economic factors and their effects on the farmers decision to plant A. senegal. The method is based on surveys and semi-structured interviews. The results show that the best gum yield observed on the exploitation is 50 kg / ha / year. However, the revenue can be increased with the sale of byproducts of A. senegal. Not all farmers are sufficiently informed or trained. A platform for dialogue is to be set in order to redefine the roles of stakeholders in the market chain. For the sustainable management of A. senegal plantations, development projects and policy makers need to meet the standards of gum price differentiation.

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