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L’œuvre de Florence Henri et les échanges culturels franco-allemands au cours du XXe siècle / The work of Florence Henri and the French-German cultural exchanges through the XXth century

García Jiménez, María Belén 28 January 2011 (has links)
L’identité culturelle de Florence Henri est complexe et digne d’intérêt. Sa carrière comme l’Europe ont été marquées par les deux guerres mondiales. Nous nous sommes attachées à partir de documents inédits à analyser le parcours de Florence Henri entre Berlin (1910-1924) et Paris (1924-1962). Née en 1893 à New York, Florence Henri passe sa jeunesse à voyager en Europe. La plupart de ses années de formation musicale s’effectuent à Berlin avec Ferrucio Busoni. Elle fut la compagne de l’écrivain et critique d’art Carl Einstein, l’un des principaux promoteurs de la culture française à Berlin. La première guerre mondiale la pousse à abandonner la musique pour la peinture.Quand elle arrive à Paris, Florence Henri s’inscrit à l’académie d’André Lhote et à l’académie Moderne de Fernand Léger où elle s’initie au purisme. Pendant l’été 1927, elle fait un séjour au Bauhaus qui bouleverse toute sa carrière qu’elle orientera désormais vers la photographie avec un succès international immédiat. Ses autoportraits et l’usage de miroirs dans ses photographies sont des références de la Nouvelle Vision. Un nouveau changement de cap s’effectue au début de la seconde guerre mondiale avec un retour à la peinture. Les relations à Paris entre artistes français et allemands se maintiennent en dépit des conflits politiques et les échanges épistolaires témoignent de la solidarité au sein de cette communauté d’artistes. Florence Henri fait partie intégrante d’un réseau d’artistes exilés qui se réfugient à Paris. Jusqu’à ce jour elle a été qualifiée d’artiste française, suisse ou américaine mais notre étude démontre l’importance de la sensibilité allemande dans son œuvre malgré les quarante ans passés à Paris. / Florence Henri’s cultural identity is complex and worthy of interest. Her carrer as Europe was marked by the two World Wars. From unpublished documents, we have analysed Florence Henri’s path between Berlin (1910-1924) and Paris (1924-1962). She was born in 1893 in New York, she spent her youth on travelling in Europe. She followed most of her music training years in Berlin with Ferrucio Busoni. She had been Carl Einstein’s companion, the writer and art critic who was one of the most important promoters of the French culture in Berlin. The First World War pushed her to give up music to painting.When she arrived in Paris, F H registered for André Lhote académie and for Modern académie of Fernand Léger where she initiated herself into purism. During the summer 1927, she had a trip to Bauhaus which would turn her all career in future onto photography with an immediate, international success. Her self-portraits and the use of mirrors in her photographs are some references to the New Vision. A new change of course happened at the beginning of the Second World War with the return to painting.The relationships between French and German artists in Paris did not the political conflicts into account and the epistolary exchanges have showed solidary within artists community. She belonged to a network of exiled artists who took refuge in Paris. Until now, she has been described as a French, Swiss or American artist but our study shows the importance of the German sensitivity in her work despite her forty years spent in Paris.
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Passion et Désillusion. Eli Lotar (1905-1969) : Contribution à une histoire des rapports entre les avant-gardes photographique et cinématographique à Paris dans l’entre-deux-guerres / « Passion et Désillusion ». Eli Lotar (1905-1969) : Contribution to a history of relations between photographic and cinematographic avant-gardes in Paris during the inter-war

Amao, Damarice 15 March 2014 (has links)
Eli Lotar décède en 1969 à Paris après avoir poursuivi une longue et difficile carrière de photographe et de cinéaste. Alors qu’il fait partie des pionniers de la Nouvelle Vision photographique française aux côtés de Germaine Krull, il faut attendre 1993 pour qu’une première exposition monographique posthume lui soit consacrée par le musée national d’art moderne-Centre Pompidou. Entre temps, son documentaire Aubervilliers (1945) et son travail de directeur de la photographie auprès de Luis Buñuel et d’Alberto Cavalcanti lui ont assuré une solide réputation dans les milieux cinéphiles après la Seconde Guerre mondiale.Son identité de photographe moderne prend quant à elle plus de temps à se forger. En parallèle de cette réévaluation initiée à la fin des années 1970, dans le champ des études sur le surréalisme la série des Abattoirs de la Villette qu’il publiait dans la revue Documents (1929) lui permet de faire son entrée dans le panthéon visuel du mouvement d’avant-garde.Le surréalisme, le cinéma d’avant-garde, la Nouvelle Vision : Lotar a livré dans chacun de ces champs des images emblématiques tout en demeurant, encore aujourd’hui, une figure opaque et complexe. À partir de sources inédites, cette étude se propose d’envisager son parcours d’une part dans le réseau élargi des avant-gardes parisiennes et européennes, d’autre part à l’aune de sa deuxième identité, celle de cinéaste et de cinéphile. Sujet marginal dans le champ des études de l’entre-deux-guerres photographique française, ces rapports de la photo et du cinéma fondent, en partie, le nouveau paradigme visuel moderniste de l’époque dont Eli Lotar serait l’une des figures exemplaires à Paris. / Eli Lotar passed away in Paris in 1969 after a long but low-key career as a photographer and filmmaker. While one of the pioneers of the New Vision in France alongside Germaine Krull, one has to wait year 1993 for a first solo show to be devoted by the Centre Pompidou. Meanwhile, his documentary Aubervilliers (1945) and his work as director of photography with Luis Buñuel and Alberto Cavalcanti ensured him a solid reputation in cinephile circles after the Second World War.His identity as a modern photographer, on the other hand, takes more time to take shape. In parallel with this revaluation initiated in the late 1970s, in the field of studies on surrealism, the series of the Abattoirs de la Villette he published in the review Documents (1929) allows him to become one of the icons of the avant-garde.Surrealism, avant-garde cinema, New Vision: Lotar delivered in each of these fields iconic images while he remains an opaque and complex figure. From unpublished sources, this study proposes to consider his career the one hand into the expanded network of Parisian and European avant-garde, the other in the light of its second identity as a filmmaker and cinephile. Peripheral subject in the field of studies of inter-war French photography, links between photography and cinema partly establish the new modernist visual paradigm of the era whose Eli Lotar would be one of the exemplary figures in Paris.

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