Spelling suggestions: "subject:"ontothéologie"" "subject:"l’ontothéologie""
1 |
Becoming and impermanence in Nietzsche's PhilosophyCatanu, Paul January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
|
2 |
Becoming and impermanence in Nietzsche's PhilosophyCatanu, Paul January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
3 |
Le concept de métaphysique chez Francisco Suarez : de l'analogia entis à l'univocité de l'être / The concept of metaphysics in Francisco Suarez : from analogia entis to the univocity of beingCrîşmăreanu, Florin-Marius 28 November 2009 (has links)
Le thème choisi - la métaphysique de F. Suarez - me permet, je pense, une grande ouverture, tant vers la scolastique, que vers la modernité. Dans cette perspective, F. Suarez peut être considéré comme un lanus Bifrons. Mon projet viserait la réalisation d'une thèse bâtie en trois parties. Ces trois parties sont délimitées par l'angle sous lequel j'aborde l’œuvre de F. Suarez. Il s'agit d'une perspective i)historique, ii) critique et iii) réflexive. La perspective historique consisterait dans une analyse diachronique, afin de surprendre la nouveauté du moment suarézien dans la métaphysique scolastique. La perspective critique me permettra d'entamer l'analyse proprement dite le système suarézien de la métaphysique. La perspective réflexive résidera dans un questionnement du projet suarézien à la lumière de la théologie byzantine. Le biais serait le problème de l'analogie.Dans cette thèse je voudrais montrer ce qu'on gagne et ce qu'on perd à partir du "moment F. Suarez". / I chose to approach this theme - F. Suarez's metaphysics - because it gives me the opportunity of a great opening, both to scholasticism and to modernity. From this point of view,Suarez may be considered a lanus Bifrons. My project aims at achieving a triadic structured thesis. It is about a: 1) historical ; 2)critical and 3) reflexive perspective. The historical perspective consists in a diachronic analysis,in trying to grasp the novelty of the Suarezian moment in scholastic metaphysics. The critical perspective allows me to analyze properly the metaphysical system elaborated by Suarez, at the same time trying to interpret the unpublished elements proposed by the Jesuit in Disputationes Metaphysicae. The reflexive perspective consists in problematizing the Suarezian project in the light ofthe Byzantine theology. The leading wire is represented by the analogy.Through this thesis, I wanted to have the opportunity to say what is won and what is lostonce with "the F. Suarez moment".
|
4 |
Rien d’autre que l’être. Recherches sur l’analogie et la tradition aristotélicienne de la phénoménologie / Nothing else than being. A study on analogy and the Aristotelian tradition of Phenomenology / Nient’altro che l’essere Ricerche sull’analogia e la tradizione aristotelica della fenomenologiaMariani, Emanuele 25 October 2010 (has links)
L’analogie est la réponse résolutive autant qu’aporétique au problème de l’unité et de la différence, scellée dans la multiplicité déroutante des significations de l’être. De cette réponse, il en va du statut de « science » pour la métaphysique. Notre enquête vise à retracer les conditions historiques d’émergence d’un concept (ou d’un complexe conceptuel) qui a marqué de son sceau l’histoire de la pensée, d’Aristote, voire même de Platon jusqu'aux nos jours. Sans cette même pensée de l’analogie – voici notre hypothèse – ni la constitution ni la « destruction » de la métaphysique ne seraient plus pensables. Mais qu’est-ce au juste que l’analogie ? Et jusqu’où s’étend sa portée métaphysique ? La certitude du terme a quo laisse en suspens l’extension de cette parabole, qui exige par reflet la fixation idéale d’un terme ad quem. On fera de la phénoménologie husserlienne un observatoire privilégié pour témoigner des derniers éclats de l’analogie, avant que la « destruction » de la métaphysique n’en décrète la disparition. En fixant dans l’aristotélisme du XIXe siècle le point d’ancrage entre Aristote et la phénoménologie, l’on tâchera d’établir des connexions, autant que faire se peut : de Trendelenburg à Brentano et de Brentano à Husserl, avec le regard toujours tourné vers Aristote, l’analogie – voici la thèse que l’on veut démontrer – n’abandonnera jamais son statut originaire d’analogie de l’être. / Analogy is the aporetic answer to the problem of unity and difference, sealed in the puzzling multiplicity of being’s meanings. On this answer depends the status of “science” for metaphysics. Our research aims to redraw the historical conditions of emergence of this concept (more likely a conceptual complex) which has been marking with its seal the history of western philosophy, from Aristotle and even before from Plato up to nowadays. Without analogy – here goes our hypothesis – neither the constitution, nor the «destruction” of metaphysics could be conceivable. But what is “analogy”? And up to where arrives its metaphysical impact ? The certainty of the term a quo leaves unresolved the extension of the curve, demanding therefore the ideal establishment of a term ad quem. Making out of husserlian phenomenology an advantaged observatory, we will grasp the last sparkling lights of analogy before the “destruction” of metaphysics decrees its disappearance. By fixing in the Aristotelianism of the XIXth century the anchorpoint between phenomenology and Aristotle, we shall establish as far as possible a series of connections: from Trendelenburg to Brentano and from Brentano to Husserl, always glancing at Aristotle, the analogy – this is the thesis we would to demonstrate – never abandon its original status of analogy of being.
|
Page generated in 0.0461 seconds